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Autre extrait de mon roman pour les petits curieux

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Autre extrait de mon roman pour les petits curieux Empty Autre extrait de mon roman pour les petits curieux

Message par Loddy44 Jeu 21 Juil - 23:41

Un passage un peu plus long qui vous en apprendra un peu plus sur mes deux personnages principaux.
En espérant que cela vous plaise, et comme d'habitude, si vous avez des questions, des remarques, ne vous gênez pas ^^

Chapitre 18 - Tel père, tels fils

Farrell avait depuis longtemps quitté la villa de ses deux maîtres disparus.
Par ce jour de pluie, il rentrait du village où il avait été faire sa promenade quotidienne. En sortant du village, la voiture s'engagea sur une petite route bosselée et campagnarde. Il arriva bientôt dans une grande allée bordée de hauts peupliers et donnant sur une gigantesque maison de campagne.
Le parc qui surplombait cette dernière était aussi immense, et des pommiers, des poiriers et des vignes avaient été plantés çà et là, alignés sur plusieurs rangées.
Durant leurs jeunes années, Carter et Tim venaient chaque été dans cette résidence secondaire et y restaient la plupart du temps de longs mois. Là, au moins, ils pouvaient se reposer.
Lorsque Farrell arriva dans la cour, qu'il fut descendu de sa voiture, il ouvrit aussitôt son parapluie pour lui éviter une saucée glaciale. Le majordome rentra dans la somptueuse demeure et rangea son parapluie dans un vase où d'autres commençaient à prendre poussière.
Il arriva dans le salon et retira son manteau trempé avant de se diriger vers le fauteuil placé devant la grande cheminée. Il s'arrêta à côté de ce dernier.
- Toujours aucune nouvelle, monsieur, fit-il, l'air grave.
- Je sais, répondit James Pyle en tournant vers le majordome un regard semblable à celui de Tim.
Farrell se retira donc. James Pyle se cala dans son fauteuil, le menton enfoncé dans le creux de sa main. N'importe qui l'aurait confondu à l'un des frères Pyle s'il n'avait pas les cheveux gris et quelques rides par-ci par-là. Ses yeux étaient ceux de son cadet, sa bouche celle de Carter. Seul son nez aurait pu trahir son identité, un nez parfaitement droit, alors que ceux de ses fils étaient tous deux un tantinet retroussé, comme celui de leur mère. Le reste était semblable.
Six mois. Six mois que ses fils avaient disparus dans un présumé « accident » d'avion. Six mois qu'il attendait de les voir ressurgir. Six mois qu'il se doutait qu'ils avaient été enlevés. Par qui et pourquoi, il n'en savait rien, mais il était presque certain qu'on avait kidnappés Carter et Tim.
Et ne connaissant que trop bien son cadet, il savait qu'il ferait tout pour s'échapper avec son frère. Carter lui, trouverait sûrement une façon plus diplomatique de les faire libérer. Bref, il les connaissait par cœur. Et puis, après tout, il était leur père, il était normal qu'il connaisse leur comportement sur le bout des doigts puisqu'il les avait lui-même élevés à la mort de sa femme atteinte d'un cancer, alors que Tim n'avait que six mois et Carter deux ans.
Il avait aussi été le professeur de Tim quand son frère était à l'école. Les capacités à toujours se sortir des positions les plus délicates qu'il avait décelées chez son cadet dès son plus jeune age ne firent que se renforcer au fil des années.
Il lui avait alors appris tout ce qu'il savait. C'était aussi un peu grâce à cela qu'on pouvait confondre le père et le fils : ils agissaient tous deux de la même façon, même si Tim était plus vif et plus turbulent que lui. À Carter, il avait appris la simplicité, l'écoute, la patience, avant que celui-ci ne révèle un réel talent dans sa façon de s'exprimer. Rien qu'à l'aide d'un mot, d'une intonation plus appuyée, il parvenait à conquérir les gens. Son père s'en était rendu compte lors d'une réunion à Pyle Enterprise, du temps où il dirigeait l'industrie. Il avait emmené ses deux fils avec lui.
Farrell était chargé de les surveiller pendant qu'il débattait sur le prix d'un objet avec ses directeurs. Carter s'en était alors mêlé. D'une voix enfantine, il avait exprimé le fond de sa pensée, faisant preuve d'une maturité impressionnante. Il avait alors huit ans.
James Pyle avait bien sûr essayé d'apprendre toutes ces choses à Tim, mais jamais il n'y était parvenu. Ce bouillant petit garçon n'avait que faire de paperasses et de réunions lassantes, et il l'avait fait savoir très tôt. Lui, ce qu'il voulait, c'était changer le monde autrement qu'avec des écrits.
Les cours l'auraient ennuyé. Il aurait passé son temps à inventer des petits prototypes et à les essayer dans la cour de récréation. C'était en tout cas ce qu'il faisait quand il était chez lui.
Puis, Carter et Tim avaient grandi. Carter en sagesse, Tim en imagination.
L'aîné avait fait de nombreuses années d'étude en droit et en commerce dans l'université la plus prestigieuse du pays. Le cadet commençait tout juste à proposer les dessins de ses inventions à son père. Il avait dépassé le stade du crayon lanceur de boulettes de papier depuis bien longtemps. Ses idées s'étaient développées, son imagination enrichie. Seul son esprit était resté celui d'un enfant.
Et il l'était encore aujourd'hui, malgré son age mûr. Il n'était pas à la plénitude de son art, pas encore, son père le savait. Il ne l'avait été qu'une seule fois : à l'époque d'Hannah.
Cela n'avait malheureusement pas duré longtemps. Peu après la nomination de Tim et Carter à la tête de l'entreprise, elle était partie, et Tim avait été inconsolable durant de nombreuses semaines. La presse avait fait un scandale devant son attitude agressive quand on lui posait certaines questions, et il y eut un moment de frustration entre le monde entier et Tim Pyle.
Mais son fils était un battant. Il se releva, et encouragé par son père, présenta ses excuses en public.
Ce fut une période très difficile. James Pyle ne l'avait jamais oubliée, tout comme le jour où il annonça à ses deux fils qu'il était temps pour eux de prendre sa place.
Cela avait été un moment fort, que Carter et Tim n'avait eux non plus pas oublié. À dix-sept et dix-neuf ans, ils étaient devenus les personnes les plus populaires et les plus riches du monde.

James Pyle poussa un long soupir. Durant six mois, il avait tout essayé pour les retrouver : il avait envoyé des équipes de recherche partout dans le monde, aucune d'entre elles ne lui avait ramené ses fils. L'attente se faisait de plus en plus pénible, l'absence plus lourde.
Farrell revint dans le salon avec deux verres d'eau. Il accepta volontiers celui que son le majordome lui tendait et le remercia d'un sourire. Cela faisait bien une quarantaine d'année que le vieil homme travaillait pour lui et sa famille. Farrell but un long trait avant de faire :
- Si je puis me permettre, monsieur, je trouve étrange qu'ils n'aient pas demandé de rançon.
- Alors vous aussi vous pensez qu'ils ont été enlevés ?
- Connaissant vos fils, je suis sûr qu'ils ne se seraient jamais laissés faire. Oui, monsieur, je pense qu'ils ont été victimes d'un enlèvement.
James garda le silence. Au moins, il n'était pas seul à partager cette opinion. Il n'empêchait que Farrell avait raison. Si les kidnappeurs avaient enlevé Carter et Tim, c'était forcément parce qu'ils savaient qui ils étaient. Alors pourquoi n'avait-il eu aucun appel téléphonique demandant une quelconque rançon ? James donnerait tout ce qu'il avait pour reprendre ses fils. Il n'hésiterait pas à sacrifier son l'entreprise s'il le fallait. Il avait gardé de bons contacts avec les directeurs, ceux-ci n'hésiteraient donc pas à faire ce qu'il leur dirait.
James Pyle n'était jamais retourné à Pyle Enterprise depuis le jour où il avait donné les clés à ses fils, c'est à dire il y a une quinzaine d'années. Pourquoi avait-il décidé cela tout d'un coup ? Tout simplement parce qu'il avait commencé à se sentir dépassé par Carter et Tim. Après tout ce qu'il leur avait appris et la complicité dont ils faisaient preuve ensemble, ils ne pouvaient qu'être meilleurs que lui. Il l'avait toujours su. Il y avait aussi une deuxième raison.
James Pyle était quelqu'un de tranquille. Comme Carter, il avait toujours aimé le calme, pas comme Tim qui ne pouvait s'empêcher de gesticuler dans tous les sens. Sur ce point, son cadet ressemblait énormément à sa mère, même s'il ne l'avait jamais connue.
C'était donc la tranquillité qu'il était parti chercher et qu'il n'avait retrouvée qu'ici même, dans la vieille maison de campagne qu'il possédait dans le grand ouest des États Unis. Ici, les journalistes ne le harcelaient pas. Pas un photographe ne rôdait autour de sa maison, et en cela, il n'avait que deux gardes du corps. Tim et Carter avaient eux une quantité folle de gardiens, d'agents, de gardes du corps... et cela l'affolait plus qu'autre chose.
Lui en avait vite eu marre des vitres teintées, de la sécurité permanente dont il s'entourait, et du fait de se sentir étouffé par le rôle d'homme d'affaires qu'il était. Alors, il avait tout plaqué, portant tous ses espoirs sur ses deux fils. Et le résultat avait été plus que concluant.
À peine un an après leur arrivée à la tête de Pyle Enterprise, ils étaient devenus aussi célèbres que lui qu'on avait fini par oublier. Bien sûr, on le citait à chaque apparition de Carter et Tim dans des phrases telles que « ... la fierté de leur père », ou encore « ... la chance d'avoir eu un bon père ». Cela le faisait toujours rire. Qui ne ferait pas autant que lui pour ses propres enfants ?
Dans l'enfance paisible de ses fils, il avait aussi fait la connaissance de Dean Runnon, un riche marchand anglais qui avait déjà l'Europe sous sa main, et dont le fils était voué au même destin que les siens. Ils avaient alors sympathisé, tandis que Tim et Carter s'étaient liés d'amitié avec le fils dont le nom était... James se gratta la tête. Comment s'appelait-il, déjà ? Allan... non, Aidan !
Aidan Runnon. Il avait d'ailleurs été très attristé pour lui lorsque son père mourut dans un accident de voiture. À présent, qu'était-il devenu ? Il devait sûrement toujours être à la tête de l'entreprise de son père, comme Carter et Tim le faisaient...
Après, est-ce que ses fils parlaient toujours avec lui, il n'en savait rien, et ce n'était pas ses affaires... enfin, si un peu quand même, puisqu'il était leur père. C'était peut-être eux les « chefs », jamais il ne les laisserait vendre l'industrie à quelqu'un d'autre que lui ! Bien sûr, il savait qu'ils ne le feraient pas, James était quelqu'un de très prudent. En général, ce genre d'affaire se réglait au restaurant, et Tim était tellement imprévisible lorsqu'il dépassait les deux verres, Carter pouvait faire tout ce qu'il voulait dans ces moments-là, son frère ne l'écoutait pas. Tout pouvait se jouer sur quelques verres.
C'était un des nombreux problèmes de son fils, car il avait beau être brillant et tout ce qu'on voulait, il avait ses défauts, et pas les meilleurs. Tim l'avouait lui-même, il n'était pas l'être le plus parfait de la planète, même si on exerçait une pression assez forte sur eux en les prenant pour modèles.
Il lui arrivait de sortir d'une soirée vaguement éméché et de négliger plusieurs clients à cause de son état d'ébriété. Mais heureusement, il avait Carter, même si lui aussi avait sa part d'imperfections.
À défaut d'être un excellent orateur, il était quelqu'un de très timide et de très prude, mais seulement avec les gens qu'il ne connaissait pas, ce qui était normal. Dans ces cas-là, c'était Tim qui se chargeait de les présenter. Un vrai boute-en-train, d'après Carter.
Le plus gros défaut de Tim était quand même sa manie à vouloir séduire tout ce qui l'entourait et l'attirait, ce dernier point se faisant souvent sur des coups de tête. Il faisait alors inconsciemment naître de faux espoirs dans l'esprit de ces femmes qu'il avait aimé en l'espace d'une nuit. Il s'en voulait souvent après, mais oubliait vite ces histoires, car elles lui rappelaient trop celle qui l'avait quitté à cause de son succès trop rapide. C'était sa façon à lui d'oublier.
Le plus gros défaut de Carter, lui, était exactement le contraire : n'ayant pas les mêmes facilités d'intégration que son frère, il se sentait extrêmement mal à l'aise en présence d'une femme.
Souvent, il se dérobait en vitesse, piquant un fard dans sa fuite, puis se traitant d'idiot après. Il lui arrivait même d'en rire, mais pas toujours. Cela le frustrait de ne pas pouvoir approcher une femme sans qu'il se mette à rougir, alors que son frère, lui, courait les filles à chaque soirée, jouant de l'espièglerie de son regard, risquant quelques œillades, quelques sourires charmeurs. Lui n'était capable d'aucune de ses choses. Il bredouillait, se contentait de hocher la tête, et cela l'agaçait.
Ces défauts, James Pyle les comprenait. Le timide avait jadis été lui, et le boute-en-train sa femme.
Mais il était fier, fier d'avoir Carter et Tim comme fils. Peu lui importaient leurs défauts, jamais il ne les négligerait, ou si cela devait arriver, c'est que quelque chose de grave se serait passé.
Mais Carter et Tim ne s'étaient jamais disputés, ou alors très peu ou gentiment. Enfants, ils étaient inséparables. Ils couraient ensemble dans les vergers de leur maison de campagne qui était devenue le nid familial, faisaient les bêtises à deux – même si Carter hésitait toujours avant de finalement se laisser tenter par les aventures rocambolesques de son petit frère. Ils étaient comme les deux doigts de la main et ne supportaient pas d'être séparés trop longtemps l'un de l'autre.
Ça, James Pyle ne pouvait pas comprendre. Il avait toujours été l'unique enfant de ses parents morts aujourd'hui, leur préféré, tout comme sa femme. Il était donc la seule famille restante de ses fils.
Carter adorait les enfants, Tim les trouvait trop bruyant. Carter voulait une famille nombreuse, Tim préférait n'avoir qu'un ou deux enfants, ce qui lui suffisait largement.
Sur ces choses de la vie, leurs goûts étaient très différents, ce qui amusait toujours leur père. Parfois, lors d'un dîner entre amis ou avec lui, il leur arrivait de débattre tout le long du repas sur un sujet dont ils n'étaient pas d'accord. Mais ils arrivaient toujours à trouver un arrangement à la fin, leur évitant ainsi une lutte acharnée, car tous deux étaient infiniment têtus.
James aurait aimé connaître cette complicité, cette entente parfaite qu'avaient ses fils. Sur ce point, il les enviait. En revanche, les seules choses qu'il ne leur envierait pas seraient leurs défauts respectifs. Les siens lui suffisaient largement.
Comme eux, il était têtu, comme Carter timide, comme Tim, il avait tendance à pousser un peu trop la bouteille – mais moins qu'avant quand même – et pour finir, le seul défaut dont ses fils n'avaient pas hérité de lui : son perfectionnisme.
Ce défaut, Tim et Carter ne l'avaient pas pour la simple bonne raison que tout ce qu'ils faisaient était déjà infiniment parfait et qu'ils ne pouvaient rien rajouter de plus. James, lui, s'entêtait à chercher dans d'infimes détails ce qui pourrait rendre ses prototypes encore meilleurs qu'avant.
Il se mit alors à penser quelle vie serait la sienne si sa femme était en vie. Il ne serait sûrement pas aussi proche de Carter et Tim, ça c'était certain, puisqu'il avait du être tout le temps avec eux lorsqu'ils étaient petits. Sa femme se serait occupée d'eux, les aurait aimés avec autant d'amour qu'il ne les avait aimés, les aurait regardés grandir avec la même joie qu'il avait eue... mais elle n'était pas là, et ses fils ne l'avaient jamais connue et ne la connaîtraient jamais.
Ce cancer était vraiment arrivé à l'imprévu, deux mois après la naissance du petit Tim au destin pourtant si brillant et déjà tout tracé pour ses parents. James se souvint le jour ou le docteur leur avait annoncé la nouvelle. Carter, deux ans, perché sur une chaise pour être à la hauteur du berceau de Tim, jouait avec le hochet de son petit frère qui tendait les mains, les yeux brillants.
La nouvelle avait d'abord accablé James de chagrin, puisque la tumeur était trop grosse et qu'il n'y avait plus rien à faire. Sa femme s'était contentée de lui sourire, sachant que ce serait peut-être le dernier qu'elle lui faisait.

James se frotta les yeux, chassant ce souvenir trop douloureux de sa tête. Ses fils lui manquaient tellement... Il ferait n'importe quoi pour les retrouver, et si jamais il se retrouvait en face de celui qui les avait enlevés, il...
Farrell remua les braises dans l'âtre de la cheminée, attirant son attention.
- J'entends sans cesse leurs rires, se désola t-il alors.
- Ayez patience, répondit le majordome en se calant à nouveau dans son fauteuil. Ils reviendront.
- Je l'espère bien...
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Message par Daniel Ven 22 Juil - 12:12

Ah ! ça me change un peu des textes avec des tas de fautes de toutes sortes (il en reste très peu ici !)...
Ben, ça a l'air de tenir la route, tout ça ! Smile J'aime bien l'écriture et j'ai envie de savoir la suite, donc ... !!

Quelques trucs notés au fur et à mesure de la lecture :

- N'importe qui l'aurait confondu à l'un des frères Pyle... avec ?
- Ce cancer était vraiment arrivé à l'imprévu[ "à l'improviste" tu veux dire ?
- il leur arrivait de débattre tout le long du repas sur un sujet dont ils n'étaient pas d'accord... le "dont" me gêne un peu
- et en cela, il n'avait que deux gardes du corps... "en cela" me gêne aussi
- ces femmes qu'il avait aimé accord "aimées"

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Message par Loddy44 Ven 22 Juil - 18:34

Merci, je vais pouvoir apporter les modifications à mon texte Smile
Ce n'est pas parfait, il y a toujours quelques petites bavures par-ci par-là tongue
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Message par extialis Sam 23 Juil - 7:44

c'est écrit tout petit, j'ai un mal de chien à lire. j'ai tout de même relevé cette petite erreur d’inattention
Farrell
revint dans le salon avec deux verres d'eau. Il accepta volontiers
celui que son le majordome lui tendait et le remercia d'un sourire. Cela
faisait bien une quarantaine d'année que le vieil homme travaillait
pour lui et sa famille. Farrell but un long trait avant de faire :

plus le reste qu'à relevé daniel. sinon, rien d'autre pour ma part. sauf,s'il te plait sélectionne ton texte et clique sur l'icone A, grands caractère. drunken t'es presque fin prête alors pour te mettre en quête d'un éditeur? quelqu'un t'as déjà lu en entier?
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Message par Loddy44 Sam 23 Juil - 21:47

Merci, je vais corriger Smile
Oui, plusieurs personnes m'ont déjà lue en entier, et je suis toujours en attente de réponse de la part de maisons d'édition ^^
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Message par extialis Sam 23 Juil - 21:51

surtout n'oublie pas:, jamais auteur ne déboursera, cet adage tu adopteras et la vie te sourira Laughing
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Message par Papigeo Mar 2 Aoû - 17:07

Je ne peux pas donner un avis sur le fond, difficile de le faire sur un chapitre.

- Pas trop de fautes d'orthographe, conjugaison, ponctuation...J'en ai trouvé une vingtaine.

- Certains participes présent pourraient être remplacés par d'aures mots.

- Trop de répétitions et de tournures négatives.

- Des verbes neutres comme être et faire pourraient être remplacés par des verbes plus riches et plus expressifs.

- Evitez les surenchères verbales du genre "il avait été faire" (trop lourd)

- De nombreux adverbes pourraient être supprimés ou remplacés par des noms des adjectifs, des verbes...
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Message par Daniel Mar 2 Aoû - 21:33

Un petit rappel qui servira à tous...

Oui, en général il faut une majuscule après un ! et ?,...
sauf si c'est la même phrase qui continue et en particulier dans les dialogues : genre :

- Plus vite ! cria-t-il en riant
- Tu crois que tu vas m’attraper ? rétorqua-t-elle avec une moue de mépris.


Dans ce cas là il ne faut jamais de majuscule après le ? et le ! MÊME SI WORD LA RECLAME !!
Désolé ça va te faire du boulot à corriger tout !
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Message par extialis Mer 3 Aoû - 7:20

on ne le dira jamais assez Laughing
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