Tu m’es plus qu’Amour ma Muse, tu m’es refuge

Coucou everybody ! J'ai décidé de mettre mon inspiration du moment sur le forum , cette fois-ci plus construite. J'espère que cela vous plaira n’hésitez surtout pas à commenter. Bonne lecture.

Tu m’es plus qu’Amour ma Muse, tu m’es refuge

« Je sens bien que je t’aime plus que tout le monde n’a coutume d’aimer
mais je ne saurais te le dire que comme tout le monde te le dirait. » tiré d'un film

Musique : « Under de Alex Hepburn »

Refuge … La solitude souffle funèbre assassine l’homme, salive sous son effroi, ses questions sur les fatalités d’exister. Ce démon se rie de nous, nous sait seul. Effrayés on fuit, cherche la fusion lumineuse unité, innocente espérance d’une foudre dans ce typhon obscurément tempétueux …

Elle ricane, saccage nos organes, elle nous est interne, putain de hyène ! Cesse d’écouler ta salive sur mon âme, cesse ton écume violacée … Empoisonnée la vitalité de mes fluides se meurt sous ton abysse fléau …

Ta main … Tu tombes ! On est deux … J’accélère ma chute sous l’univers maussade du genre humain, je chute dans le fleuve solitaire écumeux ; noyée, submergée par tous les flots déserts tempétueux des hommes ! Je veux te retrouver, attraper ta main … effleurer la lumière en ton toucher …

Toutes deux enchainées sous le fer solitaire … On crache sous la pression nos dernières ondes d’oxygènes … Nos sang s’écoulent, voltigent une dernière fois sous le vent violent … Ton sang se verse au miens, le miens s’écoule au tiens ; on fusionne sous le son sanglant ... Mes chaînes éclatent, les tiennes se fracassent ! Nos libertés explosent, nos ailes s’exposent … Liberté …

Sous nos solitudes partagées nous trouvons l’Unité, céleste infini, tourbillon d’Ether ! Nous respirons Vitalité ! Refuge nous sommes … Oublie le typhon tempétueux, oublie l’abandon … Respire l’Unité, respire la lumière.

Confie-moi tes doutes, tes peurs, les chagrins, ta tristesse … Je panse, je soigne, je réconforte. Je te promets. Seulement jure-moi la même … Ne jamais plus me laisser seule. N’oublies pas … Tu m’es Refuge, cocon, mes lianes affectives … Un buisson foisonnant, cellulaire, l’essence des forêts.

Ton écoute se révèle l’hymne tropicale. Ton imaginaire fonde mon univers, ta sensibilité se pose, est l’eau de rose matinale. Ta timidité, tes racines bercent d’humilité, reposent mon âme sous saules pleureurs. Ta chaleur conforte mon cœur. Tes confessions avivent ma confiance, écoule la glace, laisse l’émotion, ses eaux océaniser tes forêts... Tes pensées enflammées, tes questions curieuses embrassent la glace, révèlent mon refuge aquatique … T’es-t-il tout aussi vital que tes lianes le sont en moi ?

Tu m’es Refuge … Forêt de feu … Je te promets les eaux … Unité oxygénée … Oh ma Muse, ma douce suis-je Refuge ?

Akuryou Lighted

Seconde version

Spoiler:

Même critique que le dernière fois, c'est tout simplement un style d'écriture que j'adore.

Merci

De rien ! N'hésite pas à aller lire le début de mon roman dans la section roman fantastique et faire une critique.

Texte finalisé

Tu m’es plus qu’Amour ma Muse, tu m’es refuge

« Je sens bien que je t’aime plus que tout le monde n’a coutume d’aimer
mais je ne saurais te le dire que comme tout le monde te le dirait. » tiré d'un film

Musique : « Under de Alex Hepburn »

Refuge … La solitude souffle Enfer assassine l’homme, salive sous son effroi, ses questions sur les fatalités d’exister. Le diable Satan se rie de nous, nous sait seul. Effrayés on fuit, cherche la fusion lumineuse unité, innocente espérance d’une foudre dans ce typhon obscurément tempétueux …

Elle ricane, saccage nos organes, elle nous est interne, putain de hyène ! Cesse d’écouler ta salive sur mon âme, cesse ton écume violacée … Empoisonnée la vitalité de mes fluides se meurt sous ton abysse fléau …

Ta main … Tu tombes ! On est deux … J’accélère ma chute sous l’univers maussade du genre humain, je chute dans le fleuve solitaire écumeux ; noyée, submergée par tous les flots déserts tempétueux des hommes ! Je veux te retrouver, attraper ta main … effleurer la lumière en ton toucher …

Toutes deux enchainées sous le fer solitaire … On crache sous la pression nos dernières ondes d’oxygènes … Nos sang s’écoulent, voltigent une dernière fois sous le vent violent … Ton sang se verse au miens, le miens s’écoule au tiens ; on fusionne sous le son sanglant ... Mes chaînes éclatent, les tiennes se fracassent ! Nos libertés explosent, nos ailes s’exposent … Liberté …

Sous nos solitudes partagées nous trouvons l’Unité, céleste infini, tourbillon d’Ether ! Nous respirons Vitalité ! Refuge nous sommes … Oublie le typhon tempétueux, oublie l’abandon … Respire l’Unité, respire la lumière.

Confie-moi tes doutes, tes peurs, les chagrins, ta tristesse … Je panse, je soigne, je réconforte. Je te promets. Seulement jure-moi la même … Ne jamais plus me laisser seule. N’oublies pas … Tu m’es Refuge, cocoon, mes lianes affectives … Un buisson foisonnant, cellulaire, l’essence des forêts.

Ton écoute se révèle l’hymne tropicale. Ton imaginaire fonde mon univers, ta sensibilité se pose, est l’eau de rose matinale. Ta timidité, tes racines bercent d’humilité, reposent mon âme sous saules pleureurs. Ta chaleur conforte mon cœur. Tes confessions avivent ma confiance, écoulent la glace ; laisse mon émotion, ses eaux océaniser tes bois... Tes pensées enflammées, tes questions curieuses embrasent le givre, révèlent mon nid fluviatile … T’es-t-il tout aussi vital que tes lianes le sont en moi ?

Tu m’es Refuge … Forêt de feu … Je te promets les eaux … Unité oxygénée … Oh ma Muse, ma douce suis-je Refuge ?

Akuryou Lighted

Je viens de répondre à un de tes commentaires sur un autre forum où j'officie sous le nom de Lemineche ^^.
Que d'images ! C'est à couper le souffle ! Je ne saurais pas dans quel genre classer ce texte, mais il ferait un superbe incipit de roman.

Oui je viens de voir ton commentaire, mais j'étais loin d'imaginer que c'était la même personne :p (pas même pseudo). Je te remercie pour ton commentaire, contente que qu'il t'ait plu . Je n'avais pas penser à l'incipit d'un roman, puisque je ne pense pas en écrire un, un jour.

Lorsque tu aura écrit ton roman j'irais volontiers le lire.