gahila, le tome deux
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Re: gahila, le tome deux
c'est vrai, tiens, faut que je voye ça. et non, dans le tome un, je ne mentionne pas l'olak. il n'apparait que dans le tome deux puisqu'on change de continent (en quelque sorte). donc autre endroit, autre moeurs, autres espèces
Re: gahila, le tome deux
merci, je vais revoir mon texte pour au moins alléger les notes de bas de page (il y en a 13 pour 144 pages a4, ça ne devrait pas poser trop de problèmes)
Re: gahila, le tome deux
une tite suite :
Chapitre deux
Invasion
Invasion
Olora, dernière cité arzac avant la frontière herrienne. Une voie terrestre traversait ses ruines abandonnées aux lays, ces petits rongeurs se déplaçant en hordes affamées. Cette unique route traversait le territoire herrien dans toute sa longueur jusqu’à la rôla, défilé menant aux terres tagas. Après les ruines d’Olora, la forêt prenait possession du sol. Au cours de ce long voyage, l’étranger pourrait pauser toutes les nuits dans les bourgs qui la ponctuaient. Les maisons, les services s’organisaient autour d’une auberge, lieu d’échanges entre résidents et itinérants. La route passait non loin de Léña, citadelle herrienne où vivaient le roi, son armée et les corps de métiers nécessaires à l’organisation de toute collectivité. Une bifurcation conduisait le visiteur en ses murs, une autre les contournait et traversait les champs jusqu’au petit port qui desservait les usagers du grand fleuve.
Au cours du premier été 2791, des milliers de guerriers arzacs, au mental et aux muscles gonflés par la magie de Bahass, dévastèrent les villages et vidèrent les gites. Arbalètes et épées maniées d’une force surhumaine gagnèrent de haute lutte contre objets volants hétéroclites, vents inopinés, froid, chaleur, impulsés par les Herriens les plus doués. Tant de sang coula qu’une odeur métallique s’éleva des bourgs et des sous-bois attirant les prédateurs.
Obéissant aux ordres royaux, les soldats rassemblèrent les mères et leurs petits. Ils les entrainèrent dans un long périple qui couta la vie à près de la moitié du groupe.
Entourée d’un nuage de poussière, l’interminable file arriva enfin en vue de la citadelle écrasée sous une chaleur caniculaire.
La corne d’olak résonna dans la vallée, la forteresse se ferma et les combattants bondirent sur le chemin de ronde.
Thora arrêta la colonne devant deux portes immenses, bardées de clous énormes. Il aurait pu les ouvrir d’une incantation ou faire abattre un arbre pour le transformer en bélier de fortune. Seulement, les difficultés rencontrées dans les bourgs jouxtant les auberges lui revinrent en mémoire. Mini tornades, objets volants, gels, fournaises… ses hommes avaient enduré de grandes souffrances avant de parvenir à transpercer les résistants de leurs flèches ou de leurs lances… Il n’avait pas gardé en vie les femmes et les enfants par pitié.
Il ordonna la présence du roi si fort que les portes, pourtant épaisses, en tremblèrent. La magie de Bahass.
Assak apparut sur le chemin des archers, juste au-dessus d’elles. Et il les aperçut, ces mères tremblantes n’osant utiliser leurs dons par peur de représailles sur les plus petits. Les larmes coulaient sur les joues épuisées, ces visages qu’il connaissait pour les avoir côtoyés lors des marchés, des fêtes de moissons ou de ces haltes que le long voyage vers le territoire arzac rendait obligatoires.
Ces figures grisées de poussières se levaient vers lui, emplies de prières.
– Il ne reste que ça de ton peuple ! hurla Thora.
Assak réfléchit.
S’il donnait l’ordre de tirer, les otages seraient exécutés. Entre les mains ennemies, deux cents femmes et enfants, au bas mot. Un tiers des habitants de Léña. Et la bataille décimerait ses sujets, car Bahass soutenait cette armée, il le sentait jusqu’au fond de son âme.
S’il ouvrait les portes, Léña se retrouverait sous contrôle. Ils deviendraient esclaves, obligés de cultiver les champs sans échanges.
Assak songea au sort ATA,
An Ter Aka, chacun sur son territoire.
Avec de la chance, ce félon ne prenait pas en compte ce sort mortel qui pesait sur la vie de l’étranger. Peut-être que… il décida la reddition dans un soupir, espérant agir au mieux pour la survie des siens.
Au cours du premier été 2791, des milliers de guerriers arzacs, au mental et aux muscles gonflés par la magie de Bahass, dévastèrent les villages et vidèrent les gites. Arbalètes et épées maniées d’une force surhumaine gagnèrent de haute lutte contre objets volants hétéroclites, vents inopinés, froid, chaleur, impulsés par les Herriens les plus doués. Tant de sang coula qu’une odeur métallique s’éleva des bourgs et des sous-bois attirant les prédateurs.
Obéissant aux ordres royaux, les soldats rassemblèrent les mères et leurs petits. Ils les entrainèrent dans un long périple qui couta la vie à près de la moitié du groupe.
Entourée d’un nuage de poussière, l’interminable file arriva enfin en vue de la citadelle écrasée sous une chaleur caniculaire.
La corne d’olak résonna dans la vallée, la forteresse se ferma et les combattants bondirent sur le chemin de ronde.
Thora arrêta la colonne devant deux portes immenses, bardées de clous énormes. Il aurait pu les ouvrir d’une incantation ou faire abattre un arbre pour le transformer en bélier de fortune. Seulement, les difficultés rencontrées dans les bourgs jouxtant les auberges lui revinrent en mémoire. Mini tornades, objets volants, gels, fournaises… ses hommes avaient enduré de grandes souffrances avant de parvenir à transpercer les résistants de leurs flèches ou de leurs lances… Il n’avait pas gardé en vie les femmes et les enfants par pitié.
Il ordonna la présence du roi si fort que les portes, pourtant épaisses, en tremblèrent. La magie de Bahass.
Assak apparut sur le chemin des archers, juste au-dessus d’elles. Et il les aperçut, ces mères tremblantes n’osant utiliser leurs dons par peur de représailles sur les plus petits. Les larmes coulaient sur les joues épuisées, ces visages qu’il connaissait pour les avoir côtoyés lors des marchés, des fêtes de moissons ou de ces haltes que le long voyage vers le territoire arzac rendait obligatoires.
Ces figures grisées de poussières se levaient vers lui, emplies de prières.
– Il ne reste que ça de ton peuple ! hurla Thora.
Assak réfléchit.
S’il donnait l’ordre de tirer, les otages seraient exécutés. Entre les mains ennemies, deux cents femmes et enfants, au bas mot. Un tiers des habitants de Léña. Et la bataille décimerait ses sujets, car Bahass soutenait cette armée, il le sentait jusqu’au fond de son âme.
S’il ouvrait les portes, Léña se retrouverait sous contrôle. Ils deviendraient esclaves, obligés de cultiver les champs sans échanges.
Assak songea au sort ATA,
An Ter Aka, chacun sur son territoire.
Avec de la chance, ce félon ne prenait pas en compte ce sort mortel qui pesait sur la vie de l’étranger. Peut-être que… il décida la reddition dans un soupir, espérant agir au mieux pour la survie des siens.
Dernière édition par extialis le Mer 11 Avr - 13:07, édité 1 fois
Re: gahila, le tome deux
Ca me fait un effet bizarre. On dirait que c'est en décalage par rapport au chapitre précédent.
Ca se passe à quel moment dans l'histoire?
Ca se passe à quel moment dans l'histoire?
Re: gahila, le tome deux
juste après l'hiver que j'ai décrit au premier chapitre, mais sur une autre partie du territoire.
en fait ces deux parties se rejoignent à un moment donné dans ce tome.
c'est quoi qui te fait bizarre (y a peut-être une phrase qui va pas) ?
en fait ces deux parties se rejoignent à un moment donné dans ce tome.
c'est quoi qui te fait bizarre (y a peut-être une phrase qui va pas) ?
Re: gahila, le tome deux
Bin en fait, je ne sais pas, le style me paraît très encyclopédique, si tu vois ce que je veux dire.
La façon dont tu le traites me donne l'impression que c'est quelque chose qui s'est passé longtemps avant.
Et puis, j'ai aussi l'impression que ça se passe extrêmement vite tout ça. Du coup, je m'y perds un peu. Qui est qui?
Enfin voilà. Je ne sais pas quoi dire de plus sans entrer dans les détails, désolé.
La façon dont tu le traites me donne l'impression que c'est quelque chose qui s'est passé longtemps avant.
Et puis, j'ai aussi l'impression que ça se passe extrêmement vite tout ça. Du coup, je m'y perds un peu. Qui est qui?
Enfin voilà. Je ne sais pas quoi dire de plus sans entrer dans les détails, désolé.
Re: gahila, le tome deux
encyclopédique? houla! bon ça tombe bien, j'arrive là en relecture, je relis ça avec ce gros mot à l'esprit
edit : c'est sur qu'en relisant le premier paragraphe, ça m'a fait tout bizarre. du coup, j'ai revu et jeté ça (en bleu réédité dans le texte) (mais va falloir sans doute que je retravaille)
edit : c'est sur qu'en relisant le premier paragraphe, ça m'a fait tout bizarre. du coup, j'ai revu et jeté ça (en bleu réédité dans le texte) (mais va falloir sans doute que je retravaille)
Re: gahila, le tome deux
Encyclopédique? Personellement je n'ai pas trouvée...
Bonne Journée.
Bonne Journée.
Margaux1999- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 25
Localisation : Poudlard.
Re: gahila, le tome deux
merci margaux1999, mais c'est vrai qu'il y a quelques phrases qui m'interpellent et comme je suis en (énième) relecture, ça tombe bien
Re: gahila, le tome deux
Hello,
Je viens de tout lire. Mais avant de commenter, une petite question : penses-tu le monde de Gahila que tu décris comme la déchéance d'une civilisation "évoluée" comme sur Terre, par exemple ? Ou est-ce que le côté "moderne" vien d'une évolution "normale" des choses ?
Je viens de tout lire. Mais avant de commenter, une petite question : penses-tu le monde de Gahila que tu décris comme la déchéance d'une civilisation "évoluée" comme sur Terre, par exemple ? Ou est-ce que le côté "moderne" vien d'une évolution "normale" des choses ?
Oorgan- Date d'inscription : 23/01/2012
Age : 27
Re: gahila, le tome deux
ni l'un ni l'autre. ce monde revit suite à une catastrophe et puis c'est tout.
si ça se passait ici, ça ne serait pas pareil puisqu'ici aucune magie il n'y a, aucune interaction entre ethnies non plus je dois bien l'avouer.
le côté "moderne" est éphémère dans le cas de ce roman fantasy. il est le départ d'un retour à la terre, aux valeurs de leur planète et la vie s'y déroule tant bien que mal en attendant que les vivants puissent procréer de nouveau.
et là revient le thème de la procréation celui de la réincarnation aussi thème cher à mon coeur (je suis adepte de boudhisme. hum désolée pour cette idée, mais bouddha n'est pas un dieu, donc je crois que je m'en sort indemne )
si ça se passait ici, ça ne serait pas pareil puisqu'ici aucune magie il n'y a, aucune interaction entre ethnies non plus je dois bien l'avouer.
le côté "moderne" est éphémère dans le cas de ce roman fantasy. il est le départ d'un retour à la terre, aux valeurs de leur planète et la vie s'y déroule tant bien que mal en attendant que les vivants puissent procréer de nouveau.
et là revient le thème de la procréation celui de la réincarnation aussi thème cher à mon coeur (je suis adepte de boudhisme. hum désolée pour cette idée, mais bouddha n'est pas un dieu, donc je crois que je m'en sort indemne )
Re: gahila, le tome deux
C'est de la science-fantasy, en fait ?
Oorgan- Date d'inscription : 23/01/2012
Age : 27
Re: gahila, le tome deux
""Le gouffre de la lune" d'Abraham Merritt est une histoire étonnante dont j'ai déjà parlé, mais qui a toute sa place ici, car elle illustre parfaitement la Science Fantasy : un monde Heroic Fantasy mêlé de technologie futuriste. Le pari peut paraître osé, mais si l'auteur sait "amener" ces éléments futuristes, il peut être réussi. C'est le cas ici.
Merritt tombe rapidement dans la Science Fantasy, mais sait parfaitement incorporer ses éléments futuristes : ainsi le klet, un petit cône d'argent terni qui émet un rayon de lumière vert pâle qui "dissout" sa cible, la réduisant à l'état de particules. Le globe est un moyen de communication sonore, constitué d'un globe rosé, zébré de vagues azurées et monté sur un trépied et qui transmet la voix et les sons de celui qui apelle/répond. La couleur du globe change en fonction des sentiments de l'utilisateur. Enfin, le corial est un véhicule en forme de coquille de nautile, qui vole à quelques centimètres du sol. Le conducteur est à l'avant, manipulant une baguette dorée qui permet de régler la direction et la vitesse, les passagers prennent place à l'arrière sur des coussins. Quelques exemples qui montrent que l'on peut incorporer des éléments innatendus dans un monde de guerriers, magiciens et créatures sans dénaturer l'atmosphère générale, bien au contraire. La technologie peut y être amenée de façon féérique, magique et surtout crédible. C'est là le grand défi de la Science Fantasy."
Merritt tombe rapidement dans la Science Fantasy, mais sait parfaitement incorporer ses éléments futuristes : ainsi le klet, un petit cône d'argent terni qui émet un rayon de lumière vert pâle qui "dissout" sa cible, la réduisant à l'état de particules. Le globe est un moyen de communication sonore, constitué d'un globe rosé, zébré de vagues azurées et monté sur un trépied et qui transmet la voix et les sons de celui qui apelle/répond. La couleur du globe change en fonction des sentiments de l'utilisateur. Enfin, le corial est un véhicule en forme de coquille de nautile, qui vole à quelques centimètres du sol. Le conducteur est à l'avant, manipulant une baguette dorée qui permet de régler la direction et la vitesse, les passagers prennent place à l'arrière sur des coussins. Quelques exemples qui montrent que l'on peut incorporer des éléments innatendus dans un monde de guerriers, magiciens et créatures sans dénaturer l'atmosphère générale, bien au contraire. La technologie peut y être amenée de façon féérique, magique et surtout crédible. C'est là le grand défi de la Science Fantasy."
Oorgan- Date d'inscription : 23/01/2012
Age : 27
Re: gahila, le tome deux
alors, je crois que ça en est puisque la muraille invisible dans mon roman est faite de technologie mêlée de magie. dans le tome 4, Ayrial entre dans une boule pour refaire fonctionner un relai et étendre la muraille invisible jusqu'à la mer pour stopper l'invasion des bateaux arzacs.
toute une technologie disparaît de gahila avec l'explosion de la centrale, sauf sur un territoire, celui qui est protégé par cette muraille transparente que seuls les objets et les animaux peuvent passer.
merci pour ces précisions précieuses
toute une technologie disparaît de gahila avec l'explosion de la centrale, sauf sur un territoire, celui qui est protégé par cette muraille transparente que seuls les objets et les animaux peuvent passer.
merci pour ces précisions précieuses
Re: gahila, le tome deux
J'ai enfin eu un peu de temps pour te lire !
Quelques suggestions
chapitre 1
— cette longue plaine infertile sur laquelle s’entremêlait tant d’épineux : s’entremêlaient (sujet = tant d’épineux)
— les ruines d’une ville namri engoncée dans la neige : engoncées (« les ruines » est le sujet principal de la phrase, « d’une ville namri » n’est qu’un complément d’information)
— Silencieuse, déserte, mais habitée des âmes des anciens locataires : Silencieuses, désertes, mais habitées (là aussi ce sont les ruines qui sont silencieuses, désertes…)
— Leurs sarbacanes électroniques, même minuscules : virgule superflue elle casse le rythme de la phrase
— – Toujours pas d’autres grossesses ? s’enquit Amma.
Le chef hocha la tête.
Là j’ai un petit doute, pour une affirmation « hocha la tête » c’est bon, mais si tu veux une négation il vaut mieux mettre « secoua la tête ».
— s’il vous plait !tonna Tana : manque l’espace après le point d’exclamation
chapitre 2
— Une voie terrestre traversait ses ruines ; Cette unique route traversait le territoire herrien : répétition de « traversait » dans des phrases qui se suivent, tu peux mettre « coupait » à la place du second
Quelques suggestions
chapitre 1
— cette longue plaine infertile sur laquelle s’entremêlait tant d’épineux : s’entremêlaient (sujet = tant d’épineux)
— les ruines d’une ville namri engoncée dans la neige : engoncées (« les ruines » est le sujet principal de la phrase, « d’une ville namri » n’est qu’un complément d’information)
— Silencieuse, déserte, mais habitée des âmes des anciens locataires : Silencieuses, désertes, mais habitées (là aussi ce sont les ruines qui sont silencieuses, désertes…)
— Leurs sarbacanes électroniques, même minuscules : virgule superflue elle casse le rythme de la phrase
— – Toujours pas d’autres grossesses ? s’enquit Amma.
Le chef hocha la tête.
Là j’ai un petit doute, pour une affirmation « hocha la tête » c’est bon, mais si tu veux une négation il vaut mieux mettre « secoua la tête ».
— s’il vous plait !tonna Tana : manque l’espace après le point d’exclamation
chapitre 2
— Une voie terrestre traversait ses ruines ; Cette unique route traversait le territoire herrien : répétition de « traversait » dans des phrases qui se suivent, tu peux mettre « coupait » à la place du second
schadow54- Date d'inscription : 15/07/2011
Age : 66
Localisation : 54
Re: gahila, le tome deux
oups, j'avais pas vu, je prends ton com, merci beaucoup (t'as un oeil de lynx toi )
Re: gahila, le tome deux
Je lirais pas le chapitre deux, si je veux avoir le suspence.
Margaux1999- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 25
Localisation : Poudlard.
Re: gahila, le tome deux
t'as raison . je ne sais pas si je vais tout mettre de toute façon, ce tome fait 145 pages a4, ça serait trop lourd pour les mirettes de mes lecteurs assidus mais j'y mettrai des extraits qui me posent problèmes
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