Un soupir pour Venise
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Un soupir pour Venise
Texte pourri comme l'a signalé Mathmatha. J'y travail vous en faites pas...
Mon coeur battait à tout rompre, même ma promesse, pourtant une faible résistance survivait toujours. Un bruit sourd retentit, me faisant sursauter et m'obligeant a lever les yeux, la sentence tomba. L’air du couloir sombre et étroit s'averait irrespirable, les odeurs de sel, d'immondices et du poisson fraichement pêcher multipliait par la chaleur du moi d'aout rendait l'atmosphére irrespirable. On me pressa avec un bâton de torture, pourquoi avoir tenu ma promesse. Une seconde porte s'ouvrit, je glissa un oeil dans la petite fenêtre sur ma droite, et admira un dernière fois la Lagune. Je soupira d'aise devant se paysage, la dernière fois que je l'apercevait. On m'entraina avec force et dans un élans je cria :
-Un soupir pour Venise !
Ma dernière phrase, avant des heures, des jours, des mois, des ans, dans le silence solitaire de la prison.
L'histoire ne change pas,
Venise ne parlera pas.
Le Pont des Soupirs reliant le Palais des Doges a la prison n'a rien de romantique au contraire, c'était les prisonnier qui en passant du tribunal a la prison, apercevait une dernière fois la Lagune de Venise et soupirai.
Je revient d'un séjour de Venise, et en contemplant un masque l'idée me vint d'écrire ce texte. Sachez que Venise s'enfonce et que l'eau monte, alors n'attendaient pas
Mon coeur battait à tout rompre, même ma promesse, pourtant une faible résistance survivait toujours. Un bruit sourd retentit, me faisant sursauter et m'obligeant a lever les yeux, la sentence tomba. L’air du couloir sombre et étroit s'averait irrespirable, les odeurs de sel, d'immondices et du poisson fraichement pêcher multipliait par la chaleur du moi d'aout rendait l'atmosphére irrespirable. On me pressa avec un bâton de torture, pourquoi avoir tenu ma promesse. Une seconde porte s'ouvrit, je glissa un oeil dans la petite fenêtre sur ma droite, et admira un dernière fois la Lagune. Je soupira d'aise devant se paysage, la dernière fois que je l'apercevait. On m'entraina avec force et dans un élans je cria :
-Un soupir pour Venise !
Ma dernière phrase, avant des heures, des jours, des mois, des ans, dans le silence solitaire de la prison.
L'histoire ne change pas,
Venise ne parlera pas.
Le Pont des Soupirs reliant le Palais des Doges a la prison n'a rien de romantique au contraire, c'était les prisonnier qui en passant du tribunal a la prison, apercevait une dernière fois la Lagune de Venise et soupirai.
Je revient d'un séjour de Venise, et en contemplant un masque l'idée me vint d'écrire ce texte. Sachez que Venise s'enfonce et que l'eau monte, alors n'attendaient pas
Dernière édition par Emera le Dim 18 Aoû - 13:15, édité 4 fois
Re: Un soupir pour Venise
J'ai moi aussi fait un séjour à Venise pendant le carnaval (mon lycée est le meilleur !)... mais je n'ai pas compris ton poème.
Tout d'abord, il y a beaucoup trop de fautes :
Bref, je n'ai pas adhéré parce que j'ai trouvé ton poème pas assez développé : il faut que tu choisisses entre ce que tu en as pensé, et développer le contenu avec d'autres arguments que l'odeur des poissons et la brise, qui sont des clichées, ou que tu développes l'aspect du prisonnier, avec l'enfermement. Les deux ensemble ne fonctionnent pas comme tu l'as fait, il faudrait que tu ajoutes de la longueur et que tu tournes tes phrases autrement pour que l'on comprenne.
Tout d'abord, il y a beaucoup trop de fautes :
La porte s'ouvrit,
La lumière m'aveugla,
Le péché (ou alors tu parles des poissons) ne s'oublie pas,
Le couloir m'émerveilla,
Les richesses me dégoutèrent,
Le vol se paye,
L'odeur du poisson m'allécha,
Le vent me rafraichissait,
La décision ne changera pas,
Le clapotis de l'eau m'apaisa,
Le clocher sonna,
Venise ne parle pas,
Une seconde porte s'ouvrit,
Les ténèbres m'engloutirent,
Je poussai un soupir,
Admirant Venise une dernière fois,
Les pierres ne témoignent pas.
La lumière m'aveugla,
Le péché (ou alors tu parles des poissons) ne s'oublie pas,
Le couloir m'émerveilla,
Les richesses me dégoutèrent,
Le vol se paye,
L'odeur du poisson m'allécha,
Le vent me rafraichissait,
La décision ne changera pas,
Le clapotis de l'eau m'apaisa,
Le clocher sonna,
Venise ne parle pas,
Une seconde porte s'ouvrit,
Les ténèbres m'engloutirent,
Je poussai un soupir,
Admirant Venise une dernière fois,
Les pierres ne témoignent pas.
J'ai dû en oublier qqunes je pense, mais le plus gros est là.
Sinon il y a des passages que je n'ai pas compris. J'ai lu dans le paragraphe en dessous du poème que tu te places dans la peau du prisonnier (également avec "Admirant Venise une dernière fois", or quelques vers ne vont pas avec cette idée, d'un point de vue psychologique comme "le couloir m'émerveilla". J'ai du mal à imaginer un prisonnier qui s'extasie devant ces trente centimètres de large qu'il ne verra plus jamais puisqu'il passera le reste de son "existence" dans l'obscurité de sa cellule sans fenêtres...
Bref, je n'ai pas adhéré parce que j'ai trouvé ton poème pas assez développé : il faut que tu choisisses entre ce que tu en as pensé, et développer le contenu avec d'autres arguments que l'odeur des poissons et la brise, qui sont des clichées, ou que tu développes l'aspect du prisonnier, avec l'enfermement. Les deux ensemble ne fonctionnent pas comme tu l'as fait, il faudrait que tu ajoutes de la longueur et que tu tournes tes phrases autrement pour que l'on comprenne.
De plus, mais ceci n'est qu'un avis subjectif à 100% je ne suis pas du tout d'accord avec ta vision de Venise. "L'odeur du poisson m'allécha / Le vent me rafraichissait, [...] / Le clapotis de l'eau m'apaisa" Venise est tout sauf une cité de clichés, plutôt une ville antithétique à double tranchant : je te donne un exemple avec ce que tu as écrit ici, la partie avec de l'eau. L'eau fait la beauté de Venise, sa force aussi dans son histoire car c'est grâce à cela qu'elle a réussi à rester indépendante mais elle est aussi sa plus grande faiblesse. Je ne sais pas si tu en as eu lorsque tu étais là-bas mais les habitants sont confrontés à des Aqua-Alta, une montée des eaux, qui, lorsque j'y étais a dépassé un mètre...
Le problème ici, et ce qui fait que je bloque, outre le fait que je ne sais pas de quel point de vue tu te positionnes, c'est que j'ai l'impression d'être confrontée à un poème de Venise comme quelqu'un l'écrirait d'après ce qu'il a entendu dire... c'est dommage parce que l'idée du pont des soupirs était très bonne, et d'après ce que je me souvient, il y avait beaucoup de choses à dire : tribunal riche/pauvreté des cellules ; instruments de torture dans le couloir ; couloir exigüe...
Ce n'est pas du tout dit méchamment, j'ai essayé de t'expliquer au maximum ce que j'en ai pensé. Mais l'idée était bonne ! J'espère que ton séjour t'a plu ! Venise est une ville magnifique et magique !
mathmatha- Date d'inscription : 30/05/2011
Age : 28
Re: Un soupir pour Venise
Merci pour tes conseils juste et avisés, c'était un texte écrit sur un coup de tête absolument pas travaillé et enfaite je me rend compte que après 4 séjours a Venise je ne suis même pas capable de bien la décrire, je suis vraiment nulle.
Re: Un soupir pour Venise
Oh et je rajoute que dans l'époque ancienne les instruments de tortures n'étaient pas dans le couloir, Venise c'était pas comme celle des Aqua Alta puisque moi je la vois sous un soleil d'été implacable, je la voie avec les odeurs nauséabonde de cette ville qui est certe magique mais elle a toujours été sale, et je tiens a le souligner.
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