Ecrit vite fait ce matin
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Ecrit vite fait ce matin
La nuit porte-t-elle conseil? Je l'ignore, mais toujours est-il que la dernière a été un vrai cauchemar, au sens propre comme au figuré, comme souvent lorsque l'inspiration s'immisce dans mon esprit. Ne me demandez pas pourquoi, c'est comme ça.
Bref, ce matin, grosse envie d'écrire en me réveillant, ou plutôt en immergeant d'un énième rêve tourmenté. Du coup, je me suis assis devant mon pc et j'ai laissé faire mon imagination.
Pour être franc, cela fait quelques semaines que j'ai l'idée de ce texte, mais je n'arrivais pas à le coucher par écrit. Jusqu'à ce matin, donc.
Je n'en suis pas au stade de la correction, ne vous embêtez donc pas (corriger a toujours nui à mon inspiration, là non plus, ne me demandez pas pourquoi). J'ai juste relu pour corriger les fautes d'orthographe; je traiterai celle de style plus tard, une fois le texte terminé. Il est donc pour ainsi dire brut de décoffrage et évoluera sans doute, mais si déjà je pouvais avoir quelques avis globaux (ou sur certains points que vous avez appréciés/détestés/trouvés bof), ce serait sympa.
Merci d'avance, et bonne lecture!
(nb : il ne s'agit que du début d'une nouvelle qui, je pense, va être relativement courte, une vingtaine de pages, pas plus).
*****
Bref, ce matin, grosse envie d'écrire en me réveillant, ou plutôt en immergeant d'un énième rêve tourmenté. Du coup, je me suis assis devant mon pc et j'ai laissé faire mon imagination.
Pour être franc, cela fait quelques semaines que j'ai l'idée de ce texte, mais je n'arrivais pas à le coucher par écrit. Jusqu'à ce matin, donc.
Je n'en suis pas au stade de la correction, ne vous embêtez donc pas (corriger a toujours nui à mon inspiration, là non plus, ne me demandez pas pourquoi). J'ai juste relu pour corriger les fautes d'orthographe; je traiterai celle de style plus tard, une fois le texte terminé. Il est donc pour ainsi dire brut de décoffrage et évoluera sans doute, mais si déjà je pouvais avoir quelques avis globaux (ou sur certains points que vous avez appréciés/détestés/trouvés bof), ce serait sympa.
Merci d'avance, et bonne lecture!
(nb : il ne s'agit que du début d'une nouvelle qui, je pense, va être relativement courte, une vingtaine de pages, pas plus).
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Il s’appelait Joseph, ainsi que l’avaient baptisé les bonnes sœurs qui l’avaient trouvé un soir d’hiver pluvieux sous le porche de l’immeuble qui leur servait de couvent. Son visage de porcelaine et les petits doigts potelés qu’il avait tendus vers elles avaient suffi pour qu’elles tombent sous son charme.
« C’est un cadeau de Dieu, avait dit sœur Thérèse en prenant le nourrisson dans ses bras.
- Il faut prévenir les pompiers ! avait fait remarqué une autre.
- Et la police, avait dit une troisième.
- Ses parents le cherchent sans doute…
- Allons, réfléchissez, il est clair qu’ils l’ont abandonné.
- Mais qu’allons-nous en faire ?
- Il doit avoir froid !
- Il a peut-être faim…
- Mais quel âge peut-il avoir ?
- Regardez, il fait ses dents, c’est mignon…
- Et si on le gardait ? »
Ce qui n’avait été qu’une phrase lancée presque distraitement dans un moment d’émotion était devenu réalité, car personne n’était jamais venu le réclamer. Même les services sociaux, d’abord sceptiques à l’idée de laisser un enfant grandir dans l’austérité de cette communauté religieuse, avaient fini par l’oublier. Et Joseph avait grandi, élevé dans la foi et le dévouement de celles qui veillaient sur lui comme sur la plus pure des reliques.
Il les ravissait. Ses petits rires qui résonnaient dès son réveil dans les couloirs de l’immeuble vieillissant leur embaumaient le cœur, et leurs visages rayonnaient dès qu’elles le voyaient courir vers elles sur ses petites jambes potelées. Car oui, il était potelé, comme en attestaient son petit ventre rond et ses pommettes rebondies comme deux belles pommes. Pourtant, sœur Christine, qui était la cuisinière de la communauté, veillait aux quantités et au juste équilibre des plats qu’il engloutissait, mais elle avait dû se rendre à l’évidence : Joseph ne succombait pas au pécher de gourmandise, il avait simplement besoin de rassasier son corps qui grandissait presque à vue d’œil, potelé ou non. A six ans, il en paraissait déjà quatre de plus.
Aucune des religieuses n’avaient été mariées ni n’avaient eu d’enfant, mais elles se rendaient bien compte que Joseph se développait bien plus vite que la normale. Elles hésitèrent à l’emmener chez un pédiatre, et finirent par y renoncer en se disant qu’il était inutile de se soucier de la bonne santé d’un enfant.
« Et puis, c’est un cadeau de Dieu » répétait sœur Thérèse quand elle le prenait dans ses bras, ne se rendant pas compte qu’il la vidait un peu plus de son énergie vitale à chaque fois.
Elles l’inscrivirent à l’école primaire du quartier. Elles auraient pu lui donner tout l’enseignement dont il avait besoin - après tout, ne le faisaient-elles pas déjà aux laissés pour compte de la société ? – mais tenaient à ce qu’il se fasse des amis de son âge et vivent sa vie de petit écolier. Mais tout bascula quelques jours seulement avant la rentrée.
C’est sœur Thérèse qui vint prévenir la Mère Supérieure un soir de fin août. Elle entra dans le bureau sans frapper et ne laissa pas le temps à la Mère Supérieure de le lui faire remarquer.
« Vous devez venir, Mère, dit-elle d’une voix remplie d’effroi. C’est Joseph. Il faut que… »
Elle ne termina pas sa phrase. A la place, elle se signa en fermant les yeux avec l’espoir que cela ferait cesser ses tremblements.
« J’étais en train de lui donner son bain, expliqua-t-elle alors qu’elles parcouraient les couloirs. Enfin, je le surveillais, car à son âge… Mais je vous ai dit la semaine dernière qu’il avait perdu ses dents de lait ? Toutes, elles sont toutes tombées d’un coup. Eh bien, elles commencent à repousser. »
La Mère Supérieure s’arrêta au milieu du couloir.
« Toutes en même temps ?
- Oui, Mère.
- Et c’est cela qui vous met dans cet état ?
- Oh non, Mère. C’est déjà assez étrange qu’elles repoussent toutes en même temps, mais de voir leur… »
Une nouvelle fois, elle se signa au lieu de finir sa phrase, puis elle repartit en direction de la salle de bain, soulagée d’entendre la Mère Supérieure lui emboiter le pas.
« Qui est avec lui ? demanda cette dernière lorsqu’elles arrivèrent devant la porte, car la voix de Joseph leur parvenait.
- Personne…
- Mais on dirait qu’il parle à quelqu’un.
- Non, il chante. Enfin, je ne sais pas si on peut appeler cela chanter. Quand il était plus petit, j’ai pris cela pour des babillages. Il n’y a que quelques temps que j’ai compris que c’était autre chose. Il se parle à lui-même, ou à un ami imaginaire, je l’ignore. C’’est étrange. Et ses dents…»
Réalisant que l’incohérence de ses propos jouait en sa défaveur, sœur Thérèse se tut. Elle poussa doucement la porte de la salle de bain et invita la Mère Supérieure à y entrer.
Joseph interrompit son monologue. En enfant bien élevé, il avait enfilé son pyjama après avoir essuyé les traces d’eau sur le sol, puis il s’était assis sur le rebord de la vieille baignoire en fonte en attendant que sœur Thérèse vienne le chercher.
Il inclina la tête avec respect devant la Mère Supérieure puis, là aussi en enfant bien élevé, il lui sourit, exhibant sans s’en rendre compte deux rangées de petits crocs jaunâtres effilés comme des poinçons.
Il garda le silence, car il savait que le règlement stipulait que nul ne devait s’adresser à la Mère Supérieure si celle-ci ne vous en donnait pas l’autorisation ou vous posait une question. Il resta donc assis sur le rebord de la baignoire, jusqu’à ce qu’une mouche attire son attention. L’insecte s’échinait à vouloir passer à travers la vitre de la petite lucarne qui servait de fenêtre à la salle-de-bain. Elle se mit à voler nerveusement au travers de la pièce. Joseph leva la main paume vers le haut, prononça un mot incompréhensible et la mouche vint s’y poser. Alors, avec une infinie douceur, il se redressa, monta dans la baignoire pour atteindre la lucarne, qu’il ouvrit avant d’en approcher sa main. Il parla à nouveau son langage connu de lui seul et la mouche s’envola.
« Comment fais-tu cela ? » laissa échapper la Mère Supérieure qui s’efforçait de dissimuler sa terreur.
De sa petite voix d’enfant ravi d’avoir réalisé une bonne action, Joseph lui fit la réponse qu’elle redoutait, elle qui avait étudié l’histoire des anciennes religions païennes.
Quelques secondes auparavant, alors qu’elle attendait derrière la porte, elle avait crû reconnaitre certains sons dans les paroles de l’enfant, mais ils étaient trop faibles pour qu’elle les distingue avec netteté. Par contre, elle avait très bien entendu les mots qu’il avait prononcés pour attirer puis libérer la mouche. Ils n’appartenaient à aucune langue connue, mais elle avait deviné qu’ils venaient d’un langage apparu avant que l’Homme n’apprenne à cultiver ou même sache dessiner sur les parois des grottes, un langage utilisé par des êtres qui peuplaient alors les profondeurs de la Terre et qui parcouraient le ciel une fois la nuit tombée, leurs ailes de chauves-souris démesurées distillant une odeur de pourriture à chaque battement.
« C’est facile, lui répondit Joseph. Je suis leur maitre… »
« C’est un cadeau de Dieu, avait dit sœur Thérèse en prenant le nourrisson dans ses bras.
- Il faut prévenir les pompiers ! avait fait remarqué une autre.
- Et la police, avait dit une troisième.
- Ses parents le cherchent sans doute…
- Allons, réfléchissez, il est clair qu’ils l’ont abandonné.
- Mais qu’allons-nous en faire ?
- Il doit avoir froid !
- Il a peut-être faim…
- Mais quel âge peut-il avoir ?
- Regardez, il fait ses dents, c’est mignon…
- Et si on le gardait ? »
Ce qui n’avait été qu’une phrase lancée presque distraitement dans un moment d’émotion était devenu réalité, car personne n’était jamais venu le réclamer. Même les services sociaux, d’abord sceptiques à l’idée de laisser un enfant grandir dans l’austérité de cette communauté religieuse, avaient fini par l’oublier. Et Joseph avait grandi, élevé dans la foi et le dévouement de celles qui veillaient sur lui comme sur la plus pure des reliques.
Il les ravissait. Ses petits rires qui résonnaient dès son réveil dans les couloirs de l’immeuble vieillissant leur embaumaient le cœur, et leurs visages rayonnaient dès qu’elles le voyaient courir vers elles sur ses petites jambes potelées. Car oui, il était potelé, comme en attestaient son petit ventre rond et ses pommettes rebondies comme deux belles pommes. Pourtant, sœur Christine, qui était la cuisinière de la communauté, veillait aux quantités et au juste équilibre des plats qu’il engloutissait, mais elle avait dû se rendre à l’évidence : Joseph ne succombait pas au pécher de gourmandise, il avait simplement besoin de rassasier son corps qui grandissait presque à vue d’œil, potelé ou non. A six ans, il en paraissait déjà quatre de plus.
Aucune des religieuses n’avaient été mariées ni n’avaient eu d’enfant, mais elles se rendaient bien compte que Joseph se développait bien plus vite que la normale. Elles hésitèrent à l’emmener chez un pédiatre, et finirent par y renoncer en se disant qu’il était inutile de se soucier de la bonne santé d’un enfant.
« Et puis, c’est un cadeau de Dieu » répétait sœur Thérèse quand elle le prenait dans ses bras, ne se rendant pas compte qu’il la vidait un peu plus de son énergie vitale à chaque fois.
Elles l’inscrivirent à l’école primaire du quartier. Elles auraient pu lui donner tout l’enseignement dont il avait besoin - après tout, ne le faisaient-elles pas déjà aux laissés pour compte de la société ? – mais tenaient à ce qu’il se fasse des amis de son âge et vivent sa vie de petit écolier. Mais tout bascula quelques jours seulement avant la rentrée.
C’est sœur Thérèse qui vint prévenir la Mère Supérieure un soir de fin août. Elle entra dans le bureau sans frapper et ne laissa pas le temps à la Mère Supérieure de le lui faire remarquer.
« Vous devez venir, Mère, dit-elle d’une voix remplie d’effroi. C’est Joseph. Il faut que… »
Elle ne termina pas sa phrase. A la place, elle se signa en fermant les yeux avec l’espoir que cela ferait cesser ses tremblements.
« J’étais en train de lui donner son bain, expliqua-t-elle alors qu’elles parcouraient les couloirs. Enfin, je le surveillais, car à son âge… Mais je vous ai dit la semaine dernière qu’il avait perdu ses dents de lait ? Toutes, elles sont toutes tombées d’un coup. Eh bien, elles commencent à repousser. »
La Mère Supérieure s’arrêta au milieu du couloir.
« Toutes en même temps ?
- Oui, Mère.
- Et c’est cela qui vous met dans cet état ?
- Oh non, Mère. C’est déjà assez étrange qu’elles repoussent toutes en même temps, mais de voir leur… »
Une nouvelle fois, elle se signa au lieu de finir sa phrase, puis elle repartit en direction de la salle de bain, soulagée d’entendre la Mère Supérieure lui emboiter le pas.
« Qui est avec lui ? demanda cette dernière lorsqu’elles arrivèrent devant la porte, car la voix de Joseph leur parvenait.
- Personne…
- Mais on dirait qu’il parle à quelqu’un.
- Non, il chante. Enfin, je ne sais pas si on peut appeler cela chanter. Quand il était plus petit, j’ai pris cela pour des babillages. Il n’y a que quelques temps que j’ai compris que c’était autre chose. Il se parle à lui-même, ou à un ami imaginaire, je l’ignore. C’’est étrange. Et ses dents…»
Réalisant que l’incohérence de ses propos jouait en sa défaveur, sœur Thérèse se tut. Elle poussa doucement la porte de la salle de bain et invita la Mère Supérieure à y entrer.
Joseph interrompit son monologue. En enfant bien élevé, il avait enfilé son pyjama après avoir essuyé les traces d’eau sur le sol, puis il s’était assis sur le rebord de la vieille baignoire en fonte en attendant que sœur Thérèse vienne le chercher.
Il inclina la tête avec respect devant la Mère Supérieure puis, là aussi en enfant bien élevé, il lui sourit, exhibant sans s’en rendre compte deux rangées de petits crocs jaunâtres effilés comme des poinçons.
Il garda le silence, car il savait que le règlement stipulait que nul ne devait s’adresser à la Mère Supérieure si celle-ci ne vous en donnait pas l’autorisation ou vous posait une question. Il resta donc assis sur le rebord de la baignoire, jusqu’à ce qu’une mouche attire son attention. L’insecte s’échinait à vouloir passer à travers la vitre de la petite lucarne qui servait de fenêtre à la salle-de-bain. Elle se mit à voler nerveusement au travers de la pièce. Joseph leva la main paume vers le haut, prononça un mot incompréhensible et la mouche vint s’y poser. Alors, avec une infinie douceur, il se redressa, monta dans la baignoire pour atteindre la lucarne, qu’il ouvrit avant d’en approcher sa main. Il parla à nouveau son langage connu de lui seul et la mouche s’envola.
« Comment fais-tu cela ? » laissa échapper la Mère Supérieure qui s’efforçait de dissimuler sa terreur.
De sa petite voix d’enfant ravi d’avoir réalisé une bonne action, Joseph lui fit la réponse qu’elle redoutait, elle qui avait étudié l’histoire des anciennes religions païennes.
Quelques secondes auparavant, alors qu’elle attendait derrière la porte, elle avait crû reconnaitre certains sons dans les paroles de l’enfant, mais ils étaient trop faibles pour qu’elle les distingue avec netteté. Par contre, elle avait très bien entendu les mots qu’il avait prononcés pour attirer puis libérer la mouche. Ils n’appartenaient à aucune langue connue, mais elle avait deviné qu’ils venaient d’un langage apparu avant que l’Homme n’apprenne à cultiver ou même sache dessiner sur les parois des grottes, un langage utilisé par des êtres qui peuplaient alors les profondeurs de la Terre et qui parcouraient le ciel une fois la nuit tombée, leurs ailes de chauves-souris démesurées distillant une odeur de pourriture à chaque battement.
« C’est facile, lui répondit Joseph. Je suis leur maitre… »
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
Re: Ecrit vite fait ce matin
C'est une bonne idée d'histoire, c'est bien ecrit, mais je trouve que ca va un peu vite. Mais certainement que comme c'est une nouvelle une fois finis cela rentrera dans les lignes du temps
Re: Ecrit vite fait ce matin
Merci Emera.
Alors oui, ça va vite, mais c'est volontaire. L'important dans ce texte est ce qui se passe à la fin (donc une partie non écrite encore). Je ne dis pas que je ne vais pas un peu étoffer, sans doute même le ferais-je, mais pour l'instant, je ne tiens pas à alourdir le texte en éléments superflus, d'autant plus que j'ai des contraintes au niveau de la longueur.
Je veux essayer de ne mettre que des morceaux de la vie de Joseph, des attitudes, des faits, pour créer une atmosphère en plus du personnage sans autant trop décrire ce qui l'entoure (je ne suis peut-être pas très clair, désolé ). Car comme je l'ai dit, l'important est la fin du texte (enfin, j'espère ).
Merci pour ton comm
Alors oui, ça va vite, mais c'est volontaire. L'important dans ce texte est ce qui se passe à la fin (donc une partie non écrite encore). Je ne dis pas que je ne vais pas un peu étoffer, sans doute même le ferais-je, mais pour l'instant, je ne tiens pas à alourdir le texte en éléments superflus, d'autant plus que j'ai des contraintes au niveau de la longueur.
Je veux essayer de ne mettre que des morceaux de la vie de Joseph, des attitudes, des faits, pour créer une atmosphère en plus du personnage sans autant trop décrire ce qui l'entoure (je ne suis peut-être pas très clair, désolé ). Car comme je l'ai dit, l'important est la fin du texte (enfin, j'espère ).
Merci pour ton comm
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
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