Vous êtes allez ou ?
+2
californiagirl
aaaze
6 participants
Page 1 sur 2
Page 1 sur 2 • 1, 2
Vous êtes allez ou ?
Salut.
C'est une section voyage donc ma question est simple :
Vous êtes allez dans quels pays ?
Puis une autre autre question qui suit la première :
Dans quels pays rêverez-vous d'y faire un séjour ?
A+
C'est une section voyage donc ma question est simple :
Vous êtes allez dans quels pays ?
Puis une autre autre question qui suit la première :
Dans quels pays rêverez-vous d'y faire un séjour ?
A+
aaaze- Date d'inscription : 14/02/2013
Age : 39
Localisation : en France
Re: Vous êtes allez ou ?
vu mon pseudo... je suis allée aux USA, en Irlande, et un peu ici et là en europe. jusqu' à prague. Je ne connais pas l'asie ni l'afrique, mais ce qui me tente le plus, toutefois c'est ...l'australie.
Re: Vous êtes allez ou ?
Et bien, pourquoi ne pas raconter son petit cas "perso"... J'ai partiellement grandi en Afrique, au Sénégal et en Côte d'Ivoire, où mon père était colonial (chef de subdivision). J'ai parlé bambara, les mossis, minoritaires, avaient les dents limés en pointe. Je savais si le chauffeur ou l'employé de l'administration était peuhl ou toucouleur, et tout le monde savait que le commerçant du coin était un dioula parce que ça ne pouvait pas être autrement. J'ai encore dans le nez les odeurs du marché, puis un souvenir terrifiant de fuite, en jeep avec mes soeurs à l'arrière, et les tams-tams qui avertissaient le village voisin, que vous devions le traverser parce que la piste allait de village en village. Nous craignions, avec raison, d'être bloqués, puis massacrés à coup de machette. Et puis, Amidou, pour lequel je garde un tendre souvenir. Il avait peut-être 16 ans. Il grimpait dans un des cocotiers à notre demande pour nous détacher une noix dont nous ne buvions que le jus bien mûr. Et les petites bananes futu, d'un goût incomparable, les avocats qui avaient un fort goût d'avocat, les mangues qui dégageaient une délicieuse odeur d'essence de thérebentine... Il faisait si chaud que nous, les enfants, cherchions un peu de fraîcheur en nous roulant sur le carrelage en damier noir et blanc de la salle de séjour. En tapant ceci, me reviennent les cris des crapauds-buffles la nuit, après chaque pluie qui remplissait le bassin du jardin; la moustiquaire autour de mon lit qui me donnait une sensation d'étouffement; les tornades chaque soir de la saison des pluies qui nous rendaient joyeuses et toute excitées; les sorties sur la lagune dans la vieille pinasse quand mon père nous amenaient assister à la pêche au barracuda, dont les soubresauts pendant leur lente agonie me fascinaient; mais il nous étaient absolument interdit de nous en approcher, car ils pouvaient encore nous arracher une main, un pied, ou plus, d'un coup de dents; les serpents empaillées qu'une vieille originale enroulait autour de toutes les plantes de son jardin; le scorpion sur la terrasse de la maison de l' unique gendarme chez qui nous étions allés en visite et que la petite peste de Lili, sa fille, titillait avec un bâtonnet; Il y a aussi le souvenir des bébés au ventre gonflé mais à la peau douce et au regard de biche, assis nus sur des feuilles de bananier; les femmes, à l'allure de reines, drapées dans des tissus merveilleux. Les rares européennes avaient l'air bien miteux en comparaison.
Je ne sais plus quels souvenir appatiennent à ce pays-ci ou à celui-là. Tout ce mélange, tout se confond. Il y a eu le jour où l'employé de la poste a apporté un petit paquet à mon père qui se tenait dans son bureau, à la maison : il y avait une main humaine fraîchement tranchée dedans. Pour la petite fille que j'étais, cet événement étonnant n'avait fait que soulever des interrogations sans fin. Mon père avait aussi évoqué la sorcellerie, sujet courant à la maison, que je savais être le domaine réservé des malinkés. Muette selon mon habitude, je les avais gardées pour moi. Mais mes parents avaient âprement discuté: était-ce une démonstration de la volonté d'un chef de village de continuer à appliquer le droit coutumier? Donc un refus des lois de la métropole? Etait-ce une menace? Etait-ce un cadeau car, bien que les meurtres rituels aient été interdits, ils se pratiquaient encore une fois l'an? Mon père avait de ce fait évoqué la sorcellerie, sujet courant à la maison, que je savais être le domaine réservé des malinkés.
J'ai encore l'image des collines d'arachides devant un débarcadère, avec, bien évidemment, des wolofs et d'hommes blancs coiffés du casque colonial à proximité; d'un homme déshydraté soigné efficacement par les méthodes africaines ... et de tant et tant de choses.
L'intermède français qui a fatalement séparé les deux séjours n'a laissé aucun souvenir en moi.
Puis ce fut la décolonisation et le retour définitif en France. Le pays était froid et les gens aussi. Personne ne souriait, ni ne chantait, ni ne dansait. Les messes étaient mornes et ennuyeuses; l'école était pareil: morne et ennuyeuse. Il n'y avait pas de joie, pas de chaleur dans l'air ni dans les coeurs.
Il y aurait tant à dire...
Puis, à l'occasion d'une formation de kinésiologie, en Allemagne, des émotions à la fois incompréhensibles et incontrôlables sont remontées de façon inattendue. Ça a commencé par une participante du stage qui en a interpelé une autre pour lui demander si elle avait regardé la veille à la télévision le film "Jenseits von Africa". Mes jambes se sont mises à trembler. J'ai eu une féroce envie de pleurer et de crier librement . Pour cacher mon trouble, je me suis plongée dans mon agenda, faussement occupée à des vérifications inutiles. Cela voulait aussi dire: "Ne me parlez pas". J'allais éclater si on me disait un mot, car absolument toute mon énergie était employée à bloquer ce qui voulait sortir.
Je n'ai pas pu me lever de ma chaise pour me joindre au groupe qui est allé manger chez le turc d'à côté quand l'heure du repas est arrivé. Je n'avais pas la force de me lever.
La pause de midi était longue. Ayant retrouvé assez de calme pour marcher, je les ai rejointes plus tard. Je me sentais fragile. Et j'ai vu cette longue lame découper des lamelles de viande pour garnir un kebap. Je l'avais vue des dizaines de fois auparavant, lors de chaque week-end de formation. Mais dans ma tête cela s'est mis à répéter: un coupe coupe; un coupe coupe; un coupe coupe... La panique est montée, et montée. Je cherchais des yeux où prendre la fuite. Je voulais détaler, courir en ligne droite le plus vite et le plus loin possible, jusqu'à épuisement...
La décolonisation de l'Afrique noire ne s'est pas faite par pure bonté d'âme du Général De Gaulle. Il y avait eu des massacres et il a voulu éviter un nouveau conflit armé à la France qui avait quitté depuis peu le Viet Nam après huit ans de guerre et l'atroce défaite de Diên Biên Phu, et qui combattait encore en Algérie depuis officiellement quatre ans, mais qui était en réalité engluée dans ce conflit qui durait depuis quinze longues années déjà.
L'Afrique de mon enfance était un paradis. Elle s'est transformée pour moi en une terre de guerre tribales, de famines, de sida et de corruption, où l'esclavage des enfants et l'excision des petites filles choquent et et atteignent jusqu'aux os la "presque vieille dame" que je suis devenue. Jamais je n'y retournerai.
Je ne sais plus quels souvenir appatiennent à ce pays-ci ou à celui-là. Tout ce mélange, tout se confond. Il y a eu le jour où l'employé de la poste a apporté un petit paquet à mon père qui se tenait dans son bureau, à la maison : il y avait une main humaine fraîchement tranchée dedans. Pour la petite fille que j'étais, cet événement étonnant n'avait fait que soulever des interrogations sans fin. Mon père avait aussi évoqué la sorcellerie, sujet courant à la maison, que je savais être le domaine réservé des malinkés. Muette selon mon habitude, je les avais gardées pour moi. Mais mes parents avaient âprement discuté: était-ce une démonstration de la volonté d'un chef de village de continuer à appliquer le droit coutumier? Donc un refus des lois de la métropole? Etait-ce une menace? Etait-ce un cadeau car, bien que les meurtres rituels aient été interdits, ils se pratiquaient encore une fois l'an? Mon père avait de ce fait évoqué la sorcellerie, sujet courant à la maison, que je savais être le domaine réservé des malinkés.
J'ai encore l'image des collines d'arachides devant un débarcadère, avec, bien évidemment, des wolofs et d'hommes blancs coiffés du casque colonial à proximité; d'un homme déshydraté soigné efficacement par les méthodes africaines ... et de tant et tant de choses.
L'intermède français qui a fatalement séparé les deux séjours n'a laissé aucun souvenir en moi.
Puis ce fut la décolonisation et le retour définitif en France. Le pays était froid et les gens aussi. Personne ne souriait, ni ne chantait, ni ne dansait. Les messes étaient mornes et ennuyeuses; l'école était pareil: morne et ennuyeuse. Il n'y avait pas de joie, pas de chaleur dans l'air ni dans les coeurs.
Il y aurait tant à dire...
Puis, à l'occasion d'une formation de kinésiologie, en Allemagne, des émotions à la fois incompréhensibles et incontrôlables sont remontées de façon inattendue. Ça a commencé par une participante du stage qui en a interpelé une autre pour lui demander si elle avait regardé la veille à la télévision le film "Jenseits von Africa". Mes jambes se sont mises à trembler. J'ai eu une féroce envie de pleurer et de crier librement . Pour cacher mon trouble, je me suis plongée dans mon agenda, faussement occupée à des vérifications inutiles. Cela voulait aussi dire: "Ne me parlez pas". J'allais éclater si on me disait un mot, car absolument toute mon énergie était employée à bloquer ce qui voulait sortir.
Je n'ai pas pu me lever de ma chaise pour me joindre au groupe qui est allé manger chez le turc d'à côté quand l'heure du repas est arrivé. Je n'avais pas la force de me lever.
La pause de midi était longue. Ayant retrouvé assez de calme pour marcher, je les ai rejointes plus tard. Je me sentais fragile. Et j'ai vu cette longue lame découper des lamelles de viande pour garnir un kebap. Je l'avais vue des dizaines de fois auparavant, lors de chaque week-end de formation. Mais dans ma tête cela s'est mis à répéter: un coupe coupe; un coupe coupe; un coupe coupe... La panique est montée, et montée. Je cherchais des yeux où prendre la fuite. Je voulais détaler, courir en ligne droite le plus vite et le plus loin possible, jusqu'à épuisement...
La décolonisation de l'Afrique noire ne s'est pas faite par pure bonté d'âme du Général De Gaulle. Il y avait eu des massacres et il a voulu éviter un nouveau conflit armé à la France qui avait quitté depuis peu le Viet Nam après huit ans de guerre et l'atroce défaite de Diên Biên Phu, et qui combattait encore en Algérie depuis officiellement quatre ans, mais qui était en réalité engluée dans ce conflit qui durait depuis quinze longues années déjà.
L'Afrique de mon enfance était un paradis. Elle s'est transformée pour moi en une terre de guerre tribales, de famines, de sida et de corruption, où l'esclavage des enfants et l'excision des petites filles choquent et et atteignent jusqu'aux os la "presque vieille dame" que je suis devenue. Jamais je n'y retournerai.
Dernière édition par Amiedetous le Sam 9 Mar - 14:41, édité 5 fois
Amiedetous- Date d'inscription : 28/06/2012
Re: Vous êtes allez ou ?
je n'ai jamais quitté la france et perso, je rêve d'aller sur une autre planète
Re: Vous êtes allez ou ?
Quelle chance ! Dans quelle région as-tu été ?vu mon pseudo... je suis allée aux USA,
J'aimerais beaucoup aller voir les USA et l'Europe centrale aussi. L'Afrique subsaharienne, en particulier le Ghana où vit ma filleule ( mais vu la politique actuelle du pays, c'est mal barré...) C'est l'un des seuls continents où l'on vit encore un peu différemment de chez nous.
Mais je ne suis pas beatnik dans l'âme.
Tu as dû voir du beau pays aussi...J'ai partiellement grandi en Afrique, au Sénégal et en Côte d'Ivoire,
Re: Vous êtes allez ou ?
Amiedetous, je te conseille de l'écrire, ce livre de ton enfance. Tu m'as fait voyager avec toi le temps de brèves lignes. Tout à coup, il a fait chaud, soleil...
Pour ma part, je suis allée en Angleterre, aux USA, en République Dominicaine, en Israël, en Espagne, en Suisse (mais bon... c'est pas très loin, ça m'a pas fait voyager), en Grèce, en Turquie...
Mais je rêve de retourner aux Etats-Unis. J'aimerais faire un road-trip là bas également. Et camper dans l'ouest américain...
Je rêverais également d'aller en Russie. Et à Prague.
Pour ma part, je suis allée en Angleterre, aux USA, en République Dominicaine, en Israël, en Espagne, en Suisse (mais bon... c'est pas très loin, ça m'a pas fait voyager), en Grèce, en Turquie...
Mais je rêve de retourner aux Etats-Unis. J'aimerais faire un road-trip là bas également. Et camper dans l'ouest américain...
Je rêverais également d'aller en Russie. Et à Prague.
Re: Vous êtes allez ou ?
A part la France j'ai visité ces pays : Belgique, Italie, Irlande, Islande, Norvège, Suède, Finlande, Allemagne, Espagne, Portugal, Grèce, Suisse, Hawaï, etc. et aussi l'outre mer : Guyane, Martinique, Guadeloupe, Ile de la Réunion, Polynésie, Mayotte, Nouvelle Calédonie.Vous êtes allez dans quels pays ?
Les pays ou j'aimerai allez : Canada, Madagascar, Ile Maurice, Népal, Inde, Australie, Nouvelle Zélande, Brézil, Panama, Costa Rica, Cuba et les Bahamas.Dans quels pays rêverez-vous d'y faire un séjour ?
aaaze- Date d'inscription : 14/02/2013
Age : 39
Localisation : en France
Re: Vous êtes allez ou ?
je n'ai pas eu le temps d'écrire davantage ce matin, et ce que j'ai écrit est pleion de fautes de frappe. J'ai envie de m'y mettre un peu plus longuement pour en dire plus sur l'Afrique des années 50. Je vais m'y atteler quand j'aurai du temps libre (je viens d'arriver, et j'ai un élève dans 30 minutes). Merci Jessica. Mais je n'ai ni le talent ni le courage. Un petit texte pour le forum, volontiers. Plus, je ne me sens pas capable.
Amiedetous- Date d'inscription : 28/06/2012
Re: Vous êtes allez ou ?
Eh bien, aaaze, il y en a un sacré paquet! La chance!
Pour plus, Amiedetous, tu pourrais peut-être voir pour un "nègre littéraire"? Quelqu'un avec qui travailler en collaboration, vous écririez de concert.
Pour plus, Amiedetous, tu pourrais peut-être voir pour un "nègre littéraire"? Quelqu'un avec qui travailler en collaboration, vous écririez de concert.
Re: Vous êtes allez ou ?
Pourquoi pas vous, Jessica? On peut avoir un numéro de téléphone pour l'étranger compris dans son abonnement quand on est en France... mais si j'avais un nègre, je raconterais autre chose. Ou bien je me ferais interviewer pour pouvoir raconter plein plein plein de choses.
Je vais un peu étoffer le sujet "Afrique"..
Je vais un peu étoffer le sujet "Afrique"..
Amiedetous- Date d'inscription : 28/06/2012
Re: Vous êtes allez ou ?
Pour Jessica = j'adore bouger et voyager mais il faut économiser puis avoir du temps pour partir quelques semaines en vacances. Sinon j'ai profité de ces voyages pour faire des photographies et pour écrire dans les cahiers que j'achetais pour l'occasion.
Pour Amiedetous = un livre en forme d'interview c'est très intéressant et aussi le style épistolaire est génial aussi. Après pour écrire une biographie se serait sympa aussi mais il faut voir ce qu'il vous convient le plus.
Pour Amiedetous = un livre en forme d'interview c'est très intéressant et aussi le style épistolaire est génial aussi. Après pour écrire une biographie se serait sympa aussi mais il faut voir ce qu'il vous convient le plus.
aaaze- Date d'inscription : 14/02/2013
Age : 39
Localisation : en France
Re: Vous êtes allez ou ?
Amiedetous, c'est très gentil de penser à moi. Mais faut-il encore que mon style plaise. Concernant le livre sur l'Afrique, j'ai bien compris que ce n'était pas au programme. Mais j'estime qu'avec un tel passif, un autobiographie serait franchement bienvenue.
Aaaze, effectivement, voyager nécessite beaucoup d'argent (ce qui me fait défaut) et de temps. J'espère pouvoir le faire plus tard. Mais c'est vrai que ce road trip reste dans un coin de ma tête comme un désir inassouvi.
Aaaze, effectivement, voyager nécessite beaucoup d'argent (ce qui me fait défaut) et de temps. J'espère pouvoir le faire plus tard. Mais c'est vrai que ce road trip reste dans un coin de ma tête comme un désir inassouvi.
Re: Vous êtes allez ou ?
Jessica, pour une autobiographie, je ne suis pas intéressée, car je ne retirais pas de plaisir á l'écrire. Mais que ma vie ait donné de quoi écrire un roman, ça oui! Le premier chapitre du tome 1, posté dans "écris divers" en donne un apercu mais ça a été encore plus riche que cela. Si quelqu'un veut des idées pour ses héros, je n'en manque pas. J'en ferais volontiers cadeau.
Amiedetous- Date d'inscription : 28/06/2012
Re: Vous êtes allez ou ?
Bonjour Amiedetous,
désolée pour le retard de réponse.
S'il y a beaucoup d'idées, c'est déjà ça. Il faut les partager, je pense, parce que c'est par le partage qu'on fait évoluer les autres. Surtout que si les anciennes générations ne communiquent plus avec les jeunes, les nouvelles n'apprendront rien. Ou pas grand chose.
désolée pour le retard de réponse.
S'il y a beaucoup d'idées, c'est déjà ça. Il faut les partager, je pense, parce que c'est par le partage qu'on fait évoluer les autres. Surtout que si les anciennes générations ne communiquent plus avec les jeunes, les nouvelles n'apprendront rien. Ou pas grand chose.
Re: Vous êtes allez ou ?
Bonsoir jessica. Je donnerai volontiers toutes mes idées ou/et un résumé d'expériences à celui qui me les demande.
Amiedetous- Date d'inscription : 28/06/2012
Re: Vous êtes allez ou ?
C'est bon à savoir alors. Je serais intéressée moi-même, si je n'avais pas tant de projet sur le feu.
Re: Vous êtes allez ou ?
Jessica a écrit:
Mais je rêve de retourner aux Etats-Unis. J'aimerais faire un road-trip là bas également. Et camper dans l'ouest américain...
Je rêverais également d'aller en Russie. Et à Prague.
mon roman sorti récemment est précisément un road-trip ( voir lien vers mon blog ).
Pour répondre également à jessica, je suis allée aux 4 coins des USA, NY, californie, louisiane, floride, caroline du nord, tennessee, texas et chicago ( les grands lacs)
J'aimerais aller dans l'ouest canadien ( vancouver ) et l'argentine ( surtout la patagonie )
mais surtout je serais ravie de retourner aux USA et de découvrir aussi le Québec.
Aux USA, ma région préférée est le Sud ( la nouvelle orleans, ma ville préférée )
Re: Vous êtes allez ou ?
Eh bien, tu as beaucoup voyagé, c'est impressionnant. J'aimerais beaucoup voyager autant!! Mais j'avoue que la côte est m'intéresse moins. Le Sud, par contre, oui.
Tu y es allée souvent?
Tu y es allée souvent?
Re: Vous êtes allez ou ?
C'est généreux de ta part mais il faut faire attention que les gens ne piquent pas tes idées.Amiedetous a écrit:Bonsoir jessica. Je donnerai volontiers toutes mes idées ou/et un résumé d'expériences à celui qui me les demande.
J'espère que tu as protégé tous tes écrits car c'est important.
aaaze- Date d'inscription : 14/02/2013
Age : 39
Localisation : en France
Re: Vous êtes allez ou ?
Idées n'est pas synonyme d'écrits. Jessica cherche par exemple des témoignages personnes qui vivent ou ont vécu une relation incestueuse, parce qu'il est impossible d'écrire sur le sujet de façon crédible si on ne s'est pas documenté. L'imagination ne peut pas remplacer l'expérience. C'est de cette sorte d'idées dont je veux parler. Comme le savent ceux qui lisent ce que je poste ici, j'ai vécu en Afrique, j'ai pratiqué le judo, la recherche spirituelle est pour moi primordiale, j'ai vécu en communauté avec des adultes handicapés moteurs, puis mentaux, j'ai connu la vie monastique érémitique, je vis en Allemagne... et plein plein d'autres choses que je ne veux pas énumérer ici et que je peux raconter "du dedans" si quelqu'un a besoin de donner de l'épaisseur à un de ses personnages. Rien de tout cela n'apparaît dans mes écrits parce que ce n'est pas le sujet. C'est cela que je donnerais à qui le réclame.
Quant au reste, comme je l'ai écrit un jour sur ce forum dans un commentaire, un monsieur bien connu a lu mon tome premier que je lui ai envoyé. Ce tome est protégé. J'ai reconnu beaucoup de thèmes comme venant de moi dans ses articles et conférences suivantes. Il s'est mis à citer des auteurs et des personnages historiques dont il n'avait jamais fait mention en quarante ans. Il avançait des remarques et des arguments directement piochées chez moi. Mais à aucun moment, je ne pouvais l'accuser de plagiat, de vol ou de quoi que ce soit, car aucune phrase ne venait de moi; seulement les informations. Extialis a répondu que cela lui était aussi arrivé.
Je ne propose que le contenu d'expériences. Si j'avais vécu l'inceste, j'aurais peut-être répondu à Jessica.
Bonsoir Aaaze. A propos, quel curieux pseudonyme!
Quant au reste, comme je l'ai écrit un jour sur ce forum dans un commentaire, un monsieur bien connu a lu mon tome premier que je lui ai envoyé. Ce tome est protégé. J'ai reconnu beaucoup de thèmes comme venant de moi dans ses articles et conférences suivantes. Il s'est mis à citer des auteurs et des personnages historiques dont il n'avait jamais fait mention en quarante ans. Il avançait des remarques et des arguments directement piochées chez moi. Mais à aucun moment, je ne pouvais l'accuser de plagiat, de vol ou de quoi que ce soit, car aucune phrase ne venait de moi; seulement les informations. Extialis a répondu que cela lui était aussi arrivé.
Je ne propose que le contenu d'expériences. Si j'avais vécu l'inceste, j'aurais peut-être répondu à Jessica.
Bonsoir Aaaze. A propos, quel curieux pseudonyme!
Amiedetous- Date d'inscription : 28/06/2012
Re: Vous êtes allez ou ?
Jessica a écrit:Eh bien, tu as beaucoup voyagé, c'est impressionnant. J'aimerais beaucoup voyager autant!! Mais j'avoue que la côte est m'intéresse moins. Le Sud, par contre, oui.
Tu y es allée souvent?
j'y suis allée 7 fois, l'été, j'économisais toute l'année pour m'offrir les voyages, je n'ai pas pu voyager avant d'avoir un métier. Ce fut un choix de vie. Un choix, un style de vie un peu bohéme pendant 15 ans durant lesquel j'écrivais sans cesse aveec aucun espoir d'être édité ( sans internet et sans connaître quelqu'un à Paris, c'était impossible, à l'époque les éditions régionales n'existaient pas, c'etait avant le numérique...), bref j'avais des rêves en tête et aucune envie de vivre dans le pays minier. J'ai détesté faire des études, et globalement, hormis une année profitable, elles ne m'ont servi qu' à avoir un travail alimentaire pour pouvoir voyager.
Je ne regrette pas. Malgré beaucoup d'aléas j'ai en partie trouvé une voie. Savoir où elle ira, ça je ne sais le dire, faut voyager, ça ne coute pas tant d'argent que cela, et on économise sur autre chose, les fringues, les cigarettes, les grilles de loto, on se prive mais quelle récompense de voir des merveilles.
Rien à voir mais en 20 ans je n'ai jamais protégé mes écrits. Bizarrement, on ne m'a rien piqué. Il y a de la parano dans cette idée qu'on vole les écrits des autres, c'est déjà tellement difficile de faire éditer les siens, que s'approprier ceux des autres, sauf si l'on est déjà célèbre ne rapporte RIEN, parce que ça ne sera pas édité de toute façon !... Mais bon, faut être prudent et ne JAMAIS donner à lire ses fichiers Words à des connaissances croisés sur le net pour leur faire lire ses écrits, mieux vaut donner du papier imprimé par ex et à des amis fiables, pour éventuel avis, mais les trucs qui prennent de l'argent pour protéger les écrits des auteurs, je ne suis pas pour et pas convaincue de leur utilité... C'est tout.
Re: Vous êtes allez ou ?
Je ne crois pas avoir de tendances paranoiaques, mais j'ai protégé mon premier tome. Ce que vous dites est vrai pour certains écrits, moins pour d'autres. Piquer un roman, c'est peut-être plus difficile et moins intéressant que de faucher les idées et les constatations d'un petit exposé philosophique ou spirituel quand on est un auteur vieillissant, qui doit donner des conférences pour lesquelles il se sent sec, car vivant sur son passé, il n'a depuis longtemps plus rien de nouveau à dire.
Je me rappelle un premier choc sur "le vol du travail d'un autre". C'était lors du premier ou deuxième congrès international de psychomotricité. Un enseignant-directeur d'école avait donné un devoir à ses élèves de troisième année. Je ne sais plus quel en était le sujet. Il avait exigé quelque chose d'authentique (pas de synthèse de lectures), fait d'observations réelles etc. Les élèves avaient six mois pour rédiger ce devoir dont la note allait fortement influencer leur appréciation globale de fin d'année. Et, quelle ne fut pas la surprise des élèves venus assister au congrès? Entendre ce monsieur, déjà auteur d'un ouvrage de thérapie-réeducation, prononcer son exposé composé de tous les éléments "valables" offerts par les élèves, mais comme venant de lui!
Deuxième choc: un auteur bouddhiste considéré, vénéré par certains même, a repris presque textuellement dans un de ses livres un chapitre de "Commentaires sur la vie" de Krishnamurti, sans le citer. Le lecteur peu familier avec les écrits de K. ne peut pas se rendre compte de cette tricherie qui n'est même plus un plagiat. Le fait était d'actualité il y a trois ans. Ce manque d'honnêteté n'a malheureusement pas terni sa réputation.
Ensuite, Californiagirl, on peut protéger ses écrits pour 10€, ou même pour le pris d'un timbre.
Je me rappelle un premier choc sur "le vol du travail d'un autre". C'était lors du premier ou deuxième congrès international de psychomotricité. Un enseignant-directeur d'école avait donné un devoir à ses élèves de troisième année. Je ne sais plus quel en était le sujet. Il avait exigé quelque chose d'authentique (pas de synthèse de lectures), fait d'observations réelles etc. Les élèves avaient six mois pour rédiger ce devoir dont la note allait fortement influencer leur appréciation globale de fin d'année. Et, quelle ne fut pas la surprise des élèves venus assister au congrès? Entendre ce monsieur, déjà auteur d'un ouvrage de thérapie-réeducation, prononcer son exposé composé de tous les éléments "valables" offerts par les élèves, mais comme venant de lui!
Deuxième choc: un auteur bouddhiste considéré, vénéré par certains même, a repris presque textuellement dans un de ses livres un chapitre de "Commentaires sur la vie" de Krishnamurti, sans le citer. Le lecteur peu familier avec les écrits de K. ne peut pas se rendre compte de cette tricherie qui n'est même plus un plagiat. Le fait était d'actualité il y a trois ans. Ce manque d'honnêteté n'a malheureusement pas terni sa réputation.
Ensuite, Californiagirl, on peut protéger ses écrits pour 10€, ou même pour le pris d'un timbre.
Amiedetous- Date d'inscription : 28/06/2012
Re: Vous êtes allez ou ?
Ce style de vie, Californiagirl, est choisi, c'est sûr. Et comme tu le dis, il nécessite des sacrifices, comme tout, mais apporte un bénéfice certain. Pour tout dire, je trouve ce style de vie admirable, parce qu'il nécessite de n'avoir pas de réelle attache matérielle... Ce mode de vie va profondément à l'encontre de ma nature profonde (je suis très très casanière). Et pourtant, je rêve depuis l'enfance de vivre ainsi, d'être sûre de voir... quelque chose. De se sentir en vie, tout simplement. Et de ne pas rester cloîtrer. Et les voyages fertilise l'écriture.
Si j'avais un peu plus d'argent (pour l'instant, ce n'est pas le cas, avec mon job en alternance), je prendrais sûrement le temps de voyager, une année peut-être. Une année durant laquelle je tenterai d'écrire à tout va, au fil de ma pensée, sans réelles contraintes...
Concernant la protection littéraire, je pense que c'est tout de même justifiée. Parce que, comme souligné, il existe des gens profondément malhonnête sur le net. Et même si les textes ne seront jamais publié, est victime de plagiat quiconque se fait voler, si ce n'est pas son texte, au moins son idée. Et il est extrêmement désagréable de découvrir, en tant qu'auteur, que ce qui fait notre fierté a été réutilisé par quelqu'un en qui nous avions confiance (ou non). Les maisons d'éditions préconises également cette sécurité avant envoie parce qu'ils ne sont pas responsables de l'avant-après réception manuscrit. Et puis, admettons que quelqu'un nous vole notre texte et le propose à l'édition? Car, même s'il est extrêmement difficile de se faire publier chez un grand, il y a plus de 4000 maisons d'édition à Paris, et il est facile de tomber sur une maison qui prend tout et n'importe quoi (prenons les comptes d'auteur, par exemple)... Kirographaires a aussi cette tendance là.
Je pense qu'avec l'air du numérique, protéger ses textes, ne serait-ce que pour protéger ses idées plus que ses mots, devient nécessaire. Même primordial.
Si j'avais un peu plus d'argent (pour l'instant, ce n'est pas le cas, avec mon job en alternance), je prendrais sûrement le temps de voyager, une année peut-être. Une année durant laquelle je tenterai d'écrire à tout va, au fil de ma pensée, sans réelles contraintes...
Concernant la protection littéraire, je pense que c'est tout de même justifiée. Parce que, comme souligné, il existe des gens profondément malhonnête sur le net. Et même si les textes ne seront jamais publié, est victime de plagiat quiconque se fait voler, si ce n'est pas son texte, au moins son idée. Et il est extrêmement désagréable de découvrir, en tant qu'auteur, que ce qui fait notre fierté a été réutilisé par quelqu'un en qui nous avions confiance (ou non). Les maisons d'éditions préconises également cette sécurité avant envoie parce qu'ils ne sont pas responsables de l'avant-après réception manuscrit. Et puis, admettons que quelqu'un nous vole notre texte et le propose à l'édition? Car, même s'il est extrêmement difficile de se faire publier chez un grand, il y a plus de 4000 maisons d'édition à Paris, et il est facile de tomber sur une maison qui prend tout et n'importe quoi (prenons les comptes d'auteur, par exemple)... Kirographaires a aussi cette tendance là.
Je pense qu'avec l'air du numérique, protéger ses textes, ne serait-ce que pour protéger ses idées plus que ses mots, devient nécessaire. Même primordial.
Re: Vous êtes allez ou ?
Salut Jessica.
Je suis tout à fait d'accord avec ce que tu dis sur la protection de ses propres écrits car il est nécessaire de protéger son oeuvre car c'est un travail qui à nécessité du travail et donc le jour ou quelqu'un vole et/ou plagie son travail il sera difficile de prouver que c'est soi-même qui a fait le travail sans avoir une preuve irréfutable.
Je pense que toutes bonnes maisons d'éditions recommande aux écrivains de protéger ses manuscrits car tout le monde peut un jour vouloir prétendre à la gloire et n'avoir qu'à récolter le travail sans rien avoir fait.
Bref ! Pour revenir au sujet de départ concernant les voyages il est vrai que les finances y jouent beaucoup mais aussi le temps. Le seul moyen de pouvoir voyager est de travailler dans une entreprise qui permets de pouvoir faire des voyages comme photographe pilote d'avion etc. (je ne sais pas quels autres métiers permets de voyager lol donc etc.)
Sinon juste une question comme ça qui me vient à l'esprit : dans quels pays n'aimeriez-vous pas allez ?
A+
Je suis tout à fait d'accord avec ce que tu dis sur la protection de ses propres écrits car il est nécessaire de protéger son oeuvre car c'est un travail qui à nécessité du travail et donc le jour ou quelqu'un vole et/ou plagie son travail il sera difficile de prouver que c'est soi-même qui a fait le travail sans avoir une preuve irréfutable.
Je pense que toutes bonnes maisons d'éditions recommande aux écrivains de protéger ses manuscrits car tout le monde peut un jour vouloir prétendre à la gloire et n'avoir qu'à récolter le travail sans rien avoir fait.
Bref ! Pour revenir au sujet de départ concernant les voyages il est vrai que les finances y jouent beaucoup mais aussi le temps. Le seul moyen de pouvoir voyager est de travailler dans une entreprise qui permets de pouvoir faire des voyages comme photographe pilote d'avion etc. (je ne sais pas quels autres métiers permets de voyager lol donc etc.)
Sinon juste une question comme ça qui me vient à l'esprit : dans quels pays n'aimeriez-vous pas allez ?
A+
aaaze- Date d'inscription : 14/02/2013
Age : 39
Localisation : en France
Re: Vous êtes allez ou ?
Oui, recommander c'est une chose, mais à l'ère du numérique, je ne pense pas que ce soit efficace à 100%. Je ne sais pas je ne me pose pas la question à outrance, en revanche je vais poser la question à mon éditeur pour un autre roman, puisqu'il s'agit de téléchargement. mais je l'ai fait pour celui qui vient d'être édité, et tout s'est passé normalement...
Crier au loup c'est une chose, mais aujourd'hui encore dans un salon, en discutant avec les auteurs présents ( et donc édités ) je suis sidérée de la méconnaissance du système de nombre d'entre eux ( qui disent ouvertement être trop heureux d'etre édités pour s'n préoccuper...ben tout de même !!! )
. les infos sur ce qu'est un compte d'auteur et déditeur, la différence entre les 2 tout ceci est clairement disponible sur le net. Rien que wiki est clair là dessus... Mais je me demande si :
1°/ certains ne signent pas un contrat les yeux fermés
2°/ Ecoute les bruits sans lire les textes fiables.
Bref, édité oui, mais pas dans n'impore quelle condition. j'avoue que pour mon 1er contrat, trop contente j'ai signé les yeux fermés. Pour le Second, ils étaient ouverts, mais pour BIEN comprendre un contrat, mieux vaut tout de même payer 100 euros ( oui, c'est cher ) pour le faire lire par un avocat.
Enfin, ne JAMAIS accepter d’être édité sans contrat. ( je connais des cas )
Je le répète, je ne suis pas mieux que les autres et je ne veux pas donner de lecçons : j'ai appris de mes erreurs, et j'en apprendrais encore. C'est complexe. TRES. Et c'est un monde très fermé pour ce qui est du microcosme parisien des 2 rives gauche:droite de la Seine. 4000 maisons d'éditions à Paris, OK... mais regardez les tirages, le catalogue, et le placement en librairie, ou demander à le connaitre. Déjà c'est super important.
Regarder aussi si l'éditeur a un diffuseur. Lequel. BREF en dehors de la protection de SON oeuvre, l'auteur doit aussi penser à se protéger LUI ( ou elle ), à la limite cela me parait encore plus prioritaire en cas de sollicitation. la méfiance est indispensable...
Crier au loup c'est une chose, mais aujourd'hui encore dans un salon, en discutant avec les auteurs présents ( et donc édités ) je suis sidérée de la méconnaissance du système de nombre d'entre eux ( qui disent ouvertement être trop heureux d'etre édités pour s'n préoccuper...ben tout de même !!! )
. les infos sur ce qu'est un compte d'auteur et déditeur, la différence entre les 2 tout ceci est clairement disponible sur le net. Rien que wiki est clair là dessus... Mais je me demande si :
1°/ certains ne signent pas un contrat les yeux fermés
2°/ Ecoute les bruits sans lire les textes fiables.
Bref, édité oui, mais pas dans n'impore quelle condition. j'avoue que pour mon 1er contrat, trop contente j'ai signé les yeux fermés. Pour le Second, ils étaient ouverts, mais pour BIEN comprendre un contrat, mieux vaut tout de même payer 100 euros ( oui, c'est cher ) pour le faire lire par un avocat.
Enfin, ne JAMAIS accepter d’être édité sans contrat. ( je connais des cas )
Je le répète, je ne suis pas mieux que les autres et je ne veux pas donner de lecçons : j'ai appris de mes erreurs, et j'en apprendrais encore. C'est complexe. TRES. Et c'est un monde très fermé pour ce qui est du microcosme parisien des 2 rives gauche:droite de la Seine. 4000 maisons d'éditions à Paris, OK... mais regardez les tirages, le catalogue, et le placement en librairie, ou demander à le connaitre. Déjà c'est super important.
Regarder aussi si l'éditeur a un diffuseur. Lequel. BREF en dehors de la protection de SON oeuvre, l'auteur doit aussi penser à se protéger LUI ( ou elle ), à la limite cela me parait encore plus prioritaire en cas de sollicitation. la méfiance est indispensable...
Page 1 sur 2 • 1, 2
Sujets similaires
» A lire si vous voulez vous lancer
» D'où venez-vous?
» La BL., Vous connaissez
» Daran, vous connaissez ?
» Heureux de vous rejoindre ! ;)
» D'où venez-vous?
» La BL., Vous connaissez
» Daran, vous connaissez ?
» Heureux de vous rejoindre ! ;)
Page 1 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Jeu 2 Mar - 21:58 par martin1
» mefiez vous des charlatants
Jeu 3 Oct - 16:28 par Jafou
» Une chanson de geste
Jeu 3 Oct - 16:22 par Jafou
» De retour après quelques années d'absence....
Lun 23 Sep - 21:25 par Le sombre minuit
» 5 et 6 juin...
Jeu 6 Juin - 8:09 par Jafou
» Les Imaginales
Lun 20 Mai - 20:05 par extialis
» Désinscription du forum
Dim 19 Mai - 7:29 par extialis
» Aimez-vous Bach (3è séquence)
Mar 14 Mai - 18:26 par Le sombre minuit
» L'ascension extraordinaire du Maudit
Lun 13 Mai - 19:02 par extialis