du rififi dans vieux-lille
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du rififi dans vieux-lille
bonsoir, je vous poste une petite nouvelle inspirée d'un concours et qui n'est jamais arrivée à destination
Du rififi dans vieux-lille
Du rififi dans vieux-lille
Je me nomme James et traine mes guêtres dans les rues de Lille tous les jours, mais ne suis pas SDF, mon petit appartement m’appartient. Pourtant, je leur ressemble aujourd’hui. Depuis trois ans en toute honnêteté. J’ai quitté la police un peu par la force des évènements, beaucoup par dépit.
Par la force des choses… si tu voyais ma tronche fracassée, mon moignon caché dans la manche de mon veston élimé… caillassage de banlieue. Ils possèdent des kalachnikovs, maintenant. Je ne m’étendrai pas sur les risques du métier. J’aurai pu accepter la mutation, ce travail de bureau, j’étais suffisamment éduqué pour lister les p.v. sur ordi, mais… l’amertume, le sentiment d’injustice m’a poussé à démissionner. La déprime s’est transformée en colère envers le système. Elle est toujours vivace, là en mon cœur. Depuis ce père de famille poignardé à Roubaix devant sa fille pour avoir « regardé » un groupe de jeunes. Relaxés. Depuis ce SDF retrouvé carbonisé à vieux-lille. Le coupable a effectué la moitié de sa peine, il sort demain. Depuis ce récidiviste qui a violé de nouveau. Depuis…
Mon amertume suivant une courbe exponentielle, la démission s’avéra plus que nécessaire. J’envisageais une reconversion. Détective je deviendrai. Filer maris et épouses adultères j’ambitionnai. Seulement, le client se méfia de ma gueule dévastée et douta de mes capacités physiques. L’argent me manqua. Aujourd’hui, je fouille les poubelles pour ne pas mourir de faim dans ma petite maison héritée de ma chère maman. Dieu merci, je n’entretiens ni femme ni enfant. Ma vie sexuelle ne regarde personne.
Je traine savates jusque tard dans les nuits en cet été 2013. Chaud dans le Nord. On n’est pas habitué à ces températures, toute la faune en profite. Les clodos picolent sous le métro porte de Douai, d’Arras, s’étalent jusque porte des postes. Ils se sont multipliés ces dernières années et moi je sais pourquoi. Comme le commun des mortels d’ailleurs. Je vois même des familles, des enfants apprennent la rue. En deux ans de galères, j’en ai compté toujours davantage. Et les biens pensants, les bobos comme on les nomme si joliment, continuent de porter leurs œillères.
Je connais Marianne qui vogue de site en site pour nettoyer leur merde. Travailler plus pour gagner plus, elle me fait marrer cette expression. Passera-t-elle dans les adages français ? J’espère que non. Ça me ferait trop gerber. Marianne, usée avant l’âge me confie parfois ses trois petits et court à Ronchin, à Mons, puis revient vers Fâches et retourne à Villeneuve-d'Ascq sur son vélo aux pneus craquelés. Ses enfants savent tout de sa vie, de leur père aussi, victime d’un chauffard libéré au bout de six mois pour « homicide involontaire ». « Accident de la route ».
De rage contre cette société inhumaine, je shoote dans une poubelle publique qui déverse ses immondices sur l’allée du jardin Vauban. Trente degrés Celsius, on ne respire plus, ici. La culpabilité m’envahit, d’autant que je croise les regards accusateurs de ces mères, entends ces petits qui toussent déjà à leur âge. Gaz d’échappement. Je ramasse donc, de ma seule main valide je relève le carcan de métal ajouré, y redispose résidus de mac do, briquettes de jus, pots de glaces, canettes, le tout entouré de guêpes avides de sucre. Dernier élément : serviette hygiénique recouvrant un… truc brillant que je saisis délicatement. Un portable. Que fait-il dans cette poubelle ?
Je ne suis pas assez âgé pour ignorer ces nouvelles technologies. Quarante ans, vous me direz… entre deux âges ? Ouais, bon… j’arrive quand même à allumer ce « truc » hors de portée de mon porte-monnaie, cet objet que je touche pour la première fois de ma vie. Je m’installe sur le banc attenant et cherche, tente de comprendre son fonctionnement. J’ai le temps. Le soir tombe sans que je m’en aperçoive, les « copains » assiègent ce petit parc déserté par les promeneurs du dimanche, les ménages venus au zoo dépenser leur RSA aux jeux à quatre euros le tour.
La douceur de la nuit, ces odeurs de grillades émanant de la péniche-restau ou de la friterie, les sons quotidiens ne m’atteignent pas. Je vois. Cette vidéo me tétanise. Agnès Doubouché… je regarde les infos de « m’in coin », je reste toujours… flic dans l’âme. Cette jeune femme disparue mercredi dernier s’affiche là, sous mes yeux. Elle supplie, raconte, m’aiguille. Je me lève donc et suis les indications. Elle sait où son ravisseur l’emmène, elle le décrit précisément. Elle le pistait depuis deux semaines.
Déjà le matin. De ce même smartphone, j’appelle mon ancien bureau, explique la situation au planton de service et obéit à mon instinct qui me guide jusqu’à vieux-lille, près d’un foyer pour mères en difficultés, derrière pôle-emploi. Un magasin qui ne paye pas de mine ouvre son arrière sur une petite cour menant à un entrepôt. Je sais qu’Agnès s’y trouve. Si le Smart a été jeté dans la poubelle par le ravisseur, il n’a même pas daigné l’explorer. Peut-être n’en connaissait-il pas les fonctionnalités. Je me dis que les technologies d’aujourd’hui… si tu ne te tiens pas à niveau… vaut mieux arrêter de jouer les sérials killer. J’ai ri. Le crime parfait deviendra compliqué à élaborer avec l’avancée du high-tech. S’il pouvait libérer la justice…
J’entre et tombe sur un type en train de tchatcher sur FB.
– Qu’est-ce que tu cherches, taré ! me lance-t-il.
La cinquantaine, le crâne rasé à la Barthez, plus vieux que moi, mais bien musclé encore. Je maudis les salles de muscu.
– Les chiottes, c’est pas ici ? lançai-je stupidement, à fond dans le rôle du paumé alcoolisé.
– De l’autre côté à droite, mais c’est réservé aux employés.
– Je peux utiliser le tien alors ?
– Nan ! Dehors !
– Hé ! Sssuis pas une merde ! Jjj’ai droit au respect !
– Fou toi le dans l’cul ! Tu sors !
– Va te faire f…
Il se lève, gigantesque… je songe à Agnès et contiens ma vessie qui faiblit. J’ai rien bu et me souviens de sa vidéo qui me remonte les tripes. J’ai la gniak, je fais face. Mon adversaire à hâte d’en découdre. Il lance son poing, je l’évite et chope son avant-bras, profite de son élan, le sublime… il s’étale lamentablement sur le béton. La conscience au présent, j’attends. Il se relève et… coup de pied que j’attrape. Le mien dans les parties, sans aucun état d’âme. Ça fait mal hein ? Il est plié en deux, mon genou lui casse les dents. La mâchoire aussi, tiens. Il me manque un bras, mais il me reste toujours l’équilibre et la force des jambes. Je hurle :
– Agnès !
J’écoute le silence relatif. Le bruit des autos me parvient, celui des clients aussi. Des enfants crient, réclament, jouent… et puis ce petit son étouffé atteint mes oreilles attentives. J’entends l’insondable. L’autre dans les pommes ne me gênera plus.
La porte est bloquée, il en détient la clé. Merde ! Je reviens en arrière.
– Qu’est-ce que tu croyais, dégénéré ? D’où tu sors d’abord ? Un train t’es passé dessus ou quoi ?
– Tu fais référence à ma tronche ou à mon bras ?
– Les deux.
Il ricanait. Ben ouais, j’ai une tronche à faire peur aux morts, et alors ? Lui, avec sa belle gueule, il pouvait bien rire de moi. Pas pour longtemps, me dis-je avant de m’en prendre une qui m’envoie au sol. Putain ! Ça fait mal. Anciennes blessures rouvertes, je crache une molaire. Rage. Non… calme plat, calme toi… regarde-le arriver avec la hache, la brandir au-dessus de toi, l’abaisser de toutes ses forces… retourne-toi, lance ton pied à défaut de tes poings. Direct encore une fois dans les parties. Je sais, c’est vil, lâche et tout et tout. M’en fou. Chope les clés. Agnès… elle seule m’importe. Le reste… je veux bien passer pour une lopette.
Enfin je la délivre. Pauvre fille. Les sirènes submergent le quartier, suivies des flics puis des journalistes. Ça va me faire une pub d’enfer, tout ça…
Par la force des choses… si tu voyais ma tronche fracassée, mon moignon caché dans la manche de mon veston élimé… caillassage de banlieue. Ils possèdent des kalachnikovs, maintenant. Je ne m’étendrai pas sur les risques du métier. J’aurai pu accepter la mutation, ce travail de bureau, j’étais suffisamment éduqué pour lister les p.v. sur ordi, mais… l’amertume, le sentiment d’injustice m’a poussé à démissionner. La déprime s’est transformée en colère envers le système. Elle est toujours vivace, là en mon cœur. Depuis ce père de famille poignardé à Roubaix devant sa fille pour avoir « regardé » un groupe de jeunes. Relaxés. Depuis ce SDF retrouvé carbonisé à vieux-lille. Le coupable a effectué la moitié de sa peine, il sort demain. Depuis ce récidiviste qui a violé de nouveau. Depuis…
Mon amertume suivant une courbe exponentielle, la démission s’avéra plus que nécessaire. J’envisageais une reconversion. Détective je deviendrai. Filer maris et épouses adultères j’ambitionnai. Seulement, le client se méfia de ma gueule dévastée et douta de mes capacités physiques. L’argent me manqua. Aujourd’hui, je fouille les poubelles pour ne pas mourir de faim dans ma petite maison héritée de ma chère maman. Dieu merci, je n’entretiens ni femme ni enfant. Ma vie sexuelle ne regarde personne.
Je traine savates jusque tard dans les nuits en cet été 2013. Chaud dans le Nord. On n’est pas habitué à ces températures, toute la faune en profite. Les clodos picolent sous le métro porte de Douai, d’Arras, s’étalent jusque porte des postes. Ils se sont multipliés ces dernières années et moi je sais pourquoi. Comme le commun des mortels d’ailleurs. Je vois même des familles, des enfants apprennent la rue. En deux ans de galères, j’en ai compté toujours davantage. Et les biens pensants, les bobos comme on les nomme si joliment, continuent de porter leurs œillères.
Je connais Marianne qui vogue de site en site pour nettoyer leur merde. Travailler plus pour gagner plus, elle me fait marrer cette expression. Passera-t-elle dans les adages français ? J’espère que non. Ça me ferait trop gerber. Marianne, usée avant l’âge me confie parfois ses trois petits et court à Ronchin, à Mons, puis revient vers Fâches et retourne à Villeneuve-d'Ascq sur son vélo aux pneus craquelés. Ses enfants savent tout de sa vie, de leur père aussi, victime d’un chauffard libéré au bout de six mois pour « homicide involontaire ». « Accident de la route ».
De rage contre cette société inhumaine, je shoote dans une poubelle publique qui déverse ses immondices sur l’allée du jardin Vauban. Trente degrés Celsius, on ne respire plus, ici. La culpabilité m’envahit, d’autant que je croise les regards accusateurs de ces mères, entends ces petits qui toussent déjà à leur âge. Gaz d’échappement. Je ramasse donc, de ma seule main valide je relève le carcan de métal ajouré, y redispose résidus de mac do, briquettes de jus, pots de glaces, canettes, le tout entouré de guêpes avides de sucre. Dernier élément : serviette hygiénique recouvrant un… truc brillant que je saisis délicatement. Un portable. Que fait-il dans cette poubelle ?
Je ne suis pas assez âgé pour ignorer ces nouvelles technologies. Quarante ans, vous me direz… entre deux âges ? Ouais, bon… j’arrive quand même à allumer ce « truc » hors de portée de mon porte-monnaie, cet objet que je touche pour la première fois de ma vie. Je m’installe sur le banc attenant et cherche, tente de comprendre son fonctionnement. J’ai le temps. Le soir tombe sans que je m’en aperçoive, les « copains » assiègent ce petit parc déserté par les promeneurs du dimanche, les ménages venus au zoo dépenser leur RSA aux jeux à quatre euros le tour.
La douceur de la nuit, ces odeurs de grillades émanant de la péniche-restau ou de la friterie, les sons quotidiens ne m’atteignent pas. Je vois. Cette vidéo me tétanise. Agnès Doubouché… je regarde les infos de « m’in coin », je reste toujours… flic dans l’âme. Cette jeune femme disparue mercredi dernier s’affiche là, sous mes yeux. Elle supplie, raconte, m’aiguille. Je me lève donc et suis les indications. Elle sait où son ravisseur l’emmène, elle le décrit précisément. Elle le pistait depuis deux semaines.
Déjà le matin. De ce même smartphone, j’appelle mon ancien bureau, explique la situation au planton de service et obéit à mon instinct qui me guide jusqu’à vieux-lille, près d’un foyer pour mères en difficultés, derrière pôle-emploi. Un magasin qui ne paye pas de mine ouvre son arrière sur une petite cour menant à un entrepôt. Je sais qu’Agnès s’y trouve. Si le Smart a été jeté dans la poubelle par le ravisseur, il n’a même pas daigné l’explorer. Peut-être n’en connaissait-il pas les fonctionnalités. Je me dis que les technologies d’aujourd’hui… si tu ne te tiens pas à niveau… vaut mieux arrêter de jouer les sérials killer. J’ai ri. Le crime parfait deviendra compliqué à élaborer avec l’avancée du high-tech. S’il pouvait libérer la justice…
J’entre et tombe sur un type en train de tchatcher sur FB.
– Qu’est-ce que tu cherches, taré ! me lance-t-il.
La cinquantaine, le crâne rasé à la Barthez, plus vieux que moi, mais bien musclé encore. Je maudis les salles de muscu.
– Les chiottes, c’est pas ici ? lançai-je stupidement, à fond dans le rôle du paumé alcoolisé.
– De l’autre côté à droite, mais c’est réservé aux employés.
– Je peux utiliser le tien alors ?
– Nan ! Dehors !
– Hé ! Sssuis pas une merde ! Jjj’ai droit au respect !
– Fou toi le dans l’cul ! Tu sors !
– Va te faire f…
Il se lève, gigantesque… je songe à Agnès et contiens ma vessie qui faiblit. J’ai rien bu et me souviens de sa vidéo qui me remonte les tripes. J’ai la gniak, je fais face. Mon adversaire à hâte d’en découdre. Il lance son poing, je l’évite et chope son avant-bras, profite de son élan, le sublime… il s’étale lamentablement sur le béton. La conscience au présent, j’attends. Il se relève et… coup de pied que j’attrape. Le mien dans les parties, sans aucun état d’âme. Ça fait mal hein ? Il est plié en deux, mon genou lui casse les dents. La mâchoire aussi, tiens. Il me manque un bras, mais il me reste toujours l’équilibre et la force des jambes. Je hurle :
– Agnès !
J’écoute le silence relatif. Le bruit des autos me parvient, celui des clients aussi. Des enfants crient, réclament, jouent… et puis ce petit son étouffé atteint mes oreilles attentives. J’entends l’insondable. L’autre dans les pommes ne me gênera plus.
La porte est bloquée, il en détient la clé. Merde ! Je reviens en arrière.
– Qu’est-ce que tu croyais, dégénéré ? D’où tu sors d’abord ? Un train t’es passé dessus ou quoi ?
– Tu fais référence à ma tronche ou à mon bras ?
– Les deux.
Il ricanait. Ben ouais, j’ai une tronche à faire peur aux morts, et alors ? Lui, avec sa belle gueule, il pouvait bien rire de moi. Pas pour longtemps, me dis-je avant de m’en prendre une qui m’envoie au sol. Putain ! Ça fait mal. Anciennes blessures rouvertes, je crache une molaire. Rage. Non… calme plat, calme toi… regarde-le arriver avec la hache, la brandir au-dessus de toi, l’abaisser de toutes ses forces… retourne-toi, lance ton pied à défaut de tes poings. Direct encore une fois dans les parties. Je sais, c’est vil, lâche et tout et tout. M’en fou. Chope les clés. Agnès… elle seule m’importe. Le reste… je veux bien passer pour une lopette.
Enfin je la délivre. Pauvre fille. Les sirènes submergent le quartier, suivies des flics puis des journalistes. Ça va me faire une pub d’enfer, tout ça…
Dernière édition par extialis le Mer 24 Aoû - 9:19, édité 1 fois
Re: du rififi dans vieux-lille
J'aime ton personnage, dégoûté de la société, ravagé par les temps mauvais, lassé de tout. On débute le récit avec lui, maintenant qu'il a tout abandonné, comme si rien de nouveau, de bien pouvait lui arriver et pourtant il tombe sur ce smart-phone.
Et le voilà parti pour sauver Agnès et on finit cette histoire avec cette foutue sensation que l'espoir lui revient avec les derniers mots.
J'aime bien ta façon d'écrire.
Merci pour cette lecture.
Au plaisir.
V.
Et le voilà parti pour sauver Agnès et on finit cette histoire avec cette foutue sensation que l'espoir lui revient avec les derniers mots.
J'aime bien ta façon d'écrire.
Merci pour cette lecture.
Au plaisir.
V.
Vanessa- Date d'inscription : 14/08/2011
Re: du rififi dans vieux-lille
merci, vanessa, ça me fait plaisir. c'est vrai que d'ordinaire, c'est pas mon registre, mais j'étais inspirée ce jour là.
Re: du rififi dans vieux-lille
J'aime assez, mais : problème de réalisme. Il est propriétaire de sa maison mais depuis un moment sans ressources et fait les poubelles pour ne pas crever de faim. OK Mais alors, l'électricité, l'eau, assurances, impôts ; comment ?. La construction du texte pourrait être plus travaillée et c'est plus de la langue parlée que de la langue écrite. Est-ce un bien ? Je ne sais. Aujourd'hui, peut-être mais ça peut rebuter... Ou attirer ; va savoir. Amitiés
Re: du rififi dans vieux-lille
il en est qui survivent dans une maison payée sans eau ni electricité. quand je vois mon père... le loyer lui est payé mais il n'a pas de quoi manger. je sais dans quelle misère vivent certaines personnes, même si cela ne se voit pas.
la construction du texte... je voulais "tirer" dans un autre registre, oui, je sais que ça ne plait pas toujours (m'étais fait rabrouée par mon prof de français quand j'avais 11 ans pour avoir écrit un texte similaire. ça refroidit, je l'admet). plus travaillé... je vais revoir ça quand il aura reposé.
merci pour tes avis
la construction du texte... je voulais "tirer" dans un autre registre, oui, je sais que ça ne plait pas toujours (m'étais fait rabrouée par mon prof de français quand j'avais 11 ans pour avoir écrit un texte similaire. ça refroidit, je l'admet). plus travaillé... je vais revoir ça quand il aura reposé.
merci pour tes avis
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