Un éditeur associatif
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Malicie
Chum Editions
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Un éditeur associatif
Bonjour,
Merci pour votre accueil sympathique.
Chum est un mot canadien qui signifie: copain, ami, petit ami. Chez nous il n'y a donc que des chum auteurs.
Environ 17% des français écrivent et parmi eux bon nombre cherchent un éditeur. J'ai été de ceux là, et comme beaucoup, sans succès.
J'ai alors décidé de créer une association CHUM EDITIONS pour labelliser des auteurs en mal de parution parce qu'il est plus facile pour des salons ou des dédicaces d'être dans un catalogue.
Nous fonctionnons comme tous les éditeurs avec un comité de lecture. Nous sommes présents dans les bases de données pour les libraires et nous sommes référencés chez Cultura.
Nous n'avons pas de canal de distribution/diffusion (au moins pour le moment) mais en contrepartie nos auteurs ne nous cèdent pas leurs droits et nous ne prenons aucune commission sur leurs ventes. Seule une cotisation sous forme de don est demandée, il faut bien que nous ayons quelques ressources.
Notre objectif est de nous infiltrer dans la filière du livre au profit d'auteurs qui en valent la peine (au moins de notre point de vue).
Nous avons des livres à paraitre cet automne mais notre catalogue n'est pas encore assez fourni. Les talents sont donc les bienvenus.
Notre association est sans but lucratif, nous ne sommes pas des marchands. Nous tentons seulement d'exister pour être lus.
A bientôt,
Le chum président
Merci pour votre accueil sympathique.
Chum est un mot canadien qui signifie: copain, ami, petit ami. Chez nous il n'y a donc que des chum auteurs.
Environ 17% des français écrivent et parmi eux bon nombre cherchent un éditeur. J'ai été de ceux là, et comme beaucoup, sans succès.
J'ai alors décidé de créer une association CHUM EDITIONS pour labelliser des auteurs en mal de parution parce qu'il est plus facile pour des salons ou des dédicaces d'être dans un catalogue.
Nous fonctionnons comme tous les éditeurs avec un comité de lecture. Nous sommes présents dans les bases de données pour les libraires et nous sommes référencés chez Cultura.
Nous n'avons pas de canal de distribution/diffusion (au moins pour le moment) mais en contrepartie nos auteurs ne nous cèdent pas leurs droits et nous ne prenons aucune commission sur leurs ventes. Seule une cotisation sous forme de don est demandée, il faut bien que nous ayons quelques ressources.
Notre objectif est de nous infiltrer dans la filière du livre au profit d'auteurs qui en valent la peine (au moins de notre point de vue).
Nous avons des livres à paraitre cet automne mais notre catalogue n'est pas encore assez fourni. Les talents sont donc les bienvenus.
Notre association est sans but lucratif, nous ne sommes pas des marchands. Nous tentons seulement d'exister pour être lus.
A bientôt,
Le chum président
Chum Editions- Date d'inscription : 11/09/2013
Re: Un éditeur associatif
Intéressant, hélas, sans boulot, difficile de soutenir cette association par des petits dons ^^ Mais c'est une bonne idée, vraiment !
Malicie- Date d'inscription : 07/06/2013
Age : 30
Localisation : 81
Re: Un éditeur associatif
Bonjour,
Si vous n'avez pas de réseau de distribution, comment amortissez-vous l'impression des livres ?....Vous seriez donc tous bénévoles ?...... Ces questions pour mieux saisir votre démarche....
Si vous n'avez pas de réseau de distribution, comment amortissez-vous l'impression des livres ?....Vous seriez donc tous bénévoles ?...... Ces questions pour mieux saisir votre démarche....
surfeur- Date d'inscription : 29/05/2013
Re: Un éditeur associatif
Bonjour,surfeur a écrit:Bonjour,
Si vous n'avez pas de réseau de distribution, comment amortissez-vous l'impression des livres ?....Vous seriez donc tous bénévoles ?...... Ces questions pour mieux saisir votre démarche....
La question est pertinente.
C'est l'auteur qui paye son impression sur des quantités choisies par lui. Impossible pour nous qui ne sommes pas des commerçants. Pour le reste, oui, nous sommes tous bénévoles.
Je rappelle que l'idée est de figurer dans un catalogue et d'être accueilli comme un auteur édité. C'est le point le plus important. Nous participerons à la fin de l'année à notre premier salon éditeur. Auto édités ça ne serait pas possible car ce salon est exclusivement réservé aux auteurs édités et aux éditeurs.
Nous réfléchissons à la possibilité de changer de statut et de devenir un éditeur à compte d'éditeur. Parce que les distributeurs ne connaissent qu'une entité, l'éditeur. Réponse dans quelques mois.
Chum Editions- Date d'inscription : 11/09/2013
Re: Un éditeur associatif
Je viens de lire le contrat (disponible ICI).
Bon (même si mondernier job a été de... enfin non, je ne vais pas le dire), mais dès la première phrase du premier article, bing, source de litige.
"Chum Editions concède à l'auteur le droit de faire imprimer son livre intitulé à ce jour "-------" sous son nom. Il bénéficiera de tous les avantages offerts par l'association."
--> Sous le nom de qui alors, de Chum ou de l'auteur? Et ces avantages alors, quels sont-ils?
Article 2 : "L'auteur garantit toutefois Chum Editions d'une exploitation paisible de la distribution de ses livres"
Paisible...? Mais encore?
Article 3 : mon (presque) préféré : Pour faire court : l'auteur doit fournir un texte exempt de toute faute (grammaire, syntaxe, orthographe) et doit "s'il n'a pas la compétence requise", doit s'engager à le faire corriger à ses frais. Mais bon, qu'il se rassure, c'est écrit juste après, à partir du moment où le manuscrit est accepté, l'auteur se verra attribué un directeur d'ouvrage.
Question bête : il va faire quoi, le directeur d'ouvrage? Contacter la PAO et discuter de la couverture? Faire la mise en page? Quant au 2500 Euros (oui oui ) d'indemnités demandés à titre de compensation pour le "travail d'accompagnement" en cas de rupture du contrat par l'auteur après que le travail sur 1/4 du manuscrit a été effectué (tiens, d'ailleurs, quel travail?)... euh, non, rien. Bon, j'insiste sur le côté "travail d'accompagnement", parce que quand on lit l'article 6, on se demande justement en quoi consiste ce travail...
D'ailleurs, l'article 6, pompeusement appelé : Obligations conséquentes à l’impression sous le nom de Chum Éditions. Je ne résiste pas,je le copie colle en entier (mes commentaires sont entre parenthèses, et en rouge les aberrations pour un contrat digne de ce nom) :
— Chum Éditions fournit à l’auteur ses N° ISBN (ben heureusement, vu que c'est à la portée de n'importe qui puisqu'il faut simplement remplir un formulaire en ligne)
— L’auteur envoie à ses frais 3 exemplaires de son livre : un destiné à la BNF, un destiné à Electre, un destiné aux archives de Chum éditions.
— L’auteur fixe le prix de son livre en concertation avec Chum Éditions.
— L’auteur s’engage à ne pas facturer de frais de port à ses acheteurs (là, faut m'expliquer : il les prend à sa charge?)
— L’auteur ouvre un compte Paypal, dont il donne le code à Chum afin que ses ventes lui parviennent directement. (Vous n'êtes pas sérieux, là? L'auteur bosse et vous récupérer le fric? Bon, on va être gentil et dire que votre phrase est mal formulée, hein? Mais alors faudrait m'expliquer qu'est-ce-qui sert à quoi et qui à quoi comme pognon...)
— L’auteur fait un don de 150 euros (cent cinquante euros) à l’association (Désolé, mais on n'appelle pas ça un don, mais une PARTICIPATION. Chum Editions se réserve le droit de choisir l’une ou l’autre des solutions.(Ah, lesquelles?)
— L’auteur s’engage à acheter un livre dans le catalogue de chum, via son site internet. (ah, tiens,encore une PARTICIPATION? Et "Chum Editions" se résume à "chum", maintenant?)
— L’auteur n’est pas autorisé à vendre ses livres édités sous chum éditions (ah ben là, on a perdu les majuscules... pas sérieux quand même, surtout qu'il y a une faute d'orthographe plus loin...) sur les plateformes et les librairies en lignes. Seul Chum Éditions peut le faire sur des librairies en ligne accréditées.(Euh, l'auteur a le droit de quoi alors?)
— L’auteur s’engage à chercher dans la périphérie de son domicile deux librairies au moins qui accepteront de prendre en dépôt-vente le catalogue de chum. (alors là, on atteint des sommets : l'auteur se transforme en commercial pour "chum", ou l'art et la manière de prendre les gens pour des truffes, ou plutôt de jouer sur la naïveté de certains auteurs prêts à tout pour voir leur manuscrit édité)
ARTICLE 8 — Statut de l’auteur:
L’auteur fait son affaire de son statut social et fiscal et ne peut en aucun cas rendre Chum Editions responsable de difficultés qu’il rencontrerait avec les administrations. Chum Editions n’est pas commerçant et n’encaisse ni ne reverse aucune somme pour le compte de l’auteur. (je laisse chacun apprécier vu ce qui a été dit plus haut)
ARTICLE 9 — Durée du contrat :
L’auteur reste libre de quitter Chum Éditions quand il le souhaite. Les livres édités sous Chum Éditions restent alors à son catalogue et n’en sortent qu’après accord entre les parties. (et la restitution des droits alors? Et je m'arrête là pour cet article parce que... pfiou...)
Bref, un bien beau contrat (plein de vides ou d'imprécisions) pour lequel l'auteur :
- donne "de bon coeur" 150€ (un don forcé, en quelque sorte)
- doit effectuer la correction de son manuscrit à ses frais
- risque 2500€ de pénalités s'il décide de changer d'avis (ce qui ne figure pas dans les contrats de nombreux "vrais" éditeurs), et je me demande si cela est légal (je me renseignerai sur ce point)
- doit envoyer à ses frais 3 exemplaires de son livre (BNF, Electre, et ô ironie, à Chum)
- doit acheter 1 exemplaire d'un autre livre à Chum
- se transforme en commercial pour Chum gratos (sans compter les frais éventuels de déplacement et le temps que ça va prendre)
Et sinon, aucun article :
- en cas de non respect du contrat ou de manquement de la part de Chum, ni même sur une éventuelle rupture de contrat à l'initiative de Chum
- concernant le mode de tirage des exemplaires (à l'unité à la centaine, etc?)
- sur un quelconque délai, tant sur le "travail" d'édition que sur une date de parution, etc
- concernant de manière claire la rémunération de l'auteur
- sur la durée du contrat (un contrat est TOUJOURS signé pour une durée donnée)
- sur l'éventuelle cession des droits télévisuels ou cinématographiques
Et j'en passe. Sans compter, mais là c'est purement pour la forme, qu'à aucun moment n'est précisé lestaut juridique et/ou social de Chum.
Bref...
Bon (même si mondernier job a été de... enfin non, je ne vais pas le dire), mais dès la première phrase du premier article, bing, source de litige.
"Chum Editions concède à l'auteur le droit de faire imprimer son livre intitulé à ce jour "-------" sous son nom. Il bénéficiera de tous les avantages offerts par l'association."
--> Sous le nom de qui alors, de Chum ou de l'auteur? Et ces avantages alors, quels sont-ils?
Article 2 : "L'auteur garantit toutefois Chum Editions d'une exploitation paisible de la distribution de ses livres"
Paisible...? Mais encore?
Article 3 : mon (presque) préféré : Pour faire court : l'auteur doit fournir un texte exempt de toute faute (grammaire, syntaxe, orthographe) et doit "s'il n'a pas la compétence requise", doit s'engager à le faire corriger à ses frais. Mais bon, qu'il se rassure, c'est écrit juste après, à partir du moment où le manuscrit est accepté, l'auteur se verra attribué un directeur d'ouvrage.
Question bête : il va faire quoi, le directeur d'ouvrage? Contacter la PAO et discuter de la couverture? Faire la mise en page? Quant au 2500 Euros (oui oui ) d'indemnités demandés à titre de compensation pour le "travail d'accompagnement" en cas de rupture du contrat par l'auteur après que le travail sur 1/4 du manuscrit a été effectué (tiens, d'ailleurs, quel travail?)... euh, non, rien. Bon, j'insiste sur le côté "travail d'accompagnement", parce que quand on lit l'article 6, on se demande justement en quoi consiste ce travail...
D'ailleurs, l'article 6, pompeusement appelé : Obligations conséquentes à l’impression sous le nom de Chum Éditions. Je ne résiste pas,je le copie colle en entier (mes commentaires sont entre parenthèses, et en rouge les aberrations pour un contrat digne de ce nom) :
— Chum Éditions fournit à l’auteur ses N° ISBN (ben heureusement, vu que c'est à la portée de n'importe qui puisqu'il faut simplement remplir un formulaire en ligne)
— L’auteur envoie à ses frais 3 exemplaires de son livre : un destiné à la BNF, un destiné à Electre, un destiné aux archives de Chum éditions.
— L’auteur fixe le prix de son livre en concertation avec Chum Éditions.
— L’auteur s’engage à ne pas facturer de frais de port à ses acheteurs (là, faut m'expliquer : il les prend à sa charge?)
— L’auteur ouvre un compte Paypal, dont il donne le code à Chum afin que ses ventes lui parviennent directement. (Vous n'êtes pas sérieux, là? L'auteur bosse et vous récupérer le fric? Bon, on va être gentil et dire que votre phrase est mal formulée, hein? Mais alors faudrait m'expliquer qu'est-ce-qui sert à quoi et qui à quoi comme pognon...)
— L’auteur fait un don de 150 euros (cent cinquante euros) à l’association (Désolé, mais on n'appelle pas ça un don, mais une PARTICIPATION. Chum Editions se réserve le droit de choisir l’une ou l’autre des solutions.(Ah, lesquelles?)
— L’auteur s’engage à acheter un livre dans le catalogue de chum, via son site internet. (ah, tiens,encore une PARTICIPATION? Et "Chum Editions" se résume à "chum", maintenant?)
— L’auteur n’est pas autorisé à vendre ses livres édités sous chum éditions (ah ben là, on a perdu les majuscules... pas sérieux quand même, surtout qu'il y a une faute d'orthographe plus loin...) sur les plateformes et les librairies en lignes. Seul Chum Éditions peut le faire sur des librairies en ligne accréditées.(Euh, l'auteur a le droit de quoi alors?)
— L’auteur s’engage à chercher dans la périphérie de son domicile deux librairies au moins qui accepteront de prendre en dépôt-vente le catalogue de chum. (alors là, on atteint des sommets : l'auteur se transforme en commercial pour "chum", ou l'art et la manière de prendre les gens pour des truffes, ou plutôt de jouer sur la naïveté de certains auteurs prêts à tout pour voir leur manuscrit édité)
ARTICLE 8 — Statut de l’auteur:
L’auteur fait son affaire de son statut social et fiscal et ne peut en aucun cas rendre Chum Editions responsable de difficultés qu’il rencontrerait avec les administrations. Chum Editions n’est pas commerçant et n’encaisse ni ne reverse aucune somme pour le compte de l’auteur. (je laisse chacun apprécier vu ce qui a été dit plus haut)
ARTICLE 9 — Durée du contrat :
L’auteur reste libre de quitter Chum Éditions quand il le souhaite. Les livres édités sous Chum Éditions restent alors à son catalogue et n’en sortent qu’après accord entre les parties. (et la restitution des droits alors? Et je m'arrête là pour cet article parce que... pfiou...)
Bref, un bien beau contrat (plein de vides ou d'imprécisions) pour lequel l'auteur :
- donne "de bon coeur" 150€ (un don forcé, en quelque sorte)
- doit effectuer la correction de son manuscrit à ses frais
- risque 2500€ de pénalités s'il décide de changer d'avis (ce qui ne figure pas dans les contrats de nombreux "vrais" éditeurs), et je me demande si cela est légal (je me renseignerai sur ce point)
- doit envoyer à ses frais 3 exemplaires de son livre (BNF, Electre, et ô ironie, à Chum)
- doit acheter 1 exemplaire d'un autre livre à Chum
- se transforme en commercial pour Chum gratos (sans compter les frais éventuels de déplacement et le temps que ça va prendre)
Et sinon, aucun article :
- en cas de non respect du contrat ou de manquement de la part de Chum, ni même sur une éventuelle rupture de contrat à l'initiative de Chum
- concernant le mode de tirage des exemplaires (à l'unité à la centaine, etc?)
- sur un quelconque délai, tant sur le "travail" d'édition que sur une date de parution, etc
- concernant de manière claire la rémunération de l'auteur
- sur la durée du contrat (un contrat est TOUJOURS signé pour une durée donnée)
- sur l'éventuelle cession des droits télévisuels ou cinématographiques
Et j'en passe. Sans compter, mais là c'est purement pour la forme, qu'à aucun moment n'est précisé lestaut juridique et/ou social de Chum.
Bref...
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
Re: Un éditeur associatif
Vous vous êtes bien amusé ? Avant de se livrer à une telle diatribe il faut lire et relire. mais je vous pardonne, il y a toujours sur le net, des types comme vous, qui cassent parce que ça leur donne de l'importance. J'espère que vous avez un peu bavé de satisfaction, vous savez cette bave qui coule des babines des chiens qui mordent.
Je ne vais pas tout reprendre, c'est inutile, seulement quelques points, parce que vous avez parfois mal lu.
LES DROITS: Chum ne prend pas les droits de auteurs, c'est écrit, par conséquent, l'auteur les cède à qui il veut, quand il veut et reste dans notre catalogue jusqu'à épuisement de son stock.
LE COMPTE PAYPAL : C'est celui de l'auteur qui encaisse directement ses ventes. Donc quand un nouvel auteur achète un livre au catalogue, c'est l'auteur de ce livre qui reçoit le prix sur SON compte paypal
LE DON : forcé ? oui. Une association a besoin de quelques ressources.
Le DO : Il est clair que vous ignorez en quoi ça consiste. Je vous éclaire: Travail (bénévole) qui prend le temps qu'il prend, fonction de la qualité, de la taille etc. Objectif: corriger avec l'auteur des points particuliers de son manuscrit.
regardez comme vous êtes aveuglé par votre envie de nuire :
"Chum Editions concède à l'auteur le droit de faire imprimer son livre intitulé à ce jour "-------" sous son nom. Il bénéficiera de tous les avantages offerts par l'association."
--> Sous le nom de qui alors, de Chum ou de l'auteur? Et ces avantages alors, quels sont-ils?
Sous son nom = celui de Chum Editions, ça ne vous a pas sauté aux yeux que sur un livre il y avait les 2 noms ? Vraiment cette remarque est stupide.
Avantages : ISBN éditeur, inscription dans les BDD des libraires, accompagnement dans la finalisation... le tout pour un don de 150 euros
Voilà je n'irai pas plus avant, les auteurs qui nous rejoignent sont satisfaits et ça nous va comme ça, malgré nos imperfections.
Quand vous aurez compris que CHUM EDITIONS est une entreprise (au sens générique, il vaut mieux préciser) de bonne volonté, qui ne perçoit aucune royaltie, vous aurez fait un pas en avant.
Avant d'écrire ces propos vertigineusement entachés d'erreurs de compréhension, puisque votre exégèse (vous connaissez ce mot?) n'est qu'à charge, essayez de comprendre ce que vous lisez.
Enfin, vous pouvez répondre ce que vous voulez, je ne correspondrai pas avec vous, je ne parle qu'à ceux qui ont un minimum de clairvoyance.
Demi-Tour, ça vous va comme un gant
Je ne vais pas tout reprendre, c'est inutile, seulement quelques points, parce que vous avez parfois mal lu.
LES DROITS: Chum ne prend pas les droits de auteurs, c'est écrit, par conséquent, l'auteur les cède à qui il veut, quand il veut et reste dans notre catalogue jusqu'à épuisement de son stock.
LE COMPTE PAYPAL : C'est celui de l'auteur qui encaisse directement ses ventes. Donc quand un nouvel auteur achète un livre au catalogue, c'est l'auteur de ce livre qui reçoit le prix sur SON compte paypal
LE DON : forcé ? oui. Une association a besoin de quelques ressources.
Le DO : Il est clair que vous ignorez en quoi ça consiste. Je vous éclaire: Travail (bénévole) qui prend le temps qu'il prend, fonction de la qualité, de la taille etc. Objectif: corriger avec l'auteur des points particuliers de son manuscrit.
regardez comme vous êtes aveuglé par votre envie de nuire :
"Chum Editions concède à l'auteur le droit de faire imprimer son livre intitulé à ce jour "-------" sous son nom. Il bénéficiera de tous les avantages offerts par l'association."
--> Sous le nom de qui alors, de Chum ou de l'auteur? Et ces avantages alors, quels sont-ils?
Sous son nom = celui de Chum Editions, ça ne vous a pas sauté aux yeux que sur un livre il y avait les 2 noms ? Vraiment cette remarque est stupide.
Avantages : ISBN éditeur, inscription dans les BDD des libraires, accompagnement dans la finalisation... le tout pour un don de 150 euros
Voilà je n'irai pas plus avant, les auteurs qui nous rejoignent sont satisfaits et ça nous va comme ça, malgré nos imperfections.
Quand vous aurez compris que CHUM EDITIONS est une entreprise (au sens générique, il vaut mieux préciser) de bonne volonté, qui ne perçoit aucune royaltie, vous aurez fait un pas en avant.
Avant d'écrire ces propos vertigineusement entachés d'erreurs de compréhension, puisque votre exégèse (vous connaissez ce mot?) n'est qu'à charge, essayez de comprendre ce que vous lisez.
Enfin, vous pouvez répondre ce que vous voulez, je ne correspondrai pas avec vous, je ne parle qu'à ceux qui ont un minimum de clairvoyance.
Demi-Tour, ça vous va comme un gant
Chum Editions- Date d'inscription : 11/09/2013
Re: Un éditeur associatif
Mon cher Chum (puisque c'est votre pseudo), je sais, vous avez décidé de ne plus correspondre avec moi, je vais donc écrire pour ceux qui voudrons bien me lire, à savoir les membres de ce forum. Je ne suis peut-être "qu'un individu qui casse pour me donner de l'importance" (contrairement à vous qui, in fine, faites la même chose <-- oups, paradoxe...).
Si donner son avis sur votre contrat est vous casser, je pense qu'en fait, oui, il est inutile de dialoguer. Aussi, je ne m'adresse donc pas à vous, mais aux membres du forum (désolé, je me répète, mais il faut excuser mon manque de culture).
Je n'ai pas "mal lu": certains points ne sont pas ou mal précisés, ce qui peut être source de litiges (aussi bien pour l'éditeur que pour l'auteur, mais ça, Chum ne semble pas le comprendre). Certaines des phrases sont si bien formulées que non, une de mes remarques ne m'a pas paru stupide, loin de là, mais il faudrait pour cela accepter certaines remarques.
Pour les droits, et là je me suis peut-être mal exprimé (ce que je reconnais mais ce dont vous êtes incapable), je voulais parler de royalties : j'ai beau relire le CONTRAT, et non pas ce qui est écrit sur le site, ce n'est en rien précisé, ou alors de manière évasive.
Le Do : eh non, désolé de vous l'apprendre, je sais très bien, mais alors là très très bien de quoi je parle (je suis multi-édité à compte d'éditeur, parfois sous pseudo) et j'en connais personnellement.
Le compte Paypal...? Eh bien voilà, j'ai mon explication, mais une fois de plus, la formulation de la phrase est quelque peu maladroite (mais il est vrai que tout le monde aura compris, que je suis le seul, absolument le seul, à mal comprendre une phrase qui prête à confusion)
Le don : oui, désolé, mais ce n'en est pas un s'il est forcé. Il faut appeler un chat, un chat. Je conçois que Chum a des frais de fonctionnement, mais cette somme est une participation.
Le Do : eh non, désolé (encore) de vous l'apprendre, je sais très bien, mais alors là très très bien de quoi je parle (je suis multi-édité à compte d'éditeur, parfois sous pseudo) et j'en connais personnellement.
Maintenant, (je m'adresse à nouveau à vous vu que vous avez lu) avant de vous rouler dans votre condescendance, il faut que vous, de votre côté, vous compreniez bien une chose : ma "diatribe" (c'est bien, vous connaissez le mot <-- désolé, je me mets à votre niveau): les points que je soulève ne visent qu'à mettre en évidence des points flous de votre contrat. Or, sur un contrat, il n'y a pas la place pour la moindre interprétation des termes et des clauses.
D'ailleurs, je note que vous ne répondez pas à mes dernières questions:
Et sinon, aucun article :
- en cas de non respect du contrat ou de manquement de la part de Chum, ni même sur une éventuelle rupture de contrat à l'initiative de Chum (édit : parce que l'auteur, lui doit quand même payer 2500€ dans certains cas...)
- concernant le mode de tirage des exemplaires (à l'unité à la centaine, etc?)
- sur un quelconque délai, tant sur le "travail" d'édition que sur une date de parution, etc
- concernant de manière claire la rémunération de l'auteur (celle-ci est éclaircie puisqu'il y a eu malentendu entre droits d'auteur et royalties)
- sur l'éventuelle cession des droits télévisuels ou cinématographiques (idem)
Enfin, je me réjouis d'une chose : vous n'êtes même pas capable de répondre de manière sereine, calme et responsable, à des remarques certes acerbes, mais justifiées (et pas qu'à mes yeux). Si on était entre gosses, on dirait "qu'il n'y a que la vérité qui fâche", mais bon, on est adulte, hein?
Le monde de l'édition et tout ce qui l'entoure est vérolé d'individus peu scrupuleux, et nombre d'entre nous ont été floués (ou ont été sur le point de l'être) par des "éditeurs" blindés de "bonnes intentions". Comprenez donc la méfiance de certains, dont moi.
Bref, j'attends encore et toujours vos réponses à mes dernières questions (celle en italique), qu'un membre ne manquera pas de vous répéter puisque vous ne m'avez pas lu.
(ps: vos pseudos figures de style m'ont bien fait marrer, si si)
Si donner son avis sur votre contrat est vous casser, je pense qu'en fait, oui, il est inutile de dialoguer. Aussi, je ne m'adresse donc pas à vous, mais aux membres du forum (désolé, je me répète, mais il faut excuser mon manque de culture).
Je n'ai pas "mal lu": certains points ne sont pas ou mal précisés, ce qui peut être source de litiges (aussi bien pour l'éditeur que pour l'auteur, mais ça, Chum ne semble pas le comprendre). Certaines des phrases sont si bien formulées que non, une de mes remarques ne m'a pas paru stupide, loin de là, mais il faudrait pour cela accepter certaines remarques.
Pour les droits, et là je me suis peut-être mal exprimé (ce que je reconnais mais ce dont vous êtes incapable), je voulais parler de royalties : j'ai beau relire le CONTRAT, et non pas ce qui est écrit sur le site, ce n'est en rien précisé, ou alors de manière évasive.
Le Do : eh non, désolé de vous l'apprendre, je sais très bien, mais alors là très très bien de quoi je parle (je suis multi-édité à compte d'éditeur, parfois sous pseudo) et j'en connais personnellement.
Le compte Paypal...? Eh bien voilà, j'ai mon explication, mais une fois de plus, la formulation de la phrase est quelque peu maladroite (mais il est vrai que tout le monde aura compris, que je suis le seul, absolument le seul, à mal comprendre une phrase qui prête à confusion)
Le don : oui, désolé, mais ce n'en est pas un s'il est forcé. Il faut appeler un chat, un chat. Je conçois que Chum a des frais de fonctionnement, mais cette somme est une participation.
Le Do : eh non, désolé (encore) de vous l'apprendre, je sais très bien, mais alors là très très bien de quoi je parle (je suis multi-édité à compte d'éditeur, parfois sous pseudo) et j'en connais personnellement.
Maintenant, (je m'adresse à nouveau à vous vu que vous avez lu) avant de vous rouler dans votre condescendance, il faut que vous, de votre côté, vous compreniez bien une chose : ma "diatribe" (c'est bien, vous connaissez le mot <-- désolé, je me mets à votre niveau): les points que je soulève ne visent qu'à mettre en évidence des points flous de votre contrat. Or, sur un contrat, il n'y a pas la place pour la moindre interprétation des termes et des clauses.
D'ailleurs, je note que vous ne répondez pas à mes dernières questions:
Et sinon, aucun article :
- en cas de non respect du contrat ou de manquement de la part de Chum, ni même sur une éventuelle rupture de contrat à l'initiative de Chum (édit : parce que l'auteur, lui doit quand même payer 2500€ dans certains cas...)
- concernant le mode de tirage des exemplaires (à l'unité à la centaine, etc?)
- sur un quelconque délai, tant sur le "travail" d'édition que sur une date de parution, etc
- concernant de manière claire la rémunération de l'auteur (celle-ci est éclaircie puisqu'il y a eu malentendu entre droits d'auteur et royalties)
- sur l'éventuelle cession des droits télévisuels ou cinématographiques (idem)
Enfin, je me réjouis d'une chose : vous n'êtes même pas capable de répondre de manière sereine, calme et responsable, à des remarques certes acerbes, mais justifiées (et pas qu'à mes yeux). Si on était entre gosses, on dirait "qu'il n'y a que la vérité qui fâche", mais bon, on est adulte, hein?
Le monde de l'édition et tout ce qui l'entoure est vérolé d'individus peu scrupuleux, et nombre d'entre nous ont été floués (ou ont été sur le point de l'être) par des "éditeurs" blindés de "bonnes intentions". Comprenez donc la méfiance de certains, dont moi.
Bref, j'attends encore et toujours vos réponses à mes dernières questions (celle en italique), qu'un membre ne manquera pas de vous répéter puisque vous ne m'avez pas lu.
(ps: vos pseudos figures de style m'ont bien fait marrer, si si)
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
Re: Un éditeur associatif
Si vous aviez pris la peine de lire les échanges précédents vous auriez lu:Demi-Tour a écrit:D'ailleurs, je note que vous ne répondez pas à mes dernières questions:
Et sinon, aucun article :
- en cas de non respect du contrat ou de manquement de la part de Chum, ni même sur une éventuelle rupture de contrat à l'initiative de Chum (édit : parce que l'auteur, lui doit quand même payer 2500€ dans certains cas...)
- concernant le mode de tirage des exemplaires (à l'unité à la centaine, etc?)
- sur un quelconque délai, tant sur le "travail" d'édition que sur une date de parution, etc
- concernant de manière claire la rémunération de l'auteur (celle-ci est éclaircie puisqu'il y a eu malentendu entre droits d'auteur et royalties)
- sur l'éventuelle cession des droits télévisuels ou cinématographiques (idem)
- que les quantités imprimées sont au choix de l'auteur
- que les 2500 euros sont là pour dissuader des petits malins embusqués de nous laisser faire le travail d'accompagnement pour ensuite filer à l'anglaise
- que la parution a lieu une fois le travail achevé, travail qui prend un.... certain temps, les auteurs ont souvent un travail par ailleurs.
Afin que ceux qui lisent ces messages aient ces précisions.
Chum Editions- Date d'inscription : 11/09/2013
Re: Un éditeur associatif
Tiens, vous m'avez lu...?
Bon, je vais vous la faire simple : je me moque bien que ce soit écrit sur un forum, en haut de la Tour Eiffel ou des les toilettes des bars, car ce n'est pas écrit sur votre contrat, et en cas de litiges, ce sont les termes et clauses du contrat qui entrent en vigueur. En l'occurrence, certains points restent flous et vous ne fournissez aucune information.
Pour les quantités imprimées, effectivement, mea culpa, l'article 5 le précise, mais... que se passe-t-il en cas de rupture du contrat par Chum? Même s'il semble peu probable qu'une rupture soit à votre initiative, parce que ce serait idiot après avoir travaillé sur un manuscrit), ce cas n'est pas inenvisageable (ne serait-ce par exemple que si un DO vous lâche).
De même, que se passe-t-il si l'auteur ne juge pas votre travail satisfaisant? (de façon motivée, s'entend, pas pour un caca nerveux).
Que se passe-t-il d'ailleurs si Chum et l'auteur ne s'entendent pas sur le prix de vente (par exemple)?
Bref, autant de questions qui devraient trouver leurs réponses dans le contrat (et que donc on ne devrait pas être amené à se poser).
De même, votre article 9 (l'auteur a le droit de quitter Chum quand il le souhaite) contredit l'article 3 (2500€ de pénalités en cas de rupture du contrat par l'auteur si au moins 1/4 du travail sur le manuscrit est achevé).
Enfin, "un certain temps", juridiquement parlant, ça n'existe pas.
Vous rendez-vous compte des incompréhensions et des vides - et donc autant de sources de litiges - que cela représente? Parce que les "il est sous-entendu que", les "vous devriez comprendre que", les "cela semble clair", et pire que tout, les "il est évident que" ne tiennent pas face à un tribunal (et cela fonctionne aussi bien dans votre sens que dans dans celui de l'auteur).
Mon dernier contrat (compte d'éditeur) fait plus de 20 pages, écrites en tout petits caractères. Certes, le statut de mon éditeur n'est pas le même que le vôtre, et la finalité du contrat non plus, mais tout de même. Mais à la lecture d'un tel contrat, je sais à quoi m'en tenir (en voici un modèle type, en espérant que le lien marche : CONTRAT TYPE)
Mon avis, qui n'engage que moi, est qu'il est inacceptable de demander à un auteur de démarcher des librairies pour vous (mais libre à lui de le faire à titre personnel, c'est vrai); que le "don" de 150€ n'en est pas un puisque forcé, même s'il est là pour financer vos coups de fonctionnement; que l'auteur, finalement, n'a aucune garantie de "bon achèvement" de son oeuvre, et qu'en tout état de cause, le contrat met en avant ses devoirs et obligations mais aucunement celles et ceux de Chum.
Bref, ma "diatribe" n'a d'autre but que de pointer les vides et/ou les sources de litiges de votre contrat.
Maintenant, si donner son avis et pointer du doigt certains point tendancieux provoque chez vous une irrépressible montée de bile, si vous ne vous posez pas la question de savoir pourquoi votre contrat est interprété de telle ou telle manière, je pense qu'effectivement, le dialogue va tourner court.
Je suis loin d'avoir la science infuse, mais mes remarques sont beaucoup plus pertinentes que vous le pensez (je vous dirai un jour pourquoi... peut-être).
Bon, je vais vous la faire simple : je me moque bien que ce soit écrit sur un forum, en haut de la Tour Eiffel ou des les toilettes des bars, car ce n'est pas écrit sur votre contrat, et en cas de litiges, ce sont les termes et clauses du contrat qui entrent en vigueur. En l'occurrence, certains points restent flous et vous ne fournissez aucune information.
Pour les quantités imprimées, effectivement, mea culpa, l'article 5 le précise, mais... que se passe-t-il en cas de rupture du contrat par Chum? Même s'il semble peu probable qu'une rupture soit à votre initiative, parce que ce serait idiot après avoir travaillé sur un manuscrit), ce cas n'est pas inenvisageable (ne serait-ce par exemple que si un DO vous lâche).
De même, que se passe-t-il si l'auteur ne juge pas votre travail satisfaisant? (de façon motivée, s'entend, pas pour un caca nerveux).
Que se passe-t-il d'ailleurs si Chum et l'auteur ne s'entendent pas sur le prix de vente (par exemple)?
Bref, autant de questions qui devraient trouver leurs réponses dans le contrat (et que donc on ne devrait pas être amené à se poser).
De même, votre article 9 (l'auteur a le droit de quitter Chum quand il le souhaite) contredit l'article 3 (2500€ de pénalités en cas de rupture du contrat par l'auteur si au moins 1/4 du travail sur le manuscrit est achevé).
Enfin, "un certain temps", juridiquement parlant, ça n'existe pas.
Vous rendez-vous compte des incompréhensions et des vides - et donc autant de sources de litiges - que cela représente? Parce que les "il est sous-entendu que", les "vous devriez comprendre que", les "cela semble clair", et pire que tout, les "il est évident que" ne tiennent pas face à un tribunal (et cela fonctionne aussi bien dans votre sens que dans dans celui de l'auteur).
Mon dernier contrat (compte d'éditeur) fait plus de 20 pages, écrites en tout petits caractères. Certes, le statut de mon éditeur n'est pas le même que le vôtre, et la finalité du contrat non plus, mais tout de même. Mais à la lecture d'un tel contrat, je sais à quoi m'en tenir (en voici un modèle type, en espérant que le lien marche : CONTRAT TYPE)
Mon avis, qui n'engage que moi, est qu'il est inacceptable de demander à un auteur de démarcher des librairies pour vous (mais libre à lui de le faire à titre personnel, c'est vrai); que le "don" de 150€ n'en est pas un puisque forcé, même s'il est là pour financer vos coups de fonctionnement; que l'auteur, finalement, n'a aucune garantie de "bon achèvement" de son oeuvre, et qu'en tout état de cause, le contrat met en avant ses devoirs et obligations mais aucunement celles et ceux de Chum.
Bref, ma "diatribe" n'a d'autre but que de pointer les vides et/ou les sources de litiges de votre contrat.
Maintenant, si donner son avis et pointer du doigt certains point tendancieux provoque chez vous une irrépressible montée de bile, si vous ne vous posez pas la question de savoir pourquoi votre contrat est interprété de telle ou telle manière, je pense qu'effectivement, le dialogue va tourner court.
Je suis loin d'avoir la science infuse, mais mes remarques sont beaucoup plus pertinentes que vous le pensez (je vous dirai un jour pourquoi... peut-être).
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
Re: Un éditeur associatif
Ce ne sont pas vos remarques qui me gênent, c'est la façon dont vous les avez exprimées.
La forme compte autant que le fond, tous les auteurs le savent.
La forme compte autant que le fond, tous les auteurs le savent.
Chum Editions- Date d'inscription : 11/09/2013
Re: Un éditeur associatif
Demi-Tour a écrit:Tiens, vous m'avez lu...?Comme nous sommes des gens sérieux et responsables, un autre le remplacera.mais... que se passe-t-il en cas de rupture du contrat par Chum? Même s'il semble peu probable qu'une rupture soit à votre initiative, parce que ce serait idiot après avoir travaillé sur un manuscrit), ce cas n'est pas inenvisageable (ne serait-ce par exemple que si un DO vous lâche).Je vous ai dit que nous travaillons avec l'auteurDe même, que se passe-t-il si l'auteur ne juge pas votre travail satisfaisant? (de façon motivée, s'entend, pas pour un caca nerveux).Il y a une grille et l'accord est préalableQue se passe-t-il d'ailleurs si Chum et l'auteur ne s'entendent pas sur le prix de vente (par exemple)?Ca ne peut s'entendre qu'une fois le livre imprimé, on peut le préciserDe même, votre article 9 (l'auteur a le droit de quitter Chum quand il le souhaite) contredit l'article 3 (2500€ de pénalités en cas de rupture du contrat par l'auteur si au moins 1/4 du travail sur le manuscrit est achevé).Vous voulez quoi que nous mettions dix ans, pour être sûrs d'être dans les clous ?Enfin, "un certain temps", juridiquement parlant, ça n'existe pas.Ces questions concerneront notre avocat si le cas se présentait. Pas vous, en quoi ça vous concerne? vous êtes le chevalier blanc de l'édition?Vous rendez-vous compte des incompréhensions et des vides - et donc autant de sources de litiges - que cela représente? Parce que les "il est sous-entendu que", les "vous devriez comprendre que", les "cela semble clair", et pire que tout, les "il est évident que" ne tiennent pas face à un tribunal (et cela fonctionne aussi bien dans votre sens que dans dans celui de l'auteur).Oui, mais nous nous faisons simple parce que nos auteurs sont libresMon dernier contrat (compte d'éditeur) fait plus de 20 pages, écrites en tout petits caractères. Certes, le statut de mon éditeur n'est pas le même que le vôtre, et la finalité du contrat non plus, mais tout de même. Mais à la lecture d'un tel contrat, je sais à quoi m'en tenir (en voici un modèle type, en espérant que le lien marche : CONTRAT TYPE)Vous n'avez toujours pas compris: ASSOCIATION= ENTRAIDE = SOLIDARITE = SECTEUR NON MARCHANDMon avis, qui n'engage que moi, est qu'il est inacceptable de demander à un auteur de démarcher des librairies pour vous (mais libre à lui de le faire à titre personnel, c'est vrai);
CHUM signifie : copain, ami....Si tel était le cas nous devrions demander aux auteurs une participation bien plus conséquentes pour financer les obligations dont vous parlez. Ce n'est pas notre projetque le "don" de 150€ n'en est pas un puisque forcé, même s'il est là pour financer vos coups de fonctionnement; que l'auteur, finalement, n'a aucune garantie de "bon achèvement" de son oeuvre, et qu'en tout état de cause, le contrat met en avant ses devoirs et obligations mais aucunement celles et ceux de Chum.
Maintenant, si donner son avis et pointer du doigt certains point tendancieux provoque chez vous une irrépressible montée de bile, si vous ne vous posez pas la question de savoir pourquoi votre contrat est interprété de telle ou telle manière, je pense qu'effectivement, le dialogue va tourner court.J'avais noté.Je suis loin d'avoir la science infuse,Vous ne savez rien de ce que je pense. En général je bavarde avec des gens qui n'agressent pas d'entrée.mais mes remarques sont beaucoup plus pertinentes que vous le pensez.
Vous avez tenté de tordre le cou à notre contrat (vous aurez remarqué que nous l'avons annoncé anti-contrat, ce n'est pas par hasard, 20 pages indigestes pour couvrir l'éditeur, c'est hors de notre champ de vision, un truc pareil) qui présente des failles (encore que...), des imprécisions. Mais nous sommes chez Chum entre gens de bonne compagnie.
Et rien, pas un mot, sur notre projet, seulement un doigt pointé, sentencieux. Comment voulez-vous débattre dans ces conditions là?
Chum Editions- Date d'inscription : 11/09/2013
Re: Un éditeur associatif
Merci pour cette première réponse !
Je n'ai pas l'expérience de Demi Tour pour ce qui concerne le monde de l'édition et je vais donc me baser sur les arcanes de votre contrat....Certains points me laissent dans l'expectative.
Pour la partie "Finances":
Une fois que l'ouvrage a passé le contrôle du comité de lecture, il reste à vous envoyer 150 euros (le don) + 2500 euros (si désistement après que 1/4 du travail de préparation soit commencé) + les frais d'impression relatifs au nombre d'ouvrages choisis + les éventuels frais de correction....Est-ce exact ?
Revenons sur les 2500 euros....Sont-ils remboursés si l'auteur ne se désiste pas ?.....Le contrat n'évoque pas ce cas de figure.
Pour la partie "Distribution":
L'ouvrage, une fois imprimé, va figurer dans le catalogue de Chum Editions et tout un chacun pourra l'acheter (utilité du compte Paypal).
L'auteur, quant lui se chargera de la distribution et devra trouver "deux librairies au moins qui accepteront de prendre en dépôt-vente le catalogue de chum".
Dites-moi si cette lecture vous paraît correcte sans oublier ma question.
Je n'ai pas l'expérience de Demi Tour pour ce qui concerne le monde de l'édition et je vais donc me baser sur les arcanes de votre contrat....Certains points me laissent dans l'expectative.
Pour la partie "Finances":
Une fois que l'ouvrage a passé le contrôle du comité de lecture, il reste à vous envoyer 150 euros (le don) + 2500 euros (si désistement après que 1/4 du travail de préparation soit commencé) + les frais d'impression relatifs au nombre d'ouvrages choisis + les éventuels frais de correction....Est-ce exact ?
Revenons sur les 2500 euros....Sont-ils remboursés si l'auteur ne se désiste pas ?.....Le contrat n'évoque pas ce cas de figure.
Pour la partie "Distribution":
L'ouvrage, une fois imprimé, va figurer dans le catalogue de Chum Editions et tout un chacun pourra l'acheter (utilité du compte Paypal).
L'auteur, quant lui se chargera de la distribution et devra trouver "deux librairies au moins qui accepteront de prendre en dépôt-vente le catalogue de chum".
Dites-moi si cette lecture vous paraît correcte sans oublier ma question.
surfeur- Date d'inscription : 29/05/2013
Re: Un éditeur associatif
(J'ai mis mes réponses en gras)
Chum Editions a écrit:Demi-Tour a écrit:Tiens, vous m'avez lu...?Comme nous sommes des gens sérieux et responsables, un autre le remplacera.mais... que se passe-t-il en cas de rupture du contrat par Chum? Même s'il semble peu probable qu'une rupture soit à votre initiative, parce que ce serait idiot après avoir travaillé sur un manuscrit), ce cas n'est pas inenvisageable (ne serait-ce par exemple que si un DO vous lâche).
Que se passe-t-il alors si la rupture est tout de même à votre initiative pour x raison? (je peux vous en trouvez,s i vous voulez, et votre bonne volonté ne serait pas forcément remise en cause)Je vous ai dit que nous travaillons avec l'auteurDe même, que se passe-t-il si l'auteur ne juge pas votre travail satisfaisant? (de façon motivée, s'entend, pas pour un caca nerveux).
Oui, c'est bien beau, mais vous ne me répondez pas. Je vais donc prendre un exemple concret : vous jugez qu'un passage du livre doit être reformulé, ou effacé car tendancieux (ou dieu sait quoi), mais l'auteur, lui, refuse. Il se passe quoi?Il y a une grille et l'accord est préalableQue se passe-t-il d'ailleurs si Chum et l'auteur ne s'entendent pas sur le prix de vente (par exemple)?
Peut-être alors faudrait-il le préciser dans votre contrat, non? Et accord préalable à quoi? à la signature du contrat, à la signature du BAT?Ca ne peut s'entendre qu'une fois le livre imprimé, on peut le préciserDe même, votre article 9 (l'auteur a le droit de quitter Chum quand il le souhaite) contredit l'article 3 (2500€ de pénalités en cas de rupture du contrat par l'auteur si au moins 1/4 du travail sur le manuscrit est achevé).
Ce serait en effet plus clairVous voulez quoi que nous mettions dix ans, pour être sûrs d'être dans les clous ?Enfin, "un certain temps", juridiquement parlant, ça n'existe pas.
Je m'en moque, mais la loi est la loi : tout contrat doit comporter une durée.
Pourquoi? Parce qu'imaginons que je signe avec vous (ce qui n'arrivera jamais, on est d'accord) aujourd'hui 19 septembre. Vous m'assignez un DO, on va dire allez, le 30 septembre. Un an plus tard, je n'ai toujours pas mon livre... On va alors me répondre gentiment : "ah mais attendez, monsieur, il n'y a aucun délai de précisé." Mais du coup, mon texte, il est tout de même chez vous et je ne peux pas le soumettre à d'autres éditeurs.Ces questions concerneront notre avocat si le cas se présentait. Pas vous, en quoi ça vous concerne? vous êtes le chevalier blanc de l'édition?Vous rendez-vous compte des incompréhensions et des vides - et donc autant de sources de litiges - que cela représente? Parce que les "il est sous-entendu que", les "vous devriez comprendre que", les "cela semble clair", et pire que tout, les "il est évident que" ne tiennent pas face à un tribunal (et cela fonctionne aussi bien dans votre sens que dans dans celui de l'auteur).
Moi? Oh non, je n'ai pas cette prétention. Mais l'expérience des litiges finissant devant les tribunaux, si.
En l'occurrence, une fois de plus, vous ne me répondez pas : vous rendez compte de ce que ces "vides" impliquent? Et soit dit en passant, si vous aviez le moindre recul, vous vous rendriez compte que cela put servir aussi bien les intérêts de l'auteur face à vous, que vous face à l'auteur. Mais ça, visiblement...
Alors oui, vous avez raison, cela ne me concerne pas. Mais si une personne de ce forum (ou de mes connaissances, le monde des auteurs est très vaste) venait à se retrouver en situation litigieuse, je me sentirai concerné. C'est un peu cela, la solidarité (vous savez, ce que vous défendez).Oui, mais nous nous faisons simple parce que nos auteurs sont libresMon dernier contrat (compte d'éditeur) fait plus de 20 pages, écrites en tout petits caractères. Certes, le statut de mon éditeur n'est pas le même que le vôtre, et la finalité du contrat non plus, mais tout de même. Mais à la lecture d'un tel contrat, je sais à quoi m'en tenir (en voici un modèle type, en espérant que le lien marche : CONTRAT TYPE)
Peut-être trop simple, justement. Et il ne faut pas confondre simplicité et manque de précisions.Vous n'avez toujours pas compris: ASSOCIATION= ENTRAIDE = SOLIDARITE = SECTEUR NON MARCHANDMon avis, qui n'engage que moi, est qu'il est inacceptable de demander à un auteur de démarcher des librairies pour vous (mais libre à lui de le faire à titre personnel, c'est vrai);
CHUM signifie : copain, ami....
Si, j'ai très bien compris. Et d'ailleurs, cela entraine une question (oui, encore une) : que se passe-t-il si l'auteur ne démarche pas les libraires et/ou ne réussit pas à faire accepter ce qu'il doit faire accepter?Si tel était le cas nous devrions demander aux auteurs une participation bien plus conséquentes pour financer les obligations dont vous parlez. Ce n'est pas notre projetque le "don" de 150€ n'en est pas un puisque forcé, même s'il est là pour financer vos coups de fonctionnement; que l'auteur, finalement, n'a aucune garantie de "bon achèvement" de son oeuvre, et qu'en tout état de cause, le contrat met en avant ses devoirs et obligations mais aucunement celles et ceux de Chum.
Définition du Larousse pour DON : Action de donner, de céder quelque chose que l'on possède et, en particulier, action de donner de l'argent à quelqu'un, à une institution, une œuvre ; chose ou somme ainsi donnée, cadeau : Un don de mille euros.
Oui oui, un cadeau, pas "offert" de manière forcée.J'avais noté.Je suis loin d'avoir la science infuse,
Vous non plus, je vous rassure, surtout que certaines questions sont encore et toujours en suspens.Vous ne savez rien de ce que je pense. En général je bavarde avec des gens qui n'agressent pas d'entrée.mais mes remarques sont beaucoup plus pertinentes que vous le pensez.
Si si, je sais ce que vous pensez de moi, vous me l'avez dit dans les messages précédents.
Vous avez tenté de tordre le cou à notre contrat (vous aurez remarqué que nous l'avons annoncé anti-contrat, ce n'est pas par hasard, 20 pages indigestes pour couvrir l'éditeur, c'est hors de notre champ de vision, un truc pareil) qui présente des failles (encore que...), des imprécisions. Mais nous sommes chez Chum entre gens de bonne compagnie.
Ah, tiens, vous reconnaissez vos failles et vos imprécisions? On avance...
Bonne compagnie...? Oui, mais on m'a trop souvent confiance à des gens de bonne compagnie. Allons, cela ne vous est jamais arrivé d'avoir fait confiance et finalement d'être pris pour un c...?
Quant à l'idée de tordre le cou à votre contrat... Je n'ai fait que pointer du doigt des incohérences et, je le répète, donner mon avis sur certaines clauses qui me semblent aberrantes (ou alors méritant d'être expliquer de manière beaucoup plus claire pour qu'il n'y ait pas de malentendus).
Et je le répète (là aussi) : un contrat bancal est source de litiges. Mais, même si cela ne regardera que votre avocat, ne pensez-vous pas que comme le dit le proverbe, prudence est mère de sûreté, et sera beaucoup plus rassurant pour un auteur?
Et rien, pas un mot, sur notre projet, seulement un doigt pointé, sentencieux. Comment voulez-vous débattre dans ces conditions là?
Ah mais pour l'instant, plus qu'un débat, je cherche avant tout des explications et des informations (que j'attends toujours, soit dit en passant). Parce que débattre dans le vide ou sur des doutes, ce n'est pas mon truc. Et la vie m'a appris à être méfiant et à ne plus faire confiance du premier coup.
Mais bon, puisque vous posez la question (et pour faire une réponse très rapide) : tel que vous en parlez, cela semble intéressant (même si je considère certaines clauses déplacées). Le problème est que dès qu'on creuse, on se heurte à des doutes, dus principalement à des imprécisions ou des vides sur le contrat, ou au fait que vous ne répondez pas toujours de manière précise aux questions (voire que vous n'y répondez pas), parce que la plupart du temps vous parlez d'honnêteté et de bonne volonté. Or, un contrat, ce sont des termes et des clauses précis, pas des tapes amicales sur l'épaule, si vous voyez ce que je veux dire.
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
Re: Un éditeur associatif
Les 2500€ sont une pénalité au cas où l'auteur se désiste. L'auteur ne les verse donc qu'en cas de désistement de sa part, pas avant (donc si tout va bien l'auteur ne les verse jamais).surfeur a écrit: Merci pour cette première réponse !
Je n'ai pas l'expérience de Demi Tour pour ce qui concerne le monde de l'édition et je vais donc me baser sur les arcanes de votre contrat....Certains points me laissent dans l'expectative.
Pour la partie "Finances":
Une fois que l'ouvrage a passé le contrôle du comité de lecture, il reste à vous envoyer 150 euros (le don) + 2500 euros (si désistement après que 1/4 du travail de préparation soit commencé) + les frais d'impression relatifs au nombre d'ouvrages choisis + les éventuels frais de correction....Est-ce exact ?
Revenons sur les 2500 euros....Sont-ils remboursés si l'auteur ne se désiste pas ?.....Le contrat n'évoque pas ce cas de figure.
Pour les frais de corrections, il n'y en a pas chez Chum, puisque l'auteur doit présenter un manuscrit "propre". Le travail du DO (du moins ceux avec lesquels j'ai travaillé) consiste à relever les dernières fautes qui seraient passées à la trappe, à rendre le manuscrit plus lisible (tournures maladroites, incohérence de certains passages, proposer des alternatives à certains mots pour améliorer le récit ou éviter des répétitions, etc) et à le préparer à l'édition.
Quant aux 150€ (qui sont plus une participation forfaitaire qu'un don), ils servent à financer le fonctionnement de Chum (ce que je comprend, mais il ne faut pas appeler cela un don).
Il ne faut pas oublier, dans ses dépenses, le fait que l'auteur doit envoyer 3 exemplaires (BNF, Chum et je ne sais plus qui), ce qui doit représenter environ 50€ pour un livre à 15€ (3 x 15, plus les frais postaux).
Personnellement, j'ai noté cet (autre) manque de précision concernant le mot "catalogue", sans pour autant en parler parce qu'il y a encore bien d'autres choses (ne serait-ce que, justement, on ne sait pas ce qui est sous-entendu par "catalogue").surfeur a écrit:
Pour la partie "Distribution":
L'ouvrage, une fois imprimé, va figurer dans le catalogue de Chum Editions et tout un chacun pourra l'acheter (utilité du compte Paypal).
L'auteur, quant lui se chargera de la distribution et devra trouver "deux librairies au moins qui accepteront de prendre en dépôt-vente le catalogue de chum".
Dites-moi si cette lecture vous paraît correcte sans oublier ma question.
Ce qui me rassure, c'est que je ne suis pas le seul à trouver des sources de litiges; ce qui me rassure moins, c'est que le travail d'un éditeur (et plus particulièrement d'un DO) est de faire un sorte que le manuscrit qui lui est confié ne présente pas ce genre de tournures prêtant à confusion... pour que le lecteur comprenne correctement le texte, mais que quand moi je pointe des imprécisions ou des manques, c'est que je cherche à "tordre le cou" à ce contrat.
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
Re: Un éditeur associatif
Je vais en finir avec Demi-Tour qui ne sait que harceler. Basta. Monsieur, vous êtes bien trop sentencieux, diseur de bonne aventure pour qu'il soit possible de débattre de quoi que ce soit avec vous. J'en resterai donc là.
Je vous le répète, quand la forme n'y est pas, le fond ne vaut plus rien.
Mais j'ai noté cette réplique qui montre qu'il n' a rien compris, ne lit que ce qu'il veut bien lire et dont le propos est surtout de détruire une initiative :
Regardez ci-dessous, je le cite :
"Je m'en moque, mais la loi est la loi : tout contrat doit comporter une durée.
Pourquoi? Parce qu'imaginons que je signe avec vous (ce qui n'arrivera jamais, on est d'accord) aujourd'hui 19 septembre. Vous m'assignez un DO, on va dire allez, le 30 septembre. Un an plus tard, je n'ai toujours pas mon livre... On va alors me répondre gentiment : "ah mais attendez, monsieur, il n'y a aucun délai de précisé." Mais du coup, mon texte, il est tout de même chez vous et je ne peux pas le soumettre à d'autres éditeurs."
**** Aucun auteur ne nous cède ses droits ****
Je propose à Demi-Tour de le copier 500 fois, afin qu'il s'en souvienne.
Je vous le répète, quand la forme n'y est pas, le fond ne vaut plus rien.
Mais j'ai noté cette réplique qui montre qu'il n' a rien compris, ne lit que ce qu'il veut bien lire et dont le propos est surtout de détruire une initiative :
Regardez ci-dessous, je le cite :
"Je m'en moque, mais la loi est la loi : tout contrat doit comporter une durée.
Pourquoi? Parce qu'imaginons que je signe avec vous (ce qui n'arrivera jamais, on est d'accord) aujourd'hui 19 septembre. Vous m'assignez un DO, on va dire allez, le 30 septembre. Un an plus tard, je n'ai toujours pas mon livre... On va alors me répondre gentiment : "ah mais attendez, monsieur, il n'y a aucun délai de précisé." Mais du coup, mon texte, il est tout de même chez vous et je ne peux pas le soumettre à d'autres éditeurs."
**** Aucun auteur ne nous cède ses droits ****
Je propose à Demi-Tour de le copier 500 fois, afin qu'il s'en souvienne.
Chum Editions- Date d'inscription : 11/09/2013
Re: Un éditeur associatif
Il reste de beaux jours à la psychanalyse. Là, on touche le fond et on voit nettement la volonté de nuire.Demi-Tour a écrit:
Personnellement, j'ai noté cet (autre) manque de précision concernant le mot "catalogue", sans pour autant en parler parce qu'il y a encore bien d'autres choses (ne serait-ce que, justement, on ne sait pas ce qui est sous-entendu par "catalogue").
Je vous renvoie au Larousse pour la définition de catalogue qui en gros signifie "liste de produits, d'articles".
Si votre comportement n'étant pas aussi détestable, je crois que j'en aurais ri !
Chum Editions- Date d'inscription : 11/09/2013
Re: Un éditeur associatif
Vous vous obstinez à ne pas me répondre à certaines de mes questions.
C'est dommage.
Je reprends mon exemple (parce que je suis peut-être têtu, mais vous êtes soit un maitre, soit vous y mettez de la mauvaise volonté : ) : mon texte est chez vous, et ô hasard, le travail d'édition est avancé à 1/3 (ce qui me vaut une pénalité de 2500€ si je dois rompre le contrat). Mais voilà, plus rien n'avance, ou un éditeur à qui j'ai envoyé mon manuscrit et qui a tardé à me répondre (ce qui est monnaie courante), me propose un contrat d'édition à compte d'éditeur.
Il se passe quoi? Je vous verse 2500€ pour "récupérer" mon texte? (notez les guillemets). Parce que même si aucun auteur ne vous cède ses droits, il reste cette pénalité (et en cas d'éventuelle réponse de votre part, merci de ne pas me dire ce que vous feriez, mais où cela est écrit dans votre contrat). Et aucun éditeur n'acceptera d'éditer un livre qui va être édité par un autre éditeur. Donc, du coup, je dois bien rompre le contrat, non? Et donc, les 2500€, si le 1/4 de travail est passé...?
C'est dommage.
Je reprends mon exemple (parce que je suis peut-être têtu, mais vous êtes soit un maitre, soit vous y mettez de la mauvaise volonté : ) : mon texte est chez vous, et ô hasard, le travail d'édition est avancé à 1/3 (ce qui me vaut une pénalité de 2500€ si je dois rompre le contrat). Mais voilà, plus rien n'avance, ou un éditeur à qui j'ai envoyé mon manuscrit et qui a tardé à me répondre (ce qui est monnaie courante), me propose un contrat d'édition à compte d'éditeur.
Il se passe quoi? Je vous verse 2500€ pour "récupérer" mon texte? (notez les guillemets). Parce que même si aucun auteur ne vous cède ses droits, il reste cette pénalité (et en cas d'éventuelle réponse de votre part, merci de ne pas me dire ce que vous feriez, mais où cela est écrit dans votre contrat). Et aucun éditeur n'acceptera d'éditer un livre qui va être édité par un autre éditeur. Donc, du coup, je dois bien rompre le contrat, non? Et donc, les 2500€, si le 1/4 de travail est passé...?
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
Re: Un éditeur associatif
surfeur a écrit:Merci pour cette première réponse !Surfeur, je vous réponds bien volontiers. Demi-Tour nous a encore montré sa volonté destructrice en répondant à des questions qui ne lui étaient pas adressées.
Je n'ai pas l'expérience de Demi Tour pour ce qui concerne le monde de l'édition et je vais donc me baser sur les arcanes de votre contrat....Certains points me laissent dans l'expectative.
Pour la partie "Finances":
Une fois que l'ouvrage a passé le contrôle du comité de lecture, il reste à vous envoyer 150 euros (le don) + 2500 euros (si désistement après que 1/4 du travail de préparation soit commencé) + les frais d'impression relatifs au nombre d'ouvrages choisis + les éventuels frais de correction....Est-ce exact ?
Revenons sur les 2500 euros....Sont-ils remboursés si l'auteur ne se désiste pas ?.....Le contrat n'évoque pas ce cas de figure.
Pour la partie "Distribution":
L'ouvrage, une fois imprimé, va figurer dans le catalogue de Chum Editions et tout un chacun pourra l'acheter (utilité du compte Paypal).
L'auteur, quant lui se chargera de la distribution et devra trouver "deux librairies au moins qui accepteront de prendre en dépôt-vente le catalogue de chum".
Dites-moi si cette lecture vous paraît correcte sans oublier ma question.
Finances: il n'y a pas 2500 euros à envoyer, cette mesure ne vise que les embusqués qui nous feraient faire le travail pour s'en aller tout de suite après. Il n'y a pas lieu de rembourser par conséquent.
Il n'y a aucun frais de correction et l'auteur règle directement l'imprimeur sur une quantité choisie par lui (l'auteur)
Distribution : Si nous assurions la distribution (ce qui viendra peut-être un jour) il y aurait un coût de l'ordre de 20% du prix hors taxes du livre. Distribuer n'est pas synonyme de vendre, bien des ouvrages ne le sont pas et les libraires disposent d'un droit de retour. Dans notre forme d'organisation, les auteurs cherchent à vendre leurs livres par des dédivaces, des salons et autres. C'est ce que font les auto édités et nous, nous sommes la marche au-dessus : tri parmi les manuscrits puis livres corrigés, imprimés, inscrits dans les BDD pour libraires, déposés à la BNF, attribution d'un ISBN éditeur.
Si l'auteur ne trouve pas 2 librairies on lui envoie les gendarmes :-) Non il ne se passe rien, que pourrait-il se passer, nous ne sommes pas là pour emm.... les auteurs mais pour les aider. D'ailleurs je ne crois pas qu'aucun l'ait fait jusque là. Nous supprimerons cette clause quelque peu inutile. L'idée de départ était de constituer un réseau de libraires acceptant le dépôt vente. C'est difficile à mettre ne place et à gérer.
J'espère vous avoir répondu comme vous le souhaitiez, et n'hésitez pas, la transparence, c'est notre dada.
Chum Editions- Date d'inscription : 11/09/2013
Re: Un éditeur associatif
Notez bien que ce n'est pas moi qui ai soulevé ce point sur le catalogue (mais avez-vous seulement compris le message de Surfeur?)Chum Editions a écrit:Il reste de beaux jours à la psychanalyse. Là, on touche le fond et on voit nettement la volonté de nuire.Demi-Tour a écrit:
Personnellement, j'ai noté cet (autre) manque de précision concernant le mot "catalogue", sans pour autant en parler parce qu'il y a encore bien d'autres choses (ne serait-ce que, justement, on ne sait pas ce qui est sous-entendu par "catalogue").
Je vous renvoie au Larousse pour la définition de catalogue qui en gros signifie "liste de produits, d'articles".
Si votre comportement n'étant pas aussi détestable, je crois que j'en aurais ri !
Surfeur, viens, on va se faire une psychanalyse...
Perso: Chum, ne prenez même pas la peine de répondre, vous vous enfoncez. (quoi que si, si vous pouviez répondre à mes questions san réponse depuis le début, ce serait bien). Et si vouloir que les choses soient clair signifie pour vous vouloir nuire, alors je n'y peux rien...
Dernière édition par Demi-Tour le Jeu 19 Sep - 17:55, édité 1 fois
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
Re: Un éditeur associatif
Pour votre réponse à Surfeur : mas mon cher Chum, les réponses que j'ai données à Surfeur sont exactes, ce que vous empêche d'admettre votre colère...
Que c'est triste...
End of session for me.
Que c'est triste...
End of session for me.
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
Re: Un éditeur associatif
Non, je ne vous répondrai pas. C'est terminé pour vous. Vous n'avez pas compris notre concept associatif, vous nous faites des procès d'intention. Des acteurs bénévoles ne sont pas des fauves qui avancent masqués. Vous faites partie de la famille des psycho-rigides, vous ne voyez que par le contrat (comme les américains) comme si la vie se résumait à ça.Demi-Tour a écrit:Vous vous obstinez à ne pas me répondre à certaines de mes questions.
C'est dommage.
Je reprends mon exemple (parce que je suis peut-être têtu, mais vous êtes soit un maitre, soit vous y mettez de la mauvaise volonté : ) : mon texte est chez vous, et ô hasard, le travail d'édition est avancé à 1/3 (ce qui me vaut une pénalité de 2500€ si je dois rompre le contrat). Mais voilà, plus rien n'avance, ou un éditeur à qui j'ai envoyé mon manuscrit et qui a tardé à me répondre (ce qui est monnaie courante), me propose un contrat d'édition à compte d'éditeur.
Il se passe quoi? Je vous verse 2500€ pour "récupérer" mon texte? (notez les guillemets). Parce que même si aucun auteur ne vous cède ses droits, il reste cette pénalité (et en cas d'éventuelle réponse de votre part, merci de ne pas me dire ce que vous feriez, mais où cela est écrit dans votre contrat). Et aucun éditeur n'acceptera d'éditer un livre qui va être édité par un autre éditeur. Donc, du coup, je dois bien rompre le contrat, non? Et donc, les 2500€, si le 1/4 de travail est passé...?
A Dieu ne plaise, passez votre chemin et s'il me restait un peu de compassion, je vous plaindrais.
Chum Editions- Date d'inscription : 11/09/2013
Re: Un éditeur associatif
Demi-Tout a écrit :
"Personnellement, j'ai noté cet (autre) manque de précision concernant le mot "catalogue", sans pour autant en parler parce qu'il y a encore bien d'autres choses (ne serait-ce que, justement, on ne sait pas ce qui est sous-entendu par "catalogue")."
Puis il a écrit:
"Notez bien que ce n'est pas moi qui ai soulevé ce point sur le catalogue [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] (mais avez-vous seulement compris le message de Surfeur?)"
Nous avons affaire à un fada un peu illuminé, retirons-nous sur la pointe des pieds.
"Personnellement, j'ai noté cet (autre) manque de précision concernant le mot "catalogue", sans pour autant en parler parce qu'il y a encore bien d'autres choses (ne serait-ce que, justement, on ne sait pas ce qui est sous-entendu par "catalogue")."
Puis il a écrit:
"Notez bien que ce n'est pas moi qui ai soulevé ce point sur le catalogue [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] (mais avez-vous seulement compris le message de Surfeur?)"
Nous avons affaire à un fada un peu illuminé, retirons-nous sur la pointe des pieds.
Chum Editions- Date d'inscription : 11/09/2013
Re: Un éditeur associatif
Pour la partie "Finances":
"Une fois que l'ouvrage a passé le contrôle du comité de lecture, il reste à vous envoyer 150 euros (le don) + 2500 euros (si désistement après que 1/4 du travail de préparation soit commencé) + les frais d'impression relatifs au nombre d'ouvrages choisis + les éventuels frais de correction....Est-ce exact ?
Revenons sur les 2500 euros....Sont-ils remboursés si l'auteur ne se désiste pas ?.....Le contrat n'évoque pas ce cas de figure." Surfeur
Finances: "il n'y a pas 2500 euros à envoyer, cette mesure ne vise que les embusqués qui nous feraient faire le travail pour s'en aller tout de suite après. Il n'y a pas lieu de rembourser par conséquent.
Il n'y a aucun frais de correction et l'auteur règle directement l'imprimeur sur une quantité choisie par lui (l'auteur)". Editions Chum
Pour ces 2500 euros la réponse est claire. On peut alors supposer une action en justice à l'encontre de celle ou celui qui se désisterait en cours de route et refuserait de les régler.
Par contre, pour la correction, c'est plus confus
ARTICLE 3 — Correction du texte, direction d’ouvrage et validation
L’auteur s’engage à fournir un texte exempt de fautes d’orthographe, de fautes grammaticales,
d’erreur de syntaxe et à le faire corriger, à ses frais, s’il n’a pas la compétence requise.
On peut comprendre, avec cette tournure de phrase, que Chum Editions se charge de la correction, moyennant finances....mais, il n'en est rien.
Finalement, quel est le rôle du DO ?
"Une fois que l'ouvrage a passé le contrôle du comité de lecture, il reste à vous envoyer 150 euros (le don) + 2500 euros (si désistement après que 1/4 du travail de préparation soit commencé) + les frais d'impression relatifs au nombre d'ouvrages choisis + les éventuels frais de correction....Est-ce exact ?
Revenons sur les 2500 euros....Sont-ils remboursés si l'auteur ne se désiste pas ?.....Le contrat n'évoque pas ce cas de figure." Surfeur
Finances: "il n'y a pas 2500 euros à envoyer, cette mesure ne vise que les embusqués qui nous feraient faire le travail pour s'en aller tout de suite après. Il n'y a pas lieu de rembourser par conséquent.
Il n'y a aucun frais de correction et l'auteur règle directement l'imprimeur sur une quantité choisie par lui (l'auteur)". Editions Chum
Pour ces 2500 euros la réponse est claire. On peut alors supposer une action en justice à l'encontre de celle ou celui qui se désisterait en cours de route et refuserait de les régler.
Par contre, pour la correction, c'est plus confus
ARTICLE 3 — Correction du texte, direction d’ouvrage et validation
L’auteur s’engage à fournir un texte exempt de fautes d’orthographe, de fautes grammaticales,
d’erreur de syntaxe et à le faire corriger, à ses frais, s’il n’a pas la compétence requise.
On peut comprendre, avec cette tournure de phrase, que Chum Editions se charge de la correction, moyennant finances....mais, il n'en est rien.
Finalement, quel est le rôle du DO ?
surfeur- Date d'inscription : 29/05/2013
Re: Un éditeur associatif
surfeur a écrit:Pour la partie "Finances":"Une fois que l'ouvrage a passé le contrôle du comité de lecture, il reste à vous envoyer 150 euros (le don) + 2500 euros (si désistement après que 1/4 du travail de préparation soit commencé) + les frais d'impression relatifs au nombre d'ouvrages choisis + les éventuels frais de correction....Est-ce exact ?Oui, ça peut effectivement s'envisager, mais cette mesure est surtout et d'abord une arme de dissuasion. Il faut comprendre que nous sommes bénévoles, que nous consacrons une bonne partie de notre temps à travailler avec les auteurs. Notre retour sur investissement, si on peut dire, est que le livre soit ensuite imprimé avec notre label.
Revenons sur les 2500 euros....Sont-ils remboursés si l'auteur ne se désiste pas ?.....Le contrat n'évoque pas ce cas de figure." Surfeur
Finances: "il n'y a pas 2500 euros à envoyer, cette mesure ne vise que les embusqués qui nous feraient faire le travail pour s'en aller tout de suite après. Il n'y a pas lieu de rembourser par conséquent.
Il n'y a aucun frais de correction et l'auteur règle directement l'imprimeur sur une quantité choisie par lui (l'auteur)". Editions Chum
Pour ces 2500 euros la réponse est claire. On peut alors supposer une action en justice à l'encontre de celle ou celui qui se désisterait en cours de route et refuserait de les régler.
Nous avons eu un cas, une auteure qui n'a plus souhaiter poursuivre parce que les aménagements de texte que nous lui proposions l'obligeaient à trop de modifications. Nous avons accepter son retrait "pour causes réelles et sérieuses" et nous lui avons adressé un courrier de renonciation à tout recours au titre de cette clause. Ceci parce que cette auteure était de bonne foi. Entre gens intellectuellement honnêtes, il n'y a pas de problèmes. Nous préférons consacrer du temps à la littérature.Par contre, pour la correction, c'est plus confusNon, je le répète, nous n'émettons AUCUNE FACTURE pour des prestations, c'est entièrement gratuit.
ARTICLE 3 — Correction du texte, direction d’ouvrage et validation
L’auteur s’engage à fournir un texte exempt de fautes d’orthographe, de fautes grammaticales,
d’erreur de syntaxe et à le faire corriger, à ses frais, s’il n’a pas la compétence requise.
On peut comprendre, avec cette tournure de phrase, que Chum Editions se charge de la correction, moyennant finances....mais, il n'en est rien.
Finalement, quel est le rôle du DO ?
Un DO a la charge de proposer à l'auteur des aménagements de son texte qui souffre souvent d'imperfections que, seul, il finit par ne pas voir. Syntaxe, concordance des temps, structure, tournures de phrases, allègements... Mais rien ne se fait sans le concours de l'auteur qui est seul autorisé à modifier son texte.
Souvent les auteurs se font des petits plaisirs -que j'appelle des facilités d'auteurs- et qui nuisent plus qu'ils ne le servent son texte. Souvent des phrases peuvent être plus légères. Nous en parlons avec lui, il corrige s'il le souhaite. Si nous avons accepté son manuscrit c'est parce qu'il nous a plu, nous n'allons pas le contraindre pour le dénaturer.
Le seul cas c'est si nous rencontrons des atteintes à la morale, du racisme, de la diffamation. Classiquement.
Chum Editions- Date d'inscription : 11/09/2013
Re: Un éditeur associatif
Ceci est ma dernière intervention sur ce sujet (que je ne viendrai même plus lire d'ailleurs, donc me contacter par MP si un membre souhaite m'en parler). Je m'adresse donc aux membres du forum et non pas à la personne de Chum Editions.Chum Editions a écrit:Non, je ne vous répondrai pas. C'est terminé pour vous. Vous n'avez pas compris notre concept associatif, vous nous faites des procès d'intention. Des acteurs bénévoles ne sont pas des fauves qui avancent masqués. Vous faites partie de la famille des psycho-rigides, vous ne voyez que par le contrat (comme les américains) comme si la vie se résumait à ça.Demi-Tour a écrit:Vous vous obstinez à ne pas me répondre à certaines de mes questions.
C'est dommage.
Je reprends mon exemple (parce que je suis peut-être têtu, mais vous êtes soit un maitre, soit vous y mettez de la mauvaise volonté : ) : mon texte est chez vous, et ô hasard, le travail d'édition est avancé à 1/3 (ce qui me vaut une pénalité de 2500€ si je dois rompre le contrat). Mais voilà, plus rien n'avance, ou un éditeur à qui j'ai envoyé mon manuscrit et qui a tardé à me répondre (ce qui est monnaie courante), me propose un contrat d'édition à compte d'éditeur.
Il se passe quoi? Je vous verse 2500€ pour "récupérer" mon texte? (notez les guillemets). Parce que même si aucun auteur ne vous cède ses droits, il reste cette pénalité (et en cas d'éventuelle réponse de votre part, merci de ne pas me dire ce que vous feriez, mais où cela est écrit dans votre contrat). Et aucun éditeur n'acceptera d'éditer un livre qui va être édité par un autre éditeur. Donc, du coup, je dois bien rompre le contrat, non? Et donc, les 2500€, si le 1/4 de travail est passé...?
A Dieu ne plaise, passez votre chemin et s'il me restait un peu de compassion, je vous plaindrais.
Il est dommage de ne pas obtenir de réponse à ma dernière question (mais ce n'est pas la seule sans réponse), parce qu'un jour où l'autre, un tel cas risque d'arriver. Et mis à part le fait qu'il se sent agressé par moi, je pense que vous (les membres du forum, je reprécise au cas où) aimeraient bien en connaitre la raison et, surtout, avoir la réponse.
Pour ce qui est du catalogue, une précision de ma part s'impose, notamment sur cette clause de l'article 6 :
"L’auteur s’engage à chercher dans la périphérie de son domicile deux librairies au moins qui accepteront de prendre en dépôt-vente le catalogue de chum."
Quand on travaille dans le commerce (comme moi), il y a des mots auxquels ont prêtent une attention toute particulière et, surtout, qui peuvent avoir un sens autre que dans la vie courante (d'où l'utilité d'avoir un contrat clair et précis). Ici, il y a tout d'abord le mot dépôt-vente. Pour faire simple : un particulier ou un professionnel laisse de la marchandise dans un magasin pour qu'elle soit vendue (ben oui:MRGREEN: ), et le magasin se garde une petite rémunération sur les ventes (il peut arriver que le magasin face cela à titre gracieux dans certaines circonstances, mais c'est très rare). Mais, donc, la personne laisse des marchandises.
Parallèlement, toujours dans le commerce, "catalogue" signifie certes "liste de produits", mais également ensemble des marchandises, ou du moins des références.
Dans la phrase de l'article 6, il est dit que l'auteur doit trouver deux libraires qui accepteront de prendre en DEPÔT-VENTE le catalogue de Chum. Je vous rappelle que le terme dépôt-vente signifie que ce que vous laisser en magasin est destiné à être VENDU (d'où le nom d'ailleurs). Du coup, on parle de quoi: du catalogue "papier" (qui doit être vendu par le libraire... mais à qui alors?) et des marchandises/références (qui elle, du coup, pourraient être bel et bien vendues)?
Alors non, je ne suis pas psycho-rigide, et j'ai justement horreur de cette rigidité froide et presque inhumaine des contrats. Mais en cas de litiges ou, pire, de non respect des clauses par l'une ou l'autre des parties, il est le seul à faire fois devant un tribunal. Alors, les intentions de l'une ou l'autre partie ont beau être excellentes, croyez-en mon expérience, le jour où un grain de sable vient se glisser dans la mécanique, soit ça passe... soit ça casse. Et dans ce dernier cas, ce seront les clauses du contrat qui entreront en vigueur. Et hélas, je parle d'expérience, tant au niveau personnel que professionnel (ce qui me fait gratter maintenant à chaque fois que je vois un contrat)
Comme dit le bon vieil adage : "seuls les écrits restent."
Maintenant, je ne suis pas là pour traiter Chum Editions d'escrocs ou de quoi que ce soit (ce qu'ils ne sont certainement pas). J'ai pointé du doigt certains clauses que je juge aberrantes ou déplacées, des erreurs de formulation source de litiges, et simplement donné mon avis. A mi-mot, Chum a reconnu en effet certaines imperfections et manques de précisions du contrat; pour autant, rien n'a évolué, et lorsque je pose des cas précis que tout contrat devrait prévoir, je n'obtiens aucune réponse, me faisant même traiter de personne qui ne cherche qu'à nuire qui devrait faire une psychanalyse. Le ton même des réponses, leur agressivité et la condescendance de leur auteur laissent entendre qu'en effet, en cas de litige, tout se réglera paisiblement.
Le plus triste dans l'histoire est que Chum Editions (ou du moins la personne qui la représente sur ce forum), n' pas compris qu'un contrat en bonne et due forme est également une garantie pour elle...
Enfin, et j'en terminerai là, ma dernière question, qui je le répète est un cas plausible, attend toujours une réponse, mais une réponse claire, précise, étayée par un article du contrat.
Mais oui, je sais, si le cas se présente... gna gna gna... si, si...
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
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