j'ai besoin de vos avis ;)

Alors j'ai terminé mon premier chapitre et je veux savoir si il est bon ou pas 
bien sur je suis amateur, j'attends pas grand chose pour une premiere fois , mais ça vaut la peine d’essayé 
et merciii 
                                                     Chapitre I
 
Boom c’est la premier chose que j’entendis, une grande explosion qui fait vibrer mes fines oriels, ce bruit éclatant  qui me perça mon ouïe,   et là  je me réveillai au milieu de  cette foule grandiose, je ne voyais pas nette quelque ombres et contours qui défilés sous mes yeux, je me disais :   mais qu’est ce qui ce passe !, c’est quoi cette fumée accablante  !, qui sont ces gens exaltés ! Qu’est ce que je fous la ! Ou suis-je ! Oh mon Dieu tout puissant j’implore votre aide ! Ma vision c’est élucidée peu a peu,  je regarde de tout coté, autour de moi, le torse collé le sol pavé   , le menton que j’ai senti l’égratignure humectée par du sang, effloré mon bras droit douloureux ou ma tète se reposait ,je reste bouche bée face a se cataclysme sanguinaire, j’avais que ma bouche pour prier dieu,  et mes yeux pour observer le chaos, j’essayai  de me levé, et mes jambes refusées d’obiers, j’avais un manque de d’oxygène abyssal, et ma gorge se noua,    jusqu'à ou de façon inopiné   un homme  ma pris par le bras et il ma dit en criant :
   - ‘’ sauve toi il ne  faut pas  que tu restes là, tu vas mourir ‘’, ses mots raisonnais fort dans ma cervelle, son écho haussait et s’amplifiait de volume a chaque fois   j’ai répondu en soufflant légèrement sur mes lèvre :
- ‘’ mais, mais ou suis-je ?,   qu’est ce qui se passe ?, c’est quoi se carnage ! ‘’ Il continuait de me tiré   sans cesse le bras brutalement, il n’a pas pris la peine de m’écouter et de comprendre de  ce que je disais, il a juste jugé que les discutions seront plus recevable a l’abri. Sans arrêt il continua de me secoué en vociférant si fort qu’il m’a ressuscité, je me suis mis sur les  genoux le dos penché vers l’avant , les mains pommes face au sol,  et j’ai levé ma tète pour le voir :  c’est un garçon de mon âge, de petite taille, et de gabarit réduit, il était presque nu, son corps  se camouflait derrière une couche de poudre blanchâtre ,   j’ai vu dans ses prunelles  une immense frayeur, et une douleur si intense que tout paraissait a travers ses yeux tout mouillés si rouge a cause de la fumée étouffante ,   je me levai et je courus avec lui péniblement, mes pats étaient lourd, qui trainaient par terre,  je pouvais plus supporter , mon corps était très écorché et consumé par le feu , mes vêtements étaient déchirés et brulés, j’avais des cendres sur mes cheveux, de la poussière sous mes yeux, mon pied qui n’était pas chaussé me déphasé, j’ai tout surpassé, et  j’ai couru et j’ai couru sans prendre le temps de s’arrêter ou de se reposer, des explosions partout qui provoquaient des flashs aveuglants, et des sons étourdissants, des projectiles  me déviés de la route, .   Des cadavres éparpillés dans tout les coins de la rue démembrés ou calcinés, des enfants perdus dans se labyrinthe meurtrier, et des cris désespérés  des femmes en détresses, je ne pouvais pas croire qu’un désastre semblable  peut se produire dans la réalité, et surtout dans mon pays, dans mon village. On a couru si longtemps jusqu'à ou j’ai commencé à me fatigué, je sentais plus mes jambes, j’avais mal au poumon a force de respirer ses gaz qui se dégageaient, ma gorge est séchée, et je suis totalement déshydraté ,  j’ai tombé les pommes  par terre, puis j’ai pris un long soupire, quand j’ai levé la tète il était un peu plus loin de moi, il courait très vite, je le fixé entrain de prendre de la distance , je pouvait pas crier ni me relevé, j’ai baissé la tète et je regardais le sol, et dans des flac du sang, qui couler d’un enfant en l’agonie, ses tripes a l’air et toute la partie inférieure de son corps séparée  , il levait son index droit  et prié , et j’ai lu sur ses petite lèvres souriante la Chahada   , je me suis focaliser sur le reflet de mon visage sur son sang , j’ai resté je ne sais pas combien de temps a me regardé bêtement  .  Il c’est retourné il a aperçu que je n’étais pas dans les parages, sa bonne conscience ne la pas autoriser à me laisser souffrir   il a fait demi-tour  il m’a retrouvé  visage face au sol en ce rapprochant de moi il a dit :
-  ‘’ Vien, On va rester quelque instant ici, prend un temps de récupération    puis  on va filer  jusqu'à mes amis ils habitent juste a paradis plage, la bas il ya beaucoup de gens qui vont nous épauler ’’  il a frappé dans les portes des maisons qui était a coté de nous  mais le gens avaient peur d’ouvrir, ils nous ont laissé  a découvert, ils regardés dans leur fenêtre en se cachant derrière les rideaux ,  et des gens nous ont appelé ‘’ venez ici, ne vous craignez rien ‘’ , deux vieux très aimables, qui vivaient seul dans leur grande villa, nous ont ouvert la porte, la gentille d’âme nous a fait des petits bandage et quelques désinfestation avec de l’alcool elle nous même préparé a mangé , tandis que le vieux nous a donné des vertement neufs, ils étaient très accueillant , après quelque minutes de ressaisissement de nos force, nous les avant amplement remercier, nous allions partir, il nous regardé entrai de sortir il  a dis :
  ‘’ Attendez ! ‘’ Il c’est approché de moi, l’autre garçon a déjà quitté la maison, et il a dis de façon que son époux n’entendra rien :
-          ‘’ quand vous trouvez mon fils Ismail promet moi que vous allez le donner cette lettre ‘’
C’était la moindre des choses, je l’ai pris et  je lui promis
Quand on c’est éloignés de quelque mètre, l’incontournable est arrivé, la maison a été ciblé par une bombe, et elle c’est d’esintégrés en mille morceaux, Et j’ai dis avec un air si inquiet et interrogatoire :
- ‘’ Qui nous attaque, ou suis-je, comment je m’appelle,  ‘’ j’étais dans tous mes états , j’ai perdu ma mémoire et j’avais peur
- ‘’ Garde ton énergie pour courir quand on arrive a destination on va faire des mesures pour échapper de cette purgatoire soit patient  ‘’
Le pauvre homme, je crois qu’il est entrain de perdre la raison, sa tète se pivoter régulièrement et ses bras vibrer, ses yeux clignotés rapidement,   il a vraiment vécu quelque chose d’atroce, espérons qu’on ne va pas se perdre dans la ville.
On a reprit la route sous une pluie de feu, et  de bombes, et un orchestre de cris et d’explosion, c’était inimaginable de voir Ain El Türck en ruine, un si beau village côtière réduit en décombre, c’est   pitoyable a voir mes frères qui se font tuer comme des animaux . Et le plus sinistre est d’assisté à la destruction directe.  on c’est introduit dans une maison, y’avait du monde la dans, des femmes des vieux, des enfants, ils portaient tous des armes blanches, des haches des machettes et marteaux…etc. ils étaient prêt a se défendre en cas de danger, prêt par leurs simples petits moyens, y’avait des gens allongés par terre qui respirés leurs dernières bouffé d’aire,  les plus malheureux étaient les petits garçons a coté de leurs mères mourante, je me suis assis par terre et j’était témoin de la naissance d’un bébé, c’est les plus vertueuse moments que j’ai passé de la journée, loin de la mort et le sang, j’ai posé la tète au mur, et  je le regardait en souriant, le magnifique bébé  son père m’a ma dit
-‘ ‘’ il a tenu jusqu’au bout, il est née dans une ambiance  infernale , j’ai de la chance mon enfant sera un jour un héro, j’en ai la certitude’’ ce bébé est unique je le sens, ce n’est pas donné a tout le monde d’échapper a la mort si facilement,    quelque minutes après, l’homme qui m’a ramené avec lui a dit a un autre  beaucoup plus âgée dans les soixantaines, il venait juste de rentré avec des médoc dans les mains, et des outils chirurgicales,   le vieillard  commandait  les autres c’est   lui le chef du groupe, c’est sur, voir sa personnalité il avait l’air de si intelligent et si rusé, les autres l’écoutaient , et exécute ses ordres sans les discuter ,    il était entrain de faire un des point de sutures  a un blessé qui a subi une atteinte corporelle    
-          Il faut qu’on sort de la ville ils nous attaquent de toutes parts  
-          Pour se rendre ou ? on va rester ici jusque le levé du jour, demain nous aurons de l’aide on a trop de blessés qui sont susceptibles a  perdre souffle.
-          Si on reste ici on va finir  carboniser vif comme les autre il faut qu’on se sauve loin de la ville.
-          un autre qui portait son frère,  les bras au épaules il avait un plâtre  a la jambe droites  a suggérés de rester  ‘’ mon frère ne peut courir si on sort, nous serons face au tire, et ça sera difficile de se protéger, a cause des blessés
-          L’homme qui avait le bébé a dis ‘’ il faut qu’on vote, c’est la seul manière de déterminé un choix ‘’
Ils ont terminé par prendre la décision de lever l’encre, et de partir  ils s’avaient que c’était impossible de rester ici, les montagnes était les seuls refuges les moins risqués,  nous avons sorti de la maison en groupe , on a couru pendant plusieurs mètres, jusqu’a ou une bombe a tombé entre nous, je me suis projeté  brusquement sur la terre je me suis cogné ma tète sur une roche, puis  j’ai perdu connaissance, je voyais tout flou des éclaires au dessus de moi ,et des lumières d’engins volants  qui planaient dans le ciel, ils étaient si loin et si lumineux, si ils bougeait pas on aura dit que ce sont des lunes ,  j’écoutais les autre pleurer de douleur ou d’appeler de l’aide, des fils pleurer leurs parents  et la le vieux homme me réveille en me secouant  -‘’ il faut aller, debout ‘’, je me suis levé, et j’ais dis :
 ‘’ ou sont tous les autres ‘’ il a répondu
-           ‘’ notre groupe est d’désintégrés on va chercher un abri sur, demain nous allons chercher les autres, prions dieu qu’ils restent encore en vie ‘’.
on c’est dirigé vers les hauteurs de la ville, une montagne a proximité, dans le sud, on c’est caché dans une grotte, j’étais physiquement et moralement éprouvé et marqué par la lassitude ,a bout de souffle et affaibli    je me suis endormis sans me rendre compte.
Dans mon sommeil, J’ai rêvé qu’un autre type  qui me rassemblait énormément  avec un homme et une femme qui posés leurs bras dans ses épaules, il me regardait en souriant il m’a dis ‘’ on te cherche… nous somme en vie ‘’

Argh. Argh. J4ai pas d'autres mots. Franchement, je vais pas te blâmer pour les "petites" fautes d'orthographes genre accord, par ce que j'en fait parfois de sacrées, mais sérieux des fautes de syntaxe ... 
"le menton que j’ai senti l’égratignure humectée par du sang, effloré mon bras droit douloureux ou ma tète se reposait ,je reste bouche bée face a se cataclysme sanguinaire"

je vous remercie beaucoup beaucoup
ça serai gentil de votre part, j'ai vraiment besoin d'aide pour corriger ce chapitre, par ce que j'ai écris 20 chapitre  encore  , alors si il y des fautes de syntaxes je suis vraiment en galéré
si vous corriger le chapitre svp, précisez moi les fautes pour que je puisse corrigé les autres chapitre tout seul   
               et merci encore

Il continuait de me tirer sur le pavé rougie de sang et noirci de suieil ne m’écoutait pas et même si il aurait voulu me comprendre il n’aura pas pu, ma voix couverte par les détonations et les cris. Il me secouait, m’hurlait dessus. C’était un garçon de mon âge, de petite taille. Il était torse nu, recouvert de platre. La terreur se lisait dans ses yeux, de même que la douleure, la fumée lui piquant les yeux, la gorge. Alors e réussis a me lever, et je me suis mit a courir aussi vite que possible. Mes pas étaient lourds,  mon corps était meurtis, brulé, mes vêtements en lambeaux. J’avais des cendres dans les cheveux, de la poussière piquant mes yeux, mon pied nu laissait une trainée de sang derrière moi. Et malgrés tous, j’ai couru et j’ai couru sans prendre le temps de m’arrêter ou de me reposer, au milieux des explosions, des détonations assourdissantes, des débris projetés sur la chaussée. La rue était jonchée de cadavre. Des enfants brulaient, des femmes étendues dans leur sang, des hommes raides. On entendait les râles des blessés, les cris des femmes et les pleurs des enfants. Je ne pouvais accepter l’évidence que mon village avait été réduit en cendres. On a couru a en perdre haleine. 


Voilà j'ai corrigé et reformulé certaines phrases, j'espère que plus de fautes restent ... Il faudra que tut trouves un correcteur (prof, ami), par ce que perso je suis très occupé, j'ai même pas pu corriger le reste. 
Ce que je peux te conseiller c'est de lire des livres et d'étudier les tournures de phrases, les expressions, de te munir d'un bescherelle et d'un dictionnaire (obligatoire ces deux outils, n'écrit pas sans eux, dans ton cas c'est du n'importe quoi sinon). N'hésite pas à relire aussi des cours de grammaire, tu en as besoin. Si tu es sorti du collège/lycée replonge toi dans tes cahiers et livres, si au contraire tu n'est pas encore au Lycée/collège, et bien suit mes conseils (bescherelles, dico, correction par un ami, un prof, etc) et si tue s au Collège Lycée, bah écoute super bien en cour de français, lis bien les leçons et tu devrais t'améliorer.
Si tu ne sais pas comment un mot s'écrit ---> dico. 
Tu peux aussi te munir d'un dictionnaire des synonymes, ca peut servir (très utile pour enrichir son vocabulaire et éviter les répétitions). Voili-voilou.

je vous remercie énormément   

De rien. Mais il est urgent que tu t'améliores. Par ce que si tu as 20 chapitres commes ça, tu n'as AUCUNES chances d'être publiée, peut être d'être lue par l'auteur.
Il faut, outre l'orthographe et la syntaxe, grammaire toussa, que tu améliores ton écriture, les détails toussa ...

désolé, perso je n'ai pas lu en entier non plus parce que je lis très vite et là, je bute tous les trois mots parce que je ne comprends pas le sens... je pense qu'avec la corrections ça sera beaucoup mieux en effet  par contre je lirais plus tard