Eloge à une feuille de papier (bac blanc)
Page 1 sur 1
Eloge à une feuille de papier (bac blanc)
Danse, danse, feuille de papier ! Reflet de mon âme, tu es ma vénérée ! Parfum de liberté, être de pureté, laisse-mon encore un instant dans ton rêve inaltéré !
Vis, vis, feuille de papier ! Support de mes espoirs, miroir de mon esprit, toi seule, ô céleste feuille d'ivoire, à le pouvoir d'accéder à ma vérité. Etre pur, d'une blancheur sans pareil, garde encore quelques heures, dans ton profond sommeil, ces lourds secrets qui enclavent mon coeur.
Garde, garde, feuille de papier ! Objet parfait de mon quotidien, accepter mes présents, symboles de mon indéfectible loyauté envers ton inaliénable bonté ! Toi, feuille si douce, clé de mon coeur dérivant dans ce monde imparfait, reçois ces simples cadeaux pour embellir mon utopique univers, celui que j'ai chez toi découvert.
Raconte, raconte, feuille de papier ! Etre magique, révélatrice de mes sens apprends-moi l'évolution de cette vie de malchance. Papier inaltéré, de feux et de glace mélangé, qui m'a fait prendre conscience de l'omniprésence de ces illusions refoulées, tu as finalement réussi à les annihiler.
Continue, continue, feuille de papier ! Support de mon imaginaire, permets encore au sombre héros de son existence solitaire que je suis, d'accepter ses erreurs et de ne plus compter, inexorablement, les heures qui le séparent de cette âcre douceur, de cette disparition définitive de cette vie fictive.
N'ai-je donc pas le droit de m'imprégner de cette salvatrice feuille de papier ? Et quoi, pourquoi ne pourrais-je pas tenter d'accéder à mon être intérieur à travers ce morceau de liberté ? Etres presque égoïstes et enclavés dans leur société factice, que ceux qui dénigrent cette page blanche, simple objet de la renaissance de ma vie sereine.
Après avoir lu le sujet de fond en comble, et n'avoir pas compris le texte du commentaire, je me suis rabattue sur le sujet d'invention, ce que je ne veux jamais faire, car j'ai toujours peur de la note.
Enfin bref. Le paradoxe suprême ? Rédiger un éloge sur une feuille de papier et se retrouver pendant une heure et demie avec le syndrome de la page blanche...
Donc je suis fière de moi, même si je sens un hors sujet parce que je me suis pas assez inspirée des textes du corpus, mais en une heure et demie avec le recopiage (oui, j'ai passé une heure et demie à faire des dessins), je ne pouvais pas faire mieux. J'espère que ça va vous a plu (désolée pour le blabla)
Sinon c'était censé être un poème en prose...
Vis, vis, feuille de papier ! Support de mes espoirs, miroir de mon esprit, toi seule, ô céleste feuille d'ivoire, à le pouvoir d'accéder à ma vérité. Etre pur, d'une blancheur sans pareil, garde encore quelques heures, dans ton profond sommeil, ces lourds secrets qui enclavent mon coeur.
Garde, garde, feuille de papier ! Objet parfait de mon quotidien, accepter mes présents, symboles de mon indéfectible loyauté envers ton inaliénable bonté ! Toi, feuille si douce, clé de mon coeur dérivant dans ce monde imparfait, reçois ces simples cadeaux pour embellir mon utopique univers, celui que j'ai chez toi découvert.
Raconte, raconte, feuille de papier ! Etre magique, révélatrice de mes sens apprends-moi l'évolution de cette vie de malchance. Papier inaltéré, de feux et de glace mélangé, qui m'a fait prendre conscience de l'omniprésence de ces illusions refoulées, tu as finalement réussi à les annihiler.
Continue, continue, feuille de papier ! Support de mon imaginaire, permets encore au sombre héros de son existence solitaire que je suis, d'accepter ses erreurs et de ne plus compter, inexorablement, les heures qui le séparent de cette âcre douceur, de cette disparition définitive de cette vie fictive.
N'ai-je donc pas le droit de m'imprégner de cette salvatrice feuille de papier ? Et quoi, pourquoi ne pourrais-je pas tenter d'accéder à mon être intérieur à travers ce morceau de liberté ? Etres presque égoïstes et enclavés dans leur société factice, que ceux qui dénigrent cette page blanche, simple objet de la renaissance de ma vie sereine.
*******
Après avoir lu le sujet de fond en comble, et n'avoir pas compris le texte du commentaire, je me suis rabattue sur le sujet d'invention, ce que je ne veux jamais faire, car j'ai toujours peur de la note.
Enfin bref. Le paradoxe suprême ? Rédiger un éloge sur une feuille de papier et se retrouver pendant une heure et demie avec le syndrome de la page blanche...
Donc je suis fière de moi, même si je sens un hors sujet parce que je me suis pas assez inspirée des textes du corpus, mais en une heure et demie avec le recopiage (oui, j'ai passé une heure et demie à faire des dessins), je ne pouvais pas faire mieux. J'espère que ça va vous a plu (désolée pour le blabla)
Sinon c'était censé être un poème en prose...
mathmatha- Date d'inscription : 30/05/2011
Age : 28
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Jeu 2 Mar - 21:58 par martin1
» mefiez vous des charlatants
Jeu 3 Oct - 16:28 par Jafou
» Une chanson de geste
Jeu 3 Oct - 16:22 par Jafou
» De retour après quelques années d'absence....
Lun 23 Sep - 21:25 par Le sombre minuit
» 5 et 6 juin...
Jeu 6 Juin - 8:09 par Jafou
» Les Imaginales
Lun 20 Mai - 20:05 par extialis
» Désinscription du forum
Dim 19 Mai - 7:29 par extialis
» Aimez-vous Bach (3è séquence)
Mar 14 Mai - 18:26 par Le sombre minuit
» L'ascension extraordinaire du Maudit
Lun 13 Mai - 19:02 par extialis