Roman: l'écrivain, cet étranger.
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Roman: l'écrivain, cet étranger.
Les commentaires, c'est par ici !!
Genre :
Nombre de pages :
Nombre de chapitres :
Résumé :
L’ECRIVAIN, CET ETRANGER
Maison AKLID, du nom de son ancien propriétaire , est accrochée sur le flanc de la colline. Elle est là, depuis des générations et résiste tant bien que mal à l’agression du climat enragé de cette région, pendant l’hiver.
La bâtisse, entièrement en pierres, et recouverte de tuiles rouges, possède deux niveaux.
Au rez de chaussée, se trouvent les garages qui étaient utilisés, autrefois, comme grange.
Au dessus, quatre grandes pièces assez spacieuses et une cuisine.
Sur le même versant, un peu plus loin, se dressent d'autres maisons, assez éloignées les unes des autres.
Les mêmes matériaux, ceux de la région, ont servi à leur construction assez typique.
Quelques unes échappent à la règle. Elles sont en toub et recouvertes de diss, matériaux que la précarité avait imposée. C'était le logis des pauvres.
Chaque maison a sa parcelle de terre, soigneusement étalée comme un tapis verdoyant. Des haies d’arbres fruitiers délimitent les frontières de chacune.
Autrefois, les habitants, vivaient ici de la culture de la terre.
Depuis la perte de son épouse, Louisa , décédée à l’âge de quatre -vingt- dix ans, Aklid est resté veuf. Il vit seul dans cette grande maison. Malgré son âge, il continue à travailler sa terre, juste un petit lopin pour se nourrir.
Mais, la solitude avait rendu sa vie triste et monotone, dans cette grande maison.
Les années avaient passé aussi vite qu’un nuage d’automne.Il était maintenant trop vieux pour s’occuper de ses terres. Sa santé commença, peu à peu, à s’effriter..
C’étaient les voisins qui lui apportaient leur aide pour cultiver son potager. La grande superficie fut laissée en jachère, car aujourd’hui, il n’en avait plus besoin pour son âge.
Après la perte de leur mère, les enfants avaient insisté, plusieurs fois, auprès de leur père pour l’emmener vivre avec eux dans la capitale.
Malgré l'insistance de ses enfants, il refusa énergiquement leur proposition, et s'obstina à rester sur les lieux.
-Ce serait une honte, pour moi, de quitter la terre où ont vécu mes aîeux. Inutile d’insister, d'insister, leur dit- il, mes enfants, ajouta-t-il, dans la capitale, l’ennui m’assassinerait aussitôt arrivée.
Pour un vieillard comme Aklid, Il est difficile de s’accommoder à une vie animée et bruyante. La ville n’est pas faite pour les gens comme lui !
C’est un paysans qui aime la terre, et y vivre avec les siens.
Aklid est, aussi, un homme de foi. Il avait fait un sermon à sa femme avant de mourir et il le respectait. Il lui avait juré sur le Coran qu’il ne se remarierait pas et qu’il ne quitterait pas la terre de ses aîeux.
Rien ne pouvait infléchir ses décisions .
Plusieurs années plus tard, Aklid s’était éteint à l’âge de quatre vingt dix sept ans . Après la mort de leur père,pendant longtemps, la maison resta vide. Les enfants chargèrent alors une agence immobilière pour la mettre en location. Ils avaient grandi dans cette maison spacieuse, c'était donc, pour eux, un héritage assez précieux, et il était hors de question à ce moment-là, de la mettre en vente.
En accord, avec les héritiers, la maison fut louée par l’agence immobilière à un étranger.
Papov est un français d’origine hongroise. Il avait fait ses études à l’école polytechnique de Paris et obtenu le diplôme d’ingénieur.
C'était un homme assez grand de taille. Il mesurait un mètre- quatre- vingt dix. Ses amis pour se moquer de lui l’appelaient '' l’échelle''. Il avait accompli son service militaire en Algérie en 1958, mais Papov a eu la chance pendant cette période douloureuse, on lui confia un poste d’enseignant dans une école d’indigènes.
Cette chance inoui, l’avait épargné des atrocités de la guerre . Après son service militaire , il entra dans une usine de métallurgie à Nanterre.
On le rencontre souvent seul, l’air triste . Il dissimule vraissemblablement une souffrance dans son intérieur .
A midi il prend habituellement son repas au restaurant la ''Crevisse'' et c’est là qu’il fit la la connaissance de Sylvia, une ravissante femme. Elle s’occupait des relations publiques dans une agence de voyage et dans les agences de voyage , la présentation physique est une exigence. C’est une fille superbe.
Devant son charme seul un aveugle pouvait y résister.
Elle fréquente elle aussi quotidiennement le même restaurant que PAPOV.
Un jour, elle remarqua que l’homme ne la quittait jamais des yeux pendant qu’elle déjeune. Et ce n’était pas uniquement PAPOV qui la regardait lorsqu’ elle rentrait dans le restaurant mais tous les clients étaient fascinés par son charme. Elle ne pouvait les en empêcher . La beauté est un objet de convoitise et elle n’ignorait pas qu’elle était belle. Sylvia est blonde .Elle a des yeux verts comme ceux d’une chatte. Ses cheveux tressés en fils d’or lui descendent jusqu’au fesses . C’est un cadeau de la nature. Tout est à la mesure , sa taille et son poids . Son chemisier légèrement soulevé symétriquement par des seins en forme de petite poires. Son pantalon, un jean d’un rouge vif, lui colle au corps comme un voile satiné qui s’approprie l’espace et se confont avec la chair. Mais, seul PAPOV ressentait envers elle, un intense désir. Il contemplait chaque jour son corps comme une oeuvre taillée dans une matière noble par un sculpteur de talent . A la différence des roches , cette oeuvre était vivante.
La jalousie le rongeait jusqu’aux os. Il devenait subitement jaloux même des regards qui se posaient sur elle, et, la déshabille . Il la considèrait comme sa propriété encore inexploitée pour le moment.
Deux tables seulement les séparaient dans ce restaurant . Elle était là devant lui vivante et silencieuse . Sylvia incarne, un ange venu du ciel, qu’il n’osait ni approcher ni toucher . Ce scénario se répétait inlassablement . Elle sentit qu’il la dévorait, de ses yeux, qui sortaient de leur orbite .
Genre :
Nombre de pages :
Nombre de chapitres :
Résumé :
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L’ECRIVAIN, CET ETRANGER
Maison AKLID, du nom de son ancien propriétaire , est accrochée sur le flanc de la colline. Elle est là, depuis des générations et résiste tant bien que mal à l’agression du climat enragé de cette région, pendant l’hiver.
La bâtisse, entièrement en pierres, et recouverte de tuiles rouges, possède deux niveaux.
Au rez de chaussée, se trouvent les garages qui étaient utilisés, autrefois, comme grange.
Au dessus, quatre grandes pièces assez spacieuses et une cuisine.
Sur le même versant, un peu plus loin, se dressent d'autres maisons, assez éloignées les unes des autres.
Les mêmes matériaux, ceux de la région, ont servi à leur construction assez typique.
Quelques unes échappent à la règle. Elles sont en toub et recouvertes de diss, matériaux que la précarité avait imposée. C'était le logis des pauvres.
Chaque maison a sa parcelle de terre, soigneusement étalée comme un tapis verdoyant. Des haies d’arbres fruitiers délimitent les frontières de chacune.
Autrefois, les habitants, vivaient ici de la culture de la terre.
Depuis la perte de son épouse, Louisa , décédée à l’âge de quatre -vingt- dix ans, Aklid est resté veuf. Il vit seul dans cette grande maison. Malgré son âge, il continue à travailler sa terre, juste un petit lopin pour se nourrir.
Mais, la solitude avait rendu sa vie triste et monotone, dans cette grande maison.
Les années avaient passé aussi vite qu’un nuage d’automne.Il était maintenant trop vieux pour s’occuper de ses terres. Sa santé commença, peu à peu, à s’effriter..
C’étaient les voisins qui lui apportaient leur aide pour cultiver son potager. La grande superficie fut laissée en jachère, car aujourd’hui, il n’en avait plus besoin pour son âge.
Après la perte de leur mère, les enfants avaient insisté, plusieurs fois, auprès de leur père pour l’emmener vivre avec eux dans la capitale.
Malgré l'insistance de ses enfants, il refusa énergiquement leur proposition, et s'obstina à rester sur les lieux.
-Ce serait une honte, pour moi, de quitter la terre où ont vécu mes aîeux. Inutile d’insister, d'insister, leur dit- il, mes enfants, ajouta-t-il, dans la capitale, l’ennui m’assassinerait aussitôt arrivée.
Pour un vieillard comme Aklid, Il est difficile de s’accommoder à une vie animée et bruyante. La ville n’est pas faite pour les gens comme lui !
C’est un paysans qui aime la terre, et y vivre avec les siens.
Aklid est, aussi, un homme de foi. Il avait fait un sermon à sa femme avant de mourir et il le respectait. Il lui avait juré sur le Coran qu’il ne se remarierait pas et qu’il ne quitterait pas la terre de ses aîeux.
Rien ne pouvait infléchir ses décisions .
Plusieurs années plus tard, Aklid s’était éteint à l’âge de quatre vingt dix sept ans . Après la mort de leur père,pendant longtemps, la maison resta vide. Les enfants chargèrent alors une agence immobilière pour la mettre en location. Ils avaient grandi dans cette maison spacieuse, c'était donc, pour eux, un héritage assez précieux, et il était hors de question à ce moment-là, de la mettre en vente.
En accord, avec les héritiers, la maison fut louée par l’agence immobilière à un étranger.
Papov est un français d’origine hongroise. Il avait fait ses études à l’école polytechnique de Paris et obtenu le diplôme d’ingénieur.
C'était un homme assez grand de taille. Il mesurait un mètre- quatre- vingt dix. Ses amis pour se moquer de lui l’appelaient '' l’échelle''. Il avait accompli son service militaire en Algérie en 1958, mais Papov a eu la chance pendant cette période douloureuse, on lui confia un poste d’enseignant dans une école d’indigènes.
Cette chance inoui, l’avait épargné des atrocités de la guerre . Après son service militaire , il entra dans une usine de métallurgie à Nanterre.
On le rencontre souvent seul, l’air triste . Il dissimule vraissemblablement une souffrance dans son intérieur .
A midi il prend habituellement son repas au restaurant la ''Crevisse'' et c’est là qu’il fit la la connaissance de Sylvia, une ravissante femme. Elle s’occupait des relations publiques dans une agence de voyage et dans les agences de voyage , la présentation physique est une exigence. C’est une fille superbe.
Devant son charme seul un aveugle pouvait y résister.
Elle fréquente elle aussi quotidiennement le même restaurant que PAPOV.
Un jour, elle remarqua que l’homme ne la quittait jamais des yeux pendant qu’elle déjeune. Et ce n’était pas uniquement PAPOV qui la regardait lorsqu’ elle rentrait dans le restaurant mais tous les clients étaient fascinés par son charme. Elle ne pouvait les en empêcher . La beauté est un objet de convoitise et elle n’ignorait pas qu’elle était belle. Sylvia est blonde .Elle a des yeux verts comme ceux d’une chatte. Ses cheveux tressés en fils d’or lui descendent jusqu’au fesses . C’est un cadeau de la nature. Tout est à la mesure , sa taille et son poids . Son chemisier légèrement soulevé symétriquement par des seins en forme de petite poires. Son pantalon, un jean d’un rouge vif, lui colle au corps comme un voile satiné qui s’approprie l’espace et se confont avec la chair. Mais, seul PAPOV ressentait envers elle, un intense désir. Il contemplait chaque jour son corps comme une oeuvre taillée dans une matière noble par un sculpteur de talent . A la différence des roches , cette oeuvre était vivante.
La jalousie le rongeait jusqu’aux os. Il devenait subitement jaloux même des regards qui se posaient sur elle, et, la déshabille . Il la considèrait comme sa propriété encore inexploitée pour le moment.
Deux tables seulement les séparaient dans ce restaurant . Elle était là devant lui vivante et silencieuse . Sylvia incarne, un ange venu du ciel, qu’il n’osait ni approcher ni toucher . Ce scénario se répétait inlassablement . Elle sentit qu’il la dévorait, de ses yeux, qui sortaient de leur orbite .
Dernière édition par ROUDANE le Jeu 9 Juin - 12:47, édité 2 fois
ROUDANE- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 76
L'ecrivain, cet étranger
- C’est un homme mûr et il m'aime beaucoup, dit elle.
Les parents étaient contents que leur fille ait trouvé, enfin, un compagnon, et, ils l'invitèrent chez eux pour faire sa connaissance.
Sylvia était une fille indépendante et aimait trop la liberté. Elle n'avait jamais penser au mariage.
- C'est, peut être , le moment pour Sylvia de stabiliser, ajouta le père.
Son souci, unique, était de la voir, un jour mariée. Sylvia annonça à Papov que ses parents seraient contents qu'il déjeune avec eux, le dimanche prochain.
Papov ne trouva aucun inconvénient, et donna aussitôt son accord.
Les journées se bousculèrent, et le dimanche, très vite arriva.
Ce jour-là, Papov portait son plus beau costume comme s’il se rendait à la messe.
Il passa d'abord chez le fleuriste et commanda un bouquet pour la circonstance. Papov était rationnel. C'est un ingénieur, il aimait l'ordre et la ponctualité.
Il frappe à midi pile chez les Mollets, c’est le nom de famille de Sylvia
mais aucune parenté avec Guy Mollet, l'homme politique.
Les Mollets sont des cultivateurs et vivaient en province.
Monsieur et madame Mollet, eux aussi, étaient en tenue impeccable pour recevoir leur hôte. C’était, monsieur Mollet qui
ouvrit la porte .
- Bonjour monsieur ! c’est Papov, les deux hommes se serrèrent la main.
- Entrez monsieur ! nous vous attendions.
Monsieur Mollet conduisit son visiteur au salon et d’une voix de
cultivateur appela
- Sylvia ! c’est Papov !
Sylvia accouru, et fait la bise, à son ami, puis, s’assit près de lui .
Madame Mollet était dans la cuisine en train de préparer le repas pour son invité.
Elle les rejoindra un peu plus tard.
Elle dressa d’abord le couvert et vint les rejoindre. Papov se lève et
Sylvia fait les présentations
- C’est ma mère : Louise !.
Les présentations terminées , Louise les invita à passer
à table.
Pendant le déjeuner, monsieur Mollet monopolisa la discussion et parlait, de la terre, des animaux, de ses légumes, de
ses fruits , de sa fromagerie artisanale et de ses cochons. C’était un domaine
qu’il maîtrisait assez bien. Papov au
contraire ce genre de discussion l’ennuyait. Lui, ce qui le passionnait, c’était, la fabrication , l’organisation, le marketing.
Deux domaines extrêmement différents.
Pour mettre un terme à cette discussion ennuyeuse, Papov l’interrompit en parlant de ses projets avec Sylvia. Nous avons décidé dit il, moi et Sylvia
de nous marier la mi juillet. La cérémonie se déroulera dans l’église de
Saint jean. Après nous irons passer le mois de miel en Grèce. Nous avons déjà fait les démarches
pour le voyage.
Les parents étaient contents que leur fille ait trouvé, enfin, un compagnon, et, ils l'invitèrent chez eux pour faire sa connaissance.
Sylvia était une fille indépendante et aimait trop la liberté. Elle n'avait jamais penser au mariage.
- C'est, peut être , le moment pour Sylvia de stabiliser, ajouta le père.
Son souci, unique, était de la voir, un jour mariée. Sylvia annonça à Papov que ses parents seraient contents qu'il déjeune avec eux, le dimanche prochain.
Papov ne trouva aucun inconvénient, et donna aussitôt son accord.
Les journées se bousculèrent, et le dimanche, très vite arriva.
Ce jour-là, Papov portait son plus beau costume comme s’il se rendait à la messe.
Il passa d'abord chez le fleuriste et commanda un bouquet pour la circonstance. Papov était rationnel. C'est un ingénieur, il aimait l'ordre et la ponctualité.
Il frappe à midi pile chez les Mollets, c’est le nom de famille de Sylvia
mais aucune parenté avec Guy Mollet, l'homme politique.
Les Mollets sont des cultivateurs et vivaient en province.
Monsieur et madame Mollet, eux aussi, étaient en tenue impeccable pour recevoir leur hôte. C’était, monsieur Mollet qui
ouvrit la porte .
- Bonjour monsieur ! c’est Papov, les deux hommes se serrèrent la main.
- Entrez monsieur ! nous vous attendions.
Monsieur Mollet conduisit son visiteur au salon et d’une voix de
cultivateur appela
- Sylvia ! c’est Papov !
Sylvia accouru, et fait la bise, à son ami, puis, s’assit près de lui .
Madame Mollet était dans la cuisine en train de préparer le repas pour son invité.
Elle les rejoindra un peu plus tard.
Elle dressa d’abord le couvert et vint les rejoindre. Papov se lève et
Sylvia fait les présentations
- C’est ma mère : Louise !.
Les présentations terminées , Louise les invita à passer
à table.
Pendant le déjeuner, monsieur Mollet monopolisa la discussion et parlait, de la terre, des animaux, de ses légumes, de
ses fruits , de sa fromagerie artisanale et de ses cochons. C’était un domaine
qu’il maîtrisait assez bien. Papov au
contraire ce genre de discussion l’ennuyait. Lui, ce qui le passionnait, c’était, la fabrication , l’organisation, le marketing.
Deux domaines extrêmement différents.
Pour mettre un terme à cette discussion ennuyeuse, Papov l’interrompit en parlant de ses projets avec Sylvia. Nous avons décidé dit il, moi et Sylvia
de nous marier la mi juillet. La cérémonie se déroulera dans l’église de
Saint jean. Après nous irons passer le mois de miel en Grèce. Nous avons déjà fait les démarches
pour le voyage.
Dernière édition par ROUDANE le Jeu 9 Juin - 12:59, édité 2 fois
ROUDANE- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 76
Re: Roman: l'écrivain, cet étranger.
Papov était
hors de lui . Il avala la moitié d’une
bouteille de wiski et la frappa sauvagement. Puis, il regretta son geste et se mit en pleure. Il
lui demanda pardon. Il la suppliait de rester . Elle ouvrit la porte .Il la retint . Elle se
débattit et le quitta. Elle se rendit chez André , son
amant .
Elle se dirigea vers
l’appartement de son amant, en titubant, comme sous l’effet d’un somnifère. Il était
presque vingt trois heures, quand elle frappa chez André. Quand il ouvrit la
porte, il se trouva face à face avec Sylvia.
Il ne s’attendait pas à
la voir à cette heure, si tardive.
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1;
tab-stops:list 36.0pt">-
Pourquoi êtes vous venue maintenant lui demanda André
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1;
tab-stops:list 36.0pt">-
votre mari
n’est pas rentré ce weed kend ?
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1;
tab-stops:list 36.0pt">-
Si ! lui
répondit Sylvia, mais nous nous sommes querellés
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1;
tab-stops:list 36.0pt">-
à cause de moi
dit il ?
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1;
tab-stops:list 36.0pt">-
Non ! mais je lui ai avoué notre relation.
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1;
tab-stops:list 36.0pt">-
Etes vous devenue folle ?
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1;
tab-stops:list 36.0pt">-
Les circonstances me l’avaient imposées .
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1;
tab-stops:list 36.0pt">-
J’ai décidé de mettre un terme à cette vie infernale.
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1;
tab-stops:list 36.0pt">-
Papov, resté seul, se mit à boire. Il avala, la seconde moitié, et ouvrit une autre
bouteille, puis une autre . Il noyait ses soucis dans l’alcool.
Papov passe une nuit
blanche. Cette séparation fut pour lui comme un tonnerre qui déchira le ciel
pendant une nuit d’hiver .
Le lendemain, Sylvia ne revenait pas. Elle était avec André . Elle ne donna
plus aucun signe de vie depuis trois
jours.
Au troisième jour ,Papov, trouva un mot que
Sylvia avait glissé sous la porte.
D’une main tremblante, il ouvrit
le billet,et lisait le contenu du message :
« ne m’attend pas, je ne reviens plus. Je divorce. Signé : Sylvia »
hors de lui . Il avala la moitié d’une
bouteille de wiski et la frappa sauvagement. Puis, il regretta son geste et se mit en pleure. Il
lui demanda pardon. Il la suppliait de rester . Elle ouvrit la porte .Il la retint . Elle se
débattit et le quitta. Elle se rendit chez André , son
amant .
Elle se dirigea vers
l’appartement de son amant, en titubant, comme sous l’effet d’un somnifère. Il était
presque vingt trois heures, quand elle frappa chez André. Quand il ouvrit la
porte, il se trouva face à face avec Sylvia.
Il ne s’attendait pas à
la voir à cette heure, si tardive.
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1;
tab-stops:list 36.0pt">-
Pourquoi êtes vous venue maintenant lui demanda André
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1;
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votre mari
n’est pas rentré ce weed kend ?
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1;
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Si ! lui
répondit Sylvia, mais nous nous sommes querellés
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1;
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à cause de moi
dit il ?
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Non ! mais je lui ai avoué notre relation.
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Etes vous devenue folle ?
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Les circonstances me l’avaient imposées .
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1;
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J’ai décidé de mettre un terme à cette vie infernale.
<p class="MsoNormal" style="margin-left:36.0pt;text-indent:-18.0pt;mso-list:l0 level1 lfo1;
tab-stops:list 36.0pt">-
Papov, resté seul, se mit à boire. Il avala, la seconde moitié, et ouvrit une autre
bouteille, puis une autre . Il noyait ses soucis dans l’alcool.
Papov passe une nuit
blanche. Cette séparation fut pour lui comme un tonnerre qui déchira le ciel
pendant une nuit d’hiver .
Le lendemain, Sylvia ne revenait pas. Elle était avec André . Elle ne donna
plus aucun signe de vie depuis trois
jours.
Au troisième jour ,Papov, trouva un mot que
Sylvia avait glissé sous la porte.
D’une main tremblante, il ouvrit
le billet,et lisait le contenu du message :
« ne m’attend pas, je ne reviens plus. Je divorce. Signé : Sylvia »
ROUDANE- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 76
Re: Roman: l'écrivain, cet étranger.
De nouveau, Papov se mit à boire. Il fréquentait maintenant les bars et commençait à décrire sa souffrance avec Sylvia.
Il ne quittait que très tard, dans la nuit, le bar.
Joseph , un habitué du restaurant , le remarqua un jour et continua à l’observer pendant plusieurs semaines .
Il se demandait ce que pouvait bien écrire chaque jour cet ivrogne attablé seul au coin du bar .Car il s’adonnait à l’écriture sans répit. Curieux il s’approcha de sa table et s’assit devant lui . Papov ne lui préta aucune attention , il leva seulement les yeux sur l’intrus et continua à écrire.
Joseph était un éditeur de nouveau talent . Il lui offrit un verre, que Papov ne refusa pas. Puis ils commencèrent à bavarder ensemble et sous l’effet de l’alcool Papov lui expliquait sa douleur :
- J’écris sur l’abandon de ma femme, lui dit il.
Elle ma quitté pour aller vivre avec son amant, un jeune garçon de son âge. Joseph tente de le consoler mais ses consolations restèrent sans effets. Papov était très malheureux. La présence de Joseph devenue courante commençait à porter ses fruits.
Chaque fois, ils bavardaient longuement, et peu à peu, Papov commençait à sentir cette présence comme un soulagement .
Mais, le but que poursuivit Joseph, c’était la lecture du contenu du manuscrit qu’écrivait Papov.
Il lui demanda, alors, la permission de lire quelques pages. L’ivrogne lui remit tout le paquet .
Au bout de quelques pages Joseph s’aperçût que l’histoire, de Sylvia était émouvante.
L’éditeur avait le flair. Tout de suite il constata que le manuscrit présentait beaucoup d’intérêt, et lui fit la proposition de l'éditer.
Le roman s’intitulait ’’ La douleur de Sylvia’’.
Il ne quittait que très tard, dans la nuit, le bar.
Joseph , un habitué du restaurant , le remarqua un jour et continua à l’observer pendant plusieurs semaines .
Il se demandait ce que pouvait bien écrire chaque jour cet ivrogne attablé seul au coin du bar .Car il s’adonnait à l’écriture sans répit. Curieux il s’approcha de sa table et s’assit devant lui . Papov ne lui préta aucune attention , il leva seulement les yeux sur l’intrus et continua à écrire.
Joseph était un éditeur de nouveau talent . Il lui offrit un verre, que Papov ne refusa pas. Puis ils commencèrent à bavarder ensemble et sous l’effet de l’alcool Papov lui expliquait sa douleur :
- J’écris sur l’abandon de ma femme, lui dit il.
Elle ma quitté pour aller vivre avec son amant, un jeune garçon de son âge. Joseph tente de le consoler mais ses consolations restèrent sans effets. Papov était très malheureux. La présence de Joseph devenue courante commençait à porter ses fruits.
Chaque fois, ils bavardaient longuement, et peu à peu, Papov commençait à sentir cette présence comme un soulagement .
Mais, le but que poursuivit Joseph, c’était la lecture du contenu du manuscrit qu’écrivait Papov.
Il lui demanda, alors, la permission de lire quelques pages. L’ivrogne lui remit tout le paquet .
Au bout de quelques pages Joseph s’aperçût que l’histoire, de Sylvia était émouvante.
L’éditeur avait le flair. Tout de suite il constata que le manuscrit présentait beaucoup d’intérêt, et lui fit la proposition de l'éditer.
Le roman s’intitulait ’’ La douleur de Sylvia’’.
ROUDANE- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 76
Re: Roman: l'écrivain, cet étranger.
Papov fut abâttu par ce message. Il devint furieux et
cherchait momentanément, le soulagement, dans l’alcool. Il passait des nuits terribles. Cette séparation le
mit dans un état lamentable.
Affaibli par l’alcool, il ne pouvait plus se mettre sur ses jambes. Il était
trop souffrant et ne se rendait plus au travail.
Son patron lui adressa,
alors, plusieurs faxs pour la reprise du travail. Mais, Papov ne se souciait guère maintenant du travail . Seule, Sylvia le
préoccupait. Il n’accordait , à ces convocations, aucun intérêt.
Dans son état, il était incapable d’y répondre. Ses absences s’allongeaient
et le contrôle des succursales fut
paralysé.
La direction lui notifia,
alors, la révocation pour abandon de poste.
De nouveau, Papov se mit
à boire. Il fréquentait maintenant les
bars et commençait à décrire sa
souffrance avec Sylvia.
Il ne
quittait que très tard, dans la nuit,
le bar.
Joseph , un habitué du
restaurant , le remarqua un jour et
continua à l’observer pendant plusieurs
semaines .
Il se demandait ce que
pouvait bien écrire chaque jour
cet ivrogne attablé seul au coin
du bar .Car il s’adonnait à l’écriture sans répit. Curieux, il s’approcha de sa table et s’assit devant lui. Papov ne lui prêtait aucune attention, il leva, seulement, les yeux
sur l’intrus et continua à écrire.
Joseph était
un éditeur de nouveau talent . Il lui offrit un verre, que Papov ne refusa pas. Puis ils commencèrent à bavarder ensemble et sous l’effet de l’alcool, Papov, lui
expliquait sa douleur :
- J’écris sur l’abandon de ma femme, lui dit il.
Elle ma quitté pour aller vivre avec son amant,
un jeune garçon de son âge. Joseph tente
de le consoler mais ses consolations restèrent sans effets. Papov était très malheureux.
La présence de Joseph devenue courante commençait
à porter ses fruits.
Chaque fois, ils bavardaient longuement, et peu
à peu, Papov commençait à sentir cette
présence comme un soulagement .
Mais, le but que
poursuivit Joseph, c’était la lecture du contenu du manuscrit qu’écrivait Papov.
Il lui demanda, alors, la permission de lire quelques pages. L’ivrogne lui remit tout le paquet .
Au bout de quelques
pages Joseph s’apperçût que l’histoire, de Sylvia était émouvante.
L’éditeur avait le flair. Tout de suite il constata que le
manuscrit présentait beaucoup d’intérêt
et lui fit la proposition de l’éditer.
Le roman s’intitulait ’’ La douleur de Sylvia’’.
ROUDANE- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 76
Re: Roman: l'écrivain, cet étranger.
Le livre commence
ainsi : ‘’J’avais levé le rideau du bonheur et je me suis trouvé devant la
porte de l’enfer. Impossible de faire marche arrière, le terrain s’est
effondré derrière moi , il ne me restait plus aucun choix que d’aller droit dans cette braise brulante.
Les larmes aussi abondantes séchaient avant même qu’elle n’atteignit le sol. Mes cris étouffaient dans ce
tourbillon de flamme enragée et cruelle. Je me sentais, seul, devant ce
gigantesque malheur insatiable. Son amour me consumait, à petit feu, comme dans
un bucher.... ».
Au bout de six mois, Papov
remit le manuscrit à son éditeur, et, un mois plus tard, le livre était chez les libraires.
André lui organisa
une rencontre, à l’occasion de ses dédicaces, avec son public et quelques écrivains.
Papov, devenu
écrivain, découvrait pour la
première fois, ses lecteurs. André , l’éditeur était un fin renard. Il y invita aussi la presse, un
journal assez connu d’ailleurs. Son but, la publicité, pour sa
maison d’ édition.
Dans l’interview, le
journaliste, Arman, insistait sur l’explication
de la transition, entre les fonctions d’ ingénieur et le métier
d’ écrivain .
Comment concilier la
fonction technique et la littérature. C’était les deux extrêmes.
Papov, lui répondit tout
simplement : c’est la douleur, la tristesse, l’angoisse le malheur, la peur
qui nous dicte souvent la voie.
ROUDANE- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 76
Re: Roman: l'écrivain, cet étranger.
Tout s’était déroulé comme il l’avait prévu.
Après la cérémonie du mariage, devant le prêtre catholique, ils se rendirent immédiatement
à l’aéroport pour s’embarquer
vers la Grèce.
Papov avait pris le
soin de réserver les places suffisamment à l’avance.
Leur avion, atterrit
vers treize heures à l’aéroport
d’Athènes. Ils décidèrent, d’abord, d’aller déjeuner puis de visiter la ville.
Le couple avaient hâte de découvrir
ce pays que beaucoup d’écrivains
avaient décrit dans l’ histoire antique, sa culture et ses arts.
Un taxi les mena au centre ville. Ils se rendirent
ensuite à l’agence de voyage
pour les formalités d’accueil .
Un agent les accompagna,
jusqu’au cabano, situé près de la plage. C’était une sorte de hutte en bambou avec toutes les commodités.
La Grèce était vraiment un pays magnifique ! Son climat, typiquement méditerranéen dans le sud, offrait une douceur de vivre aux îles, et, même à l’ensemble du littoral.
Le couple avait passé
une lune de miel merveilleuse.
De retour, ils
s’installèrent dans leur petit appartement au IVème arrondissement de Paris.
Chacun reprit son
travail, Papov, à l’usine, et sa jeune femme, à l’agence de voyage.
Maintenant, ils vivaient ensemble, et menaient une vie heureuse. Le bonheur couvait ce couple, et l’amour de leurs deux coeurs avait fait le reste.
A midi, ils se rencontraient, comme d’habitude, dans le même restaurant, pour déjeuner.
Le soir, dans leur petit appartement, Papov préparait le diner. A part les fritures, Sylvia
ne savait rien faire d’ autre !
Tout allait bien, entre
eux. Ils vécurent ensemble deux années de bonheur. Mais un jour, Papov fut nommé, par son
employeur, au poste de contrôleur. Il devait assurer le contrôle des
succursales de la maison, implantées un peu partout, à travers le pays.
Sa nouvelle mission,
pourtant allait être fatale à leur union.
Papov voyageait beaucoup. Ses absences, devenaient
assez fréquentes, et, parfois assez longues.
Sylvia commençait à s’ennuyer. Elle sortait souvent seule.
Cette
souffrance s’allongeait indéfiniment et la consumait de jour en jour. Un
malheur pointait, alors, à l’horizon. Ne pouvant plus accepter cette vie, la jeune
femme décida de lui parler dès son retour.
Après un mois d’absence,
Papov, revint à la maison . Dès qu’il franchit le seuil
de la porte, il fut
accueilli par un pesant silence.
Habituellement Sylvia accourait vers lui et l’enlaçait très fort, mais, cette fois-ci, il trouva sa
femme dans un état dépressif . Il ignorait encore qu’il en était la cause.
Le regard étrange de
son épouse l’inquiétait . Il tenta vainement d’en découvrir les raisons. Sylvia restait silencieuse . Papov insista. Soudainement, elle éclata en sanglots, et lui expliqua, sans tarder, qu’elle ne pouvait plus continuer à vivre dans cet isolement.
-Je ne me suis pas mariée, dit- elle, pour rester ainsi seule des jours et des nuits, mais pour avoir l’homme que j’aime à mes côtés !
Sentir sa présence aimante, sa sa chaleur.
N’oublie pas que je
suis une femme et je ressens
terriblement le besoin de nos rapports sexuels.
Regarde la réalité en face, ton travail t’a
rendu impuissant...Tu n’est plus qu’un eunique.
D’ailleurs, quand tu
rentres de voyage c’est pour dormir comme si tu étais encore dans ta chambre
d’hôtel.
Papov, qui ne s’attendait pas à cette crise de
couple, se retrouva dans une situation embarrassante.
Il ne peut
pas abandonner son travail. Il est dans la boite depuis presque vingt ans. Il
se sent déjà assez un peu vieux pour
aller chercher un autre. Les querelles commencèrent et l’enfer s’y installait. La vie entre eux
devenait invivable. Tout ce bonheur venait de s’écrouler soudainement comme un château de sable. Leur union
fortement soudée ne tenait plus maintenant
qu’à un fil qui s’étirait de jour en
jour et finira par casser .
Sylvia était plus jeune que lui et aime la liberté. Elle voulait
profiter au maximum de sa jeunesse. Elle
n’avait que vingt six ans et la
différence d’âge commençait déjà à produire ses effets. Mais Papov ne pouvait plus supporter les sorties, ni les veillées.
Lui aussi avait commis les folies quand il avait l’âge de Sylvia. Mais tout
cela est maintenant derrière lui. Dans la boite il avait une responsabilité à gérer. Ce qu’il voulait ,
c’est être père un jour. Voilà son souci.
Mais Sylvia se sentit trop seule et abandonnée .
Pour oublier
momentanément, ses soucis, elle se rendit dans une discothèque.
Au bout de quelques
jours, elle fit la connaissance d’un
beau garçon’ André’ et commencèrent à sortir ensembles.
André avait son âge. Il est rouquin et robuste.
Visiblement, c’était un
homme virile et sans avenir. Il
aimait l’alcool et la musique. Il vivait au dépends de ses parents. Sylvia
l’avait, certainement, choisit pour son corps.
Lorsque Papov revient
de ses missions , il ne la trouve pas à la maison. A son retour les disputes
atteignent leurs limites .Papov
lui reproche sévèrement ses absences .
Sylvia ne peut plus continuer à
dissimuler le secret de son aventure amoureuse avec André , elle lui avoue qu’elle a un amant. Puis elle ajouta : je t’avais averti
d’ailleurs que je ne supportais plus cette vie emprisonnée entre quatre murs.
L’expérience du plaisir sexuel avait rendu Sylvia insatiable . Combien de
fois n’a telle loué son corps pour seulement une nuit d’extase . Sylvia n’était pas une prostituée
mais elle aimait seulement jouir pleinement de sa vie sexuelle. Son mari fut assommé par cette nouvelle . Je
n’en peux plus il faut qu’on se quitte lui dit elle . Papov est hors de lui . Il avale la moitié d’une
bouteille de wyski et la frappe
sauvagement. Puis il regrette son geste et se met en pleure. Il lui demande
pardon. Il la supplie de rester . Elle ouvre la porte .Il la retient . Elle se
débat et le quitte. Elle se rend chez André , son
amant .Elle se dirige vers l’appartement de son amant en titubant comme sous l’effet
d’un somnifère.
ROUDANE- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 76
Re: Roman: l'écrivain, cet étranger.
Extrait du roman " l'écrivain, cet étranger"
En peu de temps la
première édition a été écoulée. L’éditeur mit sous presse une seconde édition .
C’était un véritable chez- d’oeuvre.
Son nom devenait célèbre. Il entama un second ouvrage qu’il termina un an plus
tard . « Les traitres n’ont pas de remord » ainsi avait- il, titré le livre. Le second ouvrage avait envoûté les lecteurs. Désormais Papov trouva son chemin . Il devient un écrivain de renom. Il renonça à l’alcool et consacra son temps à
l’écriture.
Il signa avec avec Joseph, son éditeur, un contrat
d’exclusivité.
Le voilà dans le grand
monde. Il acheta une superbe villa sur
la côte d’Asur et menait une vie luxieuse. Devenu riche, Papov
commençait à dépenser sans compter.
Ses dettes s’accumulèrent considérablement . Son éditeur lui rappela le contrat.
Mais l’écrivain se trouva soudainement
bloqué , aucun mot , aucune idée , aucune histoire ne lui venait à l’esprit.
Il arriva qu’au milieu
du texte, son héros, parfois, se perdait
dans les dédales de l’histoire et que l’écrivain
tentât de lui apporter son aide . Itinéraire que lui même ignorait
. Il était, alors, face à une muraille infranchissable.
Depuis deux ans Papov pataugeait , il n’avait pas écrit un seul ouvrage et n’arrivait pas à s’en expliquer les raisons.
L ‘éditeur le
bousculait et le menaça d’intenter une
action devant les tribunaux. Papov demanda, à son éditeur, un temps supplémentaire pour remplir le
contrat, et lui promit un ouvrage exceptionnel.
Le public ignore les difficultés que rencontre
un écrivain pour produire un ouvrage. C’est un travail de longue haleine. Il
exige beaucoup de patience et de disponibilité.
Il décida de quitter le pays et fuit les nuisances de
la ville cosmopolite. Il s’envola pour l’Algérie. Pays qu’il avait connu pendant la guerre. Durant son service militaire, il
fut affecté dans une école dans les montagnes pour dispenser des cours de
français.
Malgré la souffrance de la guerre, Papov, avait
rencontré une population modeste et hospitalière. C’est là, pensa-t-il, que je
vais continuer mon travail.
Quelques mois plus
tard, à nouveau, l’éditeur s’inquiéta du retard pour la remise de l’ouvrage.
Il envoya, alors, plusieurs convocations à Papov. Mais, à ce
moment-là, celui-ci ne se trouvait plus à Paris.
Joseph devint
furieux. Il commença à chercher son « écrivain » dans tous les lieux
habituels, un peu partout....
En peu de temps la
première édition a été écoulée. L’éditeur mit sous presse une seconde édition .
C’était un véritable chez- d’oeuvre.
Son nom devenait célèbre. Il entama un second ouvrage qu’il termina un an plus
tard . « Les traitres n’ont pas de remord » ainsi avait- il, titré le livre. Le second ouvrage avait envoûté les lecteurs. Désormais Papov trouva son chemin . Il devient un écrivain de renom. Il renonça à l’alcool et consacra son temps à
l’écriture.
Il signa avec avec Joseph, son éditeur, un contrat
d’exclusivité.
Le voilà dans le grand
monde. Il acheta une superbe villa sur
la côte d’Asur et menait une vie luxieuse. Devenu riche, Papov
commençait à dépenser sans compter.
Ses dettes s’accumulèrent considérablement . Son éditeur lui rappela le contrat.
Mais l’écrivain se trouva soudainement
bloqué , aucun mot , aucune idée , aucune histoire ne lui venait à l’esprit.
Il arriva qu’au milieu
du texte, son héros, parfois, se perdait
dans les dédales de l’histoire et que l’écrivain
tentât de lui apporter son aide . Itinéraire que lui même ignorait
. Il était, alors, face à une muraille infranchissable.
Depuis deux ans Papov pataugeait , il n’avait pas écrit un seul ouvrage et n’arrivait pas à s’en expliquer les raisons.
L ‘éditeur le
bousculait et le menaça d’intenter une
action devant les tribunaux. Papov demanda, à son éditeur, un temps supplémentaire pour remplir le
contrat, et lui promit un ouvrage exceptionnel.
Le public ignore les difficultés que rencontre
un écrivain pour produire un ouvrage. C’est un travail de longue haleine. Il
exige beaucoup de patience et de disponibilité.
Il décida de quitter le pays et fuit les nuisances de
la ville cosmopolite. Il s’envola pour l’Algérie. Pays qu’il avait connu pendant la guerre. Durant son service militaire, il
fut affecté dans une école dans les montagnes pour dispenser des cours de
français.
Malgré la souffrance de la guerre, Papov, avait
rencontré une population modeste et hospitalière. C’est là, pensa-t-il, que je
vais continuer mon travail.
Quelques mois plus
tard, à nouveau, l’éditeur s’inquiéta du retard pour la remise de l’ouvrage.
Il envoya, alors, plusieurs convocations à Papov. Mais, à ce
moment-là, celui-ci ne se trouvait plus à Paris.
Joseph devint
furieux. Il commença à chercher son « écrivain » dans tous les lieux
habituels, un peu partout....
ROUDANE- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 76
Re: Roman: l'écrivain, cet étranger.
Roudane, si vous le voulez, faites-moi parvenir l'intégralité du texte à corriger et je le ferai avec traitement de texte... vous pouvez me l'envoyer en PJ à
danay17@gmail.com
En voyant l'intégralité, je pourrai retrouver les fautes de temps..j'ai revu aussi des virgules mal placées..;etc !
Amicalement à vous, Danay
danay17@gmail.com
En voyant l'intégralité, je pourrai retrouver les fautes de temps..j'ai revu aussi des virgules mal placées..;etc !
Amicalement à vous, Danay
Re: Roman: l'écrivain, cet étranger.
SUITE EXTRAIT.
Le lendemain
Sylvia ne revint pas. Elle était auprès d’ André . Elle ne donna plus aucun signe de vie pendant trois jours.
Au troisième
jour , il trouva un mot que Sylvia avait glissé sous la porte. D’une
main tremblante il ouvrit le billet et lut le contenu du message :
« ne
m’attends pas je ne reviendrai plus. Je divorce. Signé : Sylvia »
Voilà maintenant trois
mois que Papov vivait seul aux prises avec une souffrance intarissable.
Depuis quelques
temps, Sylvia, s’aperçut quelle prenait de mauvaises
habitudes. Elle se gavait
de choses qu’elle n’aimait pas auparavant.
Des envies qu’elle ne s’expliquait pas. Une
femme mariée qui aurait mis au monde au moins un enfant aurait compris tout de suite ce changement comportemental. Des signes qui ne tromperaient pas une mère, mais que Sylvia ne reconnaissait pas!
Un jour,
Sylvia, mal en point mais alla quand
même à son travail. Une heure plus tard, elle s’affaissa comme un mur poussé
par un violent vent, et perdit connaissance. On la transporta, en urgence, à
l’hôpital le plus proche. Quand elle se réveilla, elle scruta d’abord autour d’elle
et se rendit compte du lieu où elle
se trouvait.
Elle questionna l’infirmière, assise, devant elle, pour la surveiller, sur sa présence dans ce lieu.
La jeune infirmière lui expliqua qu’elle a
été ramenée ici par une ambulance et qu’elle était dans un état inconscient .
-Le médecin
va vous examiner. Je vais le prévenir de votre réveil.
L’infirmière,
informa aussitôt, le médecin qui ne tarda
pas entrer dans la chambre.
Bonjour !Alors !comment
allez-vous, maintenant, mademoiselle, lui demanda t-il.
Sylvia
tellement belle lui paraissait encore
une jeune fille.
On va voir
quel est le problème de cet évanouissement . Il l’ausculta un moment, puis
sourit de toutes ses dents éclatantes. Eh bien ! rassurez-vous, ce n’est
rien. Toutes mes félicitations !
Vous êtes
enceinte ! lui dit-il en lui tapotant sur la joue !
Surprise, et
sous le choc de l’émotion, elle essaya de dire quelque chose. Rien ne sortait
de ces lèvres superbes. Je suis .....moi, moi
je suis ..... en.....enceinte Docteur ?
- Oui, madame ! lui confirma le médecin. Votre
enfant a déjà trois mois.
Le médecin lui recommanda du repos et lui conseilla de faire plus attention à sa santé.
Elle se tut un moment. Elle commença par à fouiller dans sa mémoire…
Sa tête se mit à bouillonner…. Elle se rappela qu’elle
avait quitté Papov exactement depuis
trois mois. Et si l’enfant était de lui ?
Avoir, un
enfant, c’était son rêve, à Papov.
S’il était là, il serait probablement très heureux.
Maintenant,
Papov disparu, et que personne n’avait de ses nouvelles, même son éditeur, à quoi bon me torturait l’esprit.
Elle abandonna cette idée-là et, alla chercher
la réponse du côté d’André.
Papov ou
André ? S’interrogeait-elle.
Et, si c’était André le père ? Ayant vécu, des moments de folie, avec lui, elle ne souhaitait pas qu’il fût le père. Son amant, était un homme insouciant, il serait incapable d’assumer une telle
responsabilité.
Le lendemain
Sylvia ne revint pas. Elle était auprès d’ André . Elle ne donna plus aucun signe de vie pendant trois jours.
Au troisième
jour , il trouva un mot que Sylvia avait glissé sous la porte. D’une
main tremblante il ouvrit le billet et lut le contenu du message :
« ne
m’attends pas je ne reviendrai plus. Je divorce. Signé : Sylvia »
Voilà maintenant trois
mois que Papov vivait seul aux prises avec une souffrance intarissable.
Depuis quelques
temps, Sylvia, s’aperçut quelle prenait de mauvaises
habitudes. Elle se gavait
de choses qu’elle n’aimait pas auparavant.
Des envies qu’elle ne s’expliquait pas. Une
femme mariée qui aurait mis au monde au moins un enfant aurait compris tout de suite ce changement comportemental. Des signes qui ne tromperaient pas une mère, mais que Sylvia ne reconnaissait pas!
Un jour,
Sylvia, mal en point mais alla quand
même à son travail. Une heure plus tard, elle s’affaissa comme un mur poussé
par un violent vent, et perdit connaissance. On la transporta, en urgence, à
l’hôpital le plus proche. Quand elle se réveilla, elle scruta d’abord autour d’elle
et se rendit compte du lieu où elle
se trouvait.
Elle questionna l’infirmière, assise, devant elle, pour la surveiller, sur sa présence dans ce lieu.
La jeune infirmière lui expliqua qu’elle a
été ramenée ici par une ambulance et qu’elle était dans un état inconscient .
-Le médecin
va vous examiner. Je vais le prévenir de votre réveil.
L’infirmière,
informa aussitôt, le médecin qui ne tarda
pas entrer dans la chambre.
Bonjour !Alors !comment
allez-vous, maintenant, mademoiselle, lui demanda t-il.
Sylvia
tellement belle lui paraissait encore
une jeune fille.
On va voir
quel est le problème de cet évanouissement . Il l’ausculta un moment, puis
sourit de toutes ses dents éclatantes. Eh bien ! rassurez-vous, ce n’est
rien. Toutes mes félicitations !
Vous êtes
enceinte ! lui dit-il en lui tapotant sur la joue !
Surprise, et
sous le choc de l’émotion, elle essaya de dire quelque chose. Rien ne sortait
de ces lèvres superbes. Je suis .....moi, moi
je suis ..... en.....enceinte Docteur ?
- Oui, madame ! lui confirma le médecin. Votre
enfant a déjà trois mois.
Le médecin lui recommanda du repos et lui conseilla de faire plus attention à sa santé.
Elle se tut un moment. Elle commença par à fouiller dans sa mémoire…
Sa tête se mit à bouillonner…. Elle se rappela qu’elle
avait quitté Papov exactement depuis
trois mois. Et si l’enfant était de lui ?
Avoir, un
enfant, c’était son rêve, à Papov.
S’il était là, il serait probablement très heureux.
Maintenant,
Papov disparu, et que personne n’avait de ses nouvelles, même son éditeur, à quoi bon me torturait l’esprit.
Elle abandonna cette idée-là et, alla chercher
la réponse du côté d’André.
Papov ou
André ? S’interrogeait-elle.
Et, si c’était André le père ? Ayant vécu, des moments de folie, avec lui, elle ne souhaitait pas qu’il fût le père. Son amant, était un homme insouciant, il serait incapable d’assumer une telle
responsabilité.
Dernière édition par ROUDANE le Jeu 1 Déc - 14:55, édité 1 fois
ROUDANE- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 76
Re: Roman: l'écrivain, cet étranger.
je vous ai transmis hier mes "corrections" possibles...
Bon après-midi;
Amicalement,
Bon après-midi;
Amicalement,
Re: Roman: l'écrivain, cet étranger.
Le lendemain Sylvia ne revint pas. Elle était auprès d’André. Elle ne donna plus aucun signe de vie à Pavov, pendant trois jours.
Au troisième jour, il trouva un mot qu’elle avait glissé sous la porte. D’une main tremblante, il ouvrit le billet et lut le contenu du message :
« Ne m’attends pas, je ne reviendrai plus. Je divorce. Sylvia »
Voilà maintenant trois mois que Papov vivait seul aux prises avec une souffrance intarissable.
Cependant, et, depuis quelque temps, Sylvia, s’aperçut qu’elle prenait de mauvaises habitudes. Elle se gavait de choses qu’elle n’aimait pas auparavant.
Des envies oppressantes qu’elle ne s’expliquait pas. Une femme mariée qui aurait mis au monde au moins un enfant aurait tout de suite compris ce changement comportemental. Des signes qui ne tromperaient pas une mère, mais que Sylvia ne reconnaissait pas !
Dans ce domaine, Sylvia, n’avait pas encore d’expérience. C’était sa première grossesse.
Un jour, Sylvia, mal en point, passa toute la nuit à vomir. Elle pensa d’abord à une intoxication alimentaire, puis à l’alcool...
Ce n’était, ni l’un ni l’autre, mais une cause au qu'elle ne pouvait, totalement, songer.
Elle se leva, difficilement, le matin, et alla quand même, dans cet état, à son travail.
Une heure plus tard, elle s’affaissa comme un mur, poussé par un violent vent, et perdit connaissance. On la transporta, en urgence, à l’hôpital le plus proche. Quand elle se réveilla, elle scruta d’abord autour d’elle et se rendit compte de l’endroit où elle se trouvait.
Elle questionna l’infirmière, qui se trouvait là, assise, devant elle pour la surveiller, sur les raisons de sa présence dans ce lieu.
La jeune infirmière lui expliqua qu’elle avait été ramenée ici par une ambulance alors qu’elle était dans un état inconscient.
- Le médecin va vous examiner lui dit-elle, avec calme. Je vais le prévenir de votre réveil.
Aussitôt, l’infirmière, avisa le médecin qui ne tarda pas à entrer dans la chambre de la patiente.
Un homme d’âge mûr, assez grand de taille, blond, aux yeux bleus, aux cheveux gris, lisses et bien coiffés , s’approcha d’elle.
Le visage, éclairé, par un sourire rassurant. C’était le Docteur Pascal. L’infirmière l’avait appelé par ce nom.
-- Bonjour ! Alors ! Comment allez-vous maintenant, mademoiselle, lui demanda t-il.
Sylvia tellement belle lui paraissait encore une jeune fille.
On va voir quel est le problème de cet évanouissement. Il l’ausculta puis sourit. Eh bien, rassurez-vous, ce n’est rien. Toutes mes félicitations !
Vous êtes enceinte ! lui dit-il, en lui tapotant sur la joue.
Surprise, et sous le choc de l’émotion, elle essaya de dire quelque chose.
Rien ne sortait de cette grande bouche superbe. Je suis .....moi, moi je suis ..... en.....enceinte Docteur ?
Oui madame ! lui confirma le médecin. Votre enfant a déjà trois mois.
Le médecin lui recommanda du repos et lui conseilla de faire plus attention à sa santé.
Elle se tut un moment. Et, se posa mille questions sans réponse.
De qui peut être l’enfant ? De Papov ou d’André ? Elle s’interrogeait.
Elle commença à fouiller dans sa mémoire. Et, se rappela qu’elle avait quitté, depuis exactement trois mois Papov. Et si l’enfant était-il de lui ? pensa-t-elle complètement troublée.
Avoir, un enfant, c’était son rêve, à Papov.
S’il était là, il serait probablement très heureux.
Elle abandonna cette idée-là et, alla chercher la réponse du côté d’André. Et, si c’était André le père ?
[/font]
Au troisième jour, il trouva un mot qu’elle avait glissé sous la porte. D’une main tremblante, il ouvrit le billet et lut le contenu du message :
« Ne m’attends pas, je ne reviendrai plus. Je divorce. Sylvia »
Voilà maintenant trois mois que Papov vivait seul aux prises avec une souffrance intarissable.
Cependant, et, depuis quelque temps, Sylvia, s’aperçut qu’elle prenait de mauvaises habitudes. Elle se gavait de choses qu’elle n’aimait pas auparavant.
Des envies oppressantes qu’elle ne s’expliquait pas. Une femme mariée qui aurait mis au monde au moins un enfant aurait tout de suite compris ce changement comportemental. Des signes qui ne tromperaient pas une mère, mais que Sylvia ne reconnaissait pas !
Dans ce domaine, Sylvia, n’avait pas encore d’expérience. C’était sa première grossesse.
Un jour, Sylvia, mal en point, passa toute la nuit à vomir. Elle pensa d’abord à une intoxication alimentaire, puis à l’alcool...
Ce n’était, ni l’un ni l’autre, mais une cause au qu'elle ne pouvait, totalement, songer.
Elle se leva, difficilement, le matin, et alla quand même, dans cet état, à son travail.
Une heure plus tard, elle s’affaissa comme un mur, poussé par un violent vent, et perdit connaissance. On la transporta, en urgence, à l’hôpital le plus proche. Quand elle se réveilla, elle scruta d’abord autour d’elle et se rendit compte de l’endroit où elle se trouvait.
Elle questionna l’infirmière, qui se trouvait là, assise, devant elle pour la surveiller, sur les raisons de sa présence dans ce lieu.
La jeune infirmière lui expliqua qu’elle avait été ramenée ici par une ambulance alors qu’elle était dans un état inconscient.
- Le médecin va vous examiner lui dit-elle, avec calme. Je vais le prévenir de votre réveil.
Aussitôt, l’infirmière, avisa le médecin qui ne tarda pas à entrer dans la chambre de la patiente.
Un homme d’âge mûr, assez grand de taille, blond, aux yeux bleus, aux cheveux gris, lisses et bien coiffés , s’approcha d’elle.
Le visage, éclairé, par un sourire rassurant. C’était le Docteur Pascal. L’infirmière l’avait appelé par ce nom.
-- Bonjour ! Alors ! Comment allez-vous maintenant, mademoiselle, lui demanda t-il.
Sylvia tellement belle lui paraissait encore une jeune fille.
On va voir quel est le problème de cet évanouissement. Il l’ausculta puis sourit. Eh bien, rassurez-vous, ce n’est rien. Toutes mes félicitations !
Vous êtes enceinte ! lui dit-il, en lui tapotant sur la joue.
Surprise, et sous le choc de l’émotion, elle essaya de dire quelque chose.
Rien ne sortait de cette grande bouche superbe. Je suis .....moi, moi je suis ..... en.....enceinte Docteur ?
Oui madame ! lui confirma le médecin. Votre enfant a déjà trois mois.
Le médecin lui recommanda du repos et lui conseilla de faire plus attention à sa santé.
Elle se tut un moment. Et, se posa mille questions sans réponse.
De qui peut être l’enfant ? De Papov ou d’André ? Elle s’interrogeait.
Elle commença à fouiller dans sa mémoire. Et, se rappela qu’elle avait quitté, depuis exactement trois mois Papov. Et si l’enfant était-il de lui ? pensa-t-elle complètement troublée.
Avoir, un enfant, c’était son rêve, à Papov.
S’il était là, il serait probablement très heureux.
Elle abandonna cette idée-là et, alla chercher la réponse du côté d’André. Et, si c’était André le père ?
[/font]
ROUDANE- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 76
Re: Roman: l'écrivain, cet étranger.
Dois-je vous corriger aussi cet extrait, ou l'ai-je déjà fait ?
MERCI
MERCI
Re: Roman: l'écrivain, cet étranger.
Bonjour Danay,
Ce texte a déjà fait l'objet de correction. Si vous l'avez remarqué, il n'y a pas d'erreur me semble-t-il ?
Mes amitiés.
Roudane.
Ce texte a déjà fait l'objet de correction. Si vous l'avez remarqué, il n'y a pas d'erreur me semble-t-il ?
Mes amitiés.
Roudane.
ROUDANE- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 76
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