School Trip
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Re: School Trip
Alors j'ai décidé de faire quelques corrections, petit à petit, directement sur mon fichier source, je ne vais donc peut etre pas tout remettre ici.En revanche, je vous laisse un autre extrait. bonne fêtes à tous
Un petit contexte: ce passage n'est pas la suite directe de ce que j'ai posté précédemment. Il s'agit du 5e jour.
– Sam, t’as combien sur toi ?
– Humm ? Will adorait littéralement faire les magasins. Il n’avait pas encore pu commencer à savourer son quartier libre que son porte-monnaie était déjà vide. On était à Charles Street depuis moins d’une heure. Et ma punition commençait dans deux minutes ; si on pouvait appeler le fait de rester collé aux basques de ma sublime prof une punition…
– Tu peux me prêter combien ? insistait Will.
J’ai consenti à ouvrir mon portefeuille, ou du moins ce qu’il en restait. Je devais avoir ce truc depuis la classe de 3e. C’était ultra-moche, en état de décrépitude avancé, mais je n’arrivais pas à m’en séparer. C’est ça, traitez moi de sentimental… Je dirais plutôt non-accro au shopping.
– Je vais avoir besoin d’un minimum, mais je peux t’en laisser la moitié. 30 dollars, c’est bon ?
– Merci mon pote, je penserai à te faire un cadeau. Et, sans vouloir gâcher ton bonheur ou quoi, je crois que t’as oublié un truc.
– Quoi encore ?
J’étais agacé, et trouvais que la journée traînait en longueur. J’étais pressé de retourner au lycée avec notre bus scolaire, ce qui mettrait fin à cette attente interminable pour voler quelques instants avec Breanna. J’étais persuadé que cette journée marquerait un tournant pour moi, comme une sorte de révélation. J’avais passé du temps le matin même à me sélectionner une tenue : jean noir, chemise blanche et pull en laine col V. Ca me changeait des sweats informes que je portais habituellement.
– Il y a l’autre prof, aussi, qui nous accompagne ; à mon avis, elles vont vouloir rester ensemble.
Dans le mille, ai-je pensé alors que l’imposante silhouette de Mme Galonnard s’approchait de la frêle Miss Petit, pendant que le reste du groupe s’égayait par grappes vers de nouvelles aventures non surveillées dans les rues de Boston. J’ai senti avec une vague gêne le regard de ma prof sur moi. Puis elle s’est adressée à sa collègue.
– Vanessa, qu’est-ce que tu voudrais faire comme boutique ?
J’ai failli m’étrangler avec mon M&Ms en entendant ce prénom. Il n’y a pas à dire, les profs devraient rester dans leur monde, et n’être que des êtres asexués dépourvus d’identité. Savoir que la catcheuse professionnelle qui m’avait enseigné l’anglais pendant deux ans avait un prénom de fille, ça m’a choqué. Et m’imaginer à côté d’elle pendant qu’elle essayait des fringues dans une cabine, c’était au-delà du supportable. J’ai demandé d’un air implorant à Miss Petit si je pouvais mettre mes écouteurs, et me suis plongé dans la musique. Je ne pensais pas être capable de survivre à une conversation de filles. Cela ne m’a pas empêché de sourire discrètement en découvrant ma magnifique prof d’anglais vêtue d’une robe de soirée très glamour. Le sourire n’était qu’extérieur. A l’intérieur, je salivais littéralement, j’étais en transe. Comment cette femme là s’était-elle retrouvée prof ? A n’en pas douter, elle devait avoir un fond plutôt sadique pour oser se présenter ainsi devant des ados aux hormones incontrôlables. Ou alors elle aimait avoir un public captivé. On a fait encore un nombre interminable de boutiques (au moins trois autres !) avant de s’arrêter dans ce fleuron de la culture américaine qu’est le Starbucks Coffee.
Le temps était magnifique, pour la saison, et même s’il ne faisait qu’une dizaine de degrés nous nous sommes installés en terrasse. Enfin, pour être plus exact j’ai suivi ces dames comme un animal apprivoisé. La vue sur le parc de Boston Common, le plus grand de la ville, était sympathique, et j’ai profité du panorama, en observant les joggeuses et autres roller-bladeuses pendant que Miss Petit discutait de tout et de rien avec sa collègue.
Je ne saurai dire à quel moment précis tout à basculé. Miss Petit – Salomé, pour les intimes comme moi– s’est levée, manifestement prise d’une envie pressante.
– Vanessa, tu veux bien jeter un œil sur Samuel pour moi ? Toute cette caféine… je reviens dans deux minutes.
Je ne voyais pas bien pourquoi ma prof avait l’air de s’excuser, ni pourquoi elle arborait cet air coupable.
– Je ne comprends pas pour quelle raison elle te couve comme ça, m’a annoncé Mme Galonnard en me transperçant de son regard glacé. Tu as fait le merdeux à cette soirée, certes, mais bon, tu peux bien rester seul deux minutes… Je vais me reprendre un café à la cannelle, ne bouge pas.
Ceci n’appelant à priori pas de réponse de ma part, je me suis donc abstenu avant de m’indigner devant ce total manque de politesse. Elle aurait pu m’en proposer un aussi, quand même !
J’ai reporté mon regard vers le parc et ai perçu deux choses simultanément. J’ai vu un 4x4 gris piler juste devant moi, et entendu Salomé hurler depuis le fond du café « Samuel, cours ! »
J’aurais pu courir, mais ça aurait été trop simple. Je me suis donc retourné vers ma prof, en me demandant ce qu’il lui prenait.
– Lève-toi et cours, vite ! a-t-elle haleté alors qu’elle me rejoignait à grandes enjambées.
Cette fois-ci, j’ai obéi, et suivi. La vision de trois hommes en survêtement noir et baskets blanches m’a fait un drôle d’effet. Peut-être la caféine… ? Salomé s’est mise à courir droit devant elle, à travers le parc. Je n’aurais jamais pensé qu’elle pouvait être aussi rapide, et j’avais du mal à la suivre. Parvenu à sa hauteur tant bien que mal, je lui posais évidemment la question qui me brûlait les lèvres :
– Il se passe quoi, au juste ?
– Pas le temps d’expliquer, et ne te retourne surtout pas, tu nous ferais ralentir.
Evidemment, je me suis retourné. Les trois hommes en noir nous suivaient comme s’ils faisaient une promenade de santé. Peut-être qu’ils évitaient d’attirer l’attention. N’ayant aucune idée de ce qu’il se passait, hormis le fait d’être poursuivi, avec ma prof d’anglais, dans un parc, par des étrangers en noir, je me suis octroyé le droit de paniquer légèrement. Au bout d’une course d’endurance d’un temps record (je dirais à vue de nez deux bonnes minutes intenses), Miss Petit a brusquement décidé de changer de stratégie.
– On se sépare, file à droite et attends moi dans l’église à la sortie du parc. Si je ne suis pas là dans 10 minutes, prends n’importe quel bus, va jusqu’au terminus et appelle ta mère, dis-lui que tu as besoin de rentrer en urgence.
Un petit contexte: ce passage n'est pas la suite directe de ce que j'ai posté précédemment. Il s'agit du 5e jour.
– Sam, t’as combien sur toi ?
– Humm ? Will adorait littéralement faire les magasins. Il n’avait pas encore pu commencer à savourer son quartier libre que son porte-monnaie était déjà vide. On était à Charles Street depuis moins d’une heure. Et ma punition commençait dans deux minutes ; si on pouvait appeler le fait de rester collé aux basques de ma sublime prof une punition…
– Tu peux me prêter combien ? insistait Will.
J’ai consenti à ouvrir mon portefeuille, ou du moins ce qu’il en restait. Je devais avoir ce truc depuis la classe de 3e. C’était ultra-moche, en état de décrépitude avancé, mais je n’arrivais pas à m’en séparer. C’est ça, traitez moi de sentimental… Je dirais plutôt non-accro au shopping.
– Je vais avoir besoin d’un minimum, mais je peux t’en laisser la moitié. 30 dollars, c’est bon ?
– Merci mon pote, je penserai à te faire un cadeau. Et, sans vouloir gâcher ton bonheur ou quoi, je crois que t’as oublié un truc.
– Quoi encore ?
J’étais agacé, et trouvais que la journée traînait en longueur. J’étais pressé de retourner au lycée avec notre bus scolaire, ce qui mettrait fin à cette attente interminable pour voler quelques instants avec Breanna. J’étais persuadé que cette journée marquerait un tournant pour moi, comme une sorte de révélation. J’avais passé du temps le matin même à me sélectionner une tenue : jean noir, chemise blanche et pull en laine col V. Ca me changeait des sweats informes que je portais habituellement.
– Il y a l’autre prof, aussi, qui nous accompagne ; à mon avis, elles vont vouloir rester ensemble.
Dans le mille, ai-je pensé alors que l’imposante silhouette de Mme Galonnard s’approchait de la frêle Miss Petit, pendant que le reste du groupe s’égayait par grappes vers de nouvelles aventures non surveillées dans les rues de Boston. J’ai senti avec une vague gêne le regard de ma prof sur moi. Puis elle s’est adressée à sa collègue.
– Vanessa, qu’est-ce que tu voudrais faire comme boutique ?
J’ai failli m’étrangler avec mon M&Ms en entendant ce prénom. Il n’y a pas à dire, les profs devraient rester dans leur monde, et n’être que des êtres asexués dépourvus d’identité. Savoir que la catcheuse professionnelle qui m’avait enseigné l’anglais pendant deux ans avait un prénom de fille, ça m’a choqué. Et m’imaginer à côté d’elle pendant qu’elle essayait des fringues dans une cabine, c’était au-delà du supportable. J’ai demandé d’un air implorant à Miss Petit si je pouvais mettre mes écouteurs, et me suis plongé dans la musique. Je ne pensais pas être capable de survivre à une conversation de filles. Cela ne m’a pas empêché de sourire discrètement en découvrant ma magnifique prof d’anglais vêtue d’une robe de soirée très glamour. Le sourire n’était qu’extérieur. A l’intérieur, je salivais littéralement, j’étais en transe. Comment cette femme là s’était-elle retrouvée prof ? A n’en pas douter, elle devait avoir un fond plutôt sadique pour oser se présenter ainsi devant des ados aux hormones incontrôlables. Ou alors elle aimait avoir un public captivé. On a fait encore un nombre interminable de boutiques (au moins trois autres !) avant de s’arrêter dans ce fleuron de la culture américaine qu’est le Starbucks Coffee.
Le temps était magnifique, pour la saison, et même s’il ne faisait qu’une dizaine de degrés nous nous sommes installés en terrasse. Enfin, pour être plus exact j’ai suivi ces dames comme un animal apprivoisé. La vue sur le parc de Boston Common, le plus grand de la ville, était sympathique, et j’ai profité du panorama, en observant les joggeuses et autres roller-bladeuses pendant que Miss Petit discutait de tout et de rien avec sa collègue.
Je ne saurai dire à quel moment précis tout à basculé. Miss Petit – Salomé, pour les intimes comme moi– s’est levée, manifestement prise d’une envie pressante.
– Vanessa, tu veux bien jeter un œil sur Samuel pour moi ? Toute cette caféine… je reviens dans deux minutes.
Je ne voyais pas bien pourquoi ma prof avait l’air de s’excuser, ni pourquoi elle arborait cet air coupable.
– Je ne comprends pas pour quelle raison elle te couve comme ça, m’a annoncé Mme Galonnard en me transperçant de son regard glacé. Tu as fait le merdeux à cette soirée, certes, mais bon, tu peux bien rester seul deux minutes… Je vais me reprendre un café à la cannelle, ne bouge pas.
Ceci n’appelant à priori pas de réponse de ma part, je me suis donc abstenu avant de m’indigner devant ce total manque de politesse. Elle aurait pu m’en proposer un aussi, quand même !
J’ai reporté mon regard vers le parc et ai perçu deux choses simultanément. J’ai vu un 4x4 gris piler juste devant moi, et entendu Salomé hurler depuis le fond du café « Samuel, cours ! »
J’aurais pu courir, mais ça aurait été trop simple. Je me suis donc retourné vers ma prof, en me demandant ce qu’il lui prenait.
– Lève-toi et cours, vite ! a-t-elle haleté alors qu’elle me rejoignait à grandes enjambées.
Cette fois-ci, j’ai obéi, et suivi. La vision de trois hommes en survêtement noir et baskets blanches m’a fait un drôle d’effet. Peut-être la caféine… ? Salomé s’est mise à courir droit devant elle, à travers le parc. Je n’aurais jamais pensé qu’elle pouvait être aussi rapide, et j’avais du mal à la suivre. Parvenu à sa hauteur tant bien que mal, je lui posais évidemment la question qui me brûlait les lèvres :
– Il se passe quoi, au juste ?
– Pas le temps d’expliquer, et ne te retourne surtout pas, tu nous ferais ralentir.
Evidemment, je me suis retourné. Les trois hommes en noir nous suivaient comme s’ils faisaient une promenade de santé. Peut-être qu’ils évitaient d’attirer l’attention. N’ayant aucune idée de ce qu’il se passait, hormis le fait d’être poursuivi, avec ma prof d’anglais, dans un parc, par des étrangers en noir, je me suis octroyé le droit de paniquer légèrement. Au bout d’une course d’endurance d’un temps record (je dirais à vue de nez deux bonnes minutes intenses), Miss Petit a brusquement décidé de changer de stratégie.
– On se sépare, file à droite et attends moi dans l’église à la sortie du parc. Si je ne suis pas là dans 10 minutes, prends n’importe quel bus, va jusqu’au terminus et appelle ta mère, dis-lui que tu as besoin de rentrer en urgence.
julie- Date d'inscription : 09/11/2011
Age : 43
Re: School Trip
J'avoue que au début, ça ne m'enthousiasmait pas du tout. Je trouvait le synopsis un peu cliché, et les caractères tout autant. Mais petit à petit, je me suis laissée embarquée par l'histoire... intéressant! Ayant certainement moins d'expérience que toit je ne peux pas me permettre de juger certaines choses. Mais je trouve que tu manie très bien le style "moderne", et c'est très souple très clair.
Hâte de lire la suite!
Hâte de lire la suite!
Re: School Trip
hmmm, pas mal du tout. tu as mis le suspense dans ma tête. mais pourquoi en veulent-ils à ce jeune homme?
Re: School Trip
Jafou a écrit:" Docteur, ma femme est clouée au lit, il faudrait que vous la vissiez !"
Ça a de la gueule, non ?
Et moi, grande conne, je me marre comme une huitre en relisant cette phrase qui roule dans la bouche tout autant que dans le cerveau... Evidemment...
Sourire du matin, c'est bien...
Inédite- Date d'inscription : 01/10/2011
Re: School Trip
Merci alissa! Et extialis, je ne peux pas te répondre, il faudre que tu lises toute l'histoire quand je l'aurais enfin terminée...
Merci de m'avoir lue en tout cas!
Merci de m'avoir lue en tout cas!
julie- Date d'inscription : 09/11/2011
Age : 43
Re: School Trip
J'ai adorée
# En attente d'une suite?!#
Bonne après-midi
# En attente d'une suite?!#
Bonne après-midi
Margaux1999- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 25
Localisation : Poudlard.
Re: School Trip
Merci margaux, la suite est en cours d'écriture, je n'avance pas très vite ne ce moment...
julie- Date d'inscription : 09/11/2011
Age : 43
Re: School Trip
Coucou Julie !!
Je suis désolée, mon commentaire ne concernera que tes deux premiers posts (je n'ai pas le temps d'en lire plus).
Je suis mitigée, à mi-chemin entre l'enthousiasme d'Extialis et les difficultés de Dean. Je trouve l'écriture coulante, agréable à lire. Mais parfois, je trouve que tes phrases ne sont pas toujours celles d'un ado de 17 ans. Par contre, j'aime l'humour, et j'aimerais presque en trouver beaucoup plus.
Après, je dois tout de même dire que j'ai envie de lire la suite!
Je suis désolée, mon commentaire ne concernera que tes deux premiers posts (je n'ai pas le temps d'en lire plus).
Je suis mitigée, à mi-chemin entre l'enthousiasme d'Extialis et les difficultés de Dean. Je trouve l'écriture coulante, agréable à lire. Mais parfois, je trouve que tes phrases ne sont pas toujours celles d'un ado de 17 ans. Par contre, j'aime l'humour, et j'aimerais presque en trouver beaucoup plus.
Après, je dois tout de même dire que j'ai envie de lire la suite!
Re: School Trip
Bon cette fois-ci, je suis fière d'annoncer que j'ai lu les trois passages... Bien sûr, tu me vois dépitée de n'avoir que des extraits, et non des passages à la suite. J'aurais bien voulu avoir la rencontre entre Samuel et sa famille d'accueil, etc. Quant à savoir pourquoi il se retrouve dans une telle panade, et quel rôle tiens Miss Petit là-dedans, le suspens est à son comble. En attente de la suite, je suis très curieuse.
Par contre, toujours même réflexion : ce n'est pas toujours les paroles d'un ado de 17 ans. Mais j'attends la suite!!
Par contre, toujours même réflexion : ce n'est pas toujours les paroles d'un ado de 17 ans. Mais j'attends la suite!!
Re: School Trip
merci jessica de m'avoir lue... en entier !
Je me rends compte que parfois on ne dirait pas vraiment un ado qui parle, mais j'espérais parce biais montrer le décalage qu'il existe entre mon personnage et ses semblables.
Je m'en vais écrire la suite, merci de vos encouragements
Je me rends compte que parfois on ne dirait pas vraiment un ado qui parle, mais j'espérais parce biais montrer le décalage qu'il existe entre mon personnage et ses semblables.
Je m'en vais écrire la suite, merci de vos encouragements
julie- Date d'inscription : 09/11/2011
Age : 43
Re: School Trip
Je pense que pour témoigner d'un décalage, tu peux peut-être également fourrager ailleurs que dans la manière de parler. Il y aurait de bonnes pistes à explorer, un potentiel certain qui me donne envie d'en lire davantage.
Je te souhaite bon courage pour la suite de tes écrits. On en est tous là, je crois ^^
Je te souhaite bon courage pour la suite de tes écrits. On en est tous là, je crois ^^
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