Nouvelle inventée: Ma vie
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Nouvelle inventée: Ma vie
[b]Je soussigné cpt__________ , officier dans l'armée de l'air des Etats-Unis, reconnais avoir écris ce rapport en raison d'un interrogatoire dirigé par mes supérieurs. Le 29 mai 1951 à 9h20.[/b][b] << En été 1947, donc deux ans après la fin officielle de la seconde guerre mondiale en Europe où j'ai été blessé alors que je volais. A mon retour, alors que je trav aillais dans mon champ ( j'étais à la retraite), j'ai apperçu un appareil tomber deux champs plus loin. Je croyais que c'était un petit avion. Mais quand j'arrivais sur le lieu je m'apperçu qu'il n'en était rien. Ca avait la forme d'un cigare mais la taille de deux camions sur deux. Peut-être deux minutes après l'armée était là! Je n'avais prevenu personne. Je ne comprenais pas. Ils ont pris les choses en main et m'ont dit que c'était un avion expérimental inventé par les plus grands scientifiques. J'étais sous le choc. Je les ai cru. Deux jours plus tard, dans ma boite aux lettres: une enveloppe avec juste mon nom, ce qui sous-entendais qu'on l'y avait déposé en mains propres. Je l'ai ouverte cette enveloppe. 20.000$ et un mot. "TAISEZ-VOUS". J'ai obéis. Pour ce prix la tout les mois y'avait de quoi. Ca m'assurait de rester en vie et améliorait ma retraite. Ma femme ne se doutait de rien et je ne montrais rien. Puis il y eu la folie OVNI sur toute la planète. Les gens en voyait partout, alors ça a fait tilt. Ce n'était pas un avion secret défense. C'était un OVNI. Ils le savaient tous, c'est pour ça qu'ils m'avaient demander de me taire. Mon supérieur direct m'avait menti. Le cnl____________ m'avait caché ce soi-disant projet. J'ai donc décdé d'aller voir le colonel. Je suis tombé sur le général ___________ d'une base que j'ai découverte à l'endroi même où s'était écrasé l'OVNI. La base ou le site qui sera connu plus tard sous le nom de ZONE 51. Fermée aux touriste, journalistes et autres parasites, perdue au beau milieu du Nouveau Mexique du côté de Roswell. J'ai eu du mal à y entrer. 15 fois on m'a fouillé, 15 fois on a vérifié mon identité, 15 fois j'ai demandé a voir le cnl ________ . Ala fin mon général est arrivé. On a parlé. Mon cnl est en vacances. Non il ne sait pas où il peut-être, non il n'a pas son numéro. Non il ne sait pas quand il doit revenir. Il m'a menti lui aussi. Je la sais. Je l'ai découvert pendant la discussion. Il a un tic quand on lui pose une colle. Il fronce les sourcils puis écarquille les yeux plusieurs fois de suite. Ensuite il répond et vous savez alors qu'il vous ment. En sortant du bâtiment on m'a bien fait comprendre que si je parlais ou faisait quelque chose de déplacé avec notre "contrat", j'étais " mort"! Des menaces, ils m'avaient menacé. Pas directement évidemment. Jamais directement: c'est l'armée. Mais ils l'avaient fait. J'étais choqué. J'ai du voir un psychologue pendant 6mois au moins. Après ces scéances ma femme n'arrivait pas à me reconnaitre. Elle me disait tous les jours qu'elle voulait divorcer. Alors j'ai agis. Tant pis pour le contrat. J'ai tout balancé au journal régional. Ils m'ont publié. J'ai tout dis: l'OVNI, le contrat, la ZONE 51, tout. Ma femme l'a lu et m'a dis qu'il fallait qu'elle réfléchisse. Elle est partie chez sa soeur avec les enfants. J'étais donc seul chez moi quand la moitié de l'US air force a débarqué dans mon jardin. Avec des hélicoptères, 3 au total, des camions et des voitures d'officiers! Je navais pas peur.
[b][color=#000000]Je venais de perdre ce qui comptait le plus pour moi. Quelle importance que je perde ma vie? Après tout je n'avais plus rien à perdre. Ils m'ont emmenés. J'avais les yeux bandés mais je suis à peu près sûr que j'étais à la base secrète. Je suis resté avec les yeux bandés tout le long de l'interrogatoire. Les questions? Je ne sais plus. Les réponses encore moins. Je suis désolé. Mon amnésie naturelle s'est mise en place, j'ai oublié. Je ne suis pas dans l'armée pour rien. [/color][/b]
[b]Après l'interrogatoire on m'a enfermé dans une salle blanche qui éblouissait, puis ils m'ont enlevé le bandeau. Mais j'étais attaché à un anneau au mur. Comme les fous. Je ne sais pas comment, ils ont réussi à retrouver ma femme et mes enfants. Un jour elle m'a rendu visite. Selon elle j'allais bientôt guérir, j'étais fou et j'étais dans un hôpital. Ce sont ces mots. Je n'arrivais pas à y croire. Comment était-ce possible? Elle ne me croyais pas, me prenait pour un fou. Qu'est-ce qu'ils lui avaient fait? Ca n'était plus ma femme, à mon tour de ne plus la reconnaître!! Alors elle m'a dit qu'elle m'attendrait a la maison avec les enfants et que quand je reviendrais ce serait comme avant. SUREMENT pas! Jamais ce sera comme avant. C 'est clair. Puis elle est partie. Mon "médecin" est entré dans la pièce et m'a expliqué: ils s'étaient tous habillés en blouses blanches, fermé des portes sur des salles capitonnées et avaient expliqué a Sara, ma femme, que l'on m'avait trouvé sur la route en train de hurler que les martiens existent. Les ordures!!! Un faux hôpital, des fausses chambres, un faux charabia médical. Tout y était. Ils m'ont gardés deux mois. A la fin j'étais convaincu que j'étais fou. Je suis rentré chez moi. Ma femme et mes enfants étaient là, j'étais heureux! Si on voulait. Tous les jours c'était la même rengaine: boulot, pillules, dodo. Ca ne changeait pas. Jamais. [/b]
[b]Un jour il n'empêche que j'ai reçu une drôle de visite. J'étais dans ma remise quand j'ai trouvé un objet métallique bizarre. Un rond en métal que je ne connaissais pas. Je l'ai ramassé. J'ai été éclairé comme dans une salle de l'hôpital. J'ai cru appercevoir ma femme descendre du ciel. Mais une fois qu'elle était à terre elle a changé d'apparence. Elle est devenue verte, ses yeux se sont allongés en amande noires, ses doigts se sont allongés, son corps s'est tassé sur une vingtaine de centimêtres facile. Elle ressemblait à ... à rien de connu en tout cas. Mes "enfants" arrivèrent derrière elle. Là j'ai eu peur. Là j'ai vraiment eu très peur. Alors elle s'est avancé et m'a dit: " on est venus te chercher il y a longtemps. Mais j'ai jamais réussi à repartir, je n'ai jamais eu de soeur. Mais tu dois me faire confiance et venir avec nous." J'ai crié, je crois! NOOOOON! Surement pas. Je ne voulais pas partir avec ses horreurs. Alors la "femme" s'est mise en colère. Ils ont commencés à me courser. J'ai courru vers la maison. Je suis tombé. Je me suis retourné à temps pouyr la voir et se jetter sur moi. J'ai hurlé! Très fortcolor
ET JE ME SUIS REVEILLE;)
[b][color=#000000]Je venais de perdre ce qui comptait le plus pour moi. Quelle importance que je perde ma vie? Après tout je n'avais plus rien à perdre. Ils m'ont emmenés. J'avais les yeux bandés mais je suis à peu près sûr que j'étais à la base secrète. Je suis resté avec les yeux bandés tout le long de l'interrogatoire. Les questions? Je ne sais plus. Les réponses encore moins. Je suis désolé. Mon amnésie naturelle s'est mise en place, j'ai oublié. Je ne suis pas dans l'armée pour rien. [/color][/b]
[b]Après l'interrogatoire on m'a enfermé dans une salle blanche qui éblouissait, puis ils m'ont enlevé le bandeau. Mais j'étais attaché à un anneau au mur. Comme les fous. Je ne sais pas comment, ils ont réussi à retrouver ma femme et mes enfants. Un jour elle m'a rendu visite. Selon elle j'allais bientôt guérir, j'étais fou et j'étais dans un hôpital. Ce sont ces mots. Je n'arrivais pas à y croire. Comment était-ce possible? Elle ne me croyais pas, me prenait pour un fou. Qu'est-ce qu'ils lui avaient fait? Ca n'était plus ma femme, à mon tour de ne plus la reconnaître!! Alors elle m'a dit qu'elle m'attendrait a la maison avec les enfants et que quand je reviendrais ce serait comme avant. SUREMENT pas! Jamais ce sera comme avant. C 'est clair. Puis elle est partie. Mon "médecin" est entré dans la pièce et m'a expliqué: ils s'étaient tous habillés en blouses blanches, fermé des portes sur des salles capitonnées et avaient expliqué a Sara, ma femme, que l'on m'avait trouvé sur la route en train de hurler que les martiens existent. Les ordures!!! Un faux hôpital, des fausses chambres, un faux charabia médical. Tout y était. Ils m'ont gardés deux mois. A la fin j'étais convaincu que j'étais fou. Je suis rentré chez moi. Ma femme et mes enfants étaient là, j'étais heureux! Si on voulait. Tous les jours c'était la même rengaine: boulot, pillules, dodo. Ca ne changeait pas. Jamais. [/b]
[b]Un jour il n'empêche que j'ai reçu une drôle de visite. J'étais dans ma remise quand j'ai trouvé un objet métallique bizarre. Un rond en métal que je ne connaissais pas. Je l'ai ramassé. J'ai été éclairé comme dans une salle de l'hôpital. J'ai cru appercevoir ma femme descendre du ciel. Mais une fois qu'elle était à terre elle a changé d'apparence. Elle est devenue verte, ses yeux se sont allongés en amande noires, ses doigts se sont allongés, son corps s'est tassé sur une vingtaine de centimêtres facile. Elle ressemblait à ... à rien de connu en tout cas. Mes "enfants" arrivèrent derrière elle. Là j'ai eu peur. Là j'ai vraiment eu très peur. Alors elle s'est avancé et m'a dit: " on est venus te chercher il y a longtemps. Mais j'ai jamais réussi à repartir, je n'ai jamais eu de soeur. Mais tu dois me faire confiance et venir avec nous." J'ai crié, je crois! NOOOOON! Surement pas. Je ne voulais pas partir avec ses horreurs. Alors la "femme" s'est mise en colère. Ils ont commencés à me courser. J'ai courru vers la maison. Je suis tombé. Je me suis retourné à temps pouyr la voir et se jetter sur moi. J'ai hurlé! Très fortcolor
ET JE ME SUIS REVEILLE;)
Margaux1999- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 25
Localisation : Poudlard.
Re: Nouvelle inventée: Ma vie
L'histoire se tenait, sauf à certains moments, j'ai eu du mal à suivre. C'est rapport, tu as bien joué le jeu... sauf à la fin. Je pense que tu aurais pu trouver une autre chute que celle-ci, trouvée des milliers de fois dans différents textes, comme perdurer dans la folie de ton héros.
Au niveau du style, il y a quelques imperfections. Ton personnage écrit un rapport, mais il ne doit pas écrire comme il parle, c'est un document officiel : il adapte son langage
Sinon, il y a moins de fautes que dans tes autres textes
Les recherches effectuée sur ton sujet (celui du crash du présumé OVNI) n'est pas négligeable
Au plaisir de te lire
Je na pense pas m'être trompée pour la correction, mais j'ai surement oublié deux ou trois choses...
Au niveau du style, il y a quelques imperfections. Ton personnage écrit un rapport, mais il ne doit pas écrire comme il parle, c'est un document officiel : il adapte son langage
Sinon, il y a moins de fautes que dans tes autres textes
Les recherches effectuée sur ton sujet (celui du crash du présumé OVNI) n'est pas négligeable
Margaux1999 a écrit: Je soussigné cpt__________ , [capitaine, j'ai du lire la fin de la phrase pour trouver le mot de plus, tu peux inventer un nom, ta nouvelle sera par la suite plus réaliste] officier dans l'armée de l'air des Etats-Unis, reconnais avoir écris [écrit - participe passé du verbe écrire] ce rapport en raison d'un interrogatoire dirigé par mes supérieurs. Le 29 mai 1951 à 9h20.
<< En été 1947, donc [le donc est inutile et alourdi la phrase] deux ans après la fin officielle de la seconde guerre mondiale en Europe où j'ai été blessé alors que je volais [il volait? où ça? comment ça? avec quoi?] . A mon retour [son retour de quoi?], alors que je travaillais dans mon champ ( j'étais à la retraite), j'ai apperçu [aperçu] un appareil tomber deux champs [répétition] plus loin. Je croyais que c'était un petit avion. Mais quand j'arrivais [ici, j'aurais mis le verbe au passé simple] sur le lieu je m'apperçu [aperçu - répétition] qu'il n'en était rien. Ca avait la forme d'un cigare mais la taille de deux camions sur deux. Peut-être deux minutes après l'armée était là! Je n'avais prévenu personne. Je ne comprenais pas. Ils ont pris les choses en main et m'ont dit que c'était un avion expérimental inventé par les plus grands scientifiques. J'étais sous le choc. Je les ai cru. Deux jours plus tard, dans ma boite aux lettres: une enveloppe avec juste mon nom, ce qui sous-entendais [sous-entendait - 3e personne du sg] qu'on l'y avait déposé en mains propres. Je l'ai ouverte cette enveloppe [j'ai ouvert cette enveloppe ou je l'ai ouverte : ici tu as deux COD identiques]. 20.000$ et un mot. "TAISEZ-VOUS". J'ai obéis [obéi - participe passé]. Pour ce prix-là tout [tous] les mois y'avait [il y avait - langage parlé] de quoi. Ca m'assurait de rester en vie et améliorait ma retraite. Ma femme ne se doutait de rien et je ne montrais rien. Puis il y eu [eut] la folie OVNI sur toute la planète. Les gens en voyait [voyaient - sujet de les gens] partout, alors ça a fait tilt. Ce n'était pas un avion secret défense. C'était un OVNI. Ils le savaient tous, c'est pour ça qu'ils m'avaient demander [demandé - passé composé] de me taire. Mon supérieur direct m'avait menti. Le cnl____________ [toujours la même chose - abréviation + nom] m'avait caché ce soi-disant projet.
J'ai donc décidé d'aller voir le colonel. Je suis tombé sur le général ___________ [manque le nom] d'une base que j'ai découverte à l'endroi [endroit] même où s'était écrasé l'OVNI. La base ou le site qui sera connu plus tard sous le nom de ZONE 51. Fermée aux touriste [touristes], journalistes et autres parasites, perdue au beau milieu du Nouveau Mexique du côté de Roswell. J'ai eu du mal à y entrer. 15 [quinze - pas de chiffres et de nombres] fois on m'a fouillé, 15 [quinze - pas de chiffres et de nombres] fois on a vérifié mon identité, 15 [quinze - pas de chiffres et de nombres] fois j'ai demandé a voir le cnl ________ [pas de nom + abréviation] . A la fin mon général est arrivé. On a parlé. Mon cnl [abréviation] est en vacances. Non il ne sait pas où il peut-être, non il n'a pas son numéro. Non il ne sait pas quand il doit revenir. [verbes à l'imparfait] Il m'a menti lui aussi. Je la sais. Je l'ai découvert pendant la discussion. Il a un tic quand on lui pose une colle [familier]. Il fronce les sourcils puis écarquille les yeux plusieurs fois de suite. Ensuite il répond et vous savez alors qu'il vous ment. En sortant du bâtiment on m'a bien fait comprendre que si je parlais ou faisait quelque chose de déplacé avec notre "contrat", j'étais " mort"! Des menaces, ils m'avaient menacé. Pas directement évidemment. Jamais directement: c'est l'armée. Mais ils l'avaient fait. J'étais choqué. J'ai du [dû] voir un psychologue pendant 6 [à écrire en lettres] mois au moins. Après ces scéances [séances] ma femme n'arrivait pas à me reconnaitre. Elle me disait tous les jours qu'elle voulait divorcer. Alors j'ai agis [agi]. Tant pis pour le contrat. J'ai tout balancé au journal régional. Ils m'ont publié. J'ai tout dis [dit]: l'OVNI, le contrat, la ZONE 51, tout. Ma femme l'a lu et m'a dis [dit] qu'il fallait qu'elle réfléchisse. Elle est partie chez sa soeur avec les enfants. J'étais donc seul chez moi quand la moitié de l'US air force a débarqué dans mon jardin. Avec des hélicoptères, 3 au total, des camions et des voitures d'officiers! Je n'avais pas peur.
Je venais de perdre ce qui comptait le plus pour moi. Quelle importance que je perde ma vie? Après tout je n'avais plus rien à perdre. Ils m'ont emmenés [emmené]. J'avais les yeux bandés mais je suis à peu près sûr que j'étais à la base secrète. Je suis resté avec les yeux bandés tout le long de l'interrogatoire. Les questions? Je ne sais plus. Les réponses encore moins. Je suis désolé. Mon amnésie naturelle s'est mise en place, j'ai oublié. Je ne suis pas dans l'armée pour rien.
Après l'interrogatoire on m'a enfermé dans une salle blanche qui éblouissait, puis ils m'ont enlevé le bandeau. Mais j'étais attaché à un anneau au mur. Comme les fous. Je ne sais pas comment, ils ont réussi à retrouver ma femme et mes enfants. Un jour elle m'a rendu visite. Selon elle j'allais bientôt guérir, j'étais fou et j'étais dans un hôpital. Ce sont ces mots. Je n'arrivais pas à y croire. Comment était-ce possible? Elle ne me croyais [croyait - 3 personne du sg] pas, me prenait pour un fou. Qu'est-ce qu'ils lui avaient fait? Ca n'était plus ma femme, à mon tour de ne plus la reconnaître!! Alors elle m'a dit qu'elle m'attendrait a la maison avec les enfants et que quand je reviendrais ce serait comme avant. SUREMENT pas! [Ici, tu t'éloignes du rapport officiel] Jamais ce [ne] sera comme avant. C 'est clair [langage parlé]. Puis elle est partie. Mon "médecin" est entré dans la pièce et m'a expliqué: ils s'étaient tous habillés en blouses blanches, fermé des portes sur des salles capitonnées et avaient expliqué a Sara, ma femme, que l'on m'avait trouvé sur la route en train de hurler que les martiens existent. Les ordures!!! Un faux hôpital, des fausses chambres, un faux charabia médical. Tout y était. Ils m'ont gardés [gardé - pp avoir] deux mois. A la fin j'étais convaincu que j'étais fou. Je suis rentré chez moi. Ma femme et mes enfants étaient là, j'étais heureux! Si on voulait. Tous les jours c'était la même rengaine: boulot, pillules [pilules], dodo [familier]. Ca ne changeait pas. Jamais.
Un jour [b]il n'empêche [langage parlé] que j'ai reçu une drôle de visite. J'étais dans ma remise quand j'ai trouvé un objet métallique bizarre [langage courant]. Un rond en métal que je ne connaissais pas. Je l'ai ramassé. J'ai été éclairé comme dans une salle de l'hôpital. J'ai cru appercevoir [apercevoir] ma femme descendre du ciel. Mais une fois qu'elle était à terre elle a changé d'apparence. Elle est devenue verte, ses yeux se sont allongés en amande noires, ses doigts se sont allongés [répétition], son corps s'est tassé sur une vingtaine de centimètres facile [langage parlé]. Elle ressemblait à ... à rien de connu en tout cas. Mes "enfants" arrivèrent derrière elle. Là j'ai eu peur. Là j'ai vraiment eu très peur. Alors elle s'est avancé [avancée - auxiliaire être] et m'a dit: " on est venus te chercher il y a longtemps. Mais j'ai jamais réussi à repartir, je n'ai jamais eu de soeur. Mais tu dois me faire confiance et venir avec nous." J'ai crié, je crois! NOOOOON! Surement pas. Je ne voulais pas partir avec ses horreurs. Alors la "femme" s'est mise en colère. Ils ont commencés [commencé - participe passé avoir] à me courser [familier - langage parlé - n'est même pas présent dans mon dictionnaire]. J'ai courru [couru - participe passé] vers la maison. Je suis tombé. Je me suis retourné à temps pour la voir et se jetter sur moi. J'ai hurlé! Très fortcolor [fortcolor?]
ET JE ME SUIS REVEILLE;)
Au plaisir de te lire
Je na pense pas m'être trompée pour la correction, mais j'ai surement oublié deux ou trois choses...
mathmatha- Date d'inscription : 30/05/2011
Age : 28
Re: Nouvelle inventée: Ma vie
Merci je vais la corriger!!!
Margaux1999- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 25
Localisation : Poudlard.
Re: Nouvelle inventée: Ma vie
Je soussigné cpt__________ , [capitaine, j'ai du lire la fin de
la phrase pour trouver le mot de plus, tu peux inventer un nom, ta
nouvelle sera par la suite plus réaliste] officier dans l'armée de l'air des Etats-Unis, reconnais avoir écris [écrit - participe passé du verbe écrire] ce rapport lors d'un interrogatoire dirigé par mes supérieurs. Le 29 mai 1951 à 9h20.
<< En été 1947, donc [le donc est inutile et alourdi la phrase] deux ans après la fin officielle de la seconde guerre mondiale en Europe où j'ai été blessé alors que je volais [il volait? où ça? comment ça? avec quoi?] . A mon retour [son retour de quoi?], alors que je travaillais dans mon champ ( j'étais à la retraite), j'ai apperçu [aperçu] un appareil tomber deux champs [répétition] plus loin. Je croyais que c'était un petit avion. Mais quand je suis arrivé ( passé composé à conserver car le rapport est du discours direct et non littéraire ) [ici, j'aurais mis le verbe au passé simple] sur le lieu je m'apperçu [aperçu - répétition]
je me suis aperçuqu'il n'en était rien. ça avait la forme d'un cigare mais la taille de
deux camions sur deux( peu compréhensible). Peut-être deux minutes après l'armée était là! Je
n'avais prévenu personne. Je ne comprenais pas. Ils ont pris les choses
en main et m'ont dit que c'était un avion expérimental inventé par les
plus grands scientifiques. J'étais sous le choc. Je les ai crus. Deux( 3 fois en quelques lignes)
jours plus tard, dans ma boîte à lettres un verbe ? une enveloppe avec juste mon
nom, ce qui sous-entendais [sous-entendait - 3e personne du sg] qu'on l'y avait déposée en mains propres ( non, cela signifie "donner à la main". Cette enveloppe, je l'ai ouverte [j'ai ouvert cette enveloppe ou je l'ai ouverte : ici tu as deux COD identiques]. 20.000$ et un mot. "TAISEZ-VOUS". J'ai obéis [obéi - participe passé]. Pour ce prix-là tout [tous] les mois y'avait [il y avait - langage parlé]
de quoi ( quel est le sens ?). ça m'assurait de rester en vie et améliorait ma retraite. Ma
femme ne se doutait de rien et je ne montrais rien( répétition !). Puis il y eu [eut] la folie OVNI sur toute la planète. Les gens en voyait [voyaient - sujet de les gens]
partout, alors ça a fait tilt ( pas dans un rapport oficiel !). Ce n'était pas un avion secret défense.
C'était un OVNI. Ils le savaient tous, c'est pour ça qu'ils m'avaient demander [demandé - passé composé] de me taire. Mon supérieur direct m'avait menti. Le cnl____________ [toujours la même chose - abréviation + nom] m'avait caché ce soi-disant ( soi-disant= qui se dit, c'est donc impropre, emploie plutôt "prétendu" projet.
J'ai donc ( inutile, tu en mets trop ! )décidé d'aller voir le colonel. Je suis tombé ( pas dans un rapport non plus !) sur le général ___________ [manque le nom]
d'une base que j'ai découverte à l'endroi [endroit] même où s'était
écrasé l'OVNI. La base où le site qui sera connu plus tard sous le nom
de ZONE 51( Comment peux -tu savoir ??????). Fermée aux touriste [touristes], journalistes et autres parasites, perdue au beau milieu du Nouveau Mexique du côté de Roswell. J'ai eu du mal à y entrer. 15 [quinze - pas de chiffres et de nombres] fois on m'a fouillé, 15 [quinze - pas de chiffres et de nombres] fois on a vérifié mon identité, 15 [quinze - pas de chiffres et de nombres] fois j'ai demandé à voir le cnl ________ [pas de nom + abréviation] . A la fin mon général est arrivé. On a parlé. Mon cnl [abréviation] est ( pourquoi du présent maintenant ?) en vacances. Non il ne sait pas où il peut-être, non il n'a pas son numéro. Non il ne sait pas quand il doit revenir. [verbes à l'imparfait] Il m'a menti lui aussi. Je le sais. Je l'ai découvert pendant la discussion. Il a un tic quand on lui pose une colle [familier].
Il fronce les sourcils puis écarquille les yeux plusieurs fois de
suite. Ensuite il répond et vous savez alors qu'il vous ment. En sortant
du bâtiment on m'a bien fait comprendre que si je parlais ou faisais
quelque chose de déplacé avec notre "contrat", j'étais " mort"! Des
menaces, ils m'avaient menacé. Pas directement évidemment. Jamais
directement, c'est l'armée. Mais ils l'avaient fait. J'étais choqué.
J'ai du [dû] voir un psychologue pendant 6 [à écrire en lettres] mois au moins. Après ces scéances [séances] ma femme n'arrivait pas à me reconnaître. Elle me disait tous les jours qu'elle voulait divorcer. Alors j'ai agis [agi]. Tant pis pour le contrat. J'ai tout balancé au journal régional. Ils m'ont publié. J'ai tout dis [dit]: l'OVNI, le contrat, la ZONE 51, tout. Ma femme l'a lu et m'a dis ]dit répétition)]
qu'il fallait qu'elle réfléchisse. Elle est partie chez sa soeur avec
les enfants. J'étais donc seul chez moi quand la moitié de l'US air
force a débarqué dans mon jardin. Avec des hélicoptères, trois au total, des
camions et des voitures d'officiers! Je n'avais pas peur.
Je
venais de perdre ce qui comptait le plus pour moi. Quelle importance que
je perde ma vie? Après tout je n'avais plus rien à perdre. Ils m'ont emmenés [emmené].
J'avais les yeux bandés mais je suis à peu près sûr que j'étais à la
base secrète. Je suis resté avec les yeux bandés tout le long de
l'interrogatoire. Les questions? Je ne sais plus. Les réponses encore
moins. Je suis désolé. Mon amnésie naturelle s'est mise en place, j'ai
oublié. Je ne suis pas dans l'armée pour rien.
Après
l'interrogatoire on m'a enfermé dans une salle blanche qui éblouissait,
puis ils m'ont enlevé le bandeau. Mais j'étais attaché à un anneau au
mur. Comme les fous. Je ne sais pas comment, ils ont réussi à retrouver
ma femme et mes enfants. Un jour elle m'a rendu visite. Selon elle
j'allais bientôt guérir, j'étais fou et j'étais dans un hôpital. Ce sont
ces mots. Je n'arrivais pas à y croire. Comment était-ce possible? Elle
ne me croyais [croyait - 3 personne du sg] pas, me
prenait pour un fou. Qu'est-ce qu'ils lui avaient fait? ça n'était plus
ma femme, à mon tour de ne plus la reconnaître!! Alors elle m'a dit (répétition)
qu'elle m'attendrait a la maison avec les enfants et que quand je
reviendrais ce serait comme avant. SûREMENT pas! [Ici, tu t'éloignes du rapport officiel] Jamais ce [ne] sera comme avant. C 'est clair [langage parlé].
Puis elle est partie. Mon "médecin" est entré dans la pièce et m'a
expliqué: ils s'étaient tous habillés en blouses blanches, avaient fermé des
portes sur des salles capitonnées et avaient expliqué a Sara, ma femme,
que l'on m'avait trouvé sur la route en train de hurler que les martiens
existent. Les ordures!!! Un faux hôpital, des fausses chambres, un faux
charabia médical. Tout y était. Ils m'ont gardés [gardé - pp avoir]
deux mois. A la fin j'étais convaincu que j'étais fou. Je suis rentré
chez moi. Ma femme et mes enfants étaient là, j'étais heureux! Si on
voulait. Tous les jours c'était la même rengaine: boulot, pillules [pilules], dodo [familier]. ça ne changeait pas. Jamais.
Un jour [b]il n'empêche [langage parlé] que j'ai reçu une drôle de visite. J'étais dans ma remise quand j'ai trouvé un objet métallique bizarre [langage courant]. Un rond en métal que je ne connaissais pas. Je l'ai ramassé. J'ai été éclairé comme dans une salle de l'hôpital. J'ai cru appercevoir [apercevoir]
ma femme descendre du ciel. Mais une fois qu'elle était( inutile) à terre elle a
changé d'apparence. Elle est devenue verte, ses yeux se sont allongés en
amandes noires, ses doigts se sont allongés [répétition], son corps s'est tassé sur une vingtaine de centimètres facile [langage parlé].
Elle ressemblait à ... à rien de connu en tout cas. Mes "enfants"
arrivèrent derrière elle. Là j'ai eu peur. Là j'ai vraiment eu très
peur. Alors elle s'est avancé [avancée - auxiliaire être]
et m'a dit: " on est venus te chercher il y a longtemps. Mais j'ai
jamais réussi à repartir, je n'ai jamais eu de soeur. Mais tu dois me
faire confiance et venir avec nous." J'ai crié, je crois! NOOOOON ( inutile de mettre des lettres plus grosses, ce n'est pas un BD.... seuls les mots, les phrases peuvent créer une atmosphère, des sentiments, des sensations...)!
Sûrement pas. Je ne voulais pas partir avec ses horreurs. Alors la
"femme" s'est mise en colère. Ils ont commencés [commencé - participe passé avoir] à me courser [familier - langage parlé - n'est même pas présent dans mon dictionnaire]. J'ai courru [couru - participe passé] vers la maison. Je suis tombé. Je me suis retourné à temps pour la voir et ( inutile !) se jeter sur moi. J'ai hurlé! Très fort color [fortcolor?]
ET JE ME SUIS REVEILLE... pas de gros caractères ..
La partie "rapport" doit être plus stricte, oficielle, le reste est "tiré par les cheveux, peu crédible ( le psy, les journalistes...) on est en 1951....j'ai vécu à cette période, et ce n'était en rien comme maintenant !
Bon courage pour les corrections !
la phrase pour trouver le mot de plus, tu peux inventer un nom, ta
nouvelle sera par la suite plus réaliste] officier dans l'armée de l'air des Etats-Unis, reconnais avoir écris [écrit - participe passé du verbe écrire] ce rapport lors d'un interrogatoire dirigé par mes supérieurs. Le 29 mai 1951 à 9h20.
<< En été 1947, donc [le donc est inutile et alourdi la phrase] deux ans après la fin officielle de la seconde guerre mondiale en Europe où j'ai été blessé alors que je volais [il volait? où ça? comment ça? avec quoi?] . A mon retour [son retour de quoi?], alors que je travaillais dans mon champ ( j'étais à la retraite), j'ai apperçu [aperçu] un appareil tomber deux champs [répétition] plus loin. Je croyais que c'était un petit avion. Mais quand je suis arrivé ( passé composé à conserver car le rapport est du discours direct et non littéraire ) [ici, j'aurais mis le verbe au passé simple] sur le lieu je m'apperçu [aperçu - répétition]
je me suis aperçuqu'il n'en était rien. ça avait la forme d'un cigare mais la taille de
deux camions sur deux( peu compréhensible). Peut-être deux minutes après l'armée était là! Je
n'avais prévenu personne. Je ne comprenais pas. Ils ont pris les choses
en main et m'ont dit que c'était un avion expérimental inventé par les
plus grands scientifiques. J'étais sous le choc. Je les ai crus. Deux( 3 fois en quelques lignes)
jours plus tard, dans ma boîte à lettres un verbe ? une enveloppe avec juste mon
nom, ce qui sous-entendais [sous-entendait - 3e personne du sg] qu'on l'y avait déposée en mains propres ( non, cela signifie "donner à la main". Cette enveloppe, je l'ai ouverte [j'ai ouvert cette enveloppe ou je l'ai ouverte : ici tu as deux COD identiques]. 20.000$ et un mot. "TAISEZ-VOUS". J'ai obéis [obéi - participe passé]. Pour ce prix-là tout [tous] les mois y'avait [il y avait - langage parlé]
de quoi ( quel est le sens ?). ça m'assurait de rester en vie et améliorait ma retraite. Ma
femme ne se doutait de rien et je ne montrais rien( répétition !). Puis il y eu [eut] la folie OVNI sur toute la planète. Les gens en voyait [voyaient - sujet de les gens]
partout, alors ça a fait tilt ( pas dans un rapport oficiel !). Ce n'était pas un avion secret défense.
C'était un OVNI. Ils le savaient tous, c'est pour ça qu'ils m'avaient demander [demandé - passé composé] de me taire. Mon supérieur direct m'avait menti. Le cnl____________ [toujours la même chose - abréviation + nom] m'avait caché ce soi-disant ( soi-disant= qui se dit, c'est donc impropre, emploie plutôt "prétendu" projet.
J'ai donc ( inutile, tu en mets trop ! )décidé d'aller voir le colonel. Je suis tombé ( pas dans un rapport non plus !) sur le général ___________ [manque le nom]
d'une base que j'ai découverte à l'endroi [endroit] même où s'était
écrasé l'OVNI. La base où le site qui sera connu plus tard sous le nom
de ZONE 51( Comment peux -tu savoir ??????). Fermée aux touriste [touristes], journalistes et autres parasites, perdue au beau milieu du Nouveau Mexique du côté de Roswell. J'ai eu du mal à y entrer. 15 [quinze - pas de chiffres et de nombres] fois on m'a fouillé, 15 [quinze - pas de chiffres et de nombres] fois on a vérifié mon identité, 15 [quinze - pas de chiffres et de nombres] fois j'ai demandé à voir le cnl ________ [pas de nom + abréviation] . A la fin mon général est arrivé. On a parlé. Mon cnl [abréviation] est ( pourquoi du présent maintenant ?) en vacances. Non il ne sait pas où il peut-être, non il n'a pas son numéro. Non il ne sait pas quand il doit revenir. [verbes à l'imparfait] Il m'a menti lui aussi. Je le sais. Je l'ai découvert pendant la discussion. Il a un tic quand on lui pose une colle [familier].
Il fronce les sourcils puis écarquille les yeux plusieurs fois de
suite. Ensuite il répond et vous savez alors qu'il vous ment. En sortant
du bâtiment on m'a bien fait comprendre que si je parlais ou faisais
quelque chose de déplacé avec notre "contrat", j'étais " mort"! Des
menaces, ils m'avaient menacé. Pas directement évidemment. Jamais
directement, c'est l'armée. Mais ils l'avaient fait. J'étais choqué.
J'ai du [dû] voir un psychologue pendant 6 [à écrire en lettres] mois au moins. Après ces scéances [séances] ma femme n'arrivait pas à me reconnaître. Elle me disait tous les jours qu'elle voulait divorcer. Alors j'ai agis [agi]. Tant pis pour le contrat. J'ai tout balancé au journal régional. Ils m'ont publié. J'ai tout dis [dit]: l'OVNI, le contrat, la ZONE 51, tout. Ma femme l'a lu et m'a dis ]dit répétition)]
qu'il fallait qu'elle réfléchisse. Elle est partie chez sa soeur avec
les enfants. J'étais donc seul chez moi quand la moitié de l'US air
force a débarqué dans mon jardin. Avec des hélicoptères, trois au total, des
camions et des voitures d'officiers! Je n'avais pas peur.
Je
venais de perdre ce qui comptait le plus pour moi. Quelle importance que
je perde ma vie? Après tout je n'avais plus rien à perdre. Ils m'ont emmenés [emmené].
J'avais les yeux bandés mais je suis à peu près sûr que j'étais à la
base secrète. Je suis resté avec les yeux bandés tout le long de
l'interrogatoire. Les questions? Je ne sais plus. Les réponses encore
moins. Je suis désolé. Mon amnésie naturelle s'est mise en place, j'ai
oublié. Je ne suis pas dans l'armée pour rien.
Après
l'interrogatoire on m'a enfermé dans une salle blanche qui éblouissait,
puis ils m'ont enlevé le bandeau. Mais j'étais attaché à un anneau au
mur. Comme les fous. Je ne sais pas comment, ils ont réussi à retrouver
ma femme et mes enfants. Un jour elle m'a rendu visite. Selon elle
j'allais bientôt guérir, j'étais fou et j'étais dans un hôpital. Ce sont
ces mots. Je n'arrivais pas à y croire. Comment était-ce possible? Elle
ne me croyais [croyait - 3 personne du sg] pas, me
prenait pour un fou. Qu'est-ce qu'ils lui avaient fait? ça n'était plus
ma femme, à mon tour de ne plus la reconnaître!! Alors elle m'a dit (répétition)
qu'elle m'attendrait a la maison avec les enfants et que quand je
reviendrais ce serait comme avant. SûREMENT pas! [Ici, tu t'éloignes du rapport officiel] Jamais ce [ne] sera comme avant. C 'est clair [langage parlé].
Puis elle est partie. Mon "médecin" est entré dans la pièce et m'a
expliqué: ils s'étaient tous habillés en blouses blanches, avaient fermé des
portes sur des salles capitonnées et avaient expliqué a Sara, ma femme,
que l'on m'avait trouvé sur la route en train de hurler que les martiens
existent. Les ordures!!! Un faux hôpital, des fausses chambres, un faux
charabia médical. Tout y était. Ils m'ont gardés [gardé - pp avoir]
deux mois. A la fin j'étais convaincu que j'étais fou. Je suis rentré
chez moi. Ma femme et mes enfants étaient là, j'étais heureux! Si on
voulait. Tous les jours c'était la même rengaine: boulot, pillules [pilules], dodo [familier]. ça ne changeait pas. Jamais.
Un jour [b]il n'empêche [langage parlé] que j'ai reçu une drôle de visite. J'étais dans ma remise quand j'ai trouvé un objet métallique bizarre [langage courant]. Un rond en métal que je ne connaissais pas. Je l'ai ramassé. J'ai été éclairé comme dans une salle de l'hôpital. J'ai cru appercevoir [apercevoir]
ma femme descendre du ciel. Mais une fois qu'elle était( inutile) à terre elle a
changé d'apparence. Elle est devenue verte, ses yeux se sont allongés en
amandes noires, ses doigts se sont allongés [répétition], son corps s'est tassé sur une vingtaine de centimètres facile [langage parlé].
Elle ressemblait à ... à rien de connu en tout cas. Mes "enfants"
arrivèrent derrière elle. Là j'ai eu peur. Là j'ai vraiment eu très
peur. Alors elle s'est avancé [avancée - auxiliaire être]
et m'a dit: " on est venus te chercher il y a longtemps. Mais j'ai
jamais réussi à repartir, je n'ai jamais eu de soeur. Mais tu dois me
faire confiance et venir avec nous." J'ai crié, je crois! NOOOOON ( inutile de mettre des lettres plus grosses, ce n'est pas un BD.... seuls les mots, les phrases peuvent créer une atmosphère, des sentiments, des sensations...)!
Sûrement pas. Je ne voulais pas partir avec ses horreurs. Alors la
"femme" s'est mise en colère. Ils ont commencés [commencé - participe passé avoir] à me courser [familier - langage parlé - n'est même pas présent dans mon dictionnaire]. J'ai courru [couru - participe passé] vers la maison. Je suis tombé. Je me suis retourné à temps pour la voir et ( inutile !) se jeter sur moi. J'ai hurlé! Très fort color [fortcolor?]
ET JE ME SUIS REVEILLE... pas de gros caractères ..
La partie "rapport" doit être plus stricte, oficielle, le reste est "tiré par les cheveux, peu crédible ( le psy, les journalistes...) on est en 1951....j'ai vécu à cette période, et ce n'était en rien comme maintenant !
Bon courage pour les corrections !
Re: Nouvelle inventée: Ma vie
Merci beaucoup danay et mathmatha pour vos correction et conseil je suis en ce moment entrain d'écrire mon autobiographie donc je n'est plus trop de temps a moi
Margaux1999- Date d'inscription : 01/06/2011
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