Nouvelle inventée
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Nouvelle inventée
Mes parents, quel cauchemar !!!
Chapitre I : A l'hopital
- Elle est vivante !
- Oh ! C'est un miracle ! »
Tit tit tit tit tit tit tit tit tit...
Quel était ce bruit répétitif qui bourdonnait dans mes oreilles ? Et tous ces gens autour de moi ? Je voyais leurs lèvres bouger, leurs bouches émettre des sons. Ils avaient l'air de se compendre...moi, pas. J'étais couchée sur un lit d'un blanc immaculé, aussi blanc que la barbe, les cheveux et les habits du bonhomme qui se tenait en face de moi. A sa droite se trouvait une petite bonne femme toute rondouillette aux cheveux cette fois çi grisonnants. Ses grands yeux bleus étaient fixés sur moi, pleins de larmes. Je ne comprenait rien. Qui était-je ? Que c'était-il passé ? Pourquoi me regardait-on en pleurant ? Quel était mon nom ? en avais-je vraiment un ?
« Oh, Marie, Marie...je ne pensais jamais te revoir...snif ! »
Marie ? Cela me disait quelque chose...oui, j'avais un nom. Et s'était surement :
" Marie ".
« - Tu m'entends ? Comment vas-tu ? (c'était la voix du bonhomme blanc).
- Ma chérie, réponds-moi ! (là, c'était celle de la grosse dame).
- Je crois qu'il y a un problème, Mme ROBIN. Elle ne réponds pas. Ou du moins, elle ne peut pas répondre. Veuillez sortir, s'il vous plaît. Nous allons faire quelques opérations. »
Tiens ! La bonne femme se dirigeait vers un grand panneau gris, dans le mur. Qu'est-ce que c'était ? Oh ! Il a disparu sur les côtés (je sus plus tard que cela s'appelait une porte...) ! À sa place, il y a maintenant un trou, une sortie. Celle-ci la franchissa et disparu dans un virage.
Au cours de l'opération, je compris peu à peu certains mots que j'entendais, et j'arrivais à les répéter. Puis, je retrouvai la parole. On me posait des tas de questions, mais je ne connaissait la réponse qu'à une seule : « Quel est ton nom ? ». Et le "Docteur" (c'était le nom du bonhomme blanc) répétait que je finirais bien par me rappeler autre chose que mon prénom et qu'il fallait persévérer, persévérer...il était marrant, lui ! Ce n'était pas à lui qu'on le demandais ! Et puis, d'abord, ça voulait dire quoi, "persévérer" ? "Ma-grand-mère" était revenue (et oui, elle s'appelait Ma-grand-mère...drôle de nom, n'est-ce pas !). Mais si elle était revenue, c'était pour s'écrouler sur le sol. Ça s'appelait « Tomber dans les pommes », m'avait-on dit. Mais je ne comprenais pas. Il n'y avait pas de pommes sur le sol.
Au bout de trois jours, je compris à peu près ce qui m'était arrivé. Il y avait eu un accident. À moi, ainsi qu'à mes parents. J'avais survécue, eux, non. N'allez pas croire que je suis super-woman !!! j'ai quand même subit quelques domages. Ou disons plutôt UN GROS domage. Vous ne pouvez même pas vous imaginer être à ma place.
J'avais perdu la mémoire !!!
Trois ans plus tard, le jour de mes 16 ans, je revint chez moi, en France, dans les deux-sèvres, près de Parthenay. J'étais devenue une ado très curieuse, qui posait toujours des questions et était très indépendante. Notre tour du monde terminé, on aurait pu croire qu'il ne s'était rien passé et que j'étais même comme tout le monde.
Bon. Maintenant que vous le connaissez, je vais vous raconter ce qui s'est passé le lendemain de son anniversaire, ce 29 février bien frileux qui vous rappelle que l'on est toujours pas sortit de l'hiver. Donc, ce jour là, Vianney vint me voir dans ma chambre, ce qu'il fait rarement. Avec sa petite voix fluette, il me déclara : « voilà, Marie, le jour est venu que je t'avoue quelque chose. Je m'étais promis de te le dire le lendemain de mon anniversaire, un 29 février. Mais comme ce jour n'existe que tous les quatre ans, je n'ai pas pu te le dire plus tôt. Tu n'es pas obligée de me croire, mais depuis ton accident, tout a changé. Avant, Mamie n'habitait pas avec nous, on rigolait tout le temps ensemble on trouvait des super cachettes...mais surtout, il y avait nos parents. Sais-tu pourquoi vous avez tous les trois été victimes du même accident ? Tu dois surement penser que vous marchiez tous les trois côte à côte en vous donnant la main sur le passage piéton quand une voiture qui roulait trop vite est arrivée. Mais non. Ce n'est en aucun cas la faute de la voiture, et encore moins celle du conducteur. C'était de ta propre volonté que tu avais fais ça.
Je suis sûr que tu ne te souviens absolument pas de la vie quotidienne que nous vivions, toi et moi, dans cette maison. Quand tu avais 10 ans et moi presque 4, nos parents étaient des anges. On étaient très heureux. Mais je ne sais pourquoi, le jour de mes 4 ans tout a changé. Ils ont commençé à partir le soir pour revenir vers trois heures du matin. Dans la journée, on redoutait de les voir. Et si par malheur on les croisait, ils trouvaient toujours un moyen pour nous crier dessus, nous punir et parfois même nous battre. Et, comme moi, tu as donc fini par les détester. Au bout de trois ans, la vie devenait invivable. Nous étions donc partis de la maison pour aller se réfugier en haut d'un arbre du bois des Arplastocks, où nous avions aménagé une cabane. Nous avons vécus comme ça pendant deux mois. Un jour, alors que tu étais partie acheter un gateau pour mon anniversaire (le 28 février, dernier jour du mois cette année là), tu aperçus nos parents sur le chemin de la maison. Tu vins tout de suite me prévenir. Ensemble, nous retournâmes chez nous pour les observer. Cachés dans la haie, nous attendîmes trois heures au moins. Quand enfin ils se décidèrent à sortir (pour leur ballade nocturne habituelle), tu décida de les suivre. Je voulus t'en empêcher, mais tu te débattit avec force en me criant que tu en avais marre de cette vie, et que tu préférais en finir tout de suite. Tu rajoutas que tu avais un compte à régler, et que nos parents ne s'en sortirait pas comme ça. Je finis par lâcher prise, car tu étais trop forte pour moi. Cent mètres plus loin, tu t'es retournée et tu m'as annoncé que l'on ne se reverrait pas mais que plus tard je comprendrais l'importance de ce que tu t'apprêtait à faire.
" Adieu " fut le dernier mot que tu m'adressa avant l'accident. »
Et, pour la première fois depuis que j'avais perdu la mémoire, je souris. Je ris même. Enfin, tout bas, je lui dis : « j'ai été idiote. Je n'aurai jamais dû faire ça. »
Cette histoire de parents horribles m'avait fait un choc. Un choc si fort, si important, que je n'arrivais pas à m'en remettre. Pourtant, j'étais sûr que cela était vrai...j'avais un préssentiment. Comme quand on veut dire quelque chose mais que l'on a oublié le mot. Vous devez connaître ça...on dit souvent : " je l'ai sur le bout de la langue ". Là, c'était un peu pareil. J'étais persuadée d'avoir déjà vécu cette scène, mais je ne me rappelais que de certains morceaux d'images ou de phrases. Ce n'était pas très clair dans ma tête. J'avais du mal à tout rassembler pour reconstituer le puzzle de mes anciens souvenirs. C'était quand même bien mieux qu'avant, c'est vrai. Au tout début, je ne me rappelais de rien. J'avais completement perdu la mémoire. Alors que maintenant, ce n'était plus du tout la même chose. Le choc que je venais de recevoir avait fait le même effet qu'un flash sur moi. Tout d'un coup, tout s'était éclairé dans mes pensées. Ce n'était toujours pas parfait, mais, pour employer l'expression, je dirais que ce puzzle là n'allais pas tarder à être terminé, ou, si vous préférez, que ma mémoire serait bientôt entièrement reconstituée. Car, j'en était sûre à 100%, je l'avais vraiment sur le bout de la langue.
Mon coeur battait à cent à l'heure quand j'entendis le petit cliquetis qui signalait que la porte s'était ouverte. La chambre était magnifique. Un lit à baldaquins se tenait au milieu de la pièce, et des chandelles ornaient les murs, si gracieusement décorés par de fines banderoles de dentelle. On distinguait à travers un rideau de soie bordé d'or qui recouvrait les côtés du lit une couverture des plus splendides, recouverte d'un ample et soyeux drap de dentelle de Calais, où reposait deux coussins de couleur or qui se terminaient à chaque angle par de minuscules pompons. À ma droite, une commode si bien taillée que l'on y devinait le temps mis pour la sculpter. Cette pièce, inconnue pour moi jusqu'à ce jour n'était rien comparée à son plafond. Quand j'ai levé les yeux, j'ai cru m'évanouir : on se croyait à Versailles. Je vous laisse imaginer sa splendeur ainsi que la peinture qui le recouvrait. Elle représentait l'arbre généalogique de notre famille, et commençait par nos arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière grands parents, le duc et la duchesse des Arplastocks, apparemment premiers propriétaires du bois où nous avions l'habitude de jouer. À ma gauche trônait une grande armoire très imposante. On y avait gravé les armoiries de la famille. Je voulais tout connaître sur la vie de mes parents. J'avais donc pris la décision de regarder à l'intérieur de celle ci, malgré les inscriptions écrites sur ses contours qui défendait strictement de l'ouvrir sous peine de mort. Ce que je vis à l'intérieur était la résolution de toutes les énigmes en rapport avec mes parents. Il y avait six étagères : trois servaient à disposer des petits flacons, sur deux étaient entreposées des dizaines de bouteilles et sur la dernière, cinq seringues étaient bien rangées, de la plus petite à la plus grande.
C'était donc ça. Le comportement de mes parents n'avait rien d'anormal. La seule raison de leur violence était l'intérieur de ce placard. Ils se droguaient.
"C'est moi qui ai créé le contenu de ces
flacons. Même la duchesse n'est pas
au courant. Vous non plus, vous
n'auriez pas du l'être. C'est
pourquoi, quand vous aurez fini
de lire ces lignes, le papier brûlera.
Le seul moyen de l'arrêter est de
boire un de ces flacons. Mais
après en avoir bu un, vous vous
sentirez forcés de boire les autres.
Choisissez : mourir brûlé ou bien
sombrer dans la drogue.
Je dus relire trois fois le bout de papier avant d'être sûr de ne pas m'être trompé. J'avais maintenant tous les renseignements pour comprendre le problème de mes parents. Tout ça était à cause de ce secret de famille.
Ah !!!!!!!!!! Maman !!! Papa !!! Je venais de me réveiller en sursaut. J'avais fais un cauchemard. Un horrible cauchemard. Je courus appeler mon frère pour lui raconter.
« - Vianney !!! Vianney !!! je viens de faire un cauchemard qui était horrible !!! Il n'y a pas d'autres mots pour le décrire !!! C'était une histoire avec nos parents qui se droguaient et nous tapaient, et puis c'était pour ça que j'avais perdue la mémoire, en me jetant sous une voiture et puis...Oh ! C'était horrible ! Horrible !
- Calme-toi, calme-toi...Viens, on va voir Mamie.
- Mamie ! Mamie Jeanne !
- Qu'y a-t-il mes enfants ?
- C'est Marie, elle a fait un horrible cauchemard !
- Venez, venez...Marie, tu vas me raconter ça au près du feu... »
Chapitre I : A l'hopital
- Tit tit tit tit tit tit tit tit tit...
- Elle est vivante !
- Oh ! C'est un miracle ! »
Tit tit tit tit tit tit tit tit tit...
Quel était ce bruit répétitif qui bourdonnait dans mes oreilles ? Et tous ces gens autour de moi ? Je voyais leurs lèvres bouger, leurs bouches émettre des sons. Ils avaient l'air de se compendre...moi, pas. J'étais couchée sur un lit d'un blanc immaculé, aussi blanc que la barbe, les cheveux et les habits du bonhomme qui se tenait en face de moi. A sa droite se trouvait une petite bonne femme toute rondouillette aux cheveux cette fois çi grisonnants. Ses grands yeux bleus étaient fixés sur moi, pleins de larmes. Je ne comprenait rien. Qui était-je ? Que c'était-il passé ? Pourquoi me regardait-on en pleurant ? Quel était mon nom ? en avais-je vraiment un ?
« Oh, Marie, Marie...je ne pensais jamais te revoir...snif ! »
Marie ? Cela me disait quelque chose...oui, j'avais un nom. Et s'était surement :
" Marie ".
« - Tu m'entends ? Comment vas-tu ? (c'était la voix du bonhomme blanc).
- Ma chérie, réponds-moi ! (là, c'était celle de la grosse dame).
- Je crois qu'il y a un problème, Mme ROBIN. Elle ne réponds pas. Ou du moins, elle ne peut pas répondre. Veuillez sortir, s'il vous plaît. Nous allons faire quelques opérations. »
Tiens ! La bonne femme se dirigeait vers un grand panneau gris, dans le mur. Qu'est-ce que c'était ? Oh ! Il a disparu sur les côtés (je sus plus tard que cela s'appelait une porte...) ! À sa place, il y a maintenant un trou, une sortie. Celle-ci la franchissa et disparu dans un virage.
Au cours de l'opération, je compris peu à peu certains mots que j'entendais, et j'arrivais à les répéter. Puis, je retrouvai la parole. On me posait des tas de questions, mais je ne connaissait la réponse qu'à une seule : « Quel est ton nom ? ». Et le "Docteur" (c'était le nom du bonhomme blanc) répétait que je finirais bien par me rappeler autre chose que mon prénom et qu'il fallait persévérer, persévérer...il était marrant, lui ! Ce n'était pas à lui qu'on le demandais ! Et puis, d'abord, ça voulait dire quoi, "persévérer" ? "Ma-grand-mère" était revenue (et oui, elle s'appelait Ma-grand-mère...drôle de nom, n'est-ce pas !). Mais si elle était revenue, c'était pour s'écrouler sur le sol. Ça s'appelait « Tomber dans les pommes », m'avait-on dit. Mais je ne comprenais pas. Il n'y avait pas de pommes sur le sol.
Au bout de trois jours, je compris à peu près ce qui m'était arrivé. Il y avait eu un accident. À moi, ainsi qu'à mes parents. J'avais survécue, eux, non. N'allez pas croire que je suis super-woman !!! j'ai quand même subit quelques domages. Ou disons plutôt UN GROS domage. Vous ne pouvez même pas vous imaginer être à ma place.
J'avais perdu la mémoire !!!
Chapitre II : A travers le monde
Ma grand mère, Jeanne, une vieille dame très gentille à la soixantaine mais toujours pleine d'énergie, décida de me réapprenre toutes les connaissances qu'une fille de mon âge doit savoir. Pour cela, il fallut faire de nombreux voyages. Entre Paris et sa tour Eiffel, Londres, les grottes de Lascaux, le mont Blanc, l'Egypte et ses pyramydes, l'Amérique (New York, Los Angeles, le Brésil, le Canada...), l' Australie... et bien d'autres lieux encore, il y avait vraiment le choix.Trois ans plus tard, le jour de mes 16 ans, je revint chez moi, en France, dans les deux-sèvres, près de Parthenay. J'étais devenue une ado très curieuse, qui posait toujours des questions et était très indépendante. Notre tour du monde terminé, on aurait pu croire qu'il ne s'était rien passé et que j'étais même comme tout le monde.
Chapitre III : La révélation
Ah oui ! J'oubliais. Je ne vous ai toujours pas présenter mon frère, Vianney. Il a eu dix ans il y a deux semaines, et il en est très fier. Nous avons six ans d'écart, c'est vrai, mais nous étions très proche. Je parle au passé, car depuis mon accident, Vianney n'est plus le même. Enfin bon, je tiens ça de ma meilleure amie, Louise, qui vient souvent chez nous. Elle n'a pas oublié, elle, au moins.Bon. Maintenant que vous le connaissez, je vais vous raconter ce qui s'est passé le lendemain de son anniversaire, ce 29 février bien frileux qui vous rappelle que l'on est toujours pas sortit de l'hiver. Donc, ce jour là, Vianney vint me voir dans ma chambre, ce qu'il fait rarement. Avec sa petite voix fluette, il me déclara : « voilà, Marie, le jour est venu que je t'avoue quelque chose. Je m'étais promis de te le dire le lendemain de mon anniversaire, un 29 février. Mais comme ce jour n'existe que tous les quatre ans, je n'ai pas pu te le dire plus tôt. Tu n'es pas obligée de me croire, mais depuis ton accident, tout a changé. Avant, Mamie n'habitait pas avec nous, on rigolait tout le temps ensemble on trouvait des super cachettes...mais surtout, il y avait nos parents. Sais-tu pourquoi vous avez tous les trois été victimes du même accident ? Tu dois surement penser que vous marchiez tous les trois côte à côte en vous donnant la main sur le passage piéton quand une voiture qui roulait trop vite est arrivée. Mais non. Ce n'est en aucun cas la faute de la voiture, et encore moins celle du conducteur. C'était de ta propre volonté que tu avais fais ça.
Je suis sûr que tu ne te souviens absolument pas de la vie quotidienne que nous vivions, toi et moi, dans cette maison. Quand tu avais 10 ans et moi presque 4, nos parents étaient des anges. On étaient très heureux. Mais je ne sais pourquoi, le jour de mes 4 ans tout a changé. Ils ont commençé à partir le soir pour revenir vers trois heures du matin. Dans la journée, on redoutait de les voir. Et si par malheur on les croisait, ils trouvaient toujours un moyen pour nous crier dessus, nous punir et parfois même nous battre. Et, comme moi, tu as donc fini par les détester. Au bout de trois ans, la vie devenait invivable. Nous étions donc partis de la maison pour aller se réfugier en haut d'un arbre du bois des Arplastocks, où nous avions aménagé une cabane. Nous avons vécus comme ça pendant deux mois. Un jour, alors que tu étais partie acheter un gateau pour mon anniversaire (le 28 février, dernier jour du mois cette année là), tu aperçus nos parents sur le chemin de la maison. Tu vins tout de suite me prévenir. Ensemble, nous retournâmes chez nous pour les observer. Cachés dans la haie, nous attendîmes trois heures au moins. Quand enfin ils se décidèrent à sortir (pour leur ballade nocturne habituelle), tu décida de les suivre. Je voulus t'en empêcher, mais tu te débattit avec force en me criant que tu en avais marre de cette vie, et que tu préférais en finir tout de suite. Tu rajoutas que tu avais un compte à régler, et que nos parents ne s'en sortirait pas comme ça. Je finis par lâcher prise, car tu étais trop forte pour moi. Cent mètres plus loin, tu t'es retournée et tu m'as annoncé que l'on ne se reverrait pas mais que plus tard je comprendrais l'importance de ce que tu t'apprêtait à faire.
" Adieu " fut le dernier mot que tu m'adressa avant l'accident. »
Chapitre IV : Le choc
Unelarme coula le long de ma joue. Puis deux, puis trois. Et puis...BOUM. J'éclatai en sanglots. Mon frère me regarda et chuchota : « tu sais, je n'ai toujours pas compris l'importance de ce que tu as fais. »Et, pour la première fois depuis que j'avais perdu la mémoire, je souris. Je ris même. Enfin, tout bas, je lui dis : « j'ai été idiote. Je n'aurai jamais dû faire ça. »
Cette histoire de parents horribles m'avait fait un choc. Un choc si fort, si important, que je n'arrivais pas à m'en remettre. Pourtant, j'étais sûr que cela était vrai...j'avais un préssentiment. Comme quand on veut dire quelque chose mais que l'on a oublié le mot. Vous devez connaître ça...on dit souvent : " je l'ai sur le bout de la langue ". Là, c'était un peu pareil. J'étais persuadée d'avoir déjà vécu cette scène, mais je ne me rappelais que de certains morceaux d'images ou de phrases. Ce n'était pas très clair dans ma tête. J'avais du mal à tout rassembler pour reconstituer le puzzle de mes anciens souvenirs. C'était quand même bien mieux qu'avant, c'est vrai. Au tout début, je ne me rappelais de rien. J'avais completement perdu la mémoire. Alors que maintenant, ce n'était plus du tout la même chose. Le choc que je venais de recevoir avait fait le même effet qu'un flash sur moi. Tout d'un coup, tout s'était éclairé dans mes pensées. Ce n'était toujours pas parfait, mais, pour employer l'expression, je dirais que ce puzzle là n'allais pas tarder à être terminé, ou, si vous préférez, que ma mémoire serait bientôt entièrement reconstituée. Car, j'en était sûre à 100%, je l'avais vraiment sur le bout de la langue.
Chapitre V : Plus belle qu'à Versailles
J'avais donc décidé de comprendre le pourquoi du comportement de mes parents. Alors que mamie Jeanne était allée entretenir son potager, je m'étais donc faufilée dans sa chambre pour emprunter la clé de celle de mes parents, qu'elle avait l'habitude de laisser toujours verrouillée. Mon coeur battait à cent à l'heure quand j'entendis le petit cliquetis qui signalait que la porte s'était ouverte. La chambre était magnifique. Un lit à baldaquins se tenait au milieu de la pièce, et des chandelles ornaient les murs, si gracieusement décorés par de fines banderoles de dentelle. On distinguait à travers un rideau de soie bordé d'or qui recouvrait les côtés du lit une couverture des plus splendides, recouverte d'un ample et soyeux drap de dentelle de Calais, où reposait deux coussins de couleur or qui se terminaient à chaque angle par de minuscules pompons. À ma droite, une commode si bien taillée que l'on y devinait le temps mis pour la sculpter. Cette pièce, inconnue pour moi jusqu'à ce jour n'était rien comparée à son plafond. Quand j'ai levé les yeux, j'ai cru m'évanouir : on se croyait à Versailles. Je vous laisse imaginer sa splendeur ainsi que la peinture qui le recouvrait. Elle représentait l'arbre généalogique de notre famille, et commençait par nos arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière grands parents, le duc et la duchesse des Arplastocks, apparemment premiers propriétaires du bois où nous avions l'habitude de jouer. À ma gauche trônait une grande armoire très imposante. On y avait gravé les armoiries de la famille. Je voulais tout connaître sur la vie de mes parents. J'avais donc pris la décision de regarder à l'intérieur de celle ci, malgré les inscriptions écrites sur ses contours qui défendait strictement de l'ouvrir sous peine de mort. Ce que je vis à l'intérieur était la résolution de toutes les énigmes en rapport avec mes parents. Il y avait six étagères : trois servaient à disposer des petits flacons, sur deux étaient entreposées des dizaines de bouteilles et sur la dernière, cinq seringues étaient bien rangées, de la plus petite à la plus grande.
C'était donc ça. Le comportement de mes parents n'avait rien d'anormal. La seule raison de leur violence était l'intérieur de ce placard. Ils se droguaient.
Chapitre VI : La lettre
Alors que j'étais plongée dans mes réflexions, j'aperçus un petit bout de papier blanc aux bords noircis plié en quatre qui dépassait du dessous d'un flacon placé au premier rang. Après l'avoir déplié, voici ce que je pus lire :"C'est moi qui ai créé le contenu de ces
flacons. Même la duchesse n'est pas
au courant. Vous non plus, vous
n'auriez pas du l'être. C'est
pourquoi, quand vous aurez fini
de lire ces lignes, le papier brûlera.
Le seul moyen de l'arrêter est de
boire un de ces flacons. Mais
après en avoir bu un, vous vous
sentirez forcés de boire les autres.
Choisissez : mourir brûlé ou bien
sombrer dans la drogue.
Le duc des Arplastocks."
Je dus relire trois fois le bout de papier avant d'être sûr de ne pas m'être trompé. J'avais maintenant tous les renseignements pour comprendre le problème de mes parents. Tout ça était à cause de ce secret de famille.
Chapitre VII : Une histoire cauchemardesque
Ah !!!!!!!!!! Maman !!! Papa !!! Je venais de me réveiller en sursaut. J'avais fais un cauchemard. Un horrible cauchemard. Je courus appeler mon frère pour lui raconter.
« - Vianney !!! Vianney !!! je viens de faire un cauchemard qui était horrible !!! Il n'y a pas d'autres mots pour le décrire !!! C'était une histoire avec nos parents qui se droguaient et nous tapaient, et puis c'était pour ça que j'avais perdue la mémoire, en me jetant sous une voiture et puis...Oh ! C'était horrible ! Horrible !
- Calme-toi, calme-toi...Viens, on va voir Mamie.
- Mamie ! Mamie Jeanne !
- Qu'y a-t-il mes enfants ?
- C'est Marie, elle a fait un horrible cauchemard !
- Venez, venez...Marie, tu vas me raconter ça au près du feu... »
Margaux1999- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 25
Localisation : Poudlard.
Re: Nouvelle inventée
Bon alors je me lance...
D'un point de vue tout à fait pratique pour le lecteur, essaye de tout mettre à la même taille et à la même police, pour être sure fait prévisualisation avant de l'envoyer ou édite-le après.
L'histoire se tient tout à fait. Je pensais lire une histoire "déjà-vue" comme on dit, un thème repris des milliers de fois, mais non. Tu as su apporter quelque chose de nouveau.
J'ai eu un peu plus de mal avec les deux retournements de situation, je trouve qu'ils se suivent trop rapidement, mais ce n'est qu'un avis personnel. Cela plaira sûrement à d'autres.
Dans le chapitre 1, j'ai trouvé que le niveau d'expression était très bien. J'ai relevé des termes familiers les habits du bonhomme. Tu utilises ensuite, une petite bonne femme rondouillette, celui-là ne me gêne pas, même s'il reste familier. On comprends que tu es dans un point de vue interne.
Je ne comprenait rien. Qui était-je ? Que c'était-il passé ? Pourquoi me regardait-on en pleurant ? Quel était mon nom ? en avais-je vraiment un ?
Ici, tu es dans ce que l'on appelle des questions rhétoriques [oui, j'en profite pour réviser mon brevet ^^]. Elles sont considérées comme un dialogue. Le narrateur, dans ton texte, n'est pas mort. Tu peux donc utiliser le présent pour Qui était-je?. Dans l'ensemble de ton texte, il y a quelques fautes de conjugaison, la première apparaît ici, mais tu la répètes dans les autres chapitres : pour un verbe du premier groupe, à l'imparfait, la terminaison est -ais et pas -ait.
Juste après, tu utilises snif qui est une onomatopée. Tu gagnerais à le remplacer par une phrase incise comme "la personne renifla bruyamment"
Ensuite, tu indiques au lecteur la personne qui parle par des noms entre parenthèses. A la place, met des phrases comme "dit l'homme" ; "supplia une dame" (l'emploi du mot grosse dans cette circonstance est très péjoratif et familier)
Nous allons faire quelques opérations - le mot examen correspondrait plus à ce que tu veux dire. En lisant cela, j'ai pensé que les médecins allaient l'opérer.
Tiens ! La bonne femme se dirigeait vers un grand panneau gris, dans le mur. Qu'est-ce que c'était ? Oh ! Il a disparu sur les côtés (je sus plus tard que cela s'appelait une porte...) ! À sa place, il y a maintenant un trou, une sortie. Celle-ci la franchissa et disparu dans un virage.
Tu dois faire un choix. Tu ne peux pas utiliser, Tiens et repartir à l'imparfait, il faut que tu choisisses si ton récit sera au présent auquel se rattache tiens, ou au passé. Il a une grande confusion des temps : de l'imparfait, du passé simple, du présent. Les temps se regroupe en deux grandes catégories:
Les temps du passé : imparfait, passé simple, passé antérieur, présent (SEULEMENT quelques fois mais il a une valeur particulière)
Les temps du présent : présent, passé composé, imparfait, futur.
Tu ne peux pas les mélanger comme tu le souhaites. Le seul genre de texte dans lequel c'est possible est le texte autobiographique : Je me rappelle le jour de mes dix-huit ans. Je marchais dans la rue lorsqu'une voiture me renversa. Et encore... c'est à manier avec beaucoup de précautions !
La bonne femme familier et connotation péjorative.
Au cours de l'opération opération = examen ?
On me posait des tas de questions, mais je ne connaissait la réponse qu'à une seule -des tas est familier, on ne l'utilise jamais, sauf dans le petit Nicolas mais c'est un parti pris de l'auteur. Connaissait -> connaissais
Et le "Docteur" (c'était le nom du bonhomme blanc) répétait que je finirais bien par me rappeler autre chose que mon prénom et qu'il fallait persévérer, persévérer..
Commencer une phrase par et est maladroit. Tu peux tout à fait le supprimer. Evite au maximum de mettre des informations entre parenthèses tu peux mettre une apposition : L'homme en blanc, connu sous le nom de docteur, répétait que je finirais bien par me rappeler autre chose que mon prénom et qu'il fallait persévérer, persévérer...
Il était marrant, lui ! Ce n'était pas à lui qu'on le demandais ! Et puis, d'abord, ça voulait dire quoi, "persévérer" ?
J'aime beaucoup cette partie là. C'est un plus de dire les pensées du narrateur. Mais, ici, tu restitues des paroles, j'aurai mis Il est marrant, lui! Mais je ne suis pas sure [j'ai pas encore revu ça, c'est au programme de demain]
Mais si elle était revenue, c'était pour s'écrouler sur le sol. Ça s'appelait « Tomber dans les pommes », m'avait-on dit. Mais je ne comprenais pas. Il n'y avait pas de pommes sur le sol.
Je trouve le mais pas super bien employé, tu pourrais remplacer par une phrase, Lorsqu'elle revint/lorsqu'elle arriva dans la pièce, elle s'écroula sur le sol. Quoique, quand on s'écroule, c'est toujours sur le sol. - J'aime bien la note d'humour.
Il y avait eu un accident. À moi, ainsi qu'à mes parents. Ce n'est pas très clair. Pourquoi pas tout simplement: Mes parents et moi avions eu un accident
J'avais survécue, eux, non C'est un peu brutal. Tu joues super bien sur les sentiments depuis le début, pourquoi ne pas continuer ici?
N'allez pas croire que je suis super-woman !!! Toujours la pointe d'humour que j'aime bien. Juste quelque chose : un point d'exclamation suffit largement
j'ai quand même subi quelques domages - toujours un problème de temps, ici c'est du passé composé, j'aurais mis j'avais subi. Il y a deux m au mot dommage.
Vous ne pouvez même pas vous imaginer être à ma place. Le même est de trop je trouve. J'aurais rajouter car... pour créer un lien encore plus fort avec J'avais perdu la mémoire
J'ai fait un peu long, et surtout que le premier chapitre. J'espère que je t'ai aidé. Je ne fais pas la suite, parce que je ne sais même pas si tu voulais un commentaire détaillé ou non et surtout parce qu'il faut que je me remette à mes révisions de maths [Bouh ].
Je n'ai pas corriger toutes les fautes d'orthographes, juste celles qui me frappaient. Si tu veux la suite de la correction, dis-le moi
Au plaisir de te lire
D'un point de vue tout à fait pratique pour le lecteur, essaye de tout mettre à la même taille et à la même police, pour être sure fait prévisualisation avant de l'envoyer ou édite-le après.
L'histoire se tient tout à fait. Je pensais lire une histoire "déjà-vue" comme on dit, un thème repris des milliers de fois, mais non. Tu as su apporter quelque chose de nouveau.
J'ai eu un peu plus de mal avec les deux retournements de situation, je trouve qu'ils se suivent trop rapidement, mais ce n'est qu'un avis personnel. Cela plaira sûrement à d'autres.
Dans le chapitre 1, j'ai trouvé que le niveau d'expression était très bien. J'ai relevé des termes familiers les habits du bonhomme. Tu utilises ensuite, une petite bonne femme rondouillette, celui-là ne me gêne pas, même s'il reste familier. On comprends que tu es dans un point de vue interne.
Je ne comprenait rien. Qui était-je ? Que c'était-il passé ? Pourquoi me regardait-on en pleurant ? Quel était mon nom ? en avais-je vraiment un ?
Ici, tu es dans ce que l'on appelle des questions rhétoriques [oui, j'en profite pour réviser mon brevet ^^]. Elles sont considérées comme un dialogue. Le narrateur, dans ton texte, n'est pas mort. Tu peux donc utiliser le présent pour Qui était-je?. Dans l'ensemble de ton texte, il y a quelques fautes de conjugaison, la première apparaît ici, mais tu la répètes dans les autres chapitres : pour un verbe du premier groupe, à l'imparfait, la terminaison est -ais et pas -ait.
Juste après, tu utilises snif qui est une onomatopée. Tu gagnerais à le remplacer par une phrase incise comme "la personne renifla bruyamment"
Ensuite, tu indiques au lecteur la personne qui parle par des noms entre parenthèses. A la place, met des phrases comme "dit l'homme" ; "supplia une dame" (l'emploi du mot grosse dans cette circonstance est très péjoratif et familier)
Nous allons faire quelques opérations - le mot examen correspondrait plus à ce que tu veux dire. En lisant cela, j'ai pensé que les médecins allaient l'opérer.
Tiens ! La bonne femme se dirigeait vers un grand panneau gris, dans le mur. Qu'est-ce que c'était ? Oh ! Il a disparu sur les côtés (je sus plus tard que cela s'appelait une porte...) ! À sa place, il y a maintenant un trou, une sortie. Celle-ci la franchissa et disparu dans un virage.
Tu dois faire un choix. Tu ne peux pas utiliser, Tiens et repartir à l'imparfait, il faut que tu choisisses si ton récit sera au présent auquel se rattache tiens, ou au passé. Il a une grande confusion des temps : de l'imparfait, du passé simple, du présent. Les temps se regroupe en deux grandes catégories:
Les temps du passé : imparfait, passé simple, passé antérieur, présent (SEULEMENT quelques fois mais il a une valeur particulière)
Les temps du présent : présent, passé composé, imparfait, futur.
Tu ne peux pas les mélanger comme tu le souhaites. Le seul genre de texte dans lequel c'est possible est le texte autobiographique : Je me rappelle le jour de mes dix-huit ans. Je marchais dans la rue lorsqu'une voiture me renversa. Et encore... c'est à manier avec beaucoup de précautions !
La bonne femme familier et connotation péjorative.
Au cours de l'opération opération = examen ?
On me posait des tas de questions, mais je ne connaissait la réponse qu'à une seule -des tas est familier, on ne l'utilise jamais, sauf dans le petit Nicolas mais c'est un parti pris de l'auteur. Connaissait -> connaissais
Et le "Docteur" (c'était le nom du bonhomme blanc) répétait que je finirais bien par me rappeler autre chose que mon prénom et qu'il fallait persévérer, persévérer..
Commencer une phrase par et est maladroit. Tu peux tout à fait le supprimer. Evite au maximum de mettre des informations entre parenthèses tu peux mettre une apposition : L'homme en blanc, connu sous le nom de docteur, répétait que je finirais bien par me rappeler autre chose que mon prénom et qu'il fallait persévérer, persévérer...
Il était marrant, lui ! Ce n'était pas à lui qu'on le demandais ! Et puis, d'abord, ça voulait dire quoi, "persévérer" ?
J'aime beaucoup cette partie là. C'est un plus de dire les pensées du narrateur. Mais, ici, tu restitues des paroles, j'aurai mis Il est marrant, lui! Mais je ne suis pas sure [j'ai pas encore revu ça, c'est au programme de demain]
Mais si elle était revenue, c'était pour s'écrouler sur le sol. Ça s'appelait « Tomber dans les pommes », m'avait-on dit. Mais je ne comprenais pas. Il n'y avait pas de pommes sur le sol.
Je trouve le mais pas super bien employé, tu pourrais remplacer par une phrase, Lorsqu'elle revint/lorsqu'elle arriva dans la pièce, elle s'écroula sur le sol. Quoique, quand on s'écroule, c'est toujours sur le sol. - J'aime bien la note d'humour.
Il y avait eu un accident. À moi, ainsi qu'à mes parents. Ce n'est pas très clair. Pourquoi pas tout simplement: Mes parents et moi avions eu un accident
J'avais survécue, eux, non C'est un peu brutal. Tu joues super bien sur les sentiments depuis le début, pourquoi ne pas continuer ici?
N'allez pas croire que je suis super-woman !!! Toujours la pointe d'humour que j'aime bien. Juste quelque chose : un point d'exclamation suffit largement
j'ai quand même subi quelques domages - toujours un problème de temps, ici c'est du passé composé, j'aurais mis j'avais subi. Il y a deux m au mot dommage.
Vous ne pouvez même pas vous imaginer être à ma place. Le même est de trop je trouve. J'aurais rajouter car... pour créer un lien encore plus fort avec J'avais perdu la mémoire
J'ai fait un peu long, et surtout que le premier chapitre. J'espère que je t'ai aidé. Je ne fais pas la suite, parce que je ne sais même pas si tu voulais un commentaire détaillé ou non et surtout parce qu'il faut que je me remette à mes révisions de maths [Bouh ].
Je n'ai pas corriger toutes les fautes d'orthographes, juste celles qui me frappaient. Si tu veux la suite de la correction, dis-le moi
Au plaisir de te lire
mathmatha- Date d'inscription : 30/05/2011
Age : 28
Re: Nouvelle inventée
Merci!
Margaux1999- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 25
Localisation : Poudlard.
Re: Nouvelle inventée
Tu as un très grand sens de l'observation, qui est une qualité necessaire pour écrire. On sent que tu aimes tirer des ficelles, jouer avec ton lecteur et le surprendre. C'est aussi une qualité intéressante. Néanmoins, les actions s'enchaînent beaucoup trop vite et de façon souvent désordonnée. Par exemple: "Ah, oui, j'oubliais. Je ne vous ai toujours pas présenté (attention, c'est un participe passé) mon frère, Vianney." Cela sonne un peu faux. Tu aurais dû introduire le personnage dans le fil du récit de manière à ce que la lecture soit plus souple; cette brusque parenthèse détruit la trame initiale. D'autre part, ton dénouement est sans doute un peu trop convenu. Le rêve, c'est un argument facile; je suis certaine que tu peux trouver beaucoup mieux, d'autant plus qu'en ce qui me concerne, tu m'a emballée et j'attendais vraiment une chute à la hauteur de l'intrigue.
Veille bien à ce que ton récit garde une unité, une logique. Mais ce texte est très prometteur, et bien travaillé, il pourrait faire une très bonne nouvelle.
Veille bien à ce que ton récit garde une unité, une logique. Mais ce texte est très prometteur, et bien travaillé, il pourrait faire une très bonne nouvelle.
Re: Nouvelle inventée
d'accord avec alissa et mathmatha a déjà tout dit. bonne intrigue, bonnes idées a développer, c'est bien je trouve.
au fait, on ne dit pas "franchissa", mais "franchit"
au fait, on ne dit pas "franchissa", mais "franchit"
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