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La danseuse.

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Emera
Neil S.S. Moutanga
6 participants

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La danseuse. Empty La danseuse.

Message par Neil S.S. Moutanga Ven 29 Nov - 4:50

La danseuse.

"Avoir la peau dure, quand le cœur empoigne une autre tournure."

Je réfléchissais à mon avenir, dans une salle de danse, tête baissée, l’humeur maussade avec un cœur qui battait la chamade, assise à côté des danseuses qui s’apprêtaient avec un regard inconstant. Moi j'étais la dernière de la liste, serrée d’un ringrave boxer sanscha hair  sous une tenue  de danseuse que la vocation pourrait mener au-delà des convictions ; on est plus le même homme quand on a franchi toutes les étapes pour être, celle qu’on espérait être…


« Maman, je veux être danseuse », c’était un souhait mutin que j’ai nourri au fond de moi quand j’étais plus jeune et naïve, n’osant le dire à mes proches, pour ne point paraître faible. Être danseuse est si mal que l’on soit à côté de la plaque ou être danseuse n’est point empourpré d’un symbolisme digne de notre temps ?

J’ai été révolté par mon enfance, par les fausses considérations et toutes les lois en errance que j’ai du subir.Parfois tragiques, je n’ai pu recoudre certaines blessures morales.

—Cheryleeeeeeeeeeeeeee, va faire un tour à la mercerie, j’ai besoin de laines et d’un crochet, vociférait ma mère.

Cet appel était régulier que j’ai fini par capter l’intonation, avec des parents comme ça, je ferais comédienne sans heurts…Celle qui se prenait pour une reine était mon héroïne préférée même si elle croyait fermement, avec des idées nues, qu’on  devait suivre le destin souhaité que ses parents avait concocté. On ne pouvait jeter la pierre à celle qui m’a nourris, celle qui a vécu  sans pleurs une telle tragédie.Certainement qu’à sa fin, je lui écrirais une belle litanie.

« Ma mère est ma mère », c’était ça la règle d’or. Que lorsqu’elle donnait son opinion je gardais en état mes certitudes profondes. Je ne voulais en aucun cas troubler l’ordre qui était là, existant comme j’existe.Je ne voulais aucunement être l’instigatrice d’une faute. Je respectais les idées des autres comme je préférais les miennes avec beaucoup de recul et de discernement. Que  parfois, je préférais me taire, c’est mieux ainsi ; mes sœurs trouvaient à redire ou créaient des situations incessantes, des discutions intestines.

Qu’aurais-je pu faire ? Si Dieu me posait la question, je regarderais mon tort.

C’est triste. Un sort, morose, un geste dans la glaire, quand je regarde ma fatalité et je dramatise l’inquiétude. Je me pose des questions éternelles lorsque je ne peux changer les situations. Et si j’étais danseuse ? Qui a dit que la danse était un secteur non rentable ? Je me pose des questions. J’aime la danse comme Dieu.  Si seulement j’avais écrit le Larousse, j’aurais mis que la danse est un secteur prometteur.  Construis une école de danse Jazz ou classique, pour inscrire son nom dans son cœur et parmi les légendes.

Je suis triste, je pleurs…c’est dure et c’est ainsi. J’ignore le génie qu’avait pu avoir Dieu en nous créant trop humain à conjurer sur le sort. Que parfois quand le soir arrive, je dors avec poings fermés comme un bébé, comme c’est apaisant, mais ce n’est pas tout…

Oui, ce n’est pas tout, car je dénie la tristesse comme je hais mon cœur et ça s’arrête là. Il m’arrive de sortir mon divan pour mieux observer la lumière et l’horizon puisque c’est apaisant quand on vient de pleurer.



Notre maison avait une belle façade, près de la mer.

Quand vint me hanter cette idée. « Et si j’étais danseuse ? » avec un écho particulier, dans une ambiance culturellement étourdissant à faire peur. J’ai grandi dans un pays ou la culture était à refaire. Imaginez seulement l’état de chaque personne qui avait le cœur sensible ? Suis-je anticonformiste ? Je ne crois pas, c’est certainement que mon cœur parlait trop.  Quand le soir arrive, je n’arrivais pas à écrire ce que me dictait son affection.

Et d’un saut. C’est mon lit qui me consolait. C’est dur de s’accepter tel qu’on est, dur de s’imaginer à perdre du temps et passer du temps à se chercher  pour savoir en quoi nous sommes faits pour réussir.

J’aime le vent frais, quand après des réflexions, tout semble clair et j’ai peur de me retrouver dans le néant de la tourmente quotidienne. Je pleurs - ne riez pas - j’ai un cœur artistique, j’aurais pu naître dans une dynastie et passer du temps à manger de la viande en broche.

Dix ans auparavant.

—Cheryle. Qu’aimerais-tu faire dans ta vie ? Questionnait son père.

—Z’aime nazer. Je veux être nazeuse.

—Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Pourquoi tu veux être nageuse ?

—Pour parler avec les poissons. Et construire avec eux, des châteaux  en sable.

—Ah ! Des châteaux de sable. Cela me fait penser que la vie est immense rêve, imagine ma chère fille que la vie soit réduit à cette taille et qu’on soit infiniment petit pour réaliser de grands rêves tout seul. Ce serait génial, non ?

—Ze sais pas.


Mon père est mort tôt. Peut être que s’il était vivant, il aurait réalisé mon rêve, cette merveille que je garde dans un coffret et que j’ai nommé Maine, une poupée de cire.

Je me rappelle encore ces jours-là. Ce jour-là, mon père pour la première et la dernière fois m’avait sondé, quand j’étais petite pour savoir pourquoi je restais tout le temps debout et pourquoi j’aimais danser. De peur de faire détourner par une âme qui n’a pas compris le vrai sens de ma passion et des choses inespérés que l’on garde soigneusement comme des reliques qu’on aurait pris dans un passé antique.

« Je préférais me taire. »

Peut être que lorsque je mourrais, je finirais spectre pour avoir un autre regard sur la vie et ce plein d’espoir que j’ai attendu si longtemps. Espoir quand tu me tiens, je te respecterais volontiers si tu me donnais des méthodes rares.

Danseuse classique, j’étais, du moins ce que j’espérais. Un matin, comme tous les matins, je me réveillais très tôt pour exécuter la danseuse que j’aimais bien  tournant pour moi dans le sens contraire des aiguilles d’une montre. Il m’était évident qu’il n’y avait aucune farce mais un simple jeu cérébral. Il m’a bien fallu  cinq minutes pour décider de changer de sens. C’était amusant.

Je me plaisais bien à jeter mon corps et mes pieds dans tous les sens pour faire l’intéressante. Quand je dansais, je pensais à mon père, je me dis aujourd’hui que j’aurais mieux accepté sa quête et lui dire quelque seconde la passion qui me hantait. Ô mon père ! Si seulement, c’était un dieu mythique que l’on adore sous chaque règne et ce serait merveille si seulement je fus danseuse à une époque ou l’on interdisait cette farce, cette forme d’art qui n’est point dramatique, mais plutôt sympathique quand on laisse son cœur s’exprimer en le dirigeant, identiquement lorsqu’on dérègle le sens des gouvernes d’une pendule.

« Et si j’étais une danseuse ? »Quelle farce ! Non, c’était en pratiquant que je souhaitais repartir à zéro pour repartir sur de bonnes bases, pour savoir à tous les niveaux ce qu’il fallait faire pour ne point passer pour une incompétente ou une idiote en exécutant des gestes imparfaits, j’étais obstiné et obliger au moindre geste de faire des miracles.

Chef-d’œuvre. Je m’étais construis une mentalité de fer aux joues desséchées et je souffrais beaucoup, que surtout mes faits et gestes et même qu’à la pensée, je devais imiter un robot pour voir en moi, la perfection. C’est triste qu’après des heures de concentrations et exécution des gestes merveilleux, tout devient normal et c’est triste quand on travaille inlassablement et qu’on soit la même personne.

Pour ce faire. Je m’étais ornée d’un spiritisme, pour ne paraître lunatique, d’approfondir mon penchant jusqu’à certaines croyances orientales, pour creuser le fond de ma pensée et me parfaire jusqu’aux mots.

Paroles de rêves. Je devais parler comme une princesse, agir comme une princesse et être celle qui n’a jamais existé, sans révéler l’évolution de mon profond être et mourir avec ce trésor, à jamais.

J’ai mis en place une expérience encore plus amusante : j’ai changé l’état de mon cerveau à la place, une montre. L’idée serait de ne surtout pas se concentrer mais de laisser votre cerveau décider. Entre chaque exercice, observez l’animation quelques secondes seulement et notez dans quel sens vous la voyer tourner.

Suis-je bizarre ? Je ne sais pas, pour le plus, je suis une innocente comme une autre qui s’amuse à jouer des réflexions et les sens. J’ai toujours apprécié le silence et aujourd’hui, je regrette.

« Je regrette de n’avoir pas su parler quand il fallait, mon profond regret est d’avoir apprécié ce mutisme durant toutes ces années.»

C’est peut être ce qui explique mes allées et venues sans arrêt, toujours à vouloir discuté de mes sentiments avec un homme. C’était une vie d’enfer, je vous en conjure, peut être, je le dis avec légèreté, mais je le confesse avec ferveur.

-Dans cette salle, sous le houlement de la foule. C’était mon tour de faire la danse du charme. Danseuse, c’est charmant avec des patins. L’heure avait sonné dans ma tête, j’étais prise par une forte froideur, un sentiment que tempérait la peur. Quand j’eus terminé mon tour, avec deux extraordinaires figures sous un son mélodieux de Nana Mouskouri, qui avait pour titre voici le mois de Mai, même si on était sur Mars. Je doutais que j’eus été la meilleure, mais à la fin, j’avais eu plus d’applaudissement, on aurait dit à la fin d’un discours libérateur d’une socialiste. Je pleurais encore, cette victoire était pour mon père, sa petite Cheryle, qu’il avait tant aimé toute sa vie jusqu’à sa mort, à son chevet. Je fis le tour du parcours pour saluer et certains envahissaient la place. La sécurité essayait de faire le mieux qu’elle pouvait. Je venais de gagner le titre de championne du monde, vous vous rendez compte, championne du monde.

J’ai partagé ma poupée de cire à une jeune inconnue qui cherchait son chemin dans une rue, elle avait l’air parlante et gentille .Sur la place ou je suis aujourd’hui, j’écoute encore les cris stridents de la foule qui acclame sous les délires, la perfection humaine, sous les airs de danseuse, pour l’éternité.
Neil S.S. Moutanga
Neil S.S. Moutanga

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Message par Emera Ven 29 Nov - 11:51

Je ne peux pas réellement dire que j'aime ton texte, car a cause de mon jeune esprit je n'en ai compris que la moitié. Pourtant j'apprécie "l'histoire"* d'une jeune danseuse qui réfléchie a elle même avant une représentation. 
Voili Voilou !

* Je ne suis pas sûre que le terme histoire soit approprié Very Happy
Emera
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Message par Le Boiteux Ven 29 Nov - 15:54

Bon, je vais peut-être être un peu dur, mais à mon sens, c'est impossible d'apprécier une histoire si l'emballage ne suit pas. Bien se faire comprendre, être agréable à lire, c'est primordial. Je vais essayer de me justifier au maximum pour te faire comprendre ce qui (pour moi) ne va pas. Je vais essayer de reprendre point par point.

  D'abord certaines phrases sont trop longues, trop courtes. je n'entends pas par là que toutes les phrases longues sont à proscrire, mais il faut qu'elles soient bien faites, ce qui est particulièrement difficile. Ici, elles sont lourdes, laborieuses ; bref pas agréables. Autre problème à mon sens : mauvaise utilisation de la ponctuation par moment, ce qui nuit forcément à la compréhension. Enfin, sûrement ce qui m'a le plus gêné : le sens. Il y a certaines phrases que je n'ai pas comprises, parce qu'elle n'ont, je pense, pas de sens. Je vais détailler.

  Premier paragraphe. Première phrase trop longue, mais ce qui la rend lourde, c'est la juxtaposition des éléments avec seulement l'utilisation de virgule, sans mot connecteur. Astuce par exemple pour rendre le style moins pataud, utiliser des participes.
  Ensuite : "on est plus le même homme quand on a franchi toutes les étapes pour être, celle qu’on espérait être".
 Il y a une contradiction dans cette phrase. étant donné que le personne est féminin, il faudra plutôt dire "on est plus la même femme", du fait que dans la suite elle dit "celle", et non pas celui.

  Sur le second paragraphe, je pense qu'après la citation, la ponctuation la plus appropriée aurait été un point, et non pas une virgule. Normalement on ne pas de point après des guillemets il me semble, on attaque directement par une majuscule, mais j'ai toujours trouvé que le point était plus lisible.
  Ensuite, exemple de phrase à laquelle je n'ai rien compris : "Être danseuse est si mal que l’on soit à côté de la plaque ou être danseuse n’est point empourpré d’un symbolisme digne de notre temps ?".
 En plus du sens, d'un point de vue syntaxique c'est incompréhensible. Ce genre de chose casse complètement le rythme de la lecture. Il faut être clair et précis. 

  Dans le troisième paragraphe, c'est encore la ponctuation qui pose problème. Le découpage entre les deux phrases est peu clair. Le "Parfois tragiques" aurait du se trouver avant le point.

"Cet appel était régulier que j’ai fini par capter l’intonation, avec des parents comme ça, je ferais comédienne sans heurts…"
   encore une chose que je n'ai pas comprise. à la fois pour le sens et la syntaxe qui est fausse.

  Je vais arrêter là parce qu'ensuite c'est le même genre d'erreur qui est récurrent. Je vais juste ajouter qu'à la première personne du futur, la terminaison c'est -ai et non pas -ais. Les autres fautes peuvent être dues à l'inattention, ça arrive à tout le monde, mais sur le future tu l'as faite à chaque fois.
 
  J'ai essayé de te montrer les points qui m'ont vraiment gêné dans ma lecture. Ce n'est pas par un quelconque plaisir sadique que je te dis tout ça, c'est juste pour te permettre de voir tes erreurs et de les corriger. Une bonne chose serait de relire ton texte en prenant en compte ce que je viens de dire, et d'essayer de le retravailler en conséquence pour le rendre plus agréable, parce que dans le fonds l'histoire que tu as à raconter peut être tout à fait intéressante.
  J'espère que cette critique t'aidera et te permettra d'améliorer ton style pour tes prochains textes.
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Message par Le sombre minuit Sam 7 Déc - 11:26

Salut Neil S.S. Moutanga !
Alors, j'ai apprécié l'idée de réflexion avec un grand concours - le fait qu'elle se pose toutes ces questions parce qu'elle a un concours n'est pas vraiment explicité, ce qui est dommage, de plus, on ne peut pas forcément apprécier sa danse comme tous les spectateurs : donne de la force à sa danse par les mots (car si j'ai bien compris, il y a une corrélation entre la danse et l'écriture ; si tu les présente tous les deux, n'hésite pas à faire ne sorte que le dernier paragraphe, qui décrit sa danse, soit aussi une sorte de danse avec les mots).

Ensuite, malheureusement, je suis d'accord avec Le Boiteux. Au-delà d'une jeunesse, Emera, je ne crois pas que tu aies eu du mal parce que le texte était trop "intellectuel" mais plutôt parce qu'il est parsemé de fautes malencontreuses.
Moutanga, je pense que tu as appris le français, que tu sais très bien le parler, mais tu as peut-être encore un peu de mal à l'écrire correctement. Je vais prendre en exemple mon anglais : ce qui me perturbe le plus c'est que certains mots n'ont pas besoin de déterminants pour être compréhensibles dans une phrase. En France, malheureusement, tous les mots doivent fonctionner avec des déterminants.
"parfois quand le soir arrive, je dors avec poings fermés comme un bébé"
Tu vois, il manque avec "les" poings fermés. Il y en a plusieurs ainsi.

Les "que" ne peuvent commencer une phrase s'ils n'ont pas de référence au préalable :
"Une magnifique flamme s'élevait dans mon coeur, si grande qu'elle me brûlait l'esprit. Qu'elle brisait les murs de cette gloire naissante. Qu'elle torturait mon âme au plus profond."
Qu'elle me brûlait ; qu'elle brisait ; qu'elle torturait. Si tu préfères, chaque "que" reprend exactement là où le "que" de la première phrase apparaît, ce qui forme à chaque fois trois phrases : "Une magnifique flamme s'élevait dans mon coeur, si grande qu'elle brisait les murs de cette gloire naissante."

Les fautes de temps - les verbes, c'est ce qui, en France, est le plus difficile - sont corrigibles, ne t'inquiète pas. Même si parfois tu passes de l'imparfait au présent, du présent au futur, peu importe. Ça va venir.

Franchement, je trouve que tu as une bonne connaissance de la langue, et que tu arrives à faire comprendre de quoi tu parles. Mais il y a quelques corrections à fournir, un bon travail à faire pour parvenir à rendre tout cela fluide, comme l'a si bien dit Le Boiteux. Mais je t'assure, je crois que ton potentiel d'écriture et d'inventivité est immense !
Bon courage Moutanga !
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Message par Demi-Tour Sam 7 Déc - 15:39

Bon, j'y vais de ma pierre à l'édifice.

Il est rare que je lise les commentaires des autres avant de poster les miens, ceci afin de ne pas être influencé. Mais vu la longueur des 2 messages précédents, je me suis forcé à le faire, et je ne regrette pas car je partage leurs avis en tout point.
J'ai cependant quelque chose à ajouter, plus en complément de remarques déjà faites qu'en tant que nouveau commentaire : le style et, à travers lui, la construction des phrases.
Pourquoi se torturer l'esprit à faire des phrases interminables, lourdes, surchargées de mots alors que le plus souvent il suffit dire en plusieurs phrases beaucoup plus simples (et donc agréables à lire)?
A te lire, j'ai l'impression que tu te cherches, ou plutôt que tu cherches à démarquer ton style, à montrer que tu sais écrire. Je ne sais pas si je me fais bien comprendre. En fait, c'est comme si, dans certains passages, il y avait une sorte de surenchère, de besoin d'utiliser du vocabulaire "intellectuel". Et je trouve que c'est cela qui pénalise surtout ton texte, ce qui est dommage.


Dernière édition par Demi-Tour le Sam 7 Déc - 20:07, édité 1 fois

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Message par Le sombre minuit Sam 7 Déc - 16:22

Oui, il est vrai que par moment, il y a des phrases un peu alambiquées pour dire quelque chose qui pourrait être explicite autrement. C'est dommage, mais s'il arrive à faire en sorte d'écrire de cette manière, et que cela soit aussi fluide, pourquoi pas. Les longues phrases de Proust ou de Butor attirent ou rebutent, ils n'en restent pas moins de grands auteurs.
Je te le dis, Moutanga, tu es capable de faire quelque chose de bien, ça se voit dans ce que tu écris, ne perds pas espoir.

PS : Je lis toujours les commentaires des autres, personnellement. Mais il est vrai que, parfois, on se retrouve à changer d'avis en les lisant, ce n'est peut-être pas une bonne solution.
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Message par Neil S.S. Moutanga Mer 25 Déc - 20:50

wOW ! Je ne savais pas que ce texte pouvait susciter autant de réactions et je suis très heureux, car c'est le premier chapitre de mon premier roman...La fille qui rêvait l'absolu. Je ferais d'ici peu une lecture chez vous, un de ces quatre !
Je ne suis pas presser, je ne jette rien de ce que j'écris. Pour terminer, la publication est encore un projet que je ne réalise pas, c'est un vœu seulement que je nourris au fond de mon cœur. Pendant ce temps, je 'écris...j'écris...j'écris et en essayant d'être en adéquation avec moi-même, car c'est difficile le chemin que j'ai parcouru pour arriver à écrire ce qu'on a en tête.
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Message par extialis Ven 27 Déc - 11:24

y a plein de choses à travailler, mais il y a plein d'idées aussi, dans ce texte. perso, en dehors de ce que les autres ont dit avec raison, j'aime bien le style. au travail donc  Twisted Evil
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