La douceur de la violence
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La douceur de la violence
Introduction.
La nuit faisait pesé une ambiance particulièrement malsaine. Malgré le beau temps ayant régné en maître durant la journée pas une seule étoile ne venait embellir le ciel ou une pleine lune dictait sa puissance par ses rayons impériaux. L'heure tardive expliqué que les lieux était totalement désert. Le parc , en principe si bruyant et agité ,incarnation de la diversité humaine, possédait un calme et une grande sérénité, ambiance presque pesante. Quelques éclairages vomissait une lueur blanche qui ne faisait reculé la pénombre et l'obscurité que de quelques mètres. Un chat blanc , devenus gris par la crasse qui recouvrait son sinistre pelage dévoré des restes de poissons
Quand tout a coup des bruits de pas allié a des paroles humaines le firent levé la tète .Apeuré le félins partis a la hâte se dissimulé dans les buissons.Deux silhouettes apparurent dans les ténèbres. L'une grande et l'autre plus petite. Une femme et un homme . Cote a cote ils se déplaçaient d'un pas rapide et assuré.Les bruits de leur conversation faisait tressaillir les oreilles du petit carnivore qui avait fuit devant leur arrivé.
L'homme arborait fièrement un pantalon noir et une chemise blanche au centre de laquelle pendait une cravate rouge sang . Une veste de la même noirceur que son pantalon recouvrait ses larges épaules.La femme a ses coté était revêtue d'un pantalon marron et d'un haut de couleur verte ,recouvert d'une manteau sombre . Une grande capuche de tissus lui recouvrait le haut , la moitié du visage , lui laissant découvert le nez et la bouche . Malgré tout sont puissant regard au yeux noisettes était devinable . De long cheveux chatin clair très proche du blond sortait de la capuche, pendait, lui descendant a la poitrine . L'homme leva la tète et prit la parole
-je veut que tu aille a son salon,fait toi passé pour une cliente,tisse des liens avec elle,essais d'en apprendre le plus possible, regroupé le maximum d'information. Elle doit croire que tu est sont amie.
Les mots avait était prononcé d'une voix grave , avec une confiance certaines , et un accent ronronnant a coupé au couteau.
-Enfin nous nous ferons connaître des autorités de ce pays, enfin nous nous vengeront .Notre nation sera fière de nous.
La voix de la femme était fine ,et douce mais transpirait la méme prétention que celle de l'homme , et l'accent venus d'ailleurs était encore plus fort.
L'inconnus posa sa main sur l'épaule de la femme en la secouant un peu.
-Tu est belle ,discrète ,et amicale ma petite soeur. l'esthéticienne ne se doutera de rien.
Le mystérieux duo disparus vers le lointain. Le félin sortie de sa cachette improvisé et repris sont frugal repas.
Chapitre 1
Le ciel était recouvert d'une épaisse et compacte couche nuageuse qui avait gagner son duel face au timide soleil incapable de transpercé de ses rayons cette masse,véritable incarnation du désespoir.En ce jour de repos,la quasi totalité des commerces étaient fermé.Seul l'unique bar était en activité et la clientèle d'habitude si vivace se faisait rare.Une femme de petite taille apparut et se dirigea vers le cœur de la place . Vêtue d'une longue robe noire,elle eu des difficulté pour monté les quelques marches qui menait a cette dernière. Malgré tout elle ne tomba pas.Malgré une température tempéré,et l’absence temporaire de pluie,l'inconnue avait les mains gelé.Frigorifié.Sont manteau pourtant fermé,ne la réchauffé pas le moins du monde.Une grande capuche lui recouvré le haut du visage. L’étrangère s’arrêter devant un commerce particulier.Le rideau de fer était descendus.Soulevant le tissus lui recouvrant la figure,elle leva la tète en direction de la devanture.L'écriteau était recouvert de couleur , multicolore, particulièrement agressive pour la rétine.Le nom du magasin ressortait particulièrement bien.Tout l'extérieur respirait la féminité et la beauté.C'était bien ici.Les horaires d'ouvertures placardé sur la porte la fit sourire.Puis elle remis sa capuche en place et mit ses mains dans ses manches,espérant leur redonné un peu de chaleur.Elle s'assit sur un banc environnent.
Dès le lendemain elle se mettrait a l'oeuvre.Deux personnes furent en vus au coin de la rue.Lorsqu'ils furent suffisamment proche, l’étrangère les fixa.Une femme adulte et un enfant.Peut être un peu plus jeune qu'elle.La femme était brunes,au cheveux long,le visage asser joufflus,au maquillages criard.Ses gros seins ne demandé qu'a sortir de son petit haut décolleté noir,sa minijupe s’arrentant au quart de cuisses lui laissant les jambes nus.Ses chaussures a talons aiguilles rouge semblait brillé.L'inconnue la vit serrer enfant dans ses bras.Ce dernier avait posé les mains sur ses seins.Puis elle se baissa et l'embrassa sur la bouche.A présent il avait mit ses petites mains sur ses fesses.La femme encapuchonné secoua la tète en signe de consternation.A moins de cinquante mètres d'elle le garnements transpirait l'insolence et la méchanceté.Il était âgé de 11 ans.Les cheveux noirs recouvert de gel coiffant,les yeux bleus chargé de mépris ,portant un pantalon blanc et une chemise rouge totalement ouverte,lui laissant le torse nus.Trois chaines en ors pendait autour de son coûts,longue et épaisse.L'adulte ouvrit sont sac a main
-Petit prince,met ta veste.
Une veste blanche imitant grossièrement une veste de costume. Aprés l'avoir enfilé il embrassa une nouvelle fois la brune sur la bouche.Avant de partir dans la direction de la petite femme mystérieuse.A son contact elle leva la tète.Le gamins prit la parole
-tioré une cigarette ????
Les mots était prononcé d'une voix aiguë,juvénile.
L’étrangère ne répondit pas.Le petit fronça les sourcil.
-Kestia ? Pourquoi tu te cache ?
La colère monter de plus en plus cher le chérubin.Il avait du mal a distingué cette pétasse qui ne lui répondait pas,il avait une sainte horreur des manques de respect.On ne voiyait que sont nez et sa bouche,et ses cheveux qui tombé sur sa poitrine.
-Mais tié qui toi ? tu veut pas m'en donné ? Sale pute !
Emporté par sa fougue le jeune garçons ne remarqua pas le petit bruits mécanique et métallique caractéristique.
-Et va te faire foutre !!
En un éclair l’étrangère sortis un couteau a cran d’arrêt et impitoyablement le planta dans l'entrejambe du garnements.La lame s’enfonçant dans ses parties,déchirant la chair.Le malheureux tomba sur le sol,recroquevillé sur le dos.La petite femme saisit le manche et fit faire un tour complet a la lame,puis la retira.Avant de rangé l'arme dans sa poche.L'insolent freluquet crier Maman et pleuré beaucoup.Ses mains sur la blessures dont le sang dégoulinait a fort débits,mouillant la roche du sol.
-Aaaaaaannnnnnddddddréééééééaaaasssss !!!!!!!!
La brune qui avait retiré ses chaussures arriva en courant a proximité du petit garçon autrefois si insolent.Les larmes faisait coulé son maquillages sur ses joues. Andréas se tordait de douleur et proféré désormais des insultes.La mystérieuse femme se leva et regarda en face la pulpeuse brune qui sangloté.
-Sois rassuré il survivra.C'est simplement un petit souvenir qui lui rappellera que l'on doit s'adresser a une dame avec respect.Mais sa descendance est compromise .Un mal pour un bien en somme.J'aurais pus le tué.
La bimbo fut toute de suite frappé par l'accent de la jeune femme,et la dureté de ses propos,prononcé sur un ton glacial.Puis elle s'en alla.La belle hurlé a l'aide.
*** ****************************************************
La jeune femme alluma la chaîne Hifi Stéréo avant de tournée le bouton du volume sonore .Pas fort,mais suffisamment audible pour laisser plané une présence humaine.Elle avait en horreur la solitude et du silence.Matinale,elle venait tout juste d'ouvrir son établissement.L'horloge suspendus au mur,blanche au aiguilles noire indiqué huit heure et quart.La peinture violette proche du mauve recouvré les murs de la pièce principale du salon.Elle semblait brillé,attestant de la nature récente des travaux,cette illusion de lumière était sublimé par les paillettes étalé sur les murs.Le local avait était inauguré moins de six mois auparavant .Derrière son comptoir la propriétaire repoussa une mèche de cheveux qui lui tomber sur le visage et soupira.La journée allé être longue.Dans un secteur en proie a un effondrement prochain,tout comme celui de la Pizza et de la cuisine asiatique,car présent de manière excessive,elle parvenait malgré tout a maintenir une clientèle lui assurant des revenue confortable,faisant héroïquement face a la concurrence.
Rien que dans sa petite ville près de trois boutique de la sorte avait ouvert.Les travaux de décoration et d'embellissement avait était gracieusement entreprit par Mathieu.Un de ses amants.La façade de l'institut était entièrement vitré,se qui permettait de l'intérieur d'avoir une vue imprenable sur la place des commerces et les passants qui y airé.
A l'heure de la pause déjeuné,et de la sortis des cours,des lycéens faisait mine de passé et de repassé,dans le seul but de parvenir a l’apercevoir et de lui adressé des sourires.Risible et pathétique.Rachel ne les aimait pas.Assise sur son tabouret,y repensant,son ravissant visage ornait d'un grain de beauté sur la joue droite se fendit d'un sourire moqueur.De stupide mauviettes,de tendre puceaux n'ayant pas l'aplomb nécessaire pour s'imposé dans le cruel monde dans lequel ils vivaient.La petite blonde aimait les vrais hommes.Quelques temps auparavant un bagarre avait éclaté a quelques mètres de son commerce.Un homme d'une trentaine d'années avait copieusement corrigé dans le sang un autre qui le supplié d' arrêter .Le malheureux avait était laissé dans le sang,inconscient,c'était retrouvé a l’hôpital ou il avait fait plusieurs jour de coma.De son comptoir la petite esthéticienne avait tout vus. Impressionnée,cela l'avait fait fondre.Moins d'une heure plus tard le solide gaillard était dans son lit et l'avait conduit vers des limbes de plaisir.
Rapidement elle sentit le désir monté en elle.Rachel sortit de ses rêveries lorsqu'elle aperçus qu'une personne l'épiait a travers la vitre.Entièrement vêtus de noir,d'une robe qui se prolongé d'une longue capuche lui masquant presque la totalité de la figure.Les mains dans les manches,sa taille plutôt réduite et les cheveux qui dépassait du tissus laisser pensé que c'était une femme.La propriétaire se leva et un rictus se dessina cher la sinistre femme de l'autre coté.Puis celle ci poursuivis sa route.Les gens sont pas tranquille de nos jours pensez t elle,avec une pointe d'irritation.
La mâtiné fut interminable a plusieurs reprises la blondinette crut que le temps c'était arreté .Peu de cliente avait débarqué l'improviste et seul trois rendez vous était prévus pour l'après midi.Une pièce vide dans l’arrière du commerce avait était transformé en bureau.Elle achever son café en le savourant.Bien fort et épais comme elle l'aimait,plus noir que l'enfer.Saisissant une pille de paperasse se trouvant a proximité la jeune femme entreprit de les remplir .Des documents destiné a de futur commande de produit et autre soins cosmétique.Une sonnerie simple et douce,une mélodie formaté très connus raisonna.Qui signifiait que quelqu’un venait d'entré.Cette petite alarme lui sortais par les oreilles.Rapidement elle se leva et ferma a clef son bureaux.
.Avant de tourné la tète et de voir qu'une femme se tenait a proximité du comptoir. Immobile. Méme séparé de plusieurs dizaines de mètres la patronne remarqua que les vêtements de la nouvelle venue était l’antithèse de la classe et de la bonne symbiose entre les couleurs.Arrivé au poste en bois elle sourit et se placea derrière celui ci. Discrètement elle observa sa futur cliente.Elle était vraisemblablement un peu plus grand qu'elles de quelques centimètres .Plutot mince,sa petite poitrine était d'une grande discrétion sous un pull asser épais de couleur grise.Jeune,elle n'avait pas trente ans.Ses cheveux était d'un chatin clair a la lisière du blond,le soleil passant a travers les vitres semblait même donné a sa chevelure des reflets roux.Sa peau claire, faisait ressortir ses lèvres roses et fines.L'iris de ses yeux était d'un marron entouré de vert.Noisettes.L'accoutrement de l'inconnue avait choqué la jeune femme qui avait eux toute les peines du monde pour ne pas éclaté de rire en la voyant.En plus de son haut gris sans la moindre fantaisie,ses jambes était recouvert d'un jeans vert clair,comme celui des forets après un orage.Elle portait au pieds des tongs violette,d'une teinte proche de celle des murs.Un vernie rouge recouvrait de manière approximative,voire grossière les ongles de ses orteils.Y'en a qui savent pas s'habillé songeât elle sur un ton moqueur.Sa visiteuse avait un sac a main,rachel reconnue les produits très très bas de gamme que vendait les hommes de couleur a la sauvette sur la place du marché
Rachel prit la paroles :
-Vous désirez Mademoiselle ?
-Bonjour.Je veux m'inscrire .Combien c'est ?
La gérante baissa la tête pour saisir des brochures et autres papiers explicatifs se trouvant dans un tiroir .Elle en saisit deux et les posa sur le bois,devant la cliente.L'inconnue en saisit un et le regarda.Cette dernière froncea les sourcils.Avant de le remettre a sa place.
-Il y a écrit quoi ???
La petite blonde remarqua l'accent de la visiteuse.Un accent puissant et ronronnant,terriblement présent et qui rendait la compréhension de ses paroles asser difficile.C'est pas d'ici ça,débarqué depuis deux jours,d'la pute roumaine penseat l’esthéticienne.
-Oh girl,tu sais pas lire ????
L'inconnue eux un petit sourire gèné .Des dents d'une hygiène douteuse,le tartre était présent a différents endroits.Ses canines était longue et pointue,donnant a sa dentition un coté félin.
-Non je ne lit pas encore l'écriture d'ici.
L'irritation monta cher la patronne .Elle allait devoir tout lui expliqué a l'oral et elle détesté faire des monologues.
-En gros ici l'inscriptions coûte soixante dix euros.et chaque soins a son propre prix,son tarif spécifique.Lorsque tu en fait neuf,le dixième est offert.
Rachel prit un des petits dépliant cartonné qui traînait et le montra a l'inconnue:
-Tu vois ça ? C'est la ou seront écrits tout tes passages ici,chaque soin si trouvera et a terme te conduira a la gratuité.
-Je veut m'inscrire.
-J'ai besoin de tes papiers d'identité.
La future cliente sortis un porte feuille de son sac,l'ouvrit et en retira sa carte.Qu'elle donna a la dirigeante.Rachel pus entrapercevoir furtivement la grosse liasse de billet de banque qui se trouvait au milieux des cartes .Curieux .Tout ce pognon et de la sape de clocharde. se dit elle,intrigué.Elle scruta le nom qui trônait a proximité de la photo .Soraya Madzavaief .Une autre étrangeté.Dans le temps,elle avait connus une Soraya,une libanaise.C'est pas le blase que l'on s'attend a trouvé avec un physique pareil.Une fois la démarche d’inscription mené a bien,rachel réclama une signature .Soraya remonta ses manches ,saisit le stylo et rapidement réalisa un autographe a l'endroit indiqué.La petite blonde,remarqua et fut choqué par les deux larges et longues cicatrices qui parcourait tout l'avant bras de l’étrangère et s'entrecroiser,et ne semblait pas daté d'hier . Après avoir payé ses frais d’inscription et lui avoir demandé de gardé la monnaie,soraya s'en alla.Elle reviendrait le lendemain pour son premier soin.L'esthéticienne souffla.Fort heureusement les phénomènes comme çà était fort rare.J'ai pas finit de rigolé avec elle songeait elle.
Chapitre 2
La petite femme cracha par terre,et continua sa marche . Déjà de mauvaise poil après sa journée,son humeur ne c'était pas adoucis.Loin de la.Elle n'aimait pas cette ville.Surpeuplé,d'une propreté totalement déplorable.Les trottoir était recouvert d’immondice en tout genre,de déjection canine,de chewing-gum écrasé le sol,de sac poubelle éventré dont le contenus était déversé sur le sol.Se rendant dans le cœur de la ville,ou se trouve le quartier le plus aisé elle avait pus avoir un échantillon des individus au mines patibulaires,et des taudis en ruines dans lesquelles ils vivaient.Rachel avait était a la fois attristé et révolté, a la fois attiré.Il lui avait fallu prés d'une heure pour rejoindre cette agglomération en voiture depuis son salon.Le manque d'affluence,l'avait poussé a fermer sa boutique plus tôt que prévus.Elle avait contacté un amis proche afin de récupéré quelque chose qui lui appartenait.Au bout de longue minutes,la petite blonde arriva devant le bâtiments .C'était une haute tour de plusieurs centaines de mètres constitué d'une structure de métal et d'acier,sa façade était entièrement vitré.Le squelette de fer, était recouvert d'un vernis bleus clair.La construction était monumentale,somptueuse.En la voyant l'esthéticienne eu un sourire ironique.Cela correspondait bien a John.C'était tout lui.Il avait sans cesse besoin de rendre visible,de manière outrancière et vaniteuse son aisance financière et sa réussite professionnelle.L'immeubles abritait les logements,les appartements fort en luxe et en équipement,de cadres supérieurs d'entreprises,de fonctionnaire haut placé,d'employé de la bourse ou de patrons de grande société.
Après un passage rapide dans le hall d’accueil ,merveilleusement décoré au demeurant,la jeune femme entra dans l’ascenseur .Sélectionnant son étage.Le cinquante deux.A la moitié du bâtiments .La blondinette croisa les bras.Faisant son possible pour ne pas s'emporté .Lâchant sont sac a main sut le sol recouvert d'une moquette haut de gamme,elle repensa a sa cliente de l’après midi.Une espèce de clandestine qui ne comprenait rien,habillé sans le moindre style.Quel conne pensea elle.Elle se demandé se que amis était devenus.Rachel ne l'avait pas vus depuis sept ans.Avant son départ elle avait passé un temps fous a choisir la couleur de son rouge a lèvre ou et de sa minijupe.Une sonnerie indiqua qu'elle était parvenue a destination.La petite blonde et sortis et s'approcha de la porte se trouvant au fond du couloir.Une seule porte et c'était la sienne.L'appartement s'étendait sur la totalité de l'étage.Un complexe d'une surface asser exceptionnelle .Un doigt a l'ongle recouvert d'un vernis rouge a point blanc pressa le bouton de la sonnettes
Après une vingtaines de seconde la porte s'ouvrit.Une petite fille apparut derrière elle,se matérialisent devant l'esthéticienne.Quelques secondes suffirent a l'adulte pour comprendre sa nature.Une réré. La blonde se demandé se qu'elle pouvait bien faire ici,cher John,dans ce genre de bâtiments .Comme un hamburger de fast food dans un restaurant trois étoiles,comme du fer rouillé au milieu de l'or,comme comme une mauvaise herbe sauvage au milieu d'orchidées .Âgée de sept ou huit ans,fixant la visiteuse.Elle offrait ce type si connue de la gitane espagnole,reconnaissable entre toute.Son visage était délicat,au traits fin et harmonieux,ses yeux,grand et profond, était d'un marron sombre presque noir.Sa bouche au lèvres pulpeuse,recouverte d'une touche de marron,portait des traces de caramel.Un tour au crayon avait était grossièrement fait autour de sa bouche.Ses cheveux lisse et soyeux,d'un noir absolus lui descendait jusqu'au bas du dos.A ses oreilles pendait des boucles d'oreilles,des créoles,argenté et trop grande pour son age.Ses paupières était recouverte d'un maquillage rose,particulièrement voyant.Elle porté un petit haut rouge avec en son centre une tète de chat,et un pantalon jeans bleu clair.Ses petit pieds nus,porté un vernie noir,chaque cheville portait une épaisse chaînette brillante.De nombreux bijoux venais l’embellir encore d'avantage.Une grande croix chrétienne pendait autour de son coût,portant deux pierre rouge en son centre.Plusieurs bracelets pendait a ses poignée,fait d'argent ou d'or.Rachel ignorait qui cette gamine pouvait être .John avait pas d'enfant,ni de nièces ou neveu .D’ou sa sort çà ? Se dit elle consterné.
-Salut ! je suis venus voir John, il est la ?
-Porqué ?
La réponse de la petite fut surprenante.Le mot avait était prononcé d'une voix claire et aigus,avec un accent authentique et une façon de parlé typique,presque chantante.
-Je dois le voir.Tu me laisse entré ?
L’expression de l'enfant alors neutre et douce se renfrogna,et elle fronca les sourcils.
-Cual es su nombré ?
-Rachel.
-Comé
La gitane s'écarta et par un petit signe de la main,indiqua a l'adulte de la suivre.
-Corazon !!!!! é mujer per tu !!!
La nuit faisait pesé une ambiance particulièrement malsaine. Malgré le beau temps ayant régné en maître durant la journée pas une seule étoile ne venait embellir le ciel ou une pleine lune dictait sa puissance par ses rayons impériaux. L'heure tardive expliqué que les lieux était totalement désert. Le parc , en principe si bruyant et agité ,incarnation de la diversité humaine, possédait un calme et une grande sérénité, ambiance presque pesante. Quelques éclairages vomissait une lueur blanche qui ne faisait reculé la pénombre et l'obscurité que de quelques mètres. Un chat blanc , devenus gris par la crasse qui recouvrait son sinistre pelage dévoré des restes de poissons
Quand tout a coup des bruits de pas allié a des paroles humaines le firent levé la tète .Apeuré le félins partis a la hâte se dissimulé dans les buissons.Deux silhouettes apparurent dans les ténèbres. L'une grande et l'autre plus petite. Une femme et un homme . Cote a cote ils se déplaçaient d'un pas rapide et assuré.Les bruits de leur conversation faisait tressaillir les oreilles du petit carnivore qui avait fuit devant leur arrivé.
L'homme arborait fièrement un pantalon noir et une chemise blanche au centre de laquelle pendait une cravate rouge sang . Une veste de la même noirceur que son pantalon recouvrait ses larges épaules.La femme a ses coté était revêtue d'un pantalon marron et d'un haut de couleur verte ,recouvert d'une manteau sombre . Une grande capuche de tissus lui recouvrait le haut , la moitié du visage , lui laissant découvert le nez et la bouche . Malgré tout sont puissant regard au yeux noisettes était devinable . De long cheveux chatin clair très proche du blond sortait de la capuche, pendait, lui descendant a la poitrine . L'homme leva la tète et prit la parole
-je veut que tu aille a son salon,fait toi passé pour une cliente,tisse des liens avec elle,essais d'en apprendre le plus possible, regroupé le maximum d'information. Elle doit croire que tu est sont amie.
Les mots avait était prononcé d'une voix grave , avec une confiance certaines , et un accent ronronnant a coupé au couteau.
-Enfin nous nous ferons connaître des autorités de ce pays, enfin nous nous vengeront .Notre nation sera fière de nous.
La voix de la femme était fine ,et douce mais transpirait la méme prétention que celle de l'homme , et l'accent venus d'ailleurs était encore plus fort.
L'inconnus posa sa main sur l'épaule de la femme en la secouant un peu.
-Tu est belle ,discrète ,et amicale ma petite soeur. l'esthéticienne ne se doutera de rien.
Le mystérieux duo disparus vers le lointain. Le félin sortie de sa cachette improvisé et repris sont frugal repas.
Chapitre 1
Le ciel était recouvert d'une épaisse et compacte couche nuageuse qui avait gagner son duel face au timide soleil incapable de transpercé de ses rayons cette masse,véritable incarnation du désespoir.En ce jour de repos,la quasi totalité des commerces étaient fermé.Seul l'unique bar était en activité et la clientèle d'habitude si vivace se faisait rare.Une femme de petite taille apparut et se dirigea vers le cœur de la place . Vêtue d'une longue robe noire,elle eu des difficulté pour monté les quelques marches qui menait a cette dernière. Malgré tout elle ne tomba pas.Malgré une température tempéré,et l’absence temporaire de pluie,l'inconnue avait les mains gelé.Frigorifié.Sont manteau pourtant fermé,ne la réchauffé pas le moins du monde.Une grande capuche lui recouvré le haut du visage. L’étrangère s’arrêter devant un commerce particulier.Le rideau de fer était descendus.Soulevant le tissus lui recouvrant la figure,elle leva la tète en direction de la devanture.L'écriteau était recouvert de couleur , multicolore, particulièrement agressive pour la rétine.Le nom du magasin ressortait particulièrement bien.Tout l'extérieur respirait la féminité et la beauté.C'était bien ici.Les horaires d'ouvertures placardé sur la porte la fit sourire.Puis elle remis sa capuche en place et mit ses mains dans ses manches,espérant leur redonné un peu de chaleur.Elle s'assit sur un banc environnent.
Dès le lendemain elle se mettrait a l'oeuvre.Deux personnes furent en vus au coin de la rue.Lorsqu'ils furent suffisamment proche, l’étrangère les fixa.Une femme adulte et un enfant.Peut être un peu plus jeune qu'elle.La femme était brunes,au cheveux long,le visage asser joufflus,au maquillages criard.Ses gros seins ne demandé qu'a sortir de son petit haut décolleté noir,sa minijupe s’arrentant au quart de cuisses lui laissant les jambes nus.Ses chaussures a talons aiguilles rouge semblait brillé.L'inconnue la vit serrer enfant dans ses bras.Ce dernier avait posé les mains sur ses seins.Puis elle se baissa et l'embrassa sur la bouche.A présent il avait mit ses petites mains sur ses fesses.La femme encapuchonné secoua la tète en signe de consternation.A moins de cinquante mètres d'elle le garnements transpirait l'insolence et la méchanceté.Il était âgé de 11 ans.Les cheveux noirs recouvert de gel coiffant,les yeux bleus chargé de mépris ,portant un pantalon blanc et une chemise rouge totalement ouverte,lui laissant le torse nus.Trois chaines en ors pendait autour de son coûts,longue et épaisse.L'adulte ouvrit sont sac a main
-Petit prince,met ta veste.
Une veste blanche imitant grossièrement une veste de costume. Aprés l'avoir enfilé il embrassa une nouvelle fois la brune sur la bouche.Avant de partir dans la direction de la petite femme mystérieuse.A son contact elle leva la tète.Le gamins prit la parole
-tioré une cigarette ????
Les mots était prononcé d'une voix aiguë,juvénile.
L’étrangère ne répondit pas.Le petit fronça les sourcil.
-Kestia ? Pourquoi tu te cache ?
La colère monter de plus en plus cher le chérubin.Il avait du mal a distingué cette pétasse qui ne lui répondait pas,il avait une sainte horreur des manques de respect.On ne voiyait que sont nez et sa bouche,et ses cheveux qui tombé sur sa poitrine.
-Mais tié qui toi ? tu veut pas m'en donné ? Sale pute !
Emporté par sa fougue le jeune garçons ne remarqua pas le petit bruits mécanique et métallique caractéristique.
-Et va te faire foutre !!
En un éclair l’étrangère sortis un couteau a cran d’arrêt et impitoyablement le planta dans l'entrejambe du garnements.La lame s’enfonçant dans ses parties,déchirant la chair.Le malheureux tomba sur le sol,recroquevillé sur le dos.La petite femme saisit le manche et fit faire un tour complet a la lame,puis la retira.Avant de rangé l'arme dans sa poche.L'insolent freluquet crier Maman et pleuré beaucoup.Ses mains sur la blessures dont le sang dégoulinait a fort débits,mouillant la roche du sol.
-Aaaaaaannnnnnddddddréééééééaaaasssss !!!!!!!!
La brune qui avait retiré ses chaussures arriva en courant a proximité du petit garçon autrefois si insolent.Les larmes faisait coulé son maquillages sur ses joues. Andréas se tordait de douleur et proféré désormais des insultes.La mystérieuse femme se leva et regarda en face la pulpeuse brune qui sangloté.
-Sois rassuré il survivra.C'est simplement un petit souvenir qui lui rappellera que l'on doit s'adresser a une dame avec respect.Mais sa descendance est compromise .Un mal pour un bien en somme.J'aurais pus le tué.
La bimbo fut toute de suite frappé par l'accent de la jeune femme,et la dureté de ses propos,prononcé sur un ton glacial.Puis elle s'en alla.La belle hurlé a l'aide.
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La jeune femme alluma la chaîne Hifi Stéréo avant de tournée le bouton du volume sonore .Pas fort,mais suffisamment audible pour laisser plané une présence humaine.Elle avait en horreur la solitude et du silence.Matinale,elle venait tout juste d'ouvrir son établissement.L'horloge suspendus au mur,blanche au aiguilles noire indiqué huit heure et quart.La peinture violette proche du mauve recouvré les murs de la pièce principale du salon.Elle semblait brillé,attestant de la nature récente des travaux,cette illusion de lumière était sublimé par les paillettes étalé sur les murs.Le local avait était inauguré moins de six mois auparavant .Derrière son comptoir la propriétaire repoussa une mèche de cheveux qui lui tomber sur le visage et soupira.La journée allé être longue.Dans un secteur en proie a un effondrement prochain,tout comme celui de la Pizza et de la cuisine asiatique,car présent de manière excessive,elle parvenait malgré tout a maintenir une clientèle lui assurant des revenue confortable,faisant héroïquement face a la concurrence.
Rien que dans sa petite ville près de trois boutique de la sorte avait ouvert.Les travaux de décoration et d'embellissement avait était gracieusement entreprit par Mathieu.Un de ses amants.La façade de l'institut était entièrement vitré,se qui permettait de l'intérieur d'avoir une vue imprenable sur la place des commerces et les passants qui y airé.
A l'heure de la pause déjeuné,et de la sortis des cours,des lycéens faisait mine de passé et de repassé,dans le seul but de parvenir a l’apercevoir et de lui adressé des sourires.Risible et pathétique.Rachel ne les aimait pas.Assise sur son tabouret,y repensant,son ravissant visage ornait d'un grain de beauté sur la joue droite se fendit d'un sourire moqueur.De stupide mauviettes,de tendre puceaux n'ayant pas l'aplomb nécessaire pour s'imposé dans le cruel monde dans lequel ils vivaient.La petite blonde aimait les vrais hommes.Quelques temps auparavant un bagarre avait éclaté a quelques mètres de son commerce.Un homme d'une trentaine d'années avait copieusement corrigé dans le sang un autre qui le supplié d' arrêter .Le malheureux avait était laissé dans le sang,inconscient,c'était retrouvé a l’hôpital ou il avait fait plusieurs jour de coma.De son comptoir la petite esthéticienne avait tout vus. Impressionnée,cela l'avait fait fondre.Moins d'une heure plus tard le solide gaillard était dans son lit et l'avait conduit vers des limbes de plaisir.
Rapidement elle sentit le désir monté en elle.Rachel sortit de ses rêveries lorsqu'elle aperçus qu'une personne l'épiait a travers la vitre.Entièrement vêtus de noir,d'une robe qui se prolongé d'une longue capuche lui masquant presque la totalité de la figure.Les mains dans les manches,sa taille plutôt réduite et les cheveux qui dépassait du tissus laisser pensé que c'était une femme.La propriétaire se leva et un rictus se dessina cher la sinistre femme de l'autre coté.Puis celle ci poursuivis sa route.Les gens sont pas tranquille de nos jours pensez t elle,avec une pointe d'irritation.
La mâtiné fut interminable a plusieurs reprises la blondinette crut que le temps c'était arreté .Peu de cliente avait débarqué l'improviste et seul trois rendez vous était prévus pour l'après midi.Une pièce vide dans l’arrière du commerce avait était transformé en bureau.Elle achever son café en le savourant.Bien fort et épais comme elle l'aimait,plus noir que l'enfer.Saisissant une pille de paperasse se trouvant a proximité la jeune femme entreprit de les remplir .Des documents destiné a de futur commande de produit et autre soins cosmétique.Une sonnerie simple et douce,une mélodie formaté très connus raisonna.Qui signifiait que quelqu’un venait d'entré.Cette petite alarme lui sortais par les oreilles.Rapidement elle se leva et ferma a clef son bureaux.
.Avant de tourné la tète et de voir qu'une femme se tenait a proximité du comptoir. Immobile. Méme séparé de plusieurs dizaines de mètres la patronne remarqua que les vêtements de la nouvelle venue était l’antithèse de la classe et de la bonne symbiose entre les couleurs.Arrivé au poste en bois elle sourit et se placea derrière celui ci. Discrètement elle observa sa futur cliente.Elle était vraisemblablement un peu plus grand qu'elles de quelques centimètres .Plutot mince,sa petite poitrine était d'une grande discrétion sous un pull asser épais de couleur grise.Jeune,elle n'avait pas trente ans.Ses cheveux était d'un chatin clair a la lisière du blond,le soleil passant a travers les vitres semblait même donné a sa chevelure des reflets roux.Sa peau claire, faisait ressortir ses lèvres roses et fines.L'iris de ses yeux était d'un marron entouré de vert.Noisettes.L'accoutrement de l'inconnue avait choqué la jeune femme qui avait eux toute les peines du monde pour ne pas éclaté de rire en la voyant.En plus de son haut gris sans la moindre fantaisie,ses jambes était recouvert d'un jeans vert clair,comme celui des forets après un orage.Elle portait au pieds des tongs violette,d'une teinte proche de celle des murs.Un vernie rouge recouvrait de manière approximative,voire grossière les ongles de ses orteils.Y'en a qui savent pas s'habillé songeât elle sur un ton moqueur.Sa visiteuse avait un sac a main,rachel reconnue les produits très très bas de gamme que vendait les hommes de couleur a la sauvette sur la place du marché
Rachel prit la paroles :
-Vous désirez Mademoiselle ?
-Bonjour.Je veux m'inscrire .Combien c'est ?
La gérante baissa la tête pour saisir des brochures et autres papiers explicatifs se trouvant dans un tiroir .Elle en saisit deux et les posa sur le bois,devant la cliente.L'inconnue en saisit un et le regarda.Cette dernière froncea les sourcils.Avant de le remettre a sa place.
-Il y a écrit quoi ???
La petite blonde remarqua l'accent de la visiteuse.Un accent puissant et ronronnant,terriblement présent et qui rendait la compréhension de ses paroles asser difficile.C'est pas d'ici ça,débarqué depuis deux jours,d'la pute roumaine penseat l’esthéticienne.
-Oh girl,tu sais pas lire ????
L'inconnue eux un petit sourire gèné .Des dents d'une hygiène douteuse,le tartre était présent a différents endroits.Ses canines était longue et pointue,donnant a sa dentition un coté félin.
-Non je ne lit pas encore l'écriture d'ici.
L'irritation monta cher la patronne .Elle allait devoir tout lui expliqué a l'oral et elle détesté faire des monologues.
-En gros ici l'inscriptions coûte soixante dix euros.et chaque soins a son propre prix,son tarif spécifique.Lorsque tu en fait neuf,le dixième est offert.
Rachel prit un des petits dépliant cartonné qui traînait et le montra a l'inconnue:
-Tu vois ça ? C'est la ou seront écrits tout tes passages ici,chaque soin si trouvera et a terme te conduira a la gratuité.
-Je veut m'inscrire.
-J'ai besoin de tes papiers d'identité.
La future cliente sortis un porte feuille de son sac,l'ouvrit et en retira sa carte.Qu'elle donna a la dirigeante.Rachel pus entrapercevoir furtivement la grosse liasse de billet de banque qui se trouvait au milieux des cartes .Curieux .Tout ce pognon et de la sape de clocharde. se dit elle,intrigué.Elle scruta le nom qui trônait a proximité de la photo .Soraya Madzavaief .Une autre étrangeté.Dans le temps,elle avait connus une Soraya,une libanaise.C'est pas le blase que l'on s'attend a trouvé avec un physique pareil.Une fois la démarche d’inscription mené a bien,rachel réclama une signature .Soraya remonta ses manches ,saisit le stylo et rapidement réalisa un autographe a l'endroit indiqué.La petite blonde,remarqua et fut choqué par les deux larges et longues cicatrices qui parcourait tout l'avant bras de l’étrangère et s'entrecroiser,et ne semblait pas daté d'hier . Après avoir payé ses frais d’inscription et lui avoir demandé de gardé la monnaie,soraya s'en alla.Elle reviendrait le lendemain pour son premier soin.L'esthéticienne souffla.Fort heureusement les phénomènes comme çà était fort rare.J'ai pas finit de rigolé avec elle songeait elle.
Chapitre 2
La petite femme cracha par terre,et continua sa marche . Déjà de mauvaise poil après sa journée,son humeur ne c'était pas adoucis.Loin de la.Elle n'aimait pas cette ville.Surpeuplé,d'une propreté totalement déplorable.Les trottoir était recouvert d’immondice en tout genre,de déjection canine,de chewing-gum écrasé le sol,de sac poubelle éventré dont le contenus était déversé sur le sol.Se rendant dans le cœur de la ville,ou se trouve le quartier le plus aisé elle avait pus avoir un échantillon des individus au mines patibulaires,et des taudis en ruines dans lesquelles ils vivaient.Rachel avait était a la fois attristé et révolté, a la fois attiré.Il lui avait fallu prés d'une heure pour rejoindre cette agglomération en voiture depuis son salon.Le manque d'affluence,l'avait poussé a fermer sa boutique plus tôt que prévus.Elle avait contacté un amis proche afin de récupéré quelque chose qui lui appartenait.Au bout de longue minutes,la petite blonde arriva devant le bâtiments .C'était une haute tour de plusieurs centaines de mètres constitué d'une structure de métal et d'acier,sa façade était entièrement vitré.Le squelette de fer, était recouvert d'un vernis bleus clair.La construction était monumentale,somptueuse.En la voyant l'esthéticienne eu un sourire ironique.Cela correspondait bien a John.C'était tout lui.Il avait sans cesse besoin de rendre visible,de manière outrancière et vaniteuse son aisance financière et sa réussite professionnelle.L'immeubles abritait les logements,les appartements fort en luxe et en équipement,de cadres supérieurs d'entreprises,de fonctionnaire haut placé,d'employé de la bourse ou de patrons de grande société.
Après un passage rapide dans le hall d’accueil ,merveilleusement décoré au demeurant,la jeune femme entra dans l’ascenseur .Sélectionnant son étage.Le cinquante deux.A la moitié du bâtiments .La blondinette croisa les bras.Faisant son possible pour ne pas s'emporté .Lâchant sont sac a main sut le sol recouvert d'une moquette haut de gamme,elle repensa a sa cliente de l’après midi.Une espèce de clandestine qui ne comprenait rien,habillé sans le moindre style.Quel conne pensea elle.Elle se demandé se que amis était devenus.Rachel ne l'avait pas vus depuis sept ans.Avant son départ elle avait passé un temps fous a choisir la couleur de son rouge a lèvre ou et de sa minijupe.Une sonnerie indiqua qu'elle était parvenue a destination.La petite blonde et sortis et s'approcha de la porte se trouvant au fond du couloir.Une seule porte et c'était la sienne.L'appartement s'étendait sur la totalité de l'étage.Un complexe d'une surface asser exceptionnelle .Un doigt a l'ongle recouvert d'un vernis rouge a point blanc pressa le bouton de la sonnettes
Après une vingtaines de seconde la porte s'ouvrit.Une petite fille apparut derrière elle,se matérialisent devant l'esthéticienne.Quelques secondes suffirent a l'adulte pour comprendre sa nature.Une réré. La blonde se demandé se qu'elle pouvait bien faire ici,cher John,dans ce genre de bâtiments .Comme un hamburger de fast food dans un restaurant trois étoiles,comme du fer rouillé au milieu de l'or,comme comme une mauvaise herbe sauvage au milieu d'orchidées .Âgée de sept ou huit ans,fixant la visiteuse.Elle offrait ce type si connue de la gitane espagnole,reconnaissable entre toute.Son visage était délicat,au traits fin et harmonieux,ses yeux,grand et profond, était d'un marron sombre presque noir.Sa bouche au lèvres pulpeuse,recouverte d'une touche de marron,portait des traces de caramel.Un tour au crayon avait était grossièrement fait autour de sa bouche.Ses cheveux lisse et soyeux,d'un noir absolus lui descendait jusqu'au bas du dos.A ses oreilles pendait des boucles d'oreilles,des créoles,argenté et trop grande pour son age.Ses paupières était recouverte d'un maquillage rose,particulièrement voyant.Elle porté un petit haut rouge avec en son centre une tète de chat,et un pantalon jeans bleu clair.Ses petit pieds nus,porté un vernie noir,chaque cheville portait une épaisse chaînette brillante.De nombreux bijoux venais l’embellir encore d'avantage.Une grande croix chrétienne pendait autour de son coût,portant deux pierre rouge en son centre.Plusieurs bracelets pendait a ses poignée,fait d'argent ou d'or.Rachel ignorait qui cette gamine pouvait être .John avait pas d'enfant,ni de nièces ou neveu .D’ou sa sort çà ? Se dit elle consterné.
-Salut ! je suis venus voir John, il est la ?
-Porqué ?
La réponse de la petite fut surprenante.Le mot avait était prononcé d'une voix claire et aigus,avec un accent authentique et une façon de parlé typique,presque chantante.
-Je dois le voir.Tu me laisse entré ?
L’expression de l'enfant alors neutre et douce se renfrogna,et elle fronca les sourcils.
-Cual es su nombré ?
-Rachel.
-Comé
La gitane s'écarta et par un petit signe de la main,indiqua a l'adulte de la suivre.
-Corazon !!!!! é mujer per tu !!!
Dernière édition par Monio le Lun 27 Mai - 13:14, édité 4 fois
Monio- Date d'inscription : 19/05/2013
Re: La douceur de la violence
Bon alors.
J'aime bien la façon dont le début (l'introduction) est traité. Point de vue détaché depuis un élément extérieur. Comme si on regardait à travers une caméra fixe ou un truc comme ça.
Malheureusement, je trouve que tu en fais trop passer par les dialogues.
En trois prises de parole, on sait ce qu'il parle à sa petite soeur, qu'ils font ça pour leur nation et ce qu'il lui demande de faire.
Je pense que tu devrais garder un peu plus de mystère. Par exemple, juste avoir un échange de dialogue où il lui souhaite bonne chance / lui demande si elle a bien compris ce qu'il attend d'elle.
Ne parle peut-être pas du fait qu'ils font ça pour venger leur pays ou je ne sais quoi. Garde ça pour plus tard, tu auras largement le temps de nous le faire comprendre par la suite.
Pour le premier chapitre, tu devrais peut-être éviter le changement de point de vue. Quand tu passes de l'inconnue au petit garçon puis retour à l'inconnue. Je pense que tu gagnerais à nous faire voir la scène entière depuis le point de vue de l'inconnue. En gros, pas d'introspection dans les pensées de l'odieux prince, mais juste ce que ressent la femme.
Entre parenthèses, je déteste déjà presque autant cet enfant que le petit Lanister... Mais c'est probablement parce que je sors depuis peu du visionnage des deux premières saisons de Game of Thrones.
Bon, maintenant, le gros point noir, et je pense que tu t'en doutes déjà, c'est l'orthographe/grammaire/conjugaison.
Je suis un peu tatillon sur le sujet et je dois avouer que toutes ces fautes ont un peu gâché ma lecture parce que j'ai dû relire certaines phrases pour bien comprendre ce que tu voulais dire. C'est vraiment très difficile à dire et c'est dommage parce que ton histoire est assez bien racontée (hormis les quelques détails dont j'ai parlé). Je veux dire, la façon dont tu nous montres les scènes, dont tu nous décris les personnages et tout ça est assez bien vue. Tu prends le temps de nous faire entrer dans ton univers, de nous raconter ton histoire, de faire planer un peu le mystère (même si ça pourrait s'améliorer). Malheureusement, pour moi, les trop nombreuses fautes gâchent l'ensemble et nous empêchent (m'empêchent?) de me focaliser correctement sur l'histoire et de me glisser dans ton univers.
Alors, un tout petit truc rapide et facile à retenir pour la conjugaison:
En écrivant ou en relisant, remplace ton verbe par le verbe "battre" et prononce la phrase dans ta tête avec le verbe "battre". Tu sauras ainsi si ton verbe est à l'imparfait, s'il s'agit d'un participe passé ou s'il est à infinitif.
Bon, ce n'est valable que pour les verbes du 1er groupe (terminaison en -er), mais c'est déjà ça
3 exemples pris dans ton texte:
-
=> "battre" = infinitif donc: "La nuit faisait peser
-
=> "battait" = imparfait donc: "L'heure tardive expliquait..."
-
=> "battu" = participe passé, donc: "... qui avait gagné..."
Ca peut te sembler une perte de temps, mais crois-moi, il vaut mieux le prendre ce temps. Pour moi (et je suis persuadé de ne pas être le seul), l'orthographe est aussi importante que l'histoire.
Du coup, je ne peux pas trop détailler les différents points.
Donc, en gros, pour moi, l'histoire et la façon dont elle est racontée commence assez bien, mais trop de fautes.
Voilà voilà.
N'hésite pas à prendre du temps pour écrire et te relire et à reposter une version corrigée.
Courage
J'aime bien la façon dont le début (l'introduction) est traité. Point de vue détaché depuis un élément extérieur. Comme si on regardait à travers une caméra fixe ou un truc comme ça.
Malheureusement, je trouve que tu en fais trop passer par les dialogues.
En trois prises de parole, on sait ce qu'il parle à sa petite soeur, qu'ils font ça pour leur nation et ce qu'il lui demande de faire.
Je pense que tu devrais garder un peu plus de mystère. Par exemple, juste avoir un échange de dialogue où il lui souhaite bonne chance / lui demande si elle a bien compris ce qu'il attend d'elle.
Ne parle peut-être pas du fait qu'ils font ça pour venger leur pays ou je ne sais quoi. Garde ça pour plus tard, tu auras largement le temps de nous le faire comprendre par la suite.
Pour le premier chapitre, tu devrais peut-être éviter le changement de point de vue. Quand tu passes de l'inconnue au petit garçon puis retour à l'inconnue. Je pense que tu gagnerais à nous faire voir la scène entière depuis le point de vue de l'inconnue. En gros, pas d'introspection dans les pensées de l'odieux prince, mais juste ce que ressent la femme.
Entre parenthèses, je déteste déjà presque autant cet enfant que le petit Lanister... Mais c'est probablement parce que je sors depuis peu du visionnage des deux premières saisons de Game of Thrones.
Bon, maintenant, le gros point noir, et je pense que tu t'en doutes déjà, c'est l'orthographe/grammaire/conjugaison.
Je suis un peu tatillon sur le sujet et je dois avouer que toutes ces fautes ont un peu gâché ma lecture parce que j'ai dû relire certaines phrases pour bien comprendre ce que tu voulais dire. C'est vraiment très difficile à dire et c'est dommage parce que ton histoire est assez bien racontée (hormis les quelques détails dont j'ai parlé). Je veux dire, la façon dont tu nous montres les scènes, dont tu nous décris les personnages et tout ça est assez bien vue. Tu prends le temps de nous faire entrer dans ton univers, de nous raconter ton histoire, de faire planer un peu le mystère (même si ça pourrait s'améliorer). Malheureusement, pour moi, les trop nombreuses fautes gâchent l'ensemble et nous empêchent (m'empêchent?) de me focaliser correctement sur l'histoire et de me glisser dans ton univers.
Alors, un tout petit truc rapide et facile à retenir pour la conjugaison:
En écrivant ou en relisant, remplace ton verbe par le verbe "battre" et prononce la phrase dans ta tête avec le verbe "battre". Tu sauras ainsi si ton verbe est à l'imparfait, s'il s'agit d'un participe passé ou s'il est à infinitif.
Bon, ce n'est valable que pour les verbes du 1er groupe (terminaison en -er), mais c'est déjà ça
3 exemples pris dans ton texte:
-
=> "La nuit faisait battre..."La nuit faisait pesé une ambiance particulièrement malsaine.
=> "battre" = infinitif donc: "La nuit faisait peser
-
=> "L'heure tardive battait que les lieux..."L'heure tardive expliqué que les lieux était totalement désert.
=> "battait" = imparfait donc: "L'heure tardive expliquait..."
-
=> "... qui avait battu..."une épaisse et compacte couche nuageuse qui avait gagner son duel face au timide soleil
=> "battu" = participe passé, donc: "... qui avait gagné..."
Ca peut te sembler une perte de temps, mais crois-moi, il vaut mieux le prendre ce temps. Pour moi (et je suis persuadé de ne pas être le seul), l'orthographe est aussi importante que l'histoire.
Du coup, je ne peux pas trop détailler les différents points.
Donc, en gros, pour moi, l'histoire et la façon dont elle est racontée commence assez bien, mais trop de fautes.
Voilà voilà.
N'hésite pas à prendre du temps pour écrire et te relire et à reposter une version corrigée.
Courage
Re: La douceur de la violence
Monio a écrit:
Quand tout a coup des bruits de pas allié a des paroles humaines le firent levé la tète .Apeuré le félins partis a la hâte se dissimulé dans les buissons.Deux silhouettes apparurent dans les ténébres. L'une grande et l'autre plus petite. Une femme et un homme . Cote a cote ils se déplacaientt d'un pas rapide et assuré.Les bruits de leur conversation faisait tréssaillir les oreilles du petit carnivore qui avait fuit devant leur arrivé.
L'homme arborait fièrement un pantalon noir et une chemise blanche au centre de laquelle pendait une cravate rouge sang . Une veste de la méme noirceur que son pantalon recouvrait ses larges épaules.La femme a ses coté était revétue d'un pantalon marron et d'un haut de couleur verte ,recouvert d'une manteau sombre . Une grande capuche de tissus lui recouvrait le haut , la moitié du visage , lui laissant découvert le nez et la bouche . Malgré tout sont puissant regard au yeux noisettes était devinable . De long cheveux chatin clair très proche du blond sortait de la capuche, pendait, lui descendant a la poitrine . L'homme leva la téte et prit la parole
Salut à toi.
Gallingham t'ayant fait la leçon d'orthographe/grammaire/conjugaison, je vais donc me concentrer sur d'autres points. Mais avant de commencer, une petite précision : ceci n'est que mon point de vue et n'a d'autre valeur que d'être mon avis. Bref, ce n'est pas de la parole d'Evangile (et je ne suis pas un saint )
La question à se poser quand on écrit est : tout ce que je dis a-t-il un intérêt, une importance pour le texte? Est-ce-que cela lui est vraiment utile? Il me semble que tu utilises beaucoup d'adjectifs, mais cela a parfois tendance à alourdir le texte.
Par exemple, dans la citation suivante, les mots ou parties de phrases que j'ai mis en rouge sont-ils vraiment indispensables? En gros, le lecteur ne peut-il pas le comprendre sans que tu lui dise? :
Monio a écrit:
Quand tout a coup des bruits de pas allié a des
paroles humaines le firent levé la tète .Apeuré le félins partis a la
hâte se dissimulé dans les buissons.Deux silhouettes apparurent dans les
ténébres. L'une grande et l'autre plus petite. Une femme et un homme .
Cote a cote ils se déplacaientt d'un pas rapide et assuré.Les bruits de
leur conversation faisait tréssaillir les oreilles du petit carnivore
qui avait fuit devant leur arrivé.
Ensuite, on sent une volonté d'éviter les répétitions (ce qui est trèèèèèèèèèèèèèèès bien), mais en même temps, et cela est très personnel, cela me perd un peu. Ainsi, le chat devient le félin, le petit carnivore, etc. Pourquoi ne te contente-tu pas d'un ou deux mots?
Ensuite, les mots en eux-mêmes (et surtout les verbes) ont beaucoup d'importance car ils animent ton texte, le font vivre et permettent donc au lecteur de s'immerger dedans.
Du coup, quand tu écris ...
... on ne se figure pas si les pas approchent, passent simplement à proximité, etc. De même, un peu plus loin dans le texte, tu écris que les deux personnes marchent d'un pas rapide et assuré. Alors pourquoi ne pas en profiter pour tout mettre dans une même phrase, du style :Monio a écrit:
Quand tout a coup des bruits de pas allié a des
paroles humaines le firent levé la tète
"Soudain, un bruit de pas approchant avec rapidité lui fit lever la tête".
J'ai juste pris ce passage en exemple, mais cela peut s'appliquer à tout le texte.
Ensuite, et cela rejoint un peu ce que j'ai dit plus haut, il faut que le texte en lui-même soit réaliste, dans le sens où ce qui est écrit est "perceptible"; je n'arrive pas à mieux l'expliquer, je vais donc prendre un exemple.
Monio a écrit:
L'homme arborait fièrement un
pantalon noir et une chemise blanche au centre de laquelle pendait une
cravate rouge sang . Une veste de la méme noirceur que son pantalon
recouvrait ses larges épaules.La femme a ses coté était revétue d'un
pantalon marron et d'un haut de couleur verte ,recouvert d'une manteau
sombre . Une grande capuche de tissus lui recouvrait le haut , la moitié
du visage , lui laissant découvert le nez et la bouche . Malgré tout
sont puissant regard au yeux noisettes était devinable . De long cheveux
chatin clair très proche du blond sortait de la capuche, pendait, lui
descendant a la poitrine . L'homme leva la téte et prit la parole
Dans ce passage (où il y a énormément d'adjectifs...), j'ai du mal à imaginer que tous les détails peuvent être perçus alors qu'il fait nuit et que les lampadaires "vomissent une lumière blanche". Entre les jeux d'ombre, le fait que la lumière dénature les couleurs et, pour finir, que mine de rien, éclairage ou pas, on est en pleine nuit, comment est-il possible de discerner toutes ces couleurs surtout, comme pour les cheveux, des nuances sont en plus proposées?
Enfin, deux derniers points : le pantalon de l'homme et la carcasse de poisson.
Le pantalon tout d'abord : il est porté "fièrement" par l'homme. C'est-à-dire?
La carcasse de poisson ensuite: le chat est au milieu d'un parc, donc comment se retrouve-t-il là avec des restes de poissons? Y a-t-il un étang à proximité (ce qui pourrait t'aider à créer une ambiance)? L'a-t-il volée dans une poubelle...? Mais alors certainement pas dans le parc, car j'imagine mal des promeneurs jeter des restes de poissons.
Sinon, comme l'a dit Gallingham, se servir du point de vue du chat est une bonne idée, et à mon avis, tu devrais approfondir ce point de vue, te servir un peu plus du chat pour réellement créer une ambiance. Je sais pas, moi, mais un truc du style : le chat a volé une carcasse de poisson dans les poubelles d'un restaurant tout proche mais pour plus de tranquillité, il préfère venir dans le parc (car il s'est déjà pris une pierre par le chef cuistot et que les chiens ne viennent jamais dans le parc), parc qui lui offre de nombreux refuges (ombres, branches creuses, etc).
Enfin bon, courage quoi
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
Re: La douceur de la violence
Déja un grand merci pour vos réponses.
Le duo frère soeur ne font pas ca pour leur pays/nation ou pour se vengé d'un préjudice subis.Ca c'est ce que leur a mit dans la tète leur chef,qui lui n'est pas un étranger.Oui je prévois d'approfondir les deux personnages.La fille s'appelle Soraya.Le mec se prénomme Elimkhan. Pendant la guerre qui opposa Poutine a leur "nation".La petite Soraya,alors agée de 11 ans,a subit quelque chose d'abominable de la part des millitaires russes.Quand a son grand frère il fit régné une terreur qui devint légendaire dans sa région,des centaines voires des milliers de russes et d'infidéles était tombé sous les lames de ses sbires ou sous les balles.
Pour le jeune garcon qui se prend le coup de couteau la ou il faut pas,Ce n'est pas un prince,sa c'est le surnom que lui donne sa pouf.Un pré adolescent banal.Il s'agit tout simplement de la mise en fiction de mon petit cousin,mème physique,mème style vestimentaire,mème facon de parlé,méme prénoms,méme age.Sa présence dans mon récit est un simple clin d'oeuil a une petite nouvelle érotique que j'ai écrit.Et pour montré que Soraya n'est pas une tendre.
Si tu trouve qu'il y a trop de faut de frappe ou de syntaxe,pense que le texte a était passé plusieurs fois au correcteur
Je suis dacord j'ai trop décrit l'apparences des comploteurs,alors qu'il sont dans l'obscurité.
Fièrement sa veut dire avec une arrogance et une fierté accrue,la frangine a la mème.
On peut pensé qu'un étudiant venus dans le par pour se détendre,mangé une boite de sardine en lisant un livre.Il aurait abandonné les déchets de poissons dans une poubelle et le matou l'a récupéré.
Le duo frère soeur ne font pas ca pour leur pays/nation ou pour se vengé d'un préjudice subis.Ca c'est ce que leur a mit dans la tète leur chef,qui lui n'est pas un étranger.Oui je prévois d'approfondir les deux personnages.La fille s'appelle Soraya.Le mec se prénomme Elimkhan. Pendant la guerre qui opposa Poutine a leur "nation".La petite Soraya,alors agée de 11 ans,a subit quelque chose d'abominable de la part des millitaires russes.Quand a son grand frère il fit régné une terreur qui devint légendaire dans sa région,des centaines voires des milliers de russes et d'infidéles était tombé sous les lames de ses sbires ou sous les balles.
Pour le jeune garcon qui se prend le coup de couteau la ou il faut pas,Ce n'est pas un prince,sa c'est le surnom que lui donne sa pouf.Un pré adolescent banal.Il s'agit tout simplement de la mise en fiction de mon petit cousin,mème physique,mème style vestimentaire,mème facon de parlé,méme prénoms,méme age.Sa présence dans mon récit est un simple clin d'oeuil a une petite nouvelle érotique que j'ai écrit.Et pour montré que Soraya n'est pas une tendre.
Si tu trouve qu'il y a trop de faut de frappe ou de syntaxe,pense que le texte a était passé plusieurs fois au correcteur
Je suis dacord j'ai trop décrit l'apparences des comploteurs,alors qu'il sont dans l'obscurité.
Fièrement sa veut dire avec une arrogance et une fierté accrue,la frangine a la mème.
On peut pensé qu'un étudiant venus dans le par pour se détendre,mangé une boite de sardine en lisant un livre.Il aurait abandonné les déchets de poissons dans une poubelle et le matou l'a récupéré.
Monio- Date d'inscription : 19/05/2013
Re: La douceur de la violence
Monio a écrit:
On peut pensé qu'un étudiant venus dans le par pour se détendre,mangé une boite de sardine en lisant un livre.Il aurait abandonné les déchets de poissons dans une poubelle et le matou l'a récupéré.
Justement, jusqu'à quel point le lecteur doit-il imaginer?
Idem pour le pantalon (puisque c'est un autre exemple que j'ai pris dans mon premier commentaire) : comment peut-on porter un pantalon fièrement, donc avec arrogance? Quelle attitude adopte ton personnage?
Imagine une personne en train de lire ton texte, le soir dans sa chambre. Tu croiq u'il va noter ça sur un post-it en se disant que s'il rencontre un jour l'auteur, il lui posera la question? Comment va-t-il faire pour avoir les réponses à ces deux questions? Ne penses-tu pas que, justement, le texte devrait être plus fouillé pour faire comprendre? Cela ne signifie pas décrire à tout prix, mais cela peut se deviner à travers l'attitude des personnages, leur manière de parler, etc.
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
Re: La douceur de la violence
Je crois que notre ami Monio a ajouté une nouvelle partie au texte, juste en-dessous de la ligne d'astérisques. La première partie du texte, celle qu'on a commentée tous les deux, n'a pas bougé...
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
Re: La douceur de la violence
Ah ok! Je n'étais pas allé jusque là...
Oui, je suis fainéant! Et alors?
Oui, je suis fainéant! Et alors?
Re: La douceur de la violence
Ben en fait, j'avoue : c'est en faisant défiler mon écran, suite à une fausse manip, que je l'ai vu...
Monio : il y a une quantité de travail phénoménale à accomplir pour la correction de la première partie de ton texte. Fais bien attention à ne pas te laisser déborder, car d'après les peu que j'ai lu de la seconde partie (c'est à dire trois ou quatre phrases), les mêmes problèmes reviennent.
Monio : il y a une quantité de travail phénoménale à accomplir pour la correction de la première partie de ton texte. Fais bien attention à ne pas te laisser déborder, car d'après les peu que j'ai lu de la seconde partie (c'est à dire trois ou quatre phrases), les mêmes problèmes reviennent.
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
Re: La douceur de la violence
Lorsque je poursuit mes écrits,il est préférable de les mettre dans le post initial ou de les posté les uns aprés les autres au fils de mes post ?
Demi tour : tu t'est arreté ou ?
Demi tour : tu t'est arreté ou ?
Monio- Date d'inscription : 19/05/2013
Re: La douceur de la violence
Juste avant la ligne d'astérisques.
Pour ta première question, à savoir s'il est mieux de poster dans le premier message ou non, je l'ignore car je n'écris que des nouvelles que je ne poste qu'une fois terminées, et cela pour 3 raisons principales :
- Au cas où je change d'avis (donc que je change l'histoire) en cours de route, cela évite d'avoir posté pour rien;
- En relisant plusieurs fois, souvent plusieurs jours voire semaines après, je me rends compte de tout un tas de choses qui ne me plaisent pas (formulation des phrases, enchainement du récit, etc), et je modifie donc;
- Toutes ces petites corrections que je fais ne sont donc pas à faire par ceux qui veulent commenter le texte, ce qui leur permet de vraiment se concentrer sur certains points.
C'est pour cela que je te dis qu'il y a un travail phénoménal à effectuer sur la première partie de ton texte. Entre l'orthographe, la conjugaison, les maladresses et autres fautes de français, tu as déjà pas mal de pain sur la planche.
A mon avis, si tu veux des commentaires "efficaces", concentre-toi pour l'instant sur la première partie, du moins sur le forum, car rien ne t'empêche d'avancer à ton rythme chez toi.
Pour ta première question, à savoir s'il est mieux de poster dans le premier message ou non, je l'ignore car je n'écris que des nouvelles que je ne poste qu'une fois terminées, et cela pour 3 raisons principales :
- Au cas où je change d'avis (donc que je change l'histoire) en cours de route, cela évite d'avoir posté pour rien;
- En relisant plusieurs fois, souvent plusieurs jours voire semaines après, je me rends compte de tout un tas de choses qui ne me plaisent pas (formulation des phrases, enchainement du récit, etc), et je modifie donc;
- Toutes ces petites corrections que je fais ne sont donc pas à faire par ceux qui veulent commenter le texte, ce qui leur permet de vraiment se concentrer sur certains points.
C'est pour cela que je te dis qu'il y a un travail phénoménal à effectuer sur la première partie de ton texte. Entre l'orthographe, la conjugaison, les maladresses et autres fautes de français, tu as déjà pas mal de pain sur la planche.
A mon avis, si tu veux des commentaires "efficaces", concentre-toi pour l'instant sur la première partie, du moins sur le forum, car rien ne t'empêche d'avancer à ton rythme chez toi.
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
Re: La douceur de la violence
Je vient de réalisé une petite correction via le logiciel integré correcteur,et je vient de posté la totalité du premier chapitre.
Monio- Date d'inscription : 19/05/2013
Re: La douceur de la violence
Monio a écrit:Je vient de réalisé une petite correction via le logiciel integré correcteur,et je vient de posté la totalité du premier chapitre.
Sauf que les correcteurs ne "comprennent" pas toutes les fautes; autant ils sont utiles pour l'orthographe, autant pour ce qui est de la grammaire...
Donc rien que sur ton premier paragraphe, j'ai mis les fautes en rouge et les fautes de français (ou maladresses) en vert, et ça donne ça:
Monio a écrit:Introduction.
La nuit faisait pesé une ambiance particulièrement malsaine. Malgré le beau temps ayant régné en maître durant la journée pas une seule étoile ne venait embellir le ciel ou une pleine lune dictait sa puissance par ses rayons impériaux. L'heure tardive expliqué que les lieux était totalement désert. Le parc , en principe si bruyant et agité ,incarnation de la diversité humaine, possédait un calme et une grande sérénité, ambiance presque pesante. Quelques éclairages vomissait une lueur blanche qui ne faisait reculé la pénombre et l'obscurité que de quelques mètres. Un chat blanc , devenus gris par la crasse qui recouvrait son sinistre pelage dévoré des restes de poissons.
Dernière édition par Demi-Tour le Sam 25 Mai - 8:00, édité 1 fois
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
Re: La douceur de la violence
Comme l'a dit Demi-tour, ce serait plus efficace de se concentrer pour l'instant sur le début de ton récit avant de poster la suite.
As-tu déjà pris en compte nos remarques et repris cette première partie?
Ceci dit, ton 2e chapitre reprend les bons points et les moins bons que l'on avait vu sur le début.
Tes bons points (pour ma part):
- tu prends le temps de décrire l'environnement.
Tes mauvais points:
- l'orthographe / grammaire / ... (mais ça, je pense que tu le sais déjà)
- tu n'es pas assez précis dans les verbes que tu utilises: lors des descriptions, par exemples tu emploies beaucoup le verbe être ("C'était une haute tour de plusieurs centaines de mètres constitué d'une structure de métal et d'acier,sa façade était entièrement vitré.Le squelette de fer, était recouvert d'un vernis bleus clair.La construction était monumentale,somptueuse.") Il y a moyen d'arranger tout ça. Je ne dis pas qu'il faut éliminer tous les emplois du verbe être, mais il y a moyen d'en éviter.
PS: Il est pas un peu... bizarre, ton espagnol?
As-tu déjà pris en compte nos remarques et repris cette première partie?
Ceci dit, ton 2e chapitre reprend les bons points et les moins bons que l'on avait vu sur le début.
Tes bons points (pour ma part):
- tu prends le temps de décrire l'environnement.
Tes mauvais points:
- l'orthographe / grammaire / ... (mais ça, je pense que tu le sais déjà)
- tu n'es pas assez précis dans les verbes que tu utilises: lors des descriptions, par exemples tu emploies beaucoup le verbe être ("C'était une haute tour de plusieurs centaines de mètres constitué d'une structure de métal et d'acier,sa façade était entièrement vitré.Le squelette de fer, était recouvert d'un vernis bleus clair.La construction était monumentale,somptueuse.") Il y a moyen d'arranger tout ça. Je ne dis pas qu'il faut éliminer tous les emplois du verbe être, mais il y a moyen d'en éviter.
PS: Il est pas un peu... bizarre, ton espagnol?
Re: La douceur de la violence
C'est une reproduction de l'espagnol que parle les tziganes andalous vivant dans ma ville.Un mélange foireux de francais et d'espagnol dialectique.
Monio- Date d'inscription : 19/05/2013
Re: La douceur de la violence
le verbe être est un verbe faible, c'est ce qu'on dit par ici
cette haute tour de plusieurs centaines de mètres à la structure métallique se recouvrait d'une façade entièrement vitrée. son vernis bleu clair lui donnait un aspect somptueux.
C'était une haute tour de plusieurs centaines de mètres constitué d'une
structure de métal et d'acier,sa façade était entièrement vitré.Le
squelette de fer, était recouvert d'un vernis bleus clair.La
construction était monumentale,somptueuse.
cette haute tour de plusieurs centaines de mètres à la structure métallique se recouvrait d'une façade entièrement vitrée. son vernis bleu clair lui donnait un aspect somptueux.
Re: La douceur de la violence
Alors, là attention: Extialis, c'est la grande combattante contre l'emploi des verbes ternes...
Re: La douceur de la violence
Le vernis bleuté de la structure métallique et sa façade entièrement vitrée donnaient un aspect somptueux à cette tour de plusieurs centaines de mètres de haut.
Quand je dis qu'on peut toujours réduire sans que ça gêne la compréhension du texte (soit dit en passant, "somptueux" est un peu bateau).
Quand je dis qu'on peut toujours réduire sans que ça gêne la compréhension du texte (soit dit en passant, "somptueux" est un peu bateau).
Demi-Tour- Date d'inscription : 13/09/2011
Age : 51
Re: La douceur de la violence
Me voila entre de bonne mains.^^
Pour ce qui est de la petite tzigane andalouse comme le dit John plus tard dans le récit "..Et elle c'est pas l’Espagne belle plage et boite de nuit,elle je suis allé la cherché le flamenco,les caravanes"...
Une petite touche de malsain est intégré a mon récit.La petite a un comportement étrange appelle l'adulte "Corazon" ,en présence de mon héroine,elle a une attitude de femme jalouse et possessive.Il est possible que les liens qui les unisse sois plus sulfureux qu'un simple rapport parents adoptif/enfant recueillis.Ou plus funeste c'est selon.Bien sur,rien n'est montré.
Monio- Date d'inscription : 19/05/2013
Re: La douceur de la violence
Je demande au modérateur de ferme ce topic,j'en ouvre un nouveau pour ma nouvelle,en postant chaque chapitre séparément,a intervalle régulier pour plus de facilité de lecteure pour des questions pratique.
Merci
Merci
Monio- Date d'inscription : 19/05/2013
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