Le don de ton aura
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Le don de ton aura
Bonjour, cela fait bien longtemps que je n'ai pas écrit, mais j'ai réellement envie de m'y mettre à nouveau alors je voudrais que vous me disiez ce que vous pensez, je veux des réponses sincères et honnêtes au risque de faire mal, car c'est en apprenant, comprenant ses erreurs qu'on forge le meilleur ;p. Merci pour vos avis et lecture .
Le don de ton aura
Le rêve … la plénitude … l’amour … l’innocence … le réconfort … ton refuge … Ma nymphe c’est cela que tu portais, cela que tu donnais, à moi pauvre mendiante des vallées. Cette pauvre enfant perdue sous sa glace, sa carapace. Et silencieuse je laisse mon âme en ses eaux s’écouler en son passé …
Sous le souvenir s’écoule l’esprit, Mnémosyne étincelle ta descente, le filet filant de ton étoile. La magie s’impose, le bien-être repose. Sous ton souvenir tout semble si beau … La glace s’est chue, librement l’eau s’écoule sous l’émotion des sens, les sons musicaux, la magie des racines et Nature … Pleurer sous la Beauté, est un don et je dois te remercier.
« Je serai toujours là », tu avais promis … Et tu n’es pas là … C’est ma faute … Ma faute … Te toucher, t’embrasser, je désirais. Non mais quelle envie ; d’effleurer sa Muse ? Tu me disais ne pas pouvoir, je n’y ai pas cru, cesser de croire en toi ; tu disparus. Tu avais promis … Et tu n’es pas là … Ma faute … C’est ma faute … Egoïste j’ai été. Imagine … Je souffrais, tu me manquais, j’ai abandonné … Je t’ai abandonné. Ma flamme brillait, tu sais, mais chaque soir elle consumait mes larmes. Assoiffée, je mourrais de ne pas te voir, je devenais désert.
Et le désert, sa poussière oublièrent l’émotion des eaux. La sécheresse, l’aridité du sol laissèrent raison, abandon faner pétales et Fleur. Je ne pouvais plus continuer d’assécher mon être, laisser la flamme me consumer tout entière. A regret, je te laisser, espérant ne plus pleurer, revitaliser mon être, laisser les sols s’océaniser de vitalité et qu’un jour je puisse mieux te retrouver…
J’ai perdu, je t’ai perdu ! Sous les raies d’abandon, la lame de tes larmes, tu jetas ton âme dans ses bras, les bras et je m’en excuse de la première venue. Déçue, mes doutes d’antan je crûs … Je n’étais donc qu’une écoute, un soutien, jamais tu ne m’as aimé ? L’abandon, ton abandon j’avais fait, espérant me ressourcer et finalement je pleurais … Décidément, tu ne cessais de de m’assécher. Sangsue arrête le fléau ! Arrête la cause de tes maux !
Asséchée … apeurée … effrayée … Abandonnée … Oh ma Muse qu’avons-nous fait ? A présent, c’était moi, moi qui me jetais dans les bras du premier venu. Il était séduisant, attentionné, intelligent … Il était présent, ni dieux, ni muses, mais je pouvais ressentir la matérialité de ses bras. Contre tu étais, « Toi, un homme, tu es avec un homme. Toi qui m’a montré la chaleur féminine, sa poésie. » Tu disais. Et je te dégoutais.
Amour … manque … pleurs … sécheresse … mon abandon … ta rencontre … ton abandon … ma rencontre … ton dégoût … mon dégoût … ton indifférence … mon manque … Je t’ai abandonné, car je souffrais du manque de ne pas t’effleurer, aujourd’hui je donnerais tout pour espérer effleurer tes pensées. Tu m’es plus amour ma Muse, tu m’es refuge.
Reviens … Parle-moi … Parle-moi de toi ! De n’importe quoi, qu’importe je veux entendre, ouïr ta voix. Espérer ton sourire, te faire rire. Je veux être l’âme qui te souffle le désir, te porte le bonheur, t’emporte ailleurs.
Le rêve … la plénitude … l’amour … l’innocence … le réconfort … ton refuge … Ma nymphe c’est cela que tu portais, cela que tu donnais, à moi pauvre mendiante des vallées. Cette pauvre enfant perdue sous sa glace, sa carapace. Et silencieuse je laisse mon âme en ses eaux s’écouler en son passé …
Sous le souvenir s’écoule l’esprit, Mnémosyne étincelle ta descente, le filet filant de ton étoile. La magie s’impose, le bien-être repose. Sous ton souvenir tout semble si beau … La glace s’est chue, librement l’eau s’écoule sous l’émotion des sens, les sons musicaux, la magie des racines et Nature … Pleurer sous la Beauté, est un don et je dois te remercier.
« Je serai toujours là », tu avais promis … Et tu n’es pas là … C’est ma faute … Ma faute … Te toucher, t’embrasser, je désirais. Non mais quelle envie ; d’effleurer sa Muse ? Tu me disais ne pas pouvoir, je n’y ai pas cru, cesser de croire en toi ; tu disparus. Tu avais promis … Et tu n’es pas là … Ma faute … C’est ma faute … Egoïste j’ai été. Imagine … Je souffrais, tu me manquais, j’ai abandonné … Je t’ai abandonné. Ma flamme brillait, tu sais, mais chaque soir elle consumait mes larmes. Assoiffée, je mourrais de ne pas te voir, je devenais désert.
Et le désert, sa poussière oublièrent l’émotion des eaux. La sécheresse, l’aridité du sol laissèrent raison, abandon faner pétales et Fleur. Je ne pouvais plus continuer d’assécher mon être, laisser la flamme me consumer tout entière. A regret, je te laisser, espérant ne plus pleurer, revitaliser mon être, laisser les sols s’océaniser de vitalité et qu’un jour je puisse mieux te retrouver…
J’ai perdu, je t’ai perdu ! Sous les raies d’abandon, la lame de tes larmes, tu jetas ton âme dans ses bras, les bras et je m’en excuse de la première venue. Déçue, mes doutes d’antan je crûs … Je n’étais donc qu’une écoute, un soutien, jamais tu ne m’as aimé ? L’abandon, ton abandon j’avais fait, espérant me ressourcer et finalement je pleurais … Décidément, tu ne cessais de de m’assécher. Sangsue arrête le fléau ! Arrête la cause de tes maux !
Asséchée … apeurée … effrayée … Abandonnée … Oh ma Muse qu’avons-nous fait ? A présent, c’était moi, moi qui me jetais dans les bras du premier venu. Il était séduisant, attentionné, intelligent … Il était présent, ni dieux, ni muses, mais je pouvais ressentir la matérialité de ses bras. Contre tu étais, « Toi, un homme, tu es avec un homme. Toi qui m’a montré la chaleur féminine, sa poésie. » Tu disais. Et je te dégoutais.
Amour … manque … pleurs … sécheresse … mon abandon … ta rencontre … ton abandon … ma rencontre … ton dégoût … mon dégoût … ton indifférence … mon manque … Je t’ai abandonné, car je souffrais du manque de ne pas t’effleurer, aujourd’hui je donnerais tout pour espérer effleurer tes pensées. Tu m’es plus amour ma Muse, tu m’es refuge.
Reviens … Parle-moi … Parle-moi de toi ! De n’importe quoi, qu’importe je veux entendre, ouïr ta voix. Espérer ton sourire, te faire rire. Je veux être l’âme qui te souffle le désir, te porte le bonheur, t’emporte ailleurs.
Akuryou. Lighted
Akuryou Lighted- Date d'inscription : 02/06/2011
Re: Le don de ton aura
Bon, alors je crois que je ne suis pas la bonne personne pour juger de ton texte. C'est tellement loin de ce que je lis et écris.
J'ai par moments une impression de fouillis. Comme si tu essayais de mettre tellement de mots pour décrire tes sentiments que ça en devient un défouloir.
Personnellement, ce n'est pas mon genre, mais comme je l'ai dit, je ne suis pas la bonne personne pour juger de ce texte.
Juste un petit truc que j'ai relevé:
J'ai par moments une impression de fouillis. Comme si tu essayais de mettre tellement de mots pour décrire tes sentiments que ça en devient un défouloir.
Personnellement, ce n'est pas mon genre, mais comme je l'ai dit, je ne suis pas la bonne personne pour juger de ce texte.
Juste un petit truc que j'ai relevé:
Je ne comprends pas à quoi se réfère "oublièrent". Petite erreur de conjugaison?Et le désert, sa poussière oublièrent l’émotion des eaux.
Re: Le don de ton aura
Je comprends ce que tu veux dire et tu as sans doute raison, il y a tellement longtemps que je n'ai pas écris que je pense que cela devient un défouloirs ><
Sinon Le désert et sa poussière sont une métaphore de mon être, mon âme comme ils sont deux :" ils oublièrent" (conjugaison à la troisième personne du pluriel) la partie de mon âme émotive (celle des eaux )
Sinon Le désert et sa poussière sont une métaphore de mon être, mon âme comme ils sont deux :" ils oublièrent" (conjugaison à la troisième personne du pluriel) la partie de mon âme émotive (celle des eaux )
Akuryou Lighted- Date d'inscription : 02/06/2011
Re: Le don de ton aura
Un style très particulier...Personnellement je trouve le texte admirablement bien composé. J'aime beaucoup ce "défouloir" comme dirais Galligham. Très profond.
Est-ce du vécu ? Simple question, ne te force pas a y répondre.
Est-ce du vécu ? Simple question, ne te force pas a y répondre.
Phénix-IroZz- Date d'inscription : 12/05/2013
Age : 26
Localisation : Alsace à trente kilomètres de Strasbourg
Re: Le don de ton aura
"Un style très particulier" ? Tu peux clarifier tes propos ? Qu'est-ce qui rend particulier ?
"admirablement bien composé" Si c'est bien aux paragraphes que tu fais référence, ça me fait plaisir :p
Oui malheureusement, c'est du vécu ...
"admirablement bien composé" Si c'est bien aux paragraphes que tu fais référence, ça me fait plaisir :p
Oui malheureusement, c'est du vécu ...
Akuryou Lighted- Date d'inscription : 02/06/2011
Re: Le don de ton aura
Pour le style particulier je parle bien sûr, de la composition du tout avec des points de suspension et du niveau de langage utilisé qui m'a l'air très rechercher.
Pour la composition je parle bien des paragraphes.
Pour la composition je parle bien des paragraphes.
Phénix-IroZz- Date d'inscription : 12/05/2013
Age : 26
Localisation : Alsace à trente kilomètres de Strasbourg
Re: Le don de ton aura
un cri de douleur, je pense. cependant, j'ai trouvé pas mal de phrases compliquées à comprendre. et des répétitions.
comme là :
et pis j'ai pas compris ce que portait la nymphe, ni ce qu'elle donnait à "moi pauvre mendiante des vallées"
(je finirai plus tard, si tu veux. contente de te revoir par ici )
comme là :
les trois points peuvent facilement être remplacés par des virgules, ça hacherai moins à la lecture.Le rêve … la plénitude … l’amour … l’innocence … le réconfort … ton refuge … Ma nymphe c’est cela que tu portais, cela que tu donnais, à moi pauvre mendiante des vallées. Cette pauvre enfant perdue sous sa glace, sa carapace. Et silencieuse je laisse mon âme en ses eaux s’écouler en son passé …
et pis j'ai pas compris ce que portait la nymphe, ni ce qu'elle donnait à "moi pauvre mendiante des vallées"
(je finirai plus tard, si tu veux. contente de te revoir par ici )
Re: Le don de ton aura
Oui c'est exact une sorte de cri ... Cela faisait très longtemps que je n'avais pas écrit, c'est pourquoi je juge ce texte comme un essai, un moyen de retrouver mon rythme .
J'ai mis "pauvre" deux fois pour accentuer la médiocrité de la jeune fille :p.
Et silencieuse je laisse mon âme en ses eaux s’écouler au passé … je pense que je vais faire ce changement .
Les points de suspension montrent mon manque de souffle, mon désarroi .
Merci pour ton commentaire, heureuse d'être aussi à nouveau parmi vous Je veux bien que tu finisse plus tard, mais comme je l'ai dit c'est surtout un jet ;p
J'ai mis "pauvre" deux fois pour accentuer la médiocrité de la jeune fille :p.
Et silencieuse je laisse mon âme en ses eaux s’écouler au passé … je pense que je vais faire ce changement .
Les points de suspension montrent mon manque de souffle, mon désarroi .
Merci pour ton commentaire, heureuse d'être aussi à nouveau parmi vous Je veux bien que tu finisse plus tard, mais comme je l'ai dit c'est surtout un jet ;p
Akuryou Lighted- Date d'inscription : 02/06/2011
Re: Le don de ton aura
Mais franchement, c'est une avalanche d'émotions un peu "jetées" à l'écran, sans aucune ponctuation et on ne sait pas trop où tu veux entraîner le lecteur.
Un texte ainsi présenté peut tout à fait introduire un roman mais une accumulation de ce type d'écrits dont on se demande s'il s'agit de prose ou poésie devient un peu lassante....désolé
Un texte ainsi présenté peut tout à fait introduire un roman mais une accumulation de ce type d'écrits dont on se demande s'il s'agit de prose ou poésie devient un peu lassante....désolé
surfeur- Date d'inscription : 29/05/2013
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