"Corcodiles & langues de chats" (aller je me lance !)
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"Corcodiles & langues de chats" (aller je me lance !)
Bon ça y est c'est parti je me lance !
Pas évident mais bon il me faut des avis, c'est pas en gardant mes écrits pour moi que ça avancer
Le titre est provisoire et ne colle pas avec l'extrait que je vais publier mais dans la suite ça prend du sens mais je voulais pas vous plomber avec un texte super donc j'ai sélectionner un petit bout pour commencer (pas évident de savoir ou s'arrêter ^^)
J'espère que vous aurez le courage d'aller jusqu'au bout et que vous donnerez vos avis (soyez franc)
Pour le moment c'est le début du "roman" mais je sais pas trop si je vais rajouter des choses avant ou pas, on verra bien
Et sinon désolé si y a des fautes d'orthographe ou autre j'ai essayé de réduire au maximum :S
Pas évident mais bon il me faut des avis, c'est pas en gardant mes écrits pour moi que ça avancer
Le titre est provisoire et ne colle pas avec l'extrait que je vais publier mais dans la suite ça prend du sens mais je voulais pas vous plomber avec un texte super donc j'ai sélectionner un petit bout pour commencer (pas évident de savoir ou s'arrêter ^^)
J'espère que vous aurez le courage d'aller jusqu'au bout et que vous donnerez vos avis (soyez franc)
Pour le moment c'est le début du "roman" mais je sais pas trop si je vais rajouter des choses avant ou pas, on verra bien
Et sinon désolé si y a des fautes d'orthographe ou autre j'ai essayé de réduire au maximum :S
"Elle était là, debout, dans l’entrée du hall de l’école, après son cours de danse. Elle traversait ce hall tous les jours, depuis trois ans maintenant, et pourtant ce soir là elle s’y sentait si étrangère. Elle ne s’y sentait plus à sa place.
C’était le début du mois de mai. Une journée ensoleillée qui se terminait. La chaleur avait était lourde. Etouffante. Insupportable.
Mais ce soir il pleuvait.
Elle avait collé son front contre la vitre de la porte. Attendant qu’on vienne la chercher. Qui ? Elle s’en fichait. Elle voulait seulement qu’une main se tende vers elle et qu’on lui dise « Viens. On s’en va.». Elle voulait juste qu’on l’emmène loin.
Qu’on lui fasse oublier ces quatre dernières semaines.
La pluie qui s’abattait dehors était le reflet de ce qu’elle ressentait à l’intérieur. Mais elle ne voulait en aucun cas que cela ce voit. Elle ne voulait pas pleurer. Il ne fallait pas qu’elle pleur. Joy ne l’aurait pas souhaitée. D’ailleurs elle n’avait pas pleuré, elle. Elle n’avait pas versé une seule larme lorsqu’elle mit fin à leur amitié. Et puis son père n’aimait pas quand elle pleurait. Il n’aimait pas la voir triste. Elle devait rester forte. Ne pas montrer ses faiblesses. Elle avait fermé les yeux. Ces mêmes yeux qui ne demandaient pourtant que ça. Se vider de ce mal qu’elle ressentait au fond d’elle, de cette douleur qui la hantait, qui l’épuisait un peu plus chaque jour. Car elle avait mal. Mal comme jamais auparavant.
« Arrête donc d’y pensait Lilly. Tu te fais du mal toute seule. ». Lui avait dit Nathan plus tôt dans l’après midi.
Mais comment pouvait-il dire une chose pareille ? Joy était son amie à lui aussi. Et elle l’avait également laissé tomber. De la même façon. Comment faisait-il pour ne rien ressentir ? Comment faisait-il pour ne pas avoir mal ? Faire comme ci de rien n’était ?
Le cœur est un organe. Il sert à faire circuler le sang et rien d’autre. Elle le savait. Tout le monde le sait. Et pourtant elle avait toujours entendu dire que c’était au cœur que l’on avait mal lorsqu’on était déçu, triste, peiné,… blessé. Mais elle trouvait cela absurde. Comment un organe peut-il ressentir une douleur qui n’est pas physique ? Elle n’y croyait pas. Et pourtant ce soir là, elle avait mal. Mal au cœur. Là dans sa poitrine, entre ses deux poumons, au plus profond d’elle-même.
Elle avait le cœur lourd. Lourd des mots qu’elle s’était entendue adresser. Ces mots qu’elle se répétait, qui se répétaient inlassablement, en boucle, dans sa tête. Ces mots qui lui avaient poignardé le cœur comme la plus tranchante des lames.
Depuis ce moment elle la sentait grossir, gonfler, se déchirer en elle. La douleur ne s’estompait pas. Elle restait et se faisait de plus en plus insupportable. Elle aurait voulu se l’arracher pour de bon, pour cesser d’avoir mal un instant. Que tout se termine enfin.
Lorsqu’elle sentait ses paupières se remplir de larmes, prête à se déverser sur ses joues, elle ouvrait les yeux. Elle ne pouvait pas pleurer. Elle ne devait pas.
Quand elle regarda à nouveau dehors la pluie avait cessé de tomber et sa mère était arrivée.
Elle sortit et monta dans la voiture. Le trajet se fit dans le silence, sans un bruit.
Elle avait l’habitude de ce silence entre sa mère et elle. C’est comme si un mur c’était construit peu à peu entre elles. Depuis que son père était décédé il y a maintenant un mois. Tout avait changé. Ses rapports avec sa mère ainsi que ses rapports avec sa petite sœur, Jody. Plus distante d’une et plus proche de l’autre.
Arrivée chez elle, elle s’enferma dans la salle de bain. Comme tout les soirs. Elle ne voulait parler à personne, de peur qu’on lui parle de choses qu’elle ne voulait pas entendre. Qu’on la prenne en pitié, qu’on la plaigne. Car elle ne voulait pas de la compassion des gens. Elle ne la supportait pas. Comment pouvaient-ils prétendre ressentir les mêmes choses qu’elle ? Ils ne pouvaient pas. C’était impossible.
Elle s’arrêta alors devant son miroir et s’observa. Est-ce bien elle devant ce miroir ? Elle ne se reconnaissait plus. Elle se toucha les joues. Regarda son visage sous tous les angles. Puis son corps. De face, puis de profil. Où était la petite fille aux cheveux blonds et à la silhouette gracieuse d’autre fois ?
Devant elle se trouvait aujourd’hui une jeune fille de 17 ans déjà, aux cheveux acajou attachés en un chignon qui laissait échapper quelques mèches qui bouclaient au niveau de ses tempes et une frange droite lui tombant sur les yeux. Elle ne savait même plus pourquoi elle avait décidé de se teindre les cheveux. Tout à coup sa blondeur lui manquait, elle la regrettait. Et ce visage autre fois perpétuellement illuminé d’un sourire, elle ne le reconnu pas. Il était devenu triste, sans expression. Son teint d’un naturel clair était devenu terne. Ses yeux ne scintillaient plus comme autre fois. Elle avait de grands yeux verts « plein d’étoiles de malice » comme disait son père. Elle avait l’habitude d’intensifier ce regard pétillant avec une couche de mascara seulement. Rien de plus ne suffisait à les sublimer. Mais à cet instant elle ne vit que les cernes qu’avait pris place la fatigue sous ses yeux. Les étoiles avaient disparues. Tendis que sa silhouette, elle, avait perdu toute sa grâce. Ses épaules se repliaient sur elle. Ce qui lui donnait une allure de vieille femme avachie. Elle ne se tenait plus droite. Sa posture était devenue négligée.
Au fond ce qu’elle regrettait n’était pas la couleur de ses cheveux, son teint, ou ce que communiquaient ses yeux. Non ce qu’elle regrettait été ce à quoi cette image était associée. Au passé. Ce passé qui lui avait filé entre les doigts sans qu’elle ne s’en rende compte. En l’espace d’un claquement de doigt. Tout c’était alors arrêté.
A ce moment précis elle aurait voulu remonter le temps. Retourner en arrière. Retourner à cette époque ou tout lui souriait encore. Où elle ne devait se soucier que de quelle couleur elle se servirait pour son dessin. Et puis elle se senti si seule.
Depuis que sont père était décédé c’était comme si tout ceux qu’elle aimait la laissaient tomber. Sa mère, et puis petit à petit ses amis, à commencé par Joy. Qui était peut être celle sur qui elle comptait le plus. Celle dont elle était la plus proche. Elle avait l’impression que personne ne la comprenait.
Sa nouvelle image que le miroir lui renvoyait la dégoûta. Elle se détourna brusquement. Pourtant elle savait que se n’était pas de sa faute. Non. C’était le poids des mots. Ses maux qui avait pris place en elle et qui se reflétés sur son visage et pesés sur ses épaules.
Elle fit couler l’eau. Elle aimait sentir l’eau couler sur elle après ces longues journées passées à danser. Mais depuis un moment elle ne tournait plus le robinet d’eau chaude. Elle ne laissait que l’eau froide, glacée, courir au contact de sa peau. Au fond d’elle, elle voulait que cette eau lui anesthésie les membres un à un, afin de ne plus rien ressentir. Comme des milliards d’aiguilles qui lui transperçaient la peau. Ou que cette eau froide la réveille enfin. Que tout ce qu’elle avait enduré ces derniers mois ne soit qu’un cauchemar. Parfois elle s’asseyait au rebord de sa fenêtre, repliait ses genoux vers elle, posait son front sur ses genoux, fermait les yeux et attendait là, que le temps passe. Mais rien. Rien ne changeait. Sa douleur ne partait pas. Elle se mettait alors à penser à comment serait sa vie si il revenait. Elle n’avait alors qu’un souhait. Qu’il revienne. Qu’il revienne vite. Elle se crispa. Serra ses bras autour de ses jambes. Serra ses paupières. Le plus fort possible. Et répétait cette phrase dans sa tête. « Reviens Papa. Je t’en prie. Reviens. ». Sans s’en rendre compte elle avait prononcé cette phrase à voix haute. Dans un murmure.
L’entente de sa voix la tira de sa pensé. Elle se résigna alors à aller se coucher. Sans manger. Elle avait perdu l’appétit. Les seuls moments où sa douleur lui laissait un peu de répit étaient lorsqu’elle dormait. Elle préférait alors ne pas être consciente. Même si le sommeil avait du mal à venir à elle. Chaque soir elle s’allongeait sur son lit et restait là, à fixer le plafond."
C’était le début du mois de mai. Une journée ensoleillée qui se terminait. La chaleur avait était lourde. Etouffante. Insupportable.
Mais ce soir il pleuvait.
Elle avait collé son front contre la vitre de la porte. Attendant qu’on vienne la chercher. Qui ? Elle s’en fichait. Elle voulait seulement qu’une main se tende vers elle et qu’on lui dise « Viens. On s’en va.». Elle voulait juste qu’on l’emmène loin.
Qu’on lui fasse oublier ces quatre dernières semaines.
La pluie qui s’abattait dehors était le reflet de ce qu’elle ressentait à l’intérieur. Mais elle ne voulait en aucun cas que cela ce voit. Elle ne voulait pas pleurer. Il ne fallait pas qu’elle pleur. Joy ne l’aurait pas souhaitée. D’ailleurs elle n’avait pas pleuré, elle. Elle n’avait pas versé une seule larme lorsqu’elle mit fin à leur amitié. Et puis son père n’aimait pas quand elle pleurait. Il n’aimait pas la voir triste. Elle devait rester forte. Ne pas montrer ses faiblesses. Elle avait fermé les yeux. Ces mêmes yeux qui ne demandaient pourtant que ça. Se vider de ce mal qu’elle ressentait au fond d’elle, de cette douleur qui la hantait, qui l’épuisait un peu plus chaque jour. Car elle avait mal. Mal comme jamais auparavant.
« Arrête donc d’y pensait Lilly. Tu te fais du mal toute seule. ». Lui avait dit Nathan plus tôt dans l’après midi.
Mais comment pouvait-il dire une chose pareille ? Joy était son amie à lui aussi. Et elle l’avait également laissé tomber. De la même façon. Comment faisait-il pour ne rien ressentir ? Comment faisait-il pour ne pas avoir mal ? Faire comme ci de rien n’était ?
Le cœur est un organe. Il sert à faire circuler le sang et rien d’autre. Elle le savait. Tout le monde le sait. Et pourtant elle avait toujours entendu dire que c’était au cœur que l’on avait mal lorsqu’on était déçu, triste, peiné,… blessé. Mais elle trouvait cela absurde. Comment un organe peut-il ressentir une douleur qui n’est pas physique ? Elle n’y croyait pas. Et pourtant ce soir là, elle avait mal. Mal au cœur. Là dans sa poitrine, entre ses deux poumons, au plus profond d’elle-même.
Elle avait le cœur lourd. Lourd des mots qu’elle s’était entendue adresser. Ces mots qu’elle se répétait, qui se répétaient inlassablement, en boucle, dans sa tête. Ces mots qui lui avaient poignardé le cœur comme la plus tranchante des lames.
Depuis ce moment elle la sentait grossir, gonfler, se déchirer en elle. La douleur ne s’estompait pas. Elle restait et se faisait de plus en plus insupportable. Elle aurait voulu se l’arracher pour de bon, pour cesser d’avoir mal un instant. Que tout se termine enfin.
Lorsqu’elle sentait ses paupières se remplir de larmes, prête à se déverser sur ses joues, elle ouvrait les yeux. Elle ne pouvait pas pleurer. Elle ne devait pas.
Quand elle regarda à nouveau dehors la pluie avait cessé de tomber et sa mère était arrivée.
Elle sortit et monta dans la voiture. Le trajet se fit dans le silence, sans un bruit.
Elle avait l’habitude de ce silence entre sa mère et elle. C’est comme si un mur c’était construit peu à peu entre elles. Depuis que son père était décédé il y a maintenant un mois. Tout avait changé. Ses rapports avec sa mère ainsi que ses rapports avec sa petite sœur, Jody. Plus distante d’une et plus proche de l’autre.
Arrivée chez elle, elle s’enferma dans la salle de bain. Comme tout les soirs. Elle ne voulait parler à personne, de peur qu’on lui parle de choses qu’elle ne voulait pas entendre. Qu’on la prenne en pitié, qu’on la plaigne. Car elle ne voulait pas de la compassion des gens. Elle ne la supportait pas. Comment pouvaient-ils prétendre ressentir les mêmes choses qu’elle ? Ils ne pouvaient pas. C’était impossible.
Elle s’arrêta alors devant son miroir et s’observa. Est-ce bien elle devant ce miroir ? Elle ne se reconnaissait plus. Elle se toucha les joues. Regarda son visage sous tous les angles. Puis son corps. De face, puis de profil. Où était la petite fille aux cheveux blonds et à la silhouette gracieuse d’autre fois ?
Devant elle se trouvait aujourd’hui une jeune fille de 17 ans déjà, aux cheveux acajou attachés en un chignon qui laissait échapper quelques mèches qui bouclaient au niveau de ses tempes et une frange droite lui tombant sur les yeux. Elle ne savait même plus pourquoi elle avait décidé de se teindre les cheveux. Tout à coup sa blondeur lui manquait, elle la regrettait. Et ce visage autre fois perpétuellement illuminé d’un sourire, elle ne le reconnu pas. Il était devenu triste, sans expression. Son teint d’un naturel clair était devenu terne. Ses yeux ne scintillaient plus comme autre fois. Elle avait de grands yeux verts « plein d’étoiles de malice » comme disait son père. Elle avait l’habitude d’intensifier ce regard pétillant avec une couche de mascara seulement. Rien de plus ne suffisait à les sublimer. Mais à cet instant elle ne vit que les cernes qu’avait pris place la fatigue sous ses yeux. Les étoiles avaient disparues. Tendis que sa silhouette, elle, avait perdu toute sa grâce. Ses épaules se repliaient sur elle. Ce qui lui donnait une allure de vieille femme avachie. Elle ne se tenait plus droite. Sa posture était devenue négligée.
Au fond ce qu’elle regrettait n’était pas la couleur de ses cheveux, son teint, ou ce que communiquaient ses yeux. Non ce qu’elle regrettait été ce à quoi cette image était associée. Au passé. Ce passé qui lui avait filé entre les doigts sans qu’elle ne s’en rende compte. En l’espace d’un claquement de doigt. Tout c’était alors arrêté.
A ce moment précis elle aurait voulu remonter le temps. Retourner en arrière. Retourner à cette époque ou tout lui souriait encore. Où elle ne devait se soucier que de quelle couleur elle se servirait pour son dessin. Et puis elle se senti si seule.
Depuis que sont père était décédé c’était comme si tout ceux qu’elle aimait la laissaient tomber. Sa mère, et puis petit à petit ses amis, à commencé par Joy. Qui était peut être celle sur qui elle comptait le plus. Celle dont elle était la plus proche. Elle avait l’impression que personne ne la comprenait.
Sa nouvelle image que le miroir lui renvoyait la dégoûta. Elle se détourna brusquement. Pourtant elle savait que se n’était pas de sa faute. Non. C’était le poids des mots. Ses maux qui avait pris place en elle et qui se reflétés sur son visage et pesés sur ses épaules.
Elle fit couler l’eau. Elle aimait sentir l’eau couler sur elle après ces longues journées passées à danser. Mais depuis un moment elle ne tournait plus le robinet d’eau chaude. Elle ne laissait que l’eau froide, glacée, courir au contact de sa peau. Au fond d’elle, elle voulait que cette eau lui anesthésie les membres un à un, afin de ne plus rien ressentir. Comme des milliards d’aiguilles qui lui transperçaient la peau. Ou que cette eau froide la réveille enfin. Que tout ce qu’elle avait enduré ces derniers mois ne soit qu’un cauchemar. Parfois elle s’asseyait au rebord de sa fenêtre, repliait ses genoux vers elle, posait son front sur ses genoux, fermait les yeux et attendait là, que le temps passe. Mais rien. Rien ne changeait. Sa douleur ne partait pas. Elle se mettait alors à penser à comment serait sa vie si il revenait. Elle n’avait alors qu’un souhait. Qu’il revienne. Qu’il revienne vite. Elle se crispa. Serra ses bras autour de ses jambes. Serra ses paupières. Le plus fort possible. Et répétait cette phrase dans sa tête. « Reviens Papa. Je t’en prie. Reviens. ». Sans s’en rendre compte elle avait prononcé cette phrase à voix haute. Dans un murmure.
L’entente de sa voix la tira de sa pensé. Elle se résigna alors à aller se coucher. Sans manger. Elle avait perdu l’appétit. Les seuls moments où sa douleur lui laissait un peu de répit étaient lorsqu’elle dormait. Elle préférait alors ne pas être consciente. Même si le sommeil avait du mal à venir à elle. Chaque soir elle s’allongeait sur son lit et restait là, à fixer le plafond."
Re: "Corcodiles & langues de chats" (aller je me lance !)
Bravo! Ça se lit bien. J'aurais parfois choisi d'autres mots (par exemple "d'entendre sa voix" à la place de "l'entente de sa voix") et quelques morceaux de phrases sonnent à mon avis un peu artificiels, mais l'ensemble est pour moi (je ne suis pas spécialiste) très bon. Quant à l'orthographe, elle n'est pas mauvaise. Il y a bien par ci par là quelques fautes, mais en nombre assez petit pour ne pas gâcher le plaisir de la lecture. Votre extrait est de plus assez court pour qu'il ne soit pas fastidieux de le lire sur un écran. Je lirai la suite...
Amiedetous- Date d'inscription : 28/06/2012
Re: "Corcodiles & langues de chats" (aller je me lance !)
Comme Amiedetous, je trouve que le texte se lit bien, ce qui n'est pas évident lorsqu'on lit sur un écran. Un autre bon point est qu'on entre assez vite dans l'environnement de l'héroïne et que l'on a envie de lire la suite. Si je me permettais une légère critique, ce serait le choix des prénoms "Joy", "Jody" et "Lily", je les trouve un peu courts et "américains", et des prénoms aussi courts et "impersonnels" - en quelque sorte - "jouent" contre la profondeur des personnages.
Re: "Corcodiles & langues de chats" (aller je me lance !)
J'approuve tout à fait ce que vous dites sur le choix des prénoms et sur la bonne critique " Un autre bon point est qu'on entre assez vite dans l'environnement de l'héroïne et que l'on a envie de lire la suite."
Amiedetous- Date d'inscription : 28/06/2012
Re: "Corcodiles & langues de chats" (aller je me lance !)
J'avoue que le d'avoir relu mon texte 2 ans après l'avoir écrit m'a fait me rendre compte que les noms ça le faisait moyens, mais après il faut que j'en trouve d'autre qui me plaise sinon merci pour vos critiques, ça me fait plaisir que ça plaise et puis d'avoir des avis me permet de mieux corriger les petits détails que je ne remarque pas a force de me relire ^^
Je publierais la suite bientôt, une fois que j'aurais relu et corriger
Je publierais la suite bientôt, une fois que j'aurais relu et corriger
Re: "Corcodiles & langues de chats" (aller je me lance !)
J'aime bien ce texte. Je suis facilement rentrée dans l'histoire, l'héroïne a l'air attachante, ta prose est vraiment personnelle. Si je devais citer un petit bémol, je dirais qu'il manque seulement, dans le dernier tiers du texte, des petites phrases toutes simples, descriptions des gestes du quotidien ( quand elle prend sa douche par exemple) ), pour "l'effet de réel". Tu es entrée dans un très beau psychorécit qui mériterait quelques petites "pauses" me semble-t-il.
Re: "Corcodiles & langues de chats" (aller je me lance !)
je ne suis pas de bon conseil puisque j'héberge une orpheline en ce moment, mais je crois bien que tu as rendu ce qu'elle ressentait lorsque ses parents sont dcd alors qu'elle avait 10 ans.
il y a des fautes bien sur, mais les sentiments sont bien rendu (pour moi qui l'observe)
il y a des fautes bien sur, mais les sentiments sont bien rendu (pour moi qui l'observe)
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