Aux amateurs de psychopathes :)
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Margaux1999
Gallingham
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Loddy44
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Aux amateurs de psychopathes :)
Bon, voici encore un petit extrait mettant en scène mon cher psychopathe, et ce toujours tiré de mon roman policier
Laissez vos avis !!
Un phalène du bouleau se posa sur le lampadaire d'une rue Dublinoise.
Le lépidoptère fit le tour de la lanterne, avant de s'immobiliser, tandis qu'une ombre passait à côté du lampadaire.
Il faisait froid. Il savait qu'à cette heure tardive et avec cette temps, personne ne sortirait. C'était donc le moment idéal pour satisfaire son désir de chair et de mort imminente sur les quelques inconscients amoureux des promenades nocturnes, comme lui.
Il ne pouvait rêver mieux.
Cela faisait plus d'un mois qu'il n'avait pas tué. Son envie de meurtre était d'autant plus grande que sa colère. Il aurait tué le monde entier s'il avait pu. Mais il fallait bien que son ire vengeresse tombe sur quelqu'un. Ne lui restait plus qu'à trouver. N'importe qui. Même s'il préférait les femmes.
Il prendrait ce qu'il trouverait. Tant que ça criait et que ça se débattait. Il lui fallait tuer, et vite.
Tuer. Tuer et faire souffrir. Faire souffrir et tuer. Tuer.
Il voulait voir cette peur dans les yeux de sa victime, cette peur grandissante, cette terreur, avant qu'il ne frappa un grand coup. Et il ne frapperait qu'une seule fois.
Il tourna à l'angle de la rue. La chaussée était gelée. Il monta sur le trottoir. Gelé aussi.
Il boitait toujours. Il serra les poings. Cette garce l'avait bien cherché ! Il lui aurait certainement fait pire si il avait réussi à la neutraliser entièrement. Mais il avait fallu qu'elle se débatte...
Du travail bâclé. Rien de plus. Il regrettait cruellement de ne pas avoir pu s'amuser plus...
Cela faisait un bon quart d'heure qu'il déambulait dans les rues de Dublin lorsqu'il s'arrêta. Il leva le nez au ciel. Comment ça ? Il ne neigeait pas ? Quelle ironie. Lui qui était sorti pour l'admirer...
Une proie. Vite. Il ne pourrait pas se contenir très longtemps. Une proie, vite !
Un phalène du bouleau voleta près de lui. Il tendit alors la main. Le lépidoptère se posa paresseusement sur son doigt. Il sourit. Regarda le papillon nocturne escalader précautionneusement sa phalange. Puis, soudain, ses yeux se posèrent sur une silhouette, au loin.
Son sourire s'élargit d'une façon extraordinairement élastique. C'était elle. Sa proie.
Il posa sa main sur la rambarde qui le séparait de la chaussée, attendit patiemment que le phalène y descende, puis se dirigea tout droit vers la silhouette qu'il n'avait pas quittée des yeux.
Tuer. Vite. Tuer. Satisfaire cette envie de chair. Et tuer. Encore. Et encore.
Il passait sous une arche qui soutenait deux maisons mitoyennes et s'approchait lorsqu'il se rendit compte que sa proie était un homme. Il s'immobilisa.
Un homme. Que faire ? Passer son chemin ? Non... non, il avait bien trop envie. Il fallait qu'il tue. Que ce soit une femme ou un homme. Ce soir serait peut-être son deuxième meurtre masculin, s'il comptait celui de son père. Il ne prenait jamais vraiment plaisir à tuer des hommes. Ce qu'il aimait, c'était les faire souffrir, s'amuser avec comme on s'amuserait avec un chien.
La différence entre les femmes et les hommes était que les femmes avaient beaucoup plus d'intérêt. Elles n'avaient certes pas la même force physique, mais compensaient largement en courbes et en peau satinée, ce dont il raffolait plus particulièrement.
Mais ce soir, il n'aurait droit à rien de tout cela. Ce soir, il tuerait pour le plaisir. Ce soir, il tuerait par envie. Ce soir, il tuerait un homme.
Mais pour cela, il allait devoir procéder autrement...
Ses yeux étincelèrent tandis qu'il sortait une seringue de l'intérieur de sa veste pour la cacher dans son dos. L'homme était accroupi auprès d'une voiture. Une cigarette aux lèvres, il changeait une des roues arrière du véhicule. Lorsqu'il se redressa pour étaler la graisse qu'il avait sur les mains sur son pantalon, il ne se rendit pas compte qu'on l'observait.
Lui attendait. Patiemment. Trop patiemment, peut-être. La seringue tremblait dans sa main. Il était parcouru de violents spasmes. Il n'allait pas tarder à craquer.
L'homme regarda autour de lui. C'est alors qu'il le vit, tapi dans l'ombre tel un prédateur. Il fronça les sourcils, à moitié rassuré, puis tira une taffe de tabac.
- J'peux vous aider ?
Il fronça le nez. Le mélange d'alcool et de fumée de cigarette qui était sorti de la bouche de cet homme le dégoûta. Sa colère devint d'autant plus grande, et il fut pris de brusques convulsions.
Voyant que l'inconnu ne répondait pas, l'homme lui tourna le dos. Erreur fatale.
Il sentit un vent glacial lui frôler la nuque, lui hérissant le poil. Il n'avait pas le temps de faire quoi que ce soit que l'autre bondissait pour lui enfoncer la seringue dans le cou. Ses mains se refermèrent sur lui telles des griffes. L'homme hurla. Sa cigarette tomba par terre.
Il lui administrait la dose de tranquillisant soigneusement calculée lorsque l'homme lui asséna un violent coup de coude dans le ventre. Il recula de deux pas, lâcha la seringue qui se brisa sur le sol, et regarda l'homme s'écrouler au sol. Les jambes paralysées, il ne pouvait plus marcher. Il rampait sur le sol tel une larve, poussant dans sa panique des gémissements et des plaintes sourds.
Le jeu ne faisait que commencer.
L'autre, tout en marchant lentement vers sa proie, leva les yeux vers la lune pleine. Les pupilles dilatées, il s'approcha du coffre de la voiture, tandis que le pauvre homme rampait toujours sur les pavés de cette rue étroite dans laquelle il avait fallu qu'il s'attarde.
Un sourire éclaira son visage lorsqu'il sortit une hache du coffre. L'homme s'était presque arrêté.
Au bout du compte, l'anesthésie avait malgré tout fini par fonctionner.
D'une démarche résignée, il se dirigea vers sa victime.
- Espèce d'en...
Il posa sa main gantée de cuir sur sa bouche, l'empêchant d'en dire plus.
- Ne vous en faîtes pas. Vous ne sentirez rien. Rien du tout.
Il décrivit un cercle dans l'air avec la hache. Le phalène du bouleau voleta près de lui, décrivant des boucles au-dessus de l'homme qui n'osait plus parler à la vue de la hache.
- Aimez-vous le golf ?
Il ne lui laissa cependant pas le temps de répondre et fit lourdement tomber la tête de sa hache juste à côté du visage de sa victime, la faisant sursauter.
- Le golf, ah le golf... Le golf, donc, le golf est un sport de précision, qui se joue généralement en plein air. Son objectif, son putain d'objectif, eh bien c'est d'envoyer une balle dans un trou, et ce à l'aide de clubs. Le but du jeu, car il s'agit avant tout d'un jeu, d'un merveilleux jeu, consiste à effectuer le moins de coups possible sur un parcours défini. Ça paraît simple, vous ne trouvez pas ?
Pendant ce temps, il avait placé ses jambes en face de la tête de la hache, parallèles à celle de sa proie dont les yeux s'étaient emplis de terreur. Il dit en se penchant légèrement pendant que l'homme devenait totalement paralysé et ne parvenait plus à remuer les lèvres :
- Laissez-moi vous faire une petite démonstration.
Il soulevait la hache lorsqu'il perçut un petit bruit. Sa victime tentait de dire quelque chose. Il se pencha alors et tendit l'oreille pour finalement entendre : « Pour l'amour de Dieu... »
Il sourit, baissa la tête, puis reprit sa position.
- Je vous en prie, n'incluez pas Dieu dans cette histoire. Il n'est que lumière.
Il leva alors la hache à la manière d'un golfeur, puis frappa avec une violence et une précision extrême dans la tête de sa proie. Le sang gicla tandis qu'il lui broyait les cervicales et que sa tête défigurée, amas de chair rouge sombre et gluante, se retrouvait parallèle à ses épaules.
Le visage couvert de sang, il prit une profonde inspiration. Puis, il lâcha la hache ensanglantée. Les battements de son cœur affolé s'étaient calmés. Son excitation disparut graduellement.
Le phalène se posa sur son nez vermeille. Il le prit délicatement sur son doigt, puis baissa les yeux sur le visage difforme de sa victime, une once de déception dans le regard.
Un homme. Il donna une petite pichenette dans l'air, permettant au lépidoptère de s'envoler.
Un homme. Il détourna les yeux, continua son chemin. Un homme. Pathétique.
Laissez vos avis !!
Un phalène du bouleau se posa sur le lampadaire d'une rue Dublinoise.
Le lépidoptère fit le tour de la lanterne, avant de s'immobiliser, tandis qu'une ombre passait à côté du lampadaire.
Il faisait froid. Il savait qu'à cette heure tardive et avec cette temps, personne ne sortirait. C'était donc le moment idéal pour satisfaire son désir de chair et de mort imminente sur les quelques inconscients amoureux des promenades nocturnes, comme lui.
Il ne pouvait rêver mieux.
Cela faisait plus d'un mois qu'il n'avait pas tué. Son envie de meurtre était d'autant plus grande que sa colère. Il aurait tué le monde entier s'il avait pu. Mais il fallait bien que son ire vengeresse tombe sur quelqu'un. Ne lui restait plus qu'à trouver. N'importe qui. Même s'il préférait les femmes.
Il prendrait ce qu'il trouverait. Tant que ça criait et que ça se débattait. Il lui fallait tuer, et vite.
Tuer. Tuer et faire souffrir. Faire souffrir et tuer. Tuer.
Il voulait voir cette peur dans les yeux de sa victime, cette peur grandissante, cette terreur, avant qu'il ne frappa un grand coup. Et il ne frapperait qu'une seule fois.
Il tourna à l'angle de la rue. La chaussée était gelée. Il monta sur le trottoir. Gelé aussi.
Il boitait toujours. Il serra les poings. Cette garce l'avait bien cherché ! Il lui aurait certainement fait pire si il avait réussi à la neutraliser entièrement. Mais il avait fallu qu'elle se débatte...
Du travail bâclé. Rien de plus. Il regrettait cruellement de ne pas avoir pu s'amuser plus...
Cela faisait un bon quart d'heure qu'il déambulait dans les rues de Dublin lorsqu'il s'arrêta. Il leva le nez au ciel. Comment ça ? Il ne neigeait pas ? Quelle ironie. Lui qui était sorti pour l'admirer...
Une proie. Vite. Il ne pourrait pas se contenir très longtemps. Une proie, vite !
Un phalène du bouleau voleta près de lui. Il tendit alors la main. Le lépidoptère se posa paresseusement sur son doigt. Il sourit. Regarda le papillon nocturne escalader précautionneusement sa phalange. Puis, soudain, ses yeux se posèrent sur une silhouette, au loin.
Son sourire s'élargit d'une façon extraordinairement élastique. C'était elle. Sa proie.
Il posa sa main sur la rambarde qui le séparait de la chaussée, attendit patiemment que le phalène y descende, puis se dirigea tout droit vers la silhouette qu'il n'avait pas quittée des yeux.
Tuer. Vite. Tuer. Satisfaire cette envie de chair. Et tuer. Encore. Et encore.
Il passait sous une arche qui soutenait deux maisons mitoyennes et s'approchait lorsqu'il se rendit compte que sa proie était un homme. Il s'immobilisa.
Un homme. Que faire ? Passer son chemin ? Non... non, il avait bien trop envie. Il fallait qu'il tue. Que ce soit une femme ou un homme. Ce soir serait peut-être son deuxième meurtre masculin, s'il comptait celui de son père. Il ne prenait jamais vraiment plaisir à tuer des hommes. Ce qu'il aimait, c'était les faire souffrir, s'amuser avec comme on s'amuserait avec un chien.
La différence entre les femmes et les hommes était que les femmes avaient beaucoup plus d'intérêt. Elles n'avaient certes pas la même force physique, mais compensaient largement en courbes et en peau satinée, ce dont il raffolait plus particulièrement.
Mais ce soir, il n'aurait droit à rien de tout cela. Ce soir, il tuerait pour le plaisir. Ce soir, il tuerait par envie. Ce soir, il tuerait un homme.
Mais pour cela, il allait devoir procéder autrement...
Ses yeux étincelèrent tandis qu'il sortait une seringue de l'intérieur de sa veste pour la cacher dans son dos. L'homme était accroupi auprès d'une voiture. Une cigarette aux lèvres, il changeait une des roues arrière du véhicule. Lorsqu'il se redressa pour étaler la graisse qu'il avait sur les mains sur son pantalon, il ne se rendit pas compte qu'on l'observait.
Lui attendait. Patiemment. Trop patiemment, peut-être. La seringue tremblait dans sa main. Il était parcouru de violents spasmes. Il n'allait pas tarder à craquer.
L'homme regarda autour de lui. C'est alors qu'il le vit, tapi dans l'ombre tel un prédateur. Il fronça les sourcils, à moitié rassuré, puis tira une taffe de tabac.
- J'peux vous aider ?
Il fronça le nez. Le mélange d'alcool et de fumée de cigarette qui était sorti de la bouche de cet homme le dégoûta. Sa colère devint d'autant plus grande, et il fut pris de brusques convulsions.
Voyant que l'inconnu ne répondait pas, l'homme lui tourna le dos. Erreur fatale.
Il sentit un vent glacial lui frôler la nuque, lui hérissant le poil. Il n'avait pas le temps de faire quoi que ce soit que l'autre bondissait pour lui enfoncer la seringue dans le cou. Ses mains se refermèrent sur lui telles des griffes. L'homme hurla. Sa cigarette tomba par terre.
Il lui administrait la dose de tranquillisant soigneusement calculée lorsque l'homme lui asséna un violent coup de coude dans le ventre. Il recula de deux pas, lâcha la seringue qui se brisa sur le sol, et regarda l'homme s'écrouler au sol. Les jambes paralysées, il ne pouvait plus marcher. Il rampait sur le sol tel une larve, poussant dans sa panique des gémissements et des plaintes sourds.
Le jeu ne faisait que commencer.
L'autre, tout en marchant lentement vers sa proie, leva les yeux vers la lune pleine. Les pupilles dilatées, il s'approcha du coffre de la voiture, tandis que le pauvre homme rampait toujours sur les pavés de cette rue étroite dans laquelle il avait fallu qu'il s'attarde.
Un sourire éclaira son visage lorsqu'il sortit une hache du coffre. L'homme s'était presque arrêté.
Au bout du compte, l'anesthésie avait malgré tout fini par fonctionner.
D'une démarche résignée, il se dirigea vers sa victime.
- Espèce d'en...
Il posa sa main gantée de cuir sur sa bouche, l'empêchant d'en dire plus.
- Ne vous en faîtes pas. Vous ne sentirez rien. Rien du tout.
Il décrivit un cercle dans l'air avec la hache. Le phalène du bouleau voleta près de lui, décrivant des boucles au-dessus de l'homme qui n'osait plus parler à la vue de la hache.
- Aimez-vous le golf ?
Il ne lui laissa cependant pas le temps de répondre et fit lourdement tomber la tête de sa hache juste à côté du visage de sa victime, la faisant sursauter.
- Le golf, ah le golf... Le golf, donc, le golf est un sport de précision, qui se joue généralement en plein air. Son objectif, son putain d'objectif, eh bien c'est d'envoyer une balle dans un trou, et ce à l'aide de clubs. Le but du jeu, car il s'agit avant tout d'un jeu, d'un merveilleux jeu, consiste à effectuer le moins de coups possible sur un parcours défini. Ça paraît simple, vous ne trouvez pas ?
Pendant ce temps, il avait placé ses jambes en face de la tête de la hache, parallèles à celle de sa proie dont les yeux s'étaient emplis de terreur. Il dit en se penchant légèrement pendant que l'homme devenait totalement paralysé et ne parvenait plus à remuer les lèvres :
- Laissez-moi vous faire une petite démonstration.
Il soulevait la hache lorsqu'il perçut un petit bruit. Sa victime tentait de dire quelque chose. Il se pencha alors et tendit l'oreille pour finalement entendre : « Pour l'amour de Dieu... »
Il sourit, baissa la tête, puis reprit sa position.
- Je vous en prie, n'incluez pas Dieu dans cette histoire. Il n'est que lumière.
Il leva alors la hache à la manière d'un golfeur, puis frappa avec une violence et une précision extrême dans la tête de sa proie. Le sang gicla tandis qu'il lui broyait les cervicales et que sa tête défigurée, amas de chair rouge sombre et gluante, se retrouvait parallèle à ses épaules.
Le visage couvert de sang, il prit une profonde inspiration. Puis, il lâcha la hache ensanglantée. Les battements de son cœur affolé s'étaient calmés. Son excitation disparut graduellement.
Le phalène se posa sur son nez vermeille. Il le prit délicatement sur son doigt, puis baissa les yeux sur le visage difforme de sa victime, une once de déception dans le regard.
Un homme. Il donna une petite pichenette dans l'air, permettant au lépidoptère de s'envoler.
Un homme. Il détourna les yeux, continua son chemin. Un homme. Pathétique.
Loddy44- Date d'inscription : 27/06/2011
Age : 29
Localisation : Dublin
Re: Aux amateurs de psychopathes :)
Et bien ! J'adore !
Une petite remarque : on arrive très bien à se mettre dans la peau de ton tueur psychopathe. Mais je crois que tu peux pousser encore plus en écrivant à la première personne et au présent ! (ce qui éviterait une certaine confusion au moment de la rencontre des deux hommes où il n'est pas évident de savoir qui fait quoi entre "l'homme" et "l'inconnu".) Par exemple :
Pourrait devenir :
Un homme. Que faire ? Passer mon chemin ? Non... non, j'ai bien trop envie. Il faut que je tue. Que ce soit une femme ou un homme. Ce soir sera peut-être mon deuxième meurtre masculin, si je compte mon père.
Le petit discours sur le golf : j'ai adoré !
Une petite remarque : on arrive très bien à se mettre dans la peau de ton tueur psychopathe. Mais je crois que tu peux pousser encore plus en écrivant à la première personne et au présent ! (ce qui éviterait une certaine confusion au moment de la rencontre des deux hommes où il n'est pas évident de savoir qui fait quoi entre "l'homme" et "l'inconnu".) Par exemple :
Un homme. Que faire ? Passer son chemin ? Non... non, il avait bien trop envie. Il fallait qu'il tue. Que ce soit une femme ou un homme. Ce soir serait peut-être son deuxième meurtre masculin, s'il comptait celui de son père.
Pourrait devenir :
Un homme. Que faire ? Passer mon chemin ? Non... non, j'ai bien trop envie. Il faut que je tue. Que ce soit une femme ou un homme. Ce soir sera peut-être mon deuxième meurtre masculin, si je compte mon père.
Le petit discours sur le golf : j'ai adoré !
Re: Aux amateurs de psychopathes :)
Tu penses que je devrais mettre mes passages au "Je" ?
Mais dans ce cas, faudrait-il que je les mette tous au "je", parce que j'ai plusieurs passages comme celui-ci où le lecteur se glisse dans la peau du tueur
Aah oui, le golf, j'me suis bien amusée
Mais dans ce cas, faudrait-il que je les mette tous au "je", parce que j'ai plusieurs passages comme celui-ci où le lecteur se glisse dans la peau du tueur
Aah oui, le golf, j'me suis bien amusée
Loddy44- Date d'inscription : 27/06/2011
Age : 29
Localisation : Dublin
Re: Aux amateurs de psychopathes :)
Dans ce cas oui il faut respecter une logique !
Bon je ne t'impose rien, c'est toi l'auteur. Mais je trouve que le présent et la première personne confère une atmosphère très prenante à ce genre d'histoire.
L'exercice n'est cependant pas des plus facile...
Bon je ne t'impose rien, c'est toi l'auteur. Mais je trouve que le présent et la première personne confère une atmosphère très prenante à ce genre d'histoire.
L'exercice n'est cependant pas des plus facile...
Re: Aux amateurs de psychopathes :)
Tu as raison, je vais voir comment ça rend avec les autres passages. Je pense que ça pourrait donner une atmosphère spécifique aux scènes
Loddy44- Date d'inscription : 27/06/2011
Age : 29
Localisation : Dublin
Re: Aux amateurs de psychopathes :)
Oui après tu peux toujours essayer et revenir en arrière si ça ne te plait pas ! Mais tiens moi au courant je suis curieuse de savoir ce que ça donnera
Re: Aux amateurs de psychopathes :)
Oui oui, je te dirais dès que j'aurais transformé mon texte
Je vais bien voir c'que ça va donner
Je vais bien voir c'que ça va donner
Loddy44- Date d'inscription : 27/06/2011
Age : 29
Localisation : Dublin
Re: Aux amateurs de psychopathes :)
J'aime beaucoup aussi.
Il y a eu des moments où j'ai eu un peu de mal à me retrouver dans l'action, mais rien de bien grave je pense.
A part ça, même si tu ne le repètes que 3 fois sur tout le texte, je trouve que ça fait beaucoup "un phalène du bouleau". C'est pas une truc qu'on a l'habitude de lire, donc ça reste bien en mémoire. Au point que j'ai cru à un moment que tu te répétais dans l'histoire.
Il y a eu des moments où j'ai eu un peu de mal à me retrouver dans l'action, mais rien de bien grave je pense.
A part ça, même si tu ne le repètes que 3 fois sur tout le texte, je trouve que ça fait beaucoup "un phalène du bouleau". C'est pas une truc qu'on a l'habitude de lire, donc ça reste bien en mémoire. Au point que j'ai cru à un moment que tu te répétais dans l'histoire.
Cette temps? Un petit oubli après modification, on dirait.Il savait qu'à cette heure tardive et avec cette temps
Je dirais qu'il y a un petit problème de temps ici. Ca ne serait pas mieux "Il n'eut pas le temps..." ?Il n'avait pas le temps de faire quoi que ce soit que l'autre bondissait pour lui enfoncer la seringue dans le cou.
Re: Aux amateurs de psychopathes :)
Ok pour le phalène, je vais remplacer ça par quelques "papillons"
Oula oui, erreur de modification, j'ai dû avoir deux idées en même temps et l'une a pris le dessus sur l'autre
" Il n'eut pas le temps " est mieux approprié, en effet !
Merci pour ton commentaire
Oula oui, erreur de modification, j'ai dû avoir deux idées en même temps et l'une a pris le dessus sur l'autre
" Il n'eut pas le temps " est mieux approprié, en effet !
Merci pour ton commentaire
Loddy44- Date d'inscription : 27/06/2011
Age : 29
Localisation : Dublin
Re: Aux amateurs de psychopathes :)
J'aime bien..
Margaux1999- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 25
Localisation : Poudlard.
Re: Aux amateurs de psychopathes :)
qu'il ne frappeil voulait voir cette peur dans les yeux de sa victime, cette peur grandissante, cette terreur, avant qu'il ne frappa un grand coup. Et il ne frapperait qu'une seule fois.
sur cette phrase, au bout du compte veux dire la même chose que malgré tout, donc il faut que tu choisisse l'un des deux il me sembleAu bout du compte, l'anesthésie avait malgré tout fini par fonctionner.
sinon, bien très bien, je suis d'accord avec les autres, fort bien mené, bravo.
(au fait, la phalène vit aussi en hiver?)
bon courage
Re: Aux amateurs de psychopathes :)
Merci Extialis
Pour le phalène, je vais voir ça tout de suite
Pour le phalène, je vais voir ça tout de suite
Loddy44- Date d'inscription : 27/06/2011
Age : 29
Localisation : Dublin
Re: Aux amateurs de psychopathes :)
Magique ! Fantastique ! A quand la suite ?
Thomas.R- Date d'inscription : 09/11/2013
Localisation : Belgique
Re: Aux amateurs de psychopathes :)
Rien qu'en lisant le titre de cet texte, j'ai eu envie de le lire ! Et j'ai eu raison ! Super texte, très bien décrit. On se sent vraiment dans la peau du personnage, du psychopathe. Non, franchement c'est génial ! J'ai adoré la petite explication sur le jeu de golf...
Malicie- Date d'inscription : 07/06/2013
Age : 30
Localisation : 81
Re: Aux amateurs de psychopathes :)
Merci beaucoup pour ces critiques ! Si le cœur vous en dit, à tous les deux, vous pouvez lire mon roman dans son intégralité sur ce site !
http://www.monbestseller.com/manuscrit/melvin-meeltrick-lindesirable
http://www.monbestseller.com/manuscrit/melvin-meeltrick-lindesirable
Loddy44- Date d'inscription : 27/06/2011
Age : 29
Localisation : Dublin
Re: Aux amateurs de psychopathes :)
chouette. j'y suis aussi
reedit : il est déjà dans ma bibliothèque lol
reedit : il est déjà dans ma bibliothèque lol
Re: Aux amateurs de psychopathes :)
Un texte rondement mené, effectivement.
En revanche, j'ai parfois décroché, sans le vouloir. Puis je revenais et me recentrais de suite sur l'action en court. J'ai trouvé qu'il y avait une évolution au moment où il parvient à attraper sa victime. Mais je n'ai pas ressenti le même "manque" que lui lorsqu'il cherche sa proie. Je me demande, effectivement, si écrire à la première personne ne renforcerait pas cette impression, dérangeante, d'être ce tueur.
Le fait de parler de golf nous guide vers la suite du texte, et nous inquiète. On sait ce qui va arriver, et on s'attend au pire.
Psychopatologie intéressante. Il est certes complètement antisocial, mais il paraît aussi être au courant de ce qu'il fait, de ce qu'il cherche, ce qui est rarement le cas quand quelqu'un est atteint d'une telle maladie mentale. Intéressant, à voir par la suite !
Merci pour cette lecture, en tout cas.
En revanche, j'ai parfois décroché, sans le vouloir. Puis je revenais et me recentrais de suite sur l'action en court. J'ai trouvé qu'il y avait une évolution au moment où il parvient à attraper sa victime. Mais je n'ai pas ressenti le même "manque" que lui lorsqu'il cherche sa proie. Je me demande, effectivement, si écrire à la première personne ne renforcerait pas cette impression, dérangeante, d'être ce tueur.
Le fait de parler de golf nous guide vers la suite du texte, et nous inquiète. On sait ce qui va arriver, et on s'attend au pire.
Psychopatologie intéressante. Il est certes complètement antisocial, mais il paraît aussi être au courant de ce qu'il fait, de ce qu'il cherche, ce qui est rarement le cas quand quelqu'un est atteint d'une telle maladie mentale. Intéressant, à voir par la suite !
Merci pour cette lecture, en tout cas.
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