Cauchemar à la bibliothèque
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extialis
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Margaux1999
adrienf
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Cauchemar à la bibliothèque
Voilà première nouvelle. Je ne sais pas ce qu'elle vaut.
Bonne lecture
Un homme petit et bedonnant entra dans la bibliothèque, il était sale : ces vêtements trop petits pour lui étaient troués par l’usure, de plus des taches de sueurs recouvraient l’ensemble de ceux-ci. Il jeta un regard fougueux afin de repérer une place assise. Il en trouva une non-loin de moi. Il y avait dix personnes dans cette salle. Deux de celle-ci étaient assises près de la porte en chêne teinte en blanc. Un autre était installé près du mur peint d'un jaune pâle. Tout les autres étaient à peu de choses près au milieu de la salle.
Je regardais attentivement les personnes qui lisaient. Mon regard s'arrêta net sur l'homme qui venait d'entrer. Il semblait nerveux par ces gestes: il faisait sans cesse taper sa grosse bottine droite sur le sol et clapoter ses ongles sales sur le pupitre couleur bois.
J'essayais de ne plus observer cet homme mais une autre chose me frappa, il se trouvait dans une bibliothèque mais il n'avait toujours pas de livre. Cela me paraissait étrange. Cependant il devait lire dans mes pensées car il se leva et alla dans un rayon pour prendre un livre. Je ne pouvais le voir car les étalages se trouvaient dans mon dos cependant je pouvais l'imaginer faire semblant de choisir un livre. Il revint avec l'ouvrage de Steve Berry intitulé " Le musée perdu ". Je connaissais ce livre, pour l’avoir déjà lu.
Quelques minutes plus tard, je regardai furtivement en sa direction. Il avait toujours ce bouquin devant lui mais son regard se portait sur les fenêtres, les sorties de secours et les portes.
Je ne me faisais aucun soucis car je devais m’en aller pour en être sur de ce que je pensais je regardais ma montre à cadran rouge et il sonnait déjà l'heure pour moi de partir.
Je devais passer derrière cet étrange personnage pour pouvoir m'en aller. Sûr de moi, je me levai, je rangeai ma chaise habituelle en dessous de son pupitre. Je m'avançai, je passai dans son dos. Mais il se leva aussi, m'agrippa et passa son coude velu et sale autour de ma gorge, sortit son revolver me le colla sur la tempe et hurla:
"Que personne ne bouge, ceci est une prise d'otage"
J’étais pétrifié. Je ne savais plus bouger, j’étais comme qui dirait mort.
Il tira deux balles dans le plafond blanc, les débris s'écrasèrent sur le sol carrelé. Tout le monde hurla. Il me projeta contre les carrelages et ma tête ricochait contre ceux-ci. Je perdais connaissance et ses exigences me réveilla.
Il ordonna que toutes les personnes présentes se taisent, donnent leurs portables et soient couchées sur le sol. Nous exécutions ces ordres. Ce sol était glacial mais cela m'importunais guère .
Il prit son smartphone et tapota sur son écran tactile un numéro. il commença à parler dans une langue étrangère. Je ne pouvais la distinguer.
Il nous changea de local et nous emmena dans la salle d’entrée. Je me mis directement près des grandes baies vitrées que constituaient ce lieu.
Bizarrement, je n'avais pas peur. Si je faisais ce qu'il me demandait, il ne m'arriverait rien. Je fus sur de moi.
Je compris la signification de son coup de fil quand je vis une Mercedes verte, des années nonante, se garer devant la bibliothèque. Trois hommes en sortirent et marchaient en direction de la porte d'entrée. Ils entraient avec leur armes. Ils rejoignirent dés leur entrée le cerveau de la bande. Ils portaient tous des passe-montagnes, ils faisaient entre un mètre quatre-vingts et un mètre nonante, ils avaient l'air costaud. Je fus de plus en plus stressé.
A l'expression du visage du chef, il ne devait pas être très heureux de ce qui se disait toujours dans ce langage inconnu. Mais je ne puis l’affirmer à cent pourcent.
Ils arrêtèrent de discuter et un homme qui venait d'arriver ressortit aussitôt. Je vis où ce qu'il allait car j'étais couché près de la vitre, j’avais une vue panoramique se ce qui se passait devant la bibliothèque. Il se rendit dans le coffre de sa voiture et en extirpa une mallette. Il revint la valise à la main. Celle-ci était grise et devait être lourde car il avait du mal à la transporter.
Le chef nous regarda et nous dit:
-" Dans cette mallette, il y a une bombe. Elle est déjà amorcé. Il ne reste plus que deux heures avant que la bombe n'explose. Vous resterez en vie si la police fait ce que nous demandons. Maintenant admirez cette petite merveille."
Il avait dit cette dernière phrase d'un ton sadique. A ce moment, je ne pensais plus rien, ma tête sembla vide.
Une stupeur régnait désormais dans la salle. Il nous fit voir son engin de malheur. C'était un cylindre avec une tonne de fils qui le rejoignaient et le minuteur nous informait: 1 h 53.
Il prit son portable au fond de sa poche et tapota le numéro de la police.
Il leur dit d'un ton calme:
- " Si vous n'êtes pas au courant, il y a une prise d'otage à la bibliothèque. J'en suis moi même le commanditaire. Si vous ne voulez pas d'effusions de sang, apportez-moi Trois millions et un voiture rapide ou sinon BOUM!!
Il raccrocha aussitôt.
Quinze minutes plus tard des dizaines et des dizaines de policiers étaient devant la bibliothèque. Je les voyais parfaitement car par les baies vitrées, ils m’offraient un véritable cinéma que j’aurais préféré ne pas assister
Les lampes éclairaient d'un bleu électrique la pièce où l'on se trouvait.
Les terroristes s'étaient regroupés et discutait a voix basse. A ce moment précis je pensais à ma famille, à mon épouse, à mes enfants. Le pire c’est que je ne devais pas me rendre ici, mais ma passion pour la lecture m’aura poussé à m’y conduire. Et je le regrettais.
J’espérais que la police ferait tout ce qu'elle pouvait pour nous sortir de cet enfer. Les policiers essayèrent de le recontacter mais il ne décrocha pas.
Les forces de l'ordre cernèrent le bâtiment et positionnèrent des tireurs d'élites sur les toits des bâtiments voisins.
Les malfrats étaient de plus en plus loin de moi. Je ne pouvais pas mourir sans avoir tenté quelque chose, je ne pouvais pas mourir et abandonner ma famille, je devais me sauver, et d'un seul coup, je me levais, et je me mis à courir dans la bibliothèque comme un possédé pour atteindre la sortie de secours. Je ne pensais plus rien sauf à fuir et à rester en vie. Le petit me suivait dans le couloir qui menait à la sortie. Je faisait écrouler les piles de caisses qui étaient sur le côtés pour le gêner. Il tira mais ne me toucha pas. Je réussis à sortir mais les policiers , dés ma sortie, dégainaient leur armes sur moi.
Je leur expliquais l'histoire depuis le début. Pendant mon explication, on entendit des bruits sourds et des cris aigus. La brigade d'intervention pénétra a l'intérieur du bâtiment et découvrit avec horreur une mer de sang, des corps jonchant le sol. Il les avait tous tué, sans pitié. Quand les forces spéciales entrèrent, il tua deux policiers. Il était derrière un bureau rouge de sang.
Quand j'appris tout cela, je devint amorphe. J'avais a présent du sang sur mes mains. J’aurais préféré mourir que de vivre pour le reste de ma vie avec ce sentiment de lâcheté.
Bonne lecture
Un homme petit et bedonnant entra dans la bibliothèque, il était sale : ces vêtements trop petits pour lui étaient troués par l’usure, de plus des taches de sueurs recouvraient l’ensemble de ceux-ci. Il jeta un regard fougueux afin de repérer une place assise. Il en trouva une non-loin de moi. Il y avait dix personnes dans cette salle. Deux de celle-ci étaient assises près de la porte en chêne teinte en blanc. Un autre était installé près du mur peint d'un jaune pâle. Tout les autres étaient à peu de choses près au milieu de la salle.
Je regardais attentivement les personnes qui lisaient. Mon regard s'arrêta net sur l'homme qui venait d'entrer. Il semblait nerveux par ces gestes: il faisait sans cesse taper sa grosse bottine droite sur le sol et clapoter ses ongles sales sur le pupitre couleur bois.
J'essayais de ne plus observer cet homme mais une autre chose me frappa, il se trouvait dans une bibliothèque mais il n'avait toujours pas de livre. Cela me paraissait étrange. Cependant il devait lire dans mes pensées car il se leva et alla dans un rayon pour prendre un livre. Je ne pouvais le voir car les étalages se trouvaient dans mon dos cependant je pouvais l'imaginer faire semblant de choisir un livre. Il revint avec l'ouvrage de Steve Berry intitulé " Le musée perdu ". Je connaissais ce livre, pour l’avoir déjà lu.
Quelques minutes plus tard, je regardai furtivement en sa direction. Il avait toujours ce bouquin devant lui mais son regard se portait sur les fenêtres, les sorties de secours et les portes.
Je ne me faisais aucun soucis car je devais m’en aller pour en être sur de ce que je pensais je regardais ma montre à cadran rouge et il sonnait déjà l'heure pour moi de partir.
Je devais passer derrière cet étrange personnage pour pouvoir m'en aller. Sûr de moi, je me levai, je rangeai ma chaise habituelle en dessous de son pupitre. Je m'avançai, je passai dans son dos. Mais il se leva aussi, m'agrippa et passa son coude velu et sale autour de ma gorge, sortit son revolver me le colla sur la tempe et hurla:
"Que personne ne bouge, ceci est une prise d'otage"
J’étais pétrifié. Je ne savais plus bouger, j’étais comme qui dirait mort.
Il tira deux balles dans le plafond blanc, les débris s'écrasèrent sur le sol carrelé. Tout le monde hurla. Il me projeta contre les carrelages et ma tête ricochait contre ceux-ci. Je perdais connaissance et ses exigences me réveilla.
Il ordonna que toutes les personnes présentes se taisent, donnent leurs portables et soient couchées sur le sol. Nous exécutions ces ordres. Ce sol était glacial mais cela m'importunais guère .
Il prit son smartphone et tapota sur son écran tactile un numéro. il commença à parler dans une langue étrangère. Je ne pouvais la distinguer.
Il nous changea de local et nous emmena dans la salle d’entrée. Je me mis directement près des grandes baies vitrées que constituaient ce lieu.
Bizarrement, je n'avais pas peur. Si je faisais ce qu'il me demandait, il ne m'arriverait rien. Je fus sur de moi.
Je compris la signification de son coup de fil quand je vis une Mercedes verte, des années nonante, se garer devant la bibliothèque. Trois hommes en sortirent et marchaient en direction de la porte d'entrée. Ils entraient avec leur armes. Ils rejoignirent dés leur entrée le cerveau de la bande. Ils portaient tous des passe-montagnes, ils faisaient entre un mètre quatre-vingts et un mètre nonante, ils avaient l'air costaud. Je fus de plus en plus stressé.
A l'expression du visage du chef, il ne devait pas être très heureux de ce qui se disait toujours dans ce langage inconnu. Mais je ne puis l’affirmer à cent pourcent.
Ils arrêtèrent de discuter et un homme qui venait d'arriver ressortit aussitôt. Je vis où ce qu'il allait car j'étais couché près de la vitre, j’avais une vue panoramique se ce qui se passait devant la bibliothèque. Il se rendit dans le coffre de sa voiture et en extirpa une mallette. Il revint la valise à la main. Celle-ci était grise et devait être lourde car il avait du mal à la transporter.
Le chef nous regarda et nous dit:
-" Dans cette mallette, il y a une bombe. Elle est déjà amorcé. Il ne reste plus que deux heures avant que la bombe n'explose. Vous resterez en vie si la police fait ce que nous demandons. Maintenant admirez cette petite merveille."
Il avait dit cette dernière phrase d'un ton sadique. A ce moment, je ne pensais plus rien, ma tête sembla vide.
Une stupeur régnait désormais dans la salle. Il nous fit voir son engin de malheur. C'était un cylindre avec une tonne de fils qui le rejoignaient et le minuteur nous informait: 1 h 53.
Il prit son portable au fond de sa poche et tapota le numéro de la police.
Il leur dit d'un ton calme:
- " Si vous n'êtes pas au courant, il y a une prise d'otage à la bibliothèque. J'en suis moi même le commanditaire. Si vous ne voulez pas d'effusions de sang, apportez-moi Trois millions et un voiture rapide ou sinon BOUM!!
Il raccrocha aussitôt.
Quinze minutes plus tard des dizaines et des dizaines de policiers étaient devant la bibliothèque. Je les voyais parfaitement car par les baies vitrées, ils m’offraient un véritable cinéma que j’aurais préféré ne pas assister
Les lampes éclairaient d'un bleu électrique la pièce où l'on se trouvait.
Les terroristes s'étaient regroupés et discutait a voix basse. A ce moment précis je pensais à ma famille, à mon épouse, à mes enfants. Le pire c’est que je ne devais pas me rendre ici, mais ma passion pour la lecture m’aura poussé à m’y conduire. Et je le regrettais.
J’espérais que la police ferait tout ce qu'elle pouvait pour nous sortir de cet enfer. Les policiers essayèrent de le recontacter mais il ne décrocha pas.
Les forces de l'ordre cernèrent le bâtiment et positionnèrent des tireurs d'élites sur les toits des bâtiments voisins.
Les malfrats étaient de plus en plus loin de moi. Je ne pouvais pas mourir sans avoir tenté quelque chose, je ne pouvais pas mourir et abandonner ma famille, je devais me sauver, et d'un seul coup, je me levais, et je me mis à courir dans la bibliothèque comme un possédé pour atteindre la sortie de secours. Je ne pensais plus rien sauf à fuir et à rester en vie. Le petit me suivait dans le couloir qui menait à la sortie. Je faisait écrouler les piles de caisses qui étaient sur le côtés pour le gêner. Il tira mais ne me toucha pas. Je réussis à sortir mais les policiers , dés ma sortie, dégainaient leur armes sur moi.
Je leur expliquais l'histoire depuis le début. Pendant mon explication, on entendit des bruits sourds et des cris aigus. La brigade d'intervention pénétra a l'intérieur du bâtiment et découvrit avec horreur une mer de sang, des corps jonchant le sol. Il les avait tous tué, sans pitié. Quand les forces spéciales entrèrent, il tua deux policiers. Il était derrière un bureau rouge de sang.
Quand j'appris tout cela, je devint amorphe. J'avais a présent du sang sur mes mains. J’aurais préféré mourir que de vivre pour le reste de ma vie avec ce sentiment de lâcheté.
adrienf- Date d'inscription : 27/01/2012
Age : 29
Localisation : Belgique
Re: Cauchemar à la bibliothèque
J'adore (=
Margaux1999- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 25
Localisation : Poudlard.
Re: Cauchemar à la bibliothèque
J'aime beaucoup la fin !
La phrase :
L'histoire est super.
La phrase :
me gène un peu. Elle est "lourde" et j'ai dû m'y reprendre à deux fois pour la lire.Je ne me faisais aucun soucis car je devais m’en aller pour en être sur de ce que je pensais je regardais ma montre à cadran rouge et il sonnait déjà l'heure pour moi de partir.
L'histoire est super.
Re: Cauchemar à la bibliothèque
tu ne fais pas de fautes d'orthographe et c'est bien. par contre, j'ai relevé de nombreux fautes d'accord
perso, je dirai de cette nouvelle que voilà, tu as posé la trame, maintenant faut bosser dessus, reprendre chaque point et l'améliorer. ta nouvelle grandira en nombre de mots et en clarté. certains passages sont trop courts.
pour la fin, j'ai le sentiment que cet homme plus que de la lâcheté, aurait pu être développé aussi. comme s'il se disait que sa fuite a provoqué la mort des autres otages, que maintenant lui aussi a du sang sur les mains parce qu'il a tenté de fuir...
voilà pour mon avis (qui n'engage que moi, bien évidemment)
perso, je dirai de cette nouvelle que voilà, tu as posé la trame, maintenant faut bosser dessus, reprendre chaque point et l'améliorer. ta nouvelle grandira en nombre de mots et en clarté. certains passages sont trop courts.
pour la fin, j'ai le sentiment que cet homme plus que de la lâcheté, aurait pu être développé aussi. comme s'il se disait que sa fuite a provoqué la mort des autres otages, que maintenant lui aussi a du sang sur les mains parce qu'il a tenté de fuir...
voilà pour mon avis (qui n'engage que moi, bien évidemment)
Re: Cauchemar à la bibliothèque
Merci à tous, pour vos avis.
adrienf- Date d'inscription : 27/01/2012
Age : 29
Localisation : Belgique
Re: Cauchemar à la bibliothèque
C'est donc encore moi qui joue les méchants ! Non, ce n'est pas bon ; un brouillon plein de fautes : orthographe, conjugaison, grammaire, construction, pour raconter une histoire vue des centaines de fois dans les séries B de la télé américaine. A quoi bon ?
et ainsi de suite...
jamais vu la sueur tacher tout un habillement.de plus des taches de sueurs recouvraient l’ensemble de ceux-ci
celles-ciDeux de celle-ci
Tous les autresTout les autres
curieuse formulation.car je devais m’en aller pour en être sur de ce que je pensais
levais, rangeais, m'avançais, passais.je me levai, je rangeai ma chaise habituelle en dessous de son pupitre. Je m'avançai, je passai dans son dos.
joli salmigondis de la conjugaison !Il me projeta contre les carrelages et ma tête ricochait contre ceux-ci. Je perdais connaissance et ses exigences me réveilla.
ne m'importaitt guère, triple faute.Ce sol était glacial mais cela m'importunais guère .
signification, svp.près des grandes baies vitrées que constituaient ce lieu.
sûrJe fus sur de moi.
marchèrenten sortirent et marchaient
et ainsi de suite...
Re: Cauchemar à la bibliothèque
Excuse-moi de ne pas être le nouveau Balzac, Maupassant ou Zola. Cependant, je suis conscient de mes erreurs, toute fois, tu pourrais être un peu plus aimable.
Nous ne pouvons pas plaire à tout le monde !
Alors tes remarques aussi sèches et purement méchantes, je m'en passe.
Désolé à l'admin, d'avoir répondu d'une telle façon, mais je n'ai pas pu résister.
Nous ne pouvons pas plaire à tout le monde !
Alors tes remarques aussi sèches et purement méchantes, je m'en passe.
Désolé à l'admin, d'avoir répondu d'une telle façon, mais je n'ai pas pu résister.
adrienf- Date d'inscription : 27/01/2012
Age : 29
Localisation : Belgique
Re: Cauchemar à la bibliothèque
Mes remarques ne sont ni sèches ni méchantes ; juste justifiées et courtoises. désolé si elle t'on peiné. J'appèle facilement un chat un chat.
Re: Cauchemar à la bibliothèque
J'aime que ce soit clair mais en respectant le travail de l'autre. Ce n'est peut-être pas bon pour toi, mais pour un autre se sera bien.
Chacun son avis.
Chacun son avis.
adrienf- Date d'inscription : 27/01/2012
Age : 29
Localisation : Belgique
Re: Cauchemar à la bibliothèque
Là n'est pas la question. Il ne s'agit pas de plaire ou non à l'un ou à l'autre mais d'écrire correctement ; tout simplement. Et que l'on ait ton âge ou le mien il est indispensable d'accepter la critique, sinon on ne progresse pas.
Re: Cauchemar à la bibliothèque
Je l'accepte mais quand elle est formulée afin d'aider pas de descendre !
adrienf- Date d'inscription : 27/01/2012
Age : 29
Localisation : Belgique
Re: Cauchemar à la bibliothèque
Je crois avoir vu le même chat que Jafou...
Je ne vois pas trop quoi rajouter. Mis à part que Jafou doit s'arracher les cheveux (si il lui en reste) de voir tant de lacunes dans la syntaxe de nos têtes blondes...
Surtout à la lecture de ses propres pérégrinations artistiques à peu près au même âge!
Combien à 13 ans connaissent aujourd'hui le ministre en poste au quai d'Orsay???
Je ne vois pas trop quoi rajouter. Mis à part que Jafou doit s'arracher les cheveux (si il lui en reste) de voir tant de lacunes dans la syntaxe de nos têtes blondes...
Surtout à la lecture de ses propres pérégrinations artistiques à peu près au même âge!
Combien à 13 ans connaissent aujourd'hui le ministre en poste au quai d'Orsay???
Dean_Moriarty- Date d'inscription : 02/06/2011
Age : 38
Localisation : Lille
Re: Cauchemar à la bibliothèque
@Jafou: tu corriges les fautes mais c'est pas une raison pour t'autoproclamer méchant de service. ^^
@Adrienf : je pense pas qu'il t'ai descendu mais il semble que Jafou dispose d'une subtilité bien a lui d'aider les autres. après qu'il aime ou qu'il aime pas ça l’empêche pas de t'avoir rendu service. juste la manière pédagogique qui est étrange
moi j'aime bien ce que tu as fais mais je ne saurais te corriger car je bute énormément sur mes textes lol
@Adrienf : je pense pas qu'il t'ai descendu mais il semble que Jafou dispose d'une subtilité bien a lui d'aider les autres. après qu'il aime ou qu'il aime pas ça l’empêche pas de t'avoir rendu service. juste la manière pédagogique qui est étrange
moi j'aime bien ce que tu as fais mais je ne saurais te corriger car je bute énormément sur mes textes lol
Re: Cauchemar à la bibliothèque
J accepte la critique, cependant je pense que plus sympathiquement n'aurais pas été du luxe.
Je n'ai rien d'autres à ajouter
Je n'ai rien d'autres à ajouter
adrienf- Date d'inscription : 27/01/2012
Age : 29
Localisation : Belgique
Re: Cauchemar à la bibliothèque
en fait, ici, y a ceux qui prennent des gants et ceux qui foncent dans le tas. je crois que j'y ai eu droit aussi aux deux le tout fait avancer, c'est ce qu'il faut se dire. reprends ton texte, prends le temps de te mettre dans la peau du perso, comme si c'était toi qui vivait tout ça. des fois ça marche. ensuite, passe le sous un correcteur ou fait le corriger par un pote, ton père, ta mère, ton frère, ta copine... et tiens compte de leur avis. après, c'est reparti pour un retravail en tenant compte de ces avis extérieurs qui ne seront pas bienveillants, je l'espère.
bon courage
bon courage
Re: Cauchemar à la bibliothèque
Mon Dieu c'est insupportable ces gens qui sous prétexte de franchise vous balancent des grossièretés à la figure! Bien sûr qu'il y a des choses à revoir, les actions s'enchaînent trop vite, la syntaxe laisse à désirer, mais en retravaillant bien sérieusement ton texte tu peux arriver à quelque chose de bon! (je crois avoir lu une autre de tes nouvelles qui était loin d'être mauvaise...) . Réécris plusieurs fois ta nouvelle , passe du temps sur chaque détail, rajoute ou retranche des passages suivant l'effet que tu veux produire... bref, prends du recul par rapport au texte, tout simplement.
Désolée d'avoir réagi aussi vivement mais je suis très intransigeante en matière de politesse et de savoir-vivre. Je ne sais pas, messieurs, si vous apprécieriez que l'on vous jette quatre soi-disant vérités en pleine face de cette façon.
Désolée d'avoir réagi aussi vivement mais je suis très intransigeante en matière de politesse et de savoir-vivre. Je ne sais pas, messieurs, si vous apprécieriez que l'on vous jette quatre soi-disant vérités en pleine face de cette façon.
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