La mort n'est qu'un passage
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La mort n'est qu'un passage
Voici une nouvelle que j'ai écrite il y a maintenant un an pour le lycée:
La mort n’est qu’un passage
Il faisait froid dans cette petite chambre d’hôpital agreste. Malgré les murs blancs, la semi obscurité rendait les lieux lugubres et sans âme. Sans âme, mis à part celles qui, parmi le rythme quasi métronomique de l’électrocardiogramme, n’eussent pas réussi à rejoindre ce que le commun des mortels nomme, le paradis. Un lit était disposé au milieu de la pièce et l’unique fenêtre donnait sur un atrium enneigé dans lequel régnait une solitude et une tranquillité comme on n’en trouve plus ailleurs. Hormis les moments de longues nuits de fêtes, pendant lesquelles de nombreuses personnes ivres de joie se voyaient atterrir en ces lieux ravagés par la maladie, seul les hôpitaux bénéficiaient encore d’une telle quiétude. Le soleil descendait lentement. Les rayons de l’astre mourant traversaient monts et pays pour parvenir aux yeux du malade. Ces raies, transperçant les multiples stalactites de glaces formées sur les gouttières des maison, se décomposaient en de fourmillants faisceaux, inondant les alentours d’une lumière rouge sang et diffuse. Le ciel paraissait alors comme enflammé d’un brasier réchauffant le cœur des plus démunis, leur redonnant l’espoir ; cet espoir que l’on perd si facilement quand on ne fait pas attention aux marches de la vie. Rien ne fut plus beau pour Lui. Sur un lit, tout drapé de blanc, Il était allongé, tout vêtu de blanc. Son visage était fatigué par le rythme du temps, et ses yeux bleus ne reflétaient plus aucune perspective.
Il tenait une bible et une croix dans la main.
L’horloge venait d’afficher quatre heures, il y avait maintenant quelques minutes. La trotteuse se déplaçait voluptueusement sur le cadran, ne se souciant guère du mal qu’elle procure aux personnes perplexes quant à leur courte vie, et du bien qu’elle administre à l’individu le plus impatient. L’Homme pensait, signifiant qu’Il était encore vivant. Cela aurait pu être une idée rassurante en d’autres circonstances, mais pas aujourd’hui. Il était en train de se remémorer ses interminables visites d’extrême-onction, et de cette tristesse qui s’empara de lui à chaque cas au bord de la mort. Cette tristesse, Il semblait l’avoir accumulée, sans jamais en perdre une once.
Il se souvînt de madame Gilberte ; une femme veuve, laide, et sans amis – à part son chien. Elle n’avait pas été gâtée dans sa vie de femme, et la mort la réjouissait sûrement. Elle avait environ la quarantaine quand Il était passé chez elle. Elle était atteinte d’une sévère grippe qui la tua net, ne trouvant aucune résistance. Lui, était passé à la demande de sa fille, unique fille ; et Il avait récité une longue prière, les sens occultés par la fumée et l’odeur de l’encens. Puis, avant de quitter la défunte, Il prononça distinctement : « la mort n’est qu’un passage ».
Son esprit s’égara vers d’autres pensées et, vadrouillant au milieu de nul part, il se retrouva dans la petite cabane de bûcheron, au fond d’un bois, où se trouvait le Père George. Il ne savait pas pourquoi on donnait à cet homme le titre de « Père », car dans sa vie de chrétien, ce fut un gros effort que s’il était allé plus d’une fois à l’église. Ce jour-là, il était assiégé par des rhumes à répétition qui avaient finis par briser ses défenses et, en bon perdant, il décida de se rendre et de ne plus combattre. Il lui fit une prière dans l’unique pièce remplit d’encens. Le Père George était assis sur un rock-chair, et il attendait que le prêtre ait finis, lui souriant d’un sourire vide. Puis avant de quitter la pièce, Il annonça : « la mort n’est qu’un passage », et Il sortit.
Dehors, il pleuvait.
Enfin, sa dernière pensée fut pour cet enfant, Rémi. Il était jeune et vaillant, peu être trop vaillant ; c’est cela qui l’a tué. Cette après-midi là, il avait fait un concours avec son compère. Le gagnant était celui qui avalait le plus de cacahuètes possible ; il en avala une de travers, et il essuya une double défaite : il perdit le concours et la vie. Après avoir fait sa prière, Il se pencha vers le corps étendu sur le lit, et Il lui baisa le front. Il marmonna ces quelques paroles, étouffées dans un sanglot : « la mort n’est qu’un passage ».
Il sortit, laissant derrière lui une vie étouffée, une famille détruite, en larmes, au bord du gouffre de la mort.
Mais, aujourd’hui, tout était loin comme des souvenirs d’un inconnu, bloqués à tout jamais dans un coffre sans serrure. Cela faisait une dizaine d’année qu’Il eût cessé cette activité, las de son travail. Il ne pouvait plus supporter de voir ces innombrables personnes aux portes de la mort, ces personnes espérant de leur cœur malade qu’il existe un autre monde. Un monde où elles pourraient réussir leurs vies gâchées dans l’ici-bas. Un prêtre entra, il se faisait appeler Père Louis. Il alluma des bougies, et il prononça une prière. Cette prière, Il la connaissait par cœur, mais ce n’est que ce matin là qu’Il en comprit vraiment le sens. Avant de quitter la pièce, le prêtre le rassura avec des paroles douces, et ajoutant c’est quelques mots insignifiants : « rassurez-vous, la mort n’est qu’un passage ».
Cette phrase.
Cette phrase qu’Il eut prononcée sans hésitation, la voix claire et nette. Il fallut qu’Il se retrouva en phase terminale de cancer pour en douter. Y avait-il un paradis et un dieu bienveillant ? Y avait-il un enfer et un démon malveillant ? Il ne savait plus. Il s’étonnait de perdre cette certitude aussi rapidement alors qu’Il l’eût prêché pendant de très nombreuses années. Il ne lui restait plus que quelques minutes, mais Il n’eut pas besoin de l’accord des infirmières ou d’un quelconque médecin pour connaître l’heure de son décès ; Il le savait bien avant eux. Ces choses là, Il les sentaient souvent arriver bien avant qu’une personne ne le convie à pratiquer ses visites. Il arrivait même quelque fois que ce fut lui qui aille au devant du proche concerné. Était-ce un don divin ? Encore une fois, Il en avait la certitude, mais encore une fois, Il venait de perdre cette dernière.
Ses mains tremblaient, et l’électrocardiogramme grondait méchamment. La sueur perlait sur son front, et dégoulinait le long de son dos. Son esprit était brouillé et, s’éteignant, Il emporta toute la tristesse qu’Il avait accumulée depuis tant d’années.
Il s’est éteint.
Il connut la réponse à cette ultime question qu’il se posait. Maintenant, où qu’il fut, où qu’il ne fut pas, il était instruit. Il n’avait plus d’hésitation, et cette réponse était comme le plus précieux des or. Malheureusement, il n’était plus là pour partager cet or avec le reste de l’humanité. Celle-ci resta sans ce savoir qui, depuis la nuit des temps, fascine l’homme.
Après la mort, il y a quoi ?
La mort n’est qu’un passage
Il faisait froid dans cette petite chambre d’hôpital agreste. Malgré les murs blancs, la semi obscurité rendait les lieux lugubres et sans âme. Sans âme, mis à part celles qui, parmi le rythme quasi métronomique de l’électrocardiogramme, n’eussent pas réussi à rejoindre ce que le commun des mortels nomme, le paradis. Un lit était disposé au milieu de la pièce et l’unique fenêtre donnait sur un atrium enneigé dans lequel régnait une solitude et une tranquillité comme on n’en trouve plus ailleurs. Hormis les moments de longues nuits de fêtes, pendant lesquelles de nombreuses personnes ivres de joie se voyaient atterrir en ces lieux ravagés par la maladie, seul les hôpitaux bénéficiaient encore d’une telle quiétude. Le soleil descendait lentement. Les rayons de l’astre mourant traversaient monts et pays pour parvenir aux yeux du malade. Ces raies, transperçant les multiples stalactites de glaces formées sur les gouttières des maison, se décomposaient en de fourmillants faisceaux, inondant les alentours d’une lumière rouge sang et diffuse. Le ciel paraissait alors comme enflammé d’un brasier réchauffant le cœur des plus démunis, leur redonnant l’espoir ; cet espoir que l’on perd si facilement quand on ne fait pas attention aux marches de la vie. Rien ne fut plus beau pour Lui. Sur un lit, tout drapé de blanc, Il était allongé, tout vêtu de blanc. Son visage était fatigué par le rythme du temps, et ses yeux bleus ne reflétaient plus aucune perspective.
Il tenait une bible et une croix dans la main.
L’horloge venait d’afficher quatre heures, il y avait maintenant quelques minutes. La trotteuse se déplaçait voluptueusement sur le cadran, ne se souciant guère du mal qu’elle procure aux personnes perplexes quant à leur courte vie, et du bien qu’elle administre à l’individu le plus impatient. L’Homme pensait, signifiant qu’Il était encore vivant. Cela aurait pu être une idée rassurante en d’autres circonstances, mais pas aujourd’hui. Il était en train de se remémorer ses interminables visites d’extrême-onction, et de cette tristesse qui s’empara de lui à chaque cas au bord de la mort. Cette tristesse, Il semblait l’avoir accumulée, sans jamais en perdre une once.
Il se souvînt de madame Gilberte ; une femme veuve, laide, et sans amis – à part son chien. Elle n’avait pas été gâtée dans sa vie de femme, et la mort la réjouissait sûrement. Elle avait environ la quarantaine quand Il était passé chez elle. Elle était atteinte d’une sévère grippe qui la tua net, ne trouvant aucune résistance. Lui, était passé à la demande de sa fille, unique fille ; et Il avait récité une longue prière, les sens occultés par la fumée et l’odeur de l’encens. Puis, avant de quitter la défunte, Il prononça distinctement : « la mort n’est qu’un passage ».
Son esprit s’égara vers d’autres pensées et, vadrouillant au milieu de nul part, il se retrouva dans la petite cabane de bûcheron, au fond d’un bois, où se trouvait le Père George. Il ne savait pas pourquoi on donnait à cet homme le titre de « Père », car dans sa vie de chrétien, ce fut un gros effort que s’il était allé plus d’une fois à l’église. Ce jour-là, il était assiégé par des rhumes à répétition qui avaient finis par briser ses défenses et, en bon perdant, il décida de se rendre et de ne plus combattre. Il lui fit une prière dans l’unique pièce remplit d’encens. Le Père George était assis sur un rock-chair, et il attendait que le prêtre ait finis, lui souriant d’un sourire vide. Puis avant de quitter la pièce, Il annonça : « la mort n’est qu’un passage », et Il sortit.
Dehors, il pleuvait.
Enfin, sa dernière pensée fut pour cet enfant, Rémi. Il était jeune et vaillant, peu être trop vaillant ; c’est cela qui l’a tué. Cette après-midi là, il avait fait un concours avec son compère. Le gagnant était celui qui avalait le plus de cacahuètes possible ; il en avala une de travers, et il essuya une double défaite : il perdit le concours et la vie. Après avoir fait sa prière, Il se pencha vers le corps étendu sur le lit, et Il lui baisa le front. Il marmonna ces quelques paroles, étouffées dans un sanglot : « la mort n’est qu’un passage ».
Il sortit, laissant derrière lui une vie étouffée, une famille détruite, en larmes, au bord du gouffre de la mort.
Mais, aujourd’hui, tout était loin comme des souvenirs d’un inconnu, bloqués à tout jamais dans un coffre sans serrure. Cela faisait une dizaine d’année qu’Il eût cessé cette activité, las de son travail. Il ne pouvait plus supporter de voir ces innombrables personnes aux portes de la mort, ces personnes espérant de leur cœur malade qu’il existe un autre monde. Un monde où elles pourraient réussir leurs vies gâchées dans l’ici-bas. Un prêtre entra, il se faisait appeler Père Louis. Il alluma des bougies, et il prononça une prière. Cette prière, Il la connaissait par cœur, mais ce n’est que ce matin là qu’Il en comprit vraiment le sens. Avant de quitter la pièce, le prêtre le rassura avec des paroles douces, et ajoutant c’est quelques mots insignifiants : « rassurez-vous, la mort n’est qu’un passage ».
Cette phrase.
Cette phrase qu’Il eut prononcée sans hésitation, la voix claire et nette. Il fallut qu’Il se retrouva en phase terminale de cancer pour en douter. Y avait-il un paradis et un dieu bienveillant ? Y avait-il un enfer et un démon malveillant ? Il ne savait plus. Il s’étonnait de perdre cette certitude aussi rapidement alors qu’Il l’eût prêché pendant de très nombreuses années. Il ne lui restait plus que quelques minutes, mais Il n’eut pas besoin de l’accord des infirmières ou d’un quelconque médecin pour connaître l’heure de son décès ; Il le savait bien avant eux. Ces choses là, Il les sentaient souvent arriver bien avant qu’une personne ne le convie à pratiquer ses visites. Il arrivait même quelque fois que ce fut lui qui aille au devant du proche concerné. Était-ce un don divin ? Encore une fois, Il en avait la certitude, mais encore une fois, Il venait de perdre cette dernière.
Ses mains tremblaient, et l’électrocardiogramme grondait méchamment. La sueur perlait sur son front, et dégoulinait le long de son dos. Son esprit était brouillé et, s’éteignant, Il emporta toute la tristesse qu’Il avait accumulée depuis tant d’années.
Il s’est éteint.
Il connut la réponse à cette ultime question qu’il se posait. Maintenant, où qu’il fut, où qu’il ne fut pas, il était instruit. Il n’avait plus d’hésitation, et cette réponse était comme le plus précieux des or. Malheureusement, il n’était plus là pour partager cet or avec le reste de l’humanité. Celle-ci resta sans ce savoir qui, depuis la nuit des temps, fascine l’homme.
Après la mort, il y a quoi ?
leonlio- Date d'inscription : 11/07/2011
Age : 31
Re: La mort n'est qu'un passage
très belle histoire. j'ai buté sur quelques concordance de temps, mais à part ça, c'est bien mené. je crois qu'on est nombreux à s'attendre à avoir peur au moment où ce sera notre tour.
Re: La mort n'est qu'un passage
Comme l'a dit Extialis, il y a quelques verbes qui ne sont pas conjugués au bon temps, mais aussi des virgules mal placées.
Une autre erreur récurrente: on ne met normalement pas de virgule avant "et". On peut précéder le "et" par une virgule occasionnellement pour donner un petit effet, mais toi tu le fais presque systématiquement.
Aussi, tu répètes beaucoup le "il" dans les phrases alors que tu pourrais t'en passer et alléger le tout. Par exemple: "Il se pencha vers le corps étendu sur le lit, et Il lui baisa le front" pourrait facilement devenir "Il se pencha vers le corps étendu sur le lit et lui baisa le front"
Et on dit un rocking-chair.
Quelques autres remarques:
- "Sans âme, mis à part celles qui..." Je ne sais pas, ça me fait un effet bizarre. Ca me donne l'impression de ne pas être logique, mais enfin, ça n'est peut-être que moi
- "mis à part celles qui ... n’eussent pas réussi à rejoindre" Je ne comprends pas pourquoi tu emploies le subjonctif ici. => "n'avaient pas..." ça ira très bien.
- "ce que le commun des mortels nomme, le paradis" Il ne devrait pas y avoir de virgule.
Une autre erreur récurrente: on ne met normalement pas de virgule avant "et". On peut précéder le "et" par une virgule occasionnellement pour donner un petit effet, mais toi tu le fais presque systématiquement.
Aussi, tu répètes beaucoup le "il" dans les phrases alors que tu pourrais t'en passer et alléger le tout. Par exemple: "Il se pencha vers le corps étendu sur le lit, et Il lui baisa le front" pourrait facilement devenir "Il se pencha vers le corps étendu sur le lit et lui baisa le front"
Et on dit un rocking-chair.
Quelques autres remarques:
Dans cette phrase, il y a plusieurs problèmes:Sans âme, mis à part celles qui, parmi le rythme quasi métronomique de l’électrocardiogramme, n’eussent pas réussi à rejoindre ce que le commun des mortels nomme, le paradis.
- "Sans âme, mis à part celles qui..." Je ne sais pas, ça me fait un effet bizarre. Ca me donne l'impression de ne pas être logique, mais enfin, ça n'est peut-être que moi
- "mis à part celles qui ... n’eussent pas réussi à rejoindre" Je ne comprends pas pourquoi tu emploies le subjonctif ici. => "n'avaient pas..." ça ira très bien.
- "ce que le commun des mortels nomme, le paradis" Il ne devrait pas y avoir de virgule.
Voluptueusement? Tu devrais peut-être choisir un autre terme. Personnellement, je ne vois rien de voluptueux à une aiguille qui se déplace sur un cadran.La trotteuse se déplaçait voluptueusement sur le cadran...
La quarantaine suggère déjà un âge approximatif, donc tu peux retirer "environ" ou bien "environ quarante ans"Elle avait environ la quarantaine...
La 1er virgule ne me semble pas juste: tu sépares le sujet de son verbe. Ensuite, la fin de la phrase "sa fille, unique fille" me paraît un peu lourde ou mal formuléeLui, était passé à la demande de sa fille, unique fille
"il avait prononcé" pout garder le même temps que dans la phrase précédente.Puis, avant de quitter la défunte, Il prononça distinctement : « la mort n’est qu’un passage ».
Encore une fois ce subjonctif. "qu'il avait cessé"Cela faisait une dizaine d’année qu’Il eût cessé cette activité, las de son travail.
"qu'il avait prononcée"Cette phrase qu’Il eut prononcée sans hésitation, la voix claire et nette.
"alors qu'il l'avait prêchée"Il s’étonnait de perdre cette certitude aussi rapidement alors qu’Il l’eût prêché pendant de très nombreuses années.
Là, y a un réel problème avec le temps. J'aurais dit: "Il était même arrivé que..."Il arrivait même quelque fois que ce fut lui qui aille au devant du proche concerné.
Si tu veux être en accord avec le reste du récit, je pense que tu devrais mettre au passé simple: "Il s'éteignit."Il s’est éteint.
Re: La mort n'est qu'un passage
Merci beaucoup à vous deux!
Et merci galligham pour cette correction détaillée, j'en apprend beaucoup!
Et merci galligham pour cette correction détaillée, j'en apprend beaucoup!
leonlio- Date d'inscription : 11/07/2011
Age : 31
La mort n'est qu'un passage.
A part les quelques remarques formulées, sur la concordance du temps et les tournures de phrases, par les intervenants, l'écrit est bien articulé et le message est assez clair. En effet la mort n'est qu'un passage pour aller de l'autre côté.
Amicalement Roudane.
Amicalement Roudane.
ROUDANE- Date d'inscription : 01/06/2011
Age : 76
Re: La mort n'est qu'un passage
Merci à toi Roudane, dès que j'aurais le temps, c'est-à-dire le weekend prochain j'apporterai les modifications et je posterai le texte corrigé.
Merci d'être passé et bonne soirée!
Merci d'être passé et bonne soirée!
leonlio- Date d'inscription : 11/07/2011
Age : 31
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