Etoile givrée
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Etoile givrée
Voilà, le début d'un poème, j'aimerais que vous me disiez ce que vous en penser, ça m'aiderait beaucoup ^^.
Correction apportée.
Sous les feuillages jade et féeriques, les lacs et rivières écumaient les pensées. Protégées de reflets bienveillants les âmes pures et candides ouïssaient mythes et légendes. Éclairées et créatives elles percevaient les mélodies salvatrices, celles de bises légères et glacées inspiraient de Borée. Ses vents blizzardés - susurrent les esprits - sommeillent dans l'inconscient collectif, mais les mortels peureux et barbares délaissent l'illustre Vérité, car frileux et soumis ils se voilent de fourrures irritantes et putrides. Ainsi seules âmes vierges et douces jouissaient de bienfaits infantiles et sentaient l'éclat glacé, symbole d'espérance refoulée.
Douce et généreuse les lueurs émeraude scintillent et révèlent l'aspect de ces divinités. Sveltes, souples elles virevoltent en jets étoilés, flamboyantes d'ondes illunées. Habiles, elles peuvent et contemplent les pulsions interdites puis voyagent en ses notes. La colère et la haine s'effondrent sous leurs ondes. Mais la paix, l’honnêteté prime sous leurs jets. Ainsi elles décèlent le secret de longévité.
Mais cet art, ce nectar aux faveurs immortelles, ce venin au combien savoureux n'ést qu’élixir mortifère. En effet les Nymphes ne peuvent assouvir leurs envies car seule la vision leurs est permise, au jamais elles ne peuvent réaliser les fantasmes imagés. Les Déités l'interdisent. Égoïstes et orgueilleuses, elles estiment être seules à pouvoir prétendre au bonheur et ses bienfaits. Sous ces pressions divines, les Ouranies faiblissent, ne peuvent jouir d'immortalité ; abandonnées, attristées, elles préfèrent mourir et délaisser leurs souffrances trop longtemps éprouvées.
Mais parfois, des Ouranies plus téméraires osent franchir les frontières. Parce qu' électrisées l'une et l'autre par leurs foudres enflammées, elles mènent leur regard en la source désirée. Parce que leurs cils dernier rempart, capable d'ombrer le givre, s'élèvent, dénoncent leurs bises aux reflets infantiles, puissants désirs perceptibles. À ce jet encré leurs voûtes célestes s'éveillent, embrase le ciel. Sous la lueur d'une libre insouciance leurs cœurs s'effleurent, leurs parfums échevelés se mêlent aux lèvres caressées, douce passion illunée. En ces braises astrales leurs voiles s'épousent, forment un geyser splendide et stellaire. Magnétisées d'écume célestée, leurs âmes baignent dans typhons et tempêtes. Ensevelies dans l'abysse inespéré, elles volent en secrets et mystères.
Ainsi, la flamme timorée et brûlante encontra la foudre glaçante et sacrée. Aspirées par ces étincelles bleutées les flammèches s'étouffèrent ... Alors elles perçurent la source de ces ondes azurées ; une cape électrisante liée aux éclairs des orages. La nymphe vêtue de cet attribut, cheminait et soufflait sa glace fière et solide sur son paysage psychique. Désert immaculé, arbres décharnés et abandonnés étaient reflets de ses sombres pensées. Toutes protégées d'un brouillard opale et fier, apte à masquer faiblesse et détresse.
Le glas révélé, la brume expira, l'iceberg ne pouvait plus dissimuler son mal sous les tréfonds de son océan. La flamme avait pénétré les ténèbres océaniques et brûla la glace. Sa bonté et sa chaleur insufflèrent sourire mordoré et caresses chatoyantes. Ses flammèches forgèrent une glace polie, douce et cristalline. La rudesse et la mort quittèrent la psyché glacée.
En cours ....
Correction apportée.
Flamme timorée et Foudre glacée
Sous les feuillages jade et féeriques, les lacs et rivières écumaient les pensées. Protégées de reflets bienveillants les âmes pures et candides ouïssaient mythes et légendes. Éclairées et créatives elles percevaient les mélodies salvatrices, celles de bises légères et glacées inspiraient de Borée. Ses vents blizzardés - susurrent les esprits - sommeillent dans l'inconscient collectif, mais les mortels peureux et barbares délaissent l'illustre Vérité, car frileux et soumis ils se voilent de fourrures irritantes et putrides. Ainsi seules âmes vierges et douces jouissaient de bienfaits infantiles et sentaient l'éclat glacé, symbole d'espérance refoulée.
Douce et généreuse les lueurs émeraude scintillent et révèlent l'aspect de ces divinités. Sveltes, souples elles virevoltent en jets étoilés, flamboyantes d'ondes illunées. Habiles, elles peuvent et contemplent les pulsions interdites puis voyagent en ses notes. La colère et la haine s'effondrent sous leurs ondes. Mais la paix, l’honnêteté prime sous leurs jets. Ainsi elles décèlent le secret de longévité.
Mais cet art, ce nectar aux faveurs immortelles, ce venin au combien savoureux n'ést qu’élixir mortifère. En effet les Nymphes ne peuvent assouvir leurs envies car seule la vision leurs est permise, au jamais elles ne peuvent réaliser les fantasmes imagés. Les Déités l'interdisent. Égoïstes et orgueilleuses, elles estiment être seules à pouvoir prétendre au bonheur et ses bienfaits. Sous ces pressions divines, les Ouranies faiblissent, ne peuvent jouir d'immortalité ; abandonnées, attristées, elles préfèrent mourir et délaisser leurs souffrances trop longtemps éprouvées.
Mais parfois, des Ouranies plus téméraires osent franchir les frontières. Parce qu' électrisées l'une et l'autre par leurs foudres enflammées, elles mènent leur regard en la source désirée. Parce que leurs cils dernier rempart, capable d'ombrer le givre, s'élèvent, dénoncent leurs bises aux reflets infantiles, puissants désirs perceptibles. À ce jet encré leurs voûtes célestes s'éveillent, embrase le ciel. Sous la lueur d'une libre insouciance leurs cœurs s'effleurent, leurs parfums échevelés se mêlent aux lèvres caressées, douce passion illunée. En ces braises astrales leurs voiles s'épousent, forment un geyser splendide et stellaire. Magnétisées d'écume célestée, leurs âmes baignent dans typhons et tempêtes. Ensevelies dans l'abysse inespéré, elles volent en secrets et mystères.
Ainsi, la flamme timorée et brûlante encontra la foudre glaçante et sacrée. Aspirées par ces étincelles bleutées les flammèches s'étouffèrent ... Alors elles perçurent la source de ces ondes azurées ; une cape électrisante liée aux éclairs des orages. La nymphe vêtue de cet attribut, cheminait et soufflait sa glace fière et solide sur son paysage psychique. Désert immaculé, arbres décharnés et abandonnés étaient reflets de ses sombres pensées. Toutes protégées d'un brouillard opale et fier, apte à masquer faiblesse et détresse.
Le glas révélé, la brume expira, l'iceberg ne pouvait plus dissimuler son mal sous les tréfonds de son océan. La flamme avait pénétré les ténèbres océaniques et brûla la glace. Sa bonté et sa chaleur insufflèrent sourire mordoré et caresses chatoyantes. Ses flammèches forgèrent une glace polie, douce et cristalline. La rudesse et la mort quittèrent la psyché glacée.
En cours ....
Dernière édition par Akuryou Lighted le Jeu 11 Aoû - 10:35, édité 9 fois
Akuryou Lighted- Date d'inscription : 02/06/2011
Re: Etoile givrée
Coucou, Justine, suis content de te lire...
J'avoue que je ne sais trop quoi penser de ce qui ressemble un peu au début d'un poème épique. Je l'ai lu et relu. J'ai aimé des images et la musique de tes phrases qui me touchent, mais le sens m'a parfois échappé. Disons aussi que certaines fautes n'aident pas à tout comprendre... et quelques mots et formules dont je m'interroge sur le sens (illunent ?)
J'avoue que je ne sais trop quoi penser de ce qui ressemble un peu au début d'un poème épique. Je l'ai lu et relu. J'ai aimé des images et la musique de tes phrases qui me touchent, mais le sens m'a parfois échappé. Disons aussi que certaines fautes n'aident pas à tout comprendre... et quelques mots et formules dont je m'interroge sur le sens (illunent ?)
Re: Etoile givrée
Je suis contente que tu aimes me lire :p.
Un poème épique, j'avoue que j'aimerais que tu m'expliques ce que tu entends par épique, car pour moi c'est relatif à la guerre et là, j'ai dû mal à voir ces images épiques.
ça me fait vraiment plaisir que tu aimes la musicalité que j'ai travaillée, car à force de ne plus écrire, retrouver le rythme n'a pas été chose aisée. Quant aux images, je suis ravie qu'elles t'aient faites "voyager".
Si ça ne te déranges pas, tu ne voudrais pas me dire là où tu as dû mal à comprendre la formulation. Sinon, "illuner" c'est simplement un synonyme de "illuminer" mais pour la lune ;p, mais je crois que c'est un néologisme de ma part.
Un poème épique, j'avoue que j'aimerais que tu m'expliques ce que tu entends par épique, car pour moi c'est relatif à la guerre et là, j'ai dû mal à voir ces images épiques.
ça me fait vraiment plaisir que tu aimes la musicalité que j'ai travaillée, car à force de ne plus écrire, retrouver le rythme n'a pas été chose aisée. Quant aux images, je suis ravie qu'elles t'aient faites "voyager".
Si ça ne te déranges pas, tu ne voudrais pas me dire là où tu as dû mal à comprendre la formulation. Sinon, "illuner" c'est simplement un synonyme de "illuminer" mais pour la lune ;p, mais je crois que c'est un néologisme de ma part.
Akuryou Lighted- Date d'inscription : 02/06/2011
Re: Etoile givrée
Épique ne veut pas forcément dire guerre...
C'est le côté mythologique je crois qui m'a fait penser au décor, au cadre, au début d'un poème épique... quelque chose de grandiose qui va servir de cadre à l'histoire d'un héros extraordinaire, tu vois ?
Illuner, je l'avais bien vu comme ça ! et j'ai trouvé l'image jolie !
Protégée de reflets bienveillants les âmes pures et candides ouïssaient de mythes et légendes. ouissaient de mythes me semble bizarre... ouissaient mythes et légendes oui
Parce que leurs cils dernier remparts, capable d'ombrer le givre, s'élève, dénonce leurs bises aux reflets infantiles, puissants désirs perceptibles (comprends pas trop... ou alors il y a pas mal de fautes...)
En fait, tu devrais relire attentivement pour chasser les fautes et en particulier faire attention aux accords... ça peut être important !
C'est le côté mythologique je crois qui m'a fait penser au décor, au cadre, au début d'un poème épique... quelque chose de grandiose qui va servir de cadre à l'histoire d'un héros extraordinaire, tu vois ?
Illuner, je l'avais bien vu comme ça ! et j'ai trouvé l'image jolie !
Protégée de reflets bienveillants les âmes pures et candides ouïssaient de mythes et légendes. ouissaient de mythes me semble bizarre... ouissaient mythes et légendes oui
Parce que leurs cils dernier remparts, capable d'ombrer le givre, s'élève, dénonce leurs bises aux reflets infantiles, puissants désirs perceptibles (comprends pas trop... ou alors il y a pas mal de fautes...)
En fait, tu devrais relire attentivement pour chasser les fautes et en particulier faire attention aux accords... ça peut être important !
Re: Etoile givrée
Ah ok, je vois .
Merci, pour "Ouïssaient" ^^
Oui, il y a deux fautes : "Parce que leurs cils dernier rempart, capable d'ombrer le givre,
s'élèvent, dénoncent leurs bises aux reflets infantiles, puissants désirs
perceptibles". Tu comprends mieux, où cela n'est toujours pas clair ?
Merci, pour "Ouïssaient" ^^
Oui, il y a deux fautes : "Parce que leurs cils dernier rempart, capable d'ombrer le givre,
s'élèvent, dénoncent leurs bises aux reflets infantiles, puissants désirs
perceptibles". Tu comprends mieux, où cela n'est toujours pas clair ?
Akuryou Lighted- Date d'inscription : 02/06/2011
Re: Etoile givrée
Dommage toujours trop de fautes ! Et la ponctuation aussi est importante, surtout dans des descriptions !
Sous les feuillages féeriques(virgule) les lacs et rivières écumaient les pensées. Protégée(Protégées) de reflets bienveillants(virgule) les âmes pures et candides ouïssaient mythes et légendes. Éclairées et créatives(virgule) elles percevaient les mélodies salvatrices, celles de bises légères et glacées inspiraient de Borée. Ses vents blizzardés(n’existe pas : marmoréens) –(manque une espace)susurrent les esprits(manque une espace)- sommeillent dans l'(espace en trop) inconscient collectif, mais les mortels peureux et barbares délaissent l'illustre Vérité, car frileux et soumis ils se voilent de fourrure(fourrures) irritantes et putrides. Ainsi(virgule) seules âmes vierges et douces jouissaient de bienfaits infantiles et sentaient l'éclat glacée(glacé), symbole d'espérance refoulée.
Douce et généreuse les lueurs émeraudes(émeraude : utilisé comme adjectif reste toujours invariable) scintillent et révèlent l'aspect de ces divinités. Sveltes, souples(virgule) elles virevoltent en jets étoilés, flamboyantes d'ondes illunées(n’existe pas : coruscantes si tu veux rester dans le sens de flamboyantes ou éthérées si tu veux faire un contraste). Habiles, elles peuvent et contemplent les pulsions interdites puis voyagent en ses notes. La colère et la haine s'effondrent sous leurs ondes. Mais la paix, l’honnête(virgule) prime sous leurs jets. Ainsi(virgule) elles décèlent le secret de longévité.
Malheureusement, cet art insufflé des Dieux(espace en trop) , ce nectar aux faveurs immortels(immortelles), n'était qu’élixir mortifère. En effet(virgule) les Nymphes ne peuvent assouvir leurs envies(virgule) car seule la vision leurs est permise, au jamais elles ne peuvent réaliser les fantasmes imagés. Les Déités l'interdisent. Égoïstes et orgueilleux(orgueilleuses : déités est féminin), ils(elles) estiment être seuls à pouvoir prétendre au bonheur et ses bienfaits. A(À) ces pressions divines, les Ouranies faiblissent, ne peuvent jouir d'(espace en trop) immortalité,(point virgule à la place de la virgule) abandonnées, attristées, elles préfèrent mourir et délaisser leurs souffrances trop longtemps éprouvées.
Mais parfois(virgule) des Ouranies plus téméraires osent franchir les frontières. Parce qu'(espace en trop) électrisées l'une et l'autre par leurs foudres enflammées, elles mènent leur regard en la source désirée. Parce que leurs cils dernier rempart, capable d'ombrer le givre, s'élèvent, dénoncent leurs bises aux reflets infantiles, puissants désirs perceptibles. A(À) ce jet encré(virgule) leurs voûtes célestes s'éveillent, illunent(n’existe pas : "s’embrase" si tu veux que ce soit lumineux ou "se pare le ciel d'une voilure arachnéenne" pour quelque chose de plus aérien) le ciel. Sous la lueur d'une libre insouciance(virgule) leur(leurs) cœur(cœurs) s'effleurent, leurs parfums échevelés se mêlent aux lèvres caressées, douce passion illunée(répété pour la troisième fois : vaporeuse, diaphane).
A(À) ces braises astrales(virgule) leurs voiles s'épousèrent, formèrent un geyser splendide et stellaire. Magnétisées d'écume célestée(n’existe pas : céleste, divine, séraphique), leurs âmes baignèrent dans typhons et tempêtes. Ensevelie(Ensevelies) dans l'abysse inespéré, elles volèrent en secrets et mystères.
[b]
Sous les feuillages féeriques(virgule) les lacs et rivières écumaient les pensées. Protégée(Protégées) de reflets bienveillants(virgule) les âmes pures et candides ouïssaient mythes et légendes. Éclairées et créatives(virgule) elles percevaient les mélodies salvatrices, celles de bises légères et glacées inspiraient de Borée. Ses vents blizzardés(n’existe pas : marmoréens) –(manque une espace)susurrent les esprits(manque une espace)- sommeillent dans l'(espace en trop) inconscient collectif, mais les mortels peureux et barbares délaissent l'illustre Vérité, car frileux et soumis ils se voilent de fourrure(fourrures) irritantes et putrides. Ainsi(virgule) seules âmes vierges et douces jouissaient de bienfaits infantiles et sentaient l'éclat glacée(glacé), symbole d'espérance refoulée.
Douce et généreuse les lueurs émeraudes(émeraude : utilisé comme adjectif reste toujours invariable) scintillent et révèlent l'aspect de ces divinités. Sveltes, souples(virgule) elles virevoltent en jets étoilés, flamboyantes d'ondes illunées(n’existe pas : coruscantes si tu veux rester dans le sens de flamboyantes ou éthérées si tu veux faire un contraste). Habiles, elles peuvent et contemplent les pulsions interdites puis voyagent en ses notes. La colère et la haine s'effondrent sous leurs ondes. Mais la paix, l’honnête(virgule) prime sous leurs jets. Ainsi(virgule) elles décèlent le secret de longévité.
Malheureusement, cet art insufflé des Dieux(espace en trop) , ce nectar aux faveurs immortels(immortelles), n'était qu’élixir mortifère. En effet(virgule) les Nymphes ne peuvent assouvir leurs envies(virgule) car seule la vision leurs est permise, au jamais elles ne peuvent réaliser les fantasmes imagés. Les Déités l'interdisent. Égoïstes et orgueilleux(orgueilleuses : déités est féminin), ils(elles) estiment être seuls à pouvoir prétendre au bonheur et ses bienfaits. A(À) ces pressions divines, les Ouranies faiblissent, ne peuvent jouir d'(espace en trop) immortalité,(point virgule à la place de la virgule) abandonnées, attristées, elles préfèrent mourir et délaisser leurs souffrances trop longtemps éprouvées.
Mais parfois(virgule) des Ouranies plus téméraires osent franchir les frontières. Parce qu'(espace en trop) électrisées l'une et l'autre par leurs foudres enflammées, elles mènent leur regard en la source désirée. Parce que leurs cils dernier rempart, capable d'ombrer le givre, s'élèvent, dénoncent leurs bises aux reflets infantiles, puissants désirs perceptibles. A(À) ce jet encré(virgule) leurs voûtes célestes s'éveillent, illunent(n’existe pas : "s’embrase" si tu veux que ce soit lumineux ou "se pare le ciel d'une voilure arachnéenne" pour quelque chose de plus aérien) le ciel. Sous la lueur d'une libre insouciance(virgule) leur(leurs) cœur(cœurs) s'effleurent, leurs parfums échevelés se mêlent aux lèvres caressées, douce passion illunée(répété pour la troisième fois : vaporeuse, diaphane).
A(À) ces braises astrales(virgule) leurs voiles s'épousèrent, formèrent un geyser splendide et stellaire. Magnétisées d'écume célestée(n’existe pas : céleste, divine, séraphique), leurs âmes baignèrent dans typhons et tempêtes. Ensevelie(Ensevelies) dans l'abysse inespéré, elles volèrent en secrets et mystères.
[b]
schadow54- Date d'inscription : 15/07/2011
Age : 66
Localisation : 54
Re: Etoile givrée
Merci pour cette correction, néanmoins saches que les virgules que tu as placé, je l'avais fait à mon premier jet, mais parce que je trouvais qu'elles cassaient le rythme je les ai enlevées. Regardes, c'est quand même plus agréable de lire :
-"Protégée de reflets bienveillants les âmes pures et candides ouïssaient mythes et légendes."
que
-"Protégée de reflets bienveillants, les âmes pures et candides ouïssaient mythes et légendes.
Même si le verbe "illuner" n'existe pas, je continuerai à l'employer, car c'est le seul qui peut clairement définir ce que je ressens et perçois. Mais, tu as raison je vais en retirer un.
En ce qui concerne les fautes, je te remercie , je vois qu'il y a bien longtemps que je n'ai pas écrit.
-"Protégée de reflets bienveillants les âmes pures et candides ouïssaient mythes et légendes."
que
-"Protégée de reflets bienveillants, les âmes pures et candides ouïssaient mythes et légendes.
Même si le verbe "illuner" n'existe pas, je continuerai à l'employer, car c'est le seul qui peut clairement définir ce que je ressens et perçois. Mais, tu as raison je vais en retirer un.
En ce qui concerne les fautes, je te remercie , je vois qu'il y a bien longtemps que je n'ai pas écrit.
Akuryou Lighted- Date d'inscription : 02/06/2011
Re: Etoile givrée
— de fourrure irritantes et putrides : fourrures au pluriel
— elles estiment être seuls à pouvoir : seules (je l’avais oubliée)
— leur cœur s'effleurent : leurs cœurs (s’ils s’effleurent c’est qu’il y en a au moins deux donc pluriel)
Si là, elle te gêne, alors pourquoi en as-tu mis dans le reste du texte ?
http://www.synapse-fr.com/manuels/U_VIRG.htm
— elles estiment être seuls à pouvoir : seules (je l’avais oubliée)
— leur cœur s'effleurent : leurs cœurs (s’ils s’effleurent c’est qu’il y en a au moins deux donc pluriel)
Personnellement je trouve la lecture beaucoup plus fluide avec les virgules. Elles servent aussi à démarquer le sujet de la subordonnée placée avant
-"Protégée de reflets bienveillants les âmes pures et candides ouïssaient mythes et légendes."
que
-"Protégée de reflets bienveillants, les âmes pures et candides ouïssaient mythes et légendes.
Si là, elle te gêne, alors pourquoi en as-tu mis dans le reste du texte ?
http://www.synapse-fr.com/manuels/U_VIRG.htm
schadow54- Date d'inscription : 15/07/2011
Age : 66
Localisation : 54
Re: Etoile givrée
Merci pour ces autres fautes, néanmoins, je ne comprends pas pourquoi je dois mettre "leur cœur" au pluriel, puisqu'elle ne possède toute deux qu'un cœur.
J'en ai mis dans le reste du texte, parce que j'estimais qu'ici, elles ne cassaient pas le rythme.
Merci encore .
D'autres commentaires les gens, svp ?
J'en ai mis dans le reste du texte, parce que j'estimais qu'ici, elles ne cassaient pas le rythme.
Merci encore .
D'autres commentaires les gens, svp ?
Akuryou Lighted- Date d'inscription : 02/06/2011
Re: Etoile givrée
leurs coeurs s'effleurent je suis d'accord avec schadows, il y en a deux qui s'effleurent. sinon, son coeur s'effleure avec le sien, tu vois ce que je veux dire?
Re: Etoile givrée
Ok, merci, je remplace.
Mais, je voudrais juste savoir, aimez-vous le texte ?
Mais, je voudrais juste savoir, aimez-vous le texte ?
Akuryou Lighted- Date d'inscription : 02/06/2011
Re: Etoile givrée
moi j'aime la musicalité qui s'en dégage, une sorte de nuage éthéré, je ne comprend pas tout mais ça chante comme un poème. t'es comme lesombreminuit, mystérieuse et inédite. vous deux, vous n'écrivez pas comme les autres
Re: Etoile givrée
Merci, c'est vraiment plaisant d'entendre ça ^^.
J'adore ta comparaison avec "nuage "éthéré".
D'autres commentaires, les gens, svp ?
J'adore ta comparaison avec "nuage "éthéré".
D'autres commentaires, les gens, svp ?
Akuryou Lighted- Date d'inscription : 02/06/2011
Re: Etoile givrée
Contente que tu aies aimé ^^
Si ça ne te déranges, tu pourrais m'indiquer les passages que tu ne comprends pas ?
Si ça ne te déranges, tu pourrais m'indiquer les passages que tu ne comprends pas ?
Akuryou Lighted- Date d'inscription : 02/06/2011
Re: Etoile givrée
c'est gentil, merci. J'espère que tu vas bien.
Akuryou Lighted- Date d'inscription : 02/06/2011
Re: Etoile givrée
c'est pas le pied, mais bon, mes garçons sont en vie, alors... je dis que oui, tout va bien, merci. le reste...
Re: Etoile givrée
Comme le reste, de jolies phrases collées ensemble qui ne veulent pas dire grand-chose ! Je ne saisis toujours pas ce que tu veux décrire ou quel message tu veux faire passer, et avec toujours autant de fautes.
Ainsi, la flamme timorée et brûlante encontra(rencontra) la foudre glaçante et sacrée. Aspirée(Aspirées) par ces étincelles bleutées(virgule) les flammèches s'étouffèrent ... Alors(virgule) elles perçurent la source de ces ondes azurées ; une cape electrisante(électrisante) liée aux éclairs des orages. La nymphe vêtue de cet attribut, cheminait et soufflait sa glace fière et solide sur son paysage psychique. Désert immaculée(immaculé), arbres décharnés et abandonnés, étaient(était : vu la construction de ta phrase le sujet est désert sinon il faut supprimer la virgule avant) reflets de ses sombres pensées. Toutes protégés(protégées) d'un brouillard opale et fière(fier), apte à masquer faiblesse et détresse.
Le glas révélé, la brume expira, l'iceberg ne pouvait(put) plus dissimuler son mal sous les trefonds(tréfonds) de son océan. La flamme avait pénétré(pénétra) les ténèbres océaniques et brûla la glace. Sa bonté et sa chaleur insufflèrent sourire mordoré et caresses chatoyantes. Ses flammèches forgèrent une glace polie, douce et cristalline. La rudesse et la mort quittèrent la psychée(psyché : avec un e c’est un prénom) glacée.
Ainsi, la flamme timorée et brûlante encontra(rencontra) la foudre glaçante et sacrée. Aspirée(Aspirées) par ces étincelles bleutées(virgule) les flammèches s'étouffèrent ... Alors(virgule) elles perçurent la source de ces ondes azurées ; une cape electrisante(électrisante) liée aux éclairs des orages. La nymphe vêtue de cet attribut, cheminait et soufflait sa glace fière et solide sur son paysage psychique. Désert immaculée(immaculé), arbres décharnés et abandonnés, étaient(était : vu la construction de ta phrase le sujet est désert sinon il faut supprimer la virgule avant) reflets de ses sombres pensées. Toutes protégés(protégées) d'un brouillard opale et fière(fier), apte à masquer faiblesse et détresse.
Le glas révélé, la brume expira, l'iceberg ne pouvait(put) plus dissimuler son mal sous les trefonds(tréfonds) de son océan. La flamme avait pénétré(pénétra) les ténèbres océaniques et brûla la glace. Sa bonté et sa chaleur insufflèrent sourire mordoré et caresses chatoyantes. Ses flammèches forgèrent une glace polie, douce et cristalline. La rudesse et la mort quittèrent la psychée(psyché : avec un e c’est un prénom) glacée.
schadow54- Date d'inscription : 15/07/2011
Age : 66
Localisation : 54
Re: Etoile givrée
Je m'excuse, effectivement, de nombreuses fautes d'orthographe, néanmoins dire que mon texte ne veut pas dire grand-chose, je ne le supporte pas.
Je n'écris pas pour faire de jolies tournures qui ne signifient rien, chaque mot est choisi avec une intention particulière. Si tu n'essaies pas de lire entre les lignes, que tu cherches à comprendre d'une traite, que pour toi, seules les règles françaises sontimportantes (virgule, etc), c'est évident, que tu n'aimeras pas lire mes textes, dans ce cas, ne te force pas.
Sur ce, je te remercie quand même, pour la correction et ta lecture.
Ce n'est pas que je n'aime pas la critique, mais je les aime constructives.
Je n'écris pas pour faire de jolies tournures qui ne signifient rien, chaque mot est choisi avec une intention particulière. Si tu n'essaies pas de lire entre les lignes, que tu cherches à comprendre d'une traite, que pour toi, seules les règles françaises sontimportantes (virgule, etc), c'est évident, que tu n'aimeras pas lire mes textes, dans ce cas, ne te force pas.
Sur ce, je te remercie quand même, pour la correction et ta lecture.
Ce n'est pas que je n'aime pas la critique, mais je les aime constructives.
Akuryou Lighted- Date d'inscription : 02/06/2011
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