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Je ne veux pas que tu me rejoingnes

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Wellyf
mathmatha
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Message par mathmatha Lun 13 Juin - 18:54

Isle-sur-Avron, 5 Juillet 1940
Ma très chère femme,

Je t'écris cette lettre d'une ferme fortifiée et isolée que nous avons trouvée, mes compagnons et moi, après plusieurs jours de recherches. La semaine passée en cavale dans tout le pays n'a pas été de tout repos. Je n'ai pu trouver le sommeil que très rarement. La vision de ces "Français" nous pourchassant par monts et par vaux, dans la seule ambition de nous tuer, me hantait. Je pourrais te décrire chaque endroit dans lequel nous sommes allés, chaque personne qui nous a aidées et au contraire, celles qui nous ont livrés, mais cela ne servirait à rien. Lorsque nous sommes arrivés dans notre cachette, un homme m'a parlé de toi. Il m'a dit que que tu voulais me rejoindre. J'écris cette lettre dans l'espoir de t'en dissuader. Avant de la froisser, lis-la jusqu'au bout, je t'en conjure, essaye de rester en vie tant que tu le peux encore.

Je te mentirais si je te disais que tu ne me manques pas. Mon corps brûle d'envie de te retrouver, mon esprit brûle d'envie de te parler. Ma vie sans toi me semble fade. Elle est comme une étoile qui ne brille plus, mais les conditions de mon existence sont telles que je ne peux me résoudre à te faire venir à mes côtés. Crois-moi, je t'en prie ! Nous sommes une vingtaine de soldats dans ce lieu clos et reculé de toute âme autre que les nôtres, celles d'êtres humains traqués pour leurs valeurs. Nous dormons sur un sol en terre battue, les fenêtres sont obstruées par des sacs, limitant notre vue sur le monde, nous isolant plus encore de la réalité. Nous n'avons presque plus de vivres, mais nous ne pouvons sortir. Nous nous occupons comme nous le pouvons. Je passe mes journées à guetter l'ennemi derrière nos meurtrières de fortune. Personne n'est encore venu, mais cela ne saurait tarder. Il faudrait alors tuer, abattre un à un mes anciens compagnons. Je ne veux pas le faire. Je ne peux pas le faire. C'est au-dessus de mes forces, mais j'attends cet instant car je sais qu'il viendra et que je ne pourrai pas reculer. Le soir, l'ambiance change. A l'ombre de la flamme vacillante d'une bougie, je conte ces centaines d'histoires que tu aimais tant. J'essaye de redonner du courage à mes frères d'armes. J'y arrive, pour quelques heures seulement. Mais ce n'est pas là le pire, car tout cela ne fait pas réellement souffrir.

Depuis notre arrivée, des personnes, telles des ombres d'elles-mêmes, traversent le pont de l'Avron. Une rumeur monte au fur et à mesure de leur avancée. Des gens parlent, chuchotent. Le silence revient peu à peu, quand soudain, inexorablement, une femme crie. C'est toujours une femme. Elle réclame toujours la même chose, Toujours un enfant perdu. Cette complainte m'effraie. Lorsque je l'entends, quelques sanglots silencieux irradient mon corps. Je ne m'appartiens plus, plus réellement. Inévitablement, je ne peux m'empêcher de penser à toi. Tu ne le supporterais pas. Ton esprit se déchirerait. Ton âme souffrirait comme mon coeur s'est brisé. Tu serais anéantie en voyant ces pauvres gens victimes de l'exode. L'ambiance ici est lancinante et morose. Personne ne parle, personne ne rit. Mes compagnons guettent le moindre signe d'un avenir meilleur. Ils vivent surtout dans leurs souvenirs. Je vis dans l'espoir d'un renouveau. Ce n'est pas vraiment un endroit pour toi. Les bombes ne tarderont pas à tomber et je ne veux pas être responsable de ta mort.

Non! Tu ne dois pas venir! Ce n'est pas une existence tolérable. La vie en ville est encore supportable et tu ne cours pas de danger immédiat. Crois-moi, tu me manques plus que tout au monde. Je ne peux pas me résoudre à te perdre définitivement, tu m'es trop importante. J'ai toujours ces quelques vers qui dansent dans mon esprit lorsque l'image de ton sourire apparaît.
"Je fais toujours ce rêve étrange et pénétrant
D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime
Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même,
Ni tout a fait une autre, et m'aime et me comprend"
Le rêve de Paul Verlaine est devenu ma réalité. Tu est cette femme inconnue et je ne veux pas te perdre. Je t'en supplie, n'essaye pas de me rejoindre !

Ton fidèle mari qui t'aimera toujours


[Il n'y a pas de catégorie lettre, alors je l'ai mis dans écrits libres, je m'excuse si ce n'est pas dans la bonne catégorie]


Dernière édition par mathmatha le Dim 14 Aoû - 11:47, édité 2 fois
mathmatha
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Message par Wellyf Lun 13 Juin - 19:55

J'ai bien aimé cette lettre, vraiment. La fin est sympa je trouve, et tout le long de la lettre on arrive à comprendre où l'on se trouve, dans quel contexte la lettre a été écris et l'histoire du mari. Non, vraiment, c'est bien écris, bravo !

Au plaisir de te lire
Wellyf
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Age : 31

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Message par extialis Mar 14 Juin - 5:17

moi aussi j'aime bien, mais je n'ai pas compris le sens de cette phrase :
Personne n'est encore venu, mais cela ne saurait tarder. Il faudrait
alors tué, abattre un à un mes anciens compagnons. Je ne veux pas le
faire. Je ne peux pas le faire.
tu peux m'expliquer?
extialis
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Localisation : nord de la france

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Message par mathmatha Mar 14 Juin - 17:29

En fait, cela se passe pendant la 2de GM [Oui, encore ].
Les personnes qui partent sont victimes de l'exode de Paris.
Ici, c'est juste après la capitulation française, l'auteur est presque devenu un résistant. Il parle des anciens militaires. Aux côtés desquels il a combattu contre les allemands deux semaines plus tard.
mathmatha
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Message par Alyañore Mar 14 Juin - 18:03

J'ai beaucoup aimé, mais c'est vrai que si tu précisais un peu plus (tout en conservant ce mystère que tu manie si bien) que l'auteur est un résistant (par exemple en parlant d'un maquis ou quelque chose comme ça) ce serait un peu plus clair. Le thème est assez classique mais comme la lettre a juste la bonne longueur on ne s'ennuie pas.
A un moment tu répètes le mot "envie" ce qui est un peu dommage.
Alyañore
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Age : 28
Localisation : On dirait le Sud ...

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Message par mathmatha Mar 14 Juin - 18:07

Il n'est pas encore dans la résistance, il ne fait pas d'actions. Il se cache, tout simplement.
En réalité c'était une rédaction, d'où le thème assez classique, mais j'aimais beaucoup le fait de convaincre qqun avec des sentiments.
mathmatha
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Age : 28

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Message par Sebastien K Sam 13 Aoû - 19:14

Et bien : J'ai adoré ! Ton écriture est juste, sensible, et fluide. J'ai été catapulté dans ce monde en ruine. Le personnage est attachant. Personnellement, j'aime beaucoup le fait que tout ne soit pas dit, et qu'il y ai cette part de silence qui permet au lecteur de se retrouver dans sa propre guerre. Et donc tu as 15 ans Shocked. Et bien, ça promet ! ^^

Deux phrases parmi d'autres qui m'ont marqué :

Je ne m'appartiens plus, plus réellement.
A ce moment là du texte, cette phrase est comme une sentence. C'est renversant !

L'ambiance ici est lancinante et morose.
En quelque mots, l'ambiance devient une douleur. Superbe !

Bon ça suffit les louanges, place à la critique ^^. Et bien il n'y a vraiment pas grand chose de ce côté là ^^.
Juste :

Nous sommes une vingtaine de soldats dans ce lieu clos et reculé de toute âme autre que les nôtres (cette tournure est un peu lourde et pas très compréhensible. Je la simplifierait.), celles d'êtres humains (Le mot "hommes" permettrait d’alléger une phrase déjà longue) traqués pour leurs valeurs.

Depuis notre arrivée, des personnes, telles des ombres d'elles-mêmes...

J'aime bien l'image mais en même temps le "telles" rend la phrase bancale à mes yeux.

J'ai toujours ces quelques vers qui dansent dans mon esprit lorsque l'image de tout sourire apparaît.
Une coquille, je crois. C'es "ton" non ?

Voilà. Bravo ! Very Happy
Sebastien K
Sebastien K

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Message par Invité Sam 13 Aoû - 20:20

mathmatha a écrit:
Isle-sur-Avron, 5 Juillet 1940
Ma très chère femme,

Je t'écris cette lettre d'une ferme fortifiée et isolée que nous avons trouvé, mes compagnons et moi, après plusieurs jours de recherches. La semaine passée en cavale dans tout le pays n'a pas été de tout repos. Je n'ai pu trouver le sommeil que très rarement. La vision de ces "Français" nous pourchassant par monts et par vaux, dans la seule ambition de nous tuer, me hantait. Je pourrais te décrire chaque endroit dans lequel nous sommes allés, chaque personne qui nous a aidé et au contraire, celles qui nous ont livré, mais cela ne servirait à rien. Lorsque nous sommes arrivés dans notre cachette, un homme m'a parlé de toi. Il m'a dit que que tu voulais me rejoindre. J'écris cette lettre dans l'espoir de t'en dissuader. Avant de la froisser, lis-la jusqu'au bout, je t'en conjure, essaye de rester en vie tant que tu le peux encore.

Je te mentirais si je te disais que tu ne me manques pas. Mon corps brûle d'envie de te retrouver, mon esprit brûle d'envie de te parler. Ma vie sans toi me semble fade. Elle est comme une étoile qui ne brille plus, mais les conditions de mon existence sont telles que je ne peux me résoudre à te faire venir à mes côtés. Crois-moi, je t'en prie ! Nous sommes une vingtaine de soldats dans ce lieu clos et reculé de toute âme autre que les nôtres, celles d'êtres humains traqués pour leurs valeurs. Nous dormons sur un sol en terre battue, les fenêtres sont obstruées par des sacs, limitant notre vue sur le monde, nous isolant plus encore de la réalité. Nous n'avons presque plus de vivres, mais nous ne pouvons sortir. Nous nous occupons comme nous le pouvons. Je passe mes journées à guetter l'ennemi derrière nos meurtrières de fortune. Personne n'est encore venu, mais cela ne saurait tarder. Il faudrait alors tuer, abattre un à un mes anciens compagnons. Je ne veux pas le faire. Je ne peux pas le faire. C'est au-dessus de mes forces, mais j'attends cet instant car je sais qu'il viendra et que je ne pourrai pas reculer. Le soir, l'ambiance change. A l'ombre de la flamme vacillante d'une bougie, je conte ces centaines d'histoires que tu aimais tant. J'essaye de redonner du courage à mes frères d'armes. J'y arrive, pour quelques heures seulement. Mais ce n'est pas là le pire, car tout cela ne fait pas réellement souffrir.

Depuis notre arrivée, des personnes, telles des ombres d'elles-mêmes, traversent le pont de l'Avron. Une rumeur monte au fur et à mesure de leur avancée. Des gens parlent, chuchotent. Le silence revient peu à peu, quand soudain, inexorablement, une femme crie. C'est toujours une femme. Elle réclame toujours la même chose, Toujours un enfant perdu. Cette complainte m'effraie. Lorsque je l'entends, quelques sanglots silencieux irradient mon corps. Je ne m'appartiens plus, plus réellement. Inévitablement, je ne peux m'empêcher de penser à toi. Tu ne le supporterais pas. Ton esprit se déchirerait. Ton âme souffrirait comme mon coeur s'est brisé. Tu serais anéantie en voyant ces pauvres gens victimes de l'exode. L'ambiance ici est lancinante et morose. Personne ne parle, personne ne rit. Mes compagnons guettent le moindre signe d'un avenir meilleur. Ils vivent surtout dans leurs souvenirs. Je vis dans l'espoir d'un renouveau. Ce n'est pas vraiment un endroit pour toi. Les bombes ne tarderont pas à tomber et je ne veux pas être responsable de ta mort.

Non! Tu ne dois pas venir! Ce n'est pas une existence tolérable. La vie en ville est encore supportable et tu ne cours pas de danger immédiat. Crois-moi, tu me manques plus que tout au monde. Je ne peux pas me résoudre à te perdre définitivement, tu m'es trop importante. J'ai toujours ces quelques vers qui dansent dans mon esprit lorsque l'image de tout sourire apparaît.
"Je fais toujours ce rêve étrange et pénétrant
D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime
Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même,
Ni tout a fait une autre, et m'aime et me comprend"
Le rêve de Paul Verlaine est devenu ma réalité. Tu est cette femme inconnue et je ne veux pas te perdre. Je t'en supplie, n'essaye pas de me rejoindre !

Ton fidèle mari qui t'aimera toujours




J'ai mis en couleur le peu de fautes d'orthographe que j'ai pu remarqué pendant ma lecture, ainsi tu pourras les corriger directement. [Ne pas conjuguer le participe avec l'auxiliaire avoir]
A part cela, tu as un très bon style d'écriture cela va sans dire, les mots sont bien placés, les émotions bien présentes, fais attention cependant aux descriptions quelquefois inutiles qui gâchent ce que tu essayes de transmettre.
Très bonne continuation Smile


Dernière édition par Vanessa le Dim 14 Aoû - 9:55, édité 1 fois

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Message par danay Dim 14 Aoû - 6:58

ERREUR, ERREUR de Vanessa !
"d'une ferme fortifiée et isolée que nous avons trouvé,"
sa correction de "trouvé" et son explication sont erronées...
Et ici, c'est bien "trouvéE" qu'il faut écrire....comme l'auteur l'avait écrit !

Avec l'auxiliaire AVOIR, le p.passé s'accorde avec le COD si celui-ci est placé devant le verbe.... or, le COD est ici le mot " ferme" ( féminin, singulier), donc
éE

Amicalement,
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Message par mathmatha Dim 14 Aoû - 7:00

Merci pour vos commentaires

Sébastien : J'ai relu le texte à voix haute, et je changerai les deux passages que tu m'as signalé et un autre encore qui cassent le rythme.
Oui, c'était une coquille, assez embêtante dans mon texte ^^

Vanessa : Merci pour ta correction. J'édite le texte tout de suite. Smile
mathmatha
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Je ne veux pas que tu me rejoingnes Empty Re: Je ne veux pas que tu me rejoingnes

Message par danay Dim 14 Aoû - 7:45

essaye"essayes" encore une faute...c'est un impératif et non un indicatif !
Je crois que Vanessa ferait mieux d'éviter de toucher à l'orthographe car elle te fait faire des fautes que tu n'avais pas faites au départ !
danay
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Je ne veux pas que tu me rejoingnes Empty Re: Je ne veux pas que tu me rejoingnes

Message par Invité Dim 14 Aoû - 9:58

Merci, je n'ai vu que l'auxiliaire avoir, je n'ai pas vu le COD et pour l’impératif, honte à moi.
Danay, d'habitude je ne fais pas ce genre d'erreur, j'ai fait cela sans me concentrer, je l'avoue =)

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Je ne veux pas que tu me rejoingnes Empty Re: Je ne veux pas que tu me rejoingnes

Message par danay Dim 14 Aoû - 10:03

pas grave...et ça peut m'arriver aussi !
mais, il est vrai que, quand on nous demande conseil, il faut être 2Xplus vigilants....
amicalement,
danay
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