La grotte et le mystère Thomas
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Jessica
Wellyf
Greenangel
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La grotte et le mystère Thomas
Nous voilà le onze septembre, après de longues heures de voyage nous arrivons enfin à Quiberon au sud-ouest de Vanne. Avec Thomas et Nicolas, nous avions décidé de venir camper au bord de l'océan. Cet endroit de la côte où nous allions camper était particulier et très convoité pour ses falaises. C'était la saison creuse et personne n'était là. Nous étions seules face à l'océan, nous nous arrêtâmes. Nous descendîmes de la voiture et admirions se paysage magnifique, le soleil se couchait derrière les imposantes falaises qui nous surplombaient tendis que les dauphins jouaient avec les mouettes au loin. Nous sortîmes nos tentes du coffre de la voiture et nous allâmes les installer sur le sables blanc encore tiède. Thomas finit de monter sa tente en premier, il partie explorer les alentours pendant Nicolas et moi finissions de monter les nôtres. Une fois cette tache accomplie nous déchargeâmes la voiture. Quelques minutes plus tard Thomas refit son apparition et nous raconta se qu'il avait découvert:
« - En longeant la plage au nord, à quelques minutes d'ici il y a une grotte, elle est magnifique et a l'air d'être très vieille. Demain nous pourrions aller la visiter.
- Oui demain matin nous irons l'explorer. »
Nous continuâmes notre discution autour de notre repas puis autour d'un bon feu de camp. Il ne tarda pas d'être vingt trois heures, le temps passait vite. Nous partîmes nous balader le long de la plage ou nous admirions les étoiles au travers d'un ciel particulièrement limpide, le vent maritime nous caressait le visage et y laissait une agréable sensation de fraicheur. Quand nous rentrâmes il était plus de minuit, je pris congé de mes collègues. Je me retournais et les interpellaient:
« Demain réveillez-vous de bonne heure pour aller visiter la grotte. Bonne nuit !
- Bonne nuit! »
Je rentrais dans ma tente et je me couchai. Quelques minutes plus tard Morphée m'emporta.
Le lendemain je fus réveillé avec fracas par Nicolas:
« - Lève-toi ! Thomas a disparue!
- Comment ça ?
- Quand je suis allé à sa tente pour le réveiller il n'était pas dedans ! J'ai fais le tour du camp mais je ne l'ais trouvé nulle par et il ne répond pas a son téléphone.
- S'éparons nous, dis je, je vais voir vers la grotte toi cherche sur la plage. On se retrouve ici dans trente minutes. »
Je partis donc en direction de celle-ci. Elle était très sombre malgré la lueur du soleil levant. J'examinai ces grotte mais je ne trouvais rien je fis demi tour quand mon pied heurta quelque chose de dure, je me baissai pour le ramasser, c'était le portable de Thomas. Je rentrais au camp en vitesse pour prévenir Nicolas que thomas devait être allé dans la grotte. J'arrivai au campement Nicolas était là nous préparâmes nos sac de randonner et nous partîmes pour la grotte. Quelques minutes plus tard nous nous trouvions au pied de celle-ci. Nous nous aventurâmes donc dans cette grotte toujours sombre malgré le soleil déjà haut dans le ciel. Nous cherchâmes dans cette grotte durant des heures quand nous allions faire demi-tour pour rentrer au camp quand Nicolas dit qu'il avait entendu du bruit provenant de la tranchée de droite. Nous décidions donc d'aller voir se qui se trouvait dans celle-ci. Nous marchâmes pendant quelques minutes quand Nicolas qui ouvrait la marche s'arrêta net et vis son visage pâlir « Nicolas ! » criais-je. Il ne répondit pas il était la tétanisé je m'approchais pour voir se qui l'avait mi dans un tel état. Je m'avançais donc et la je vis Thomas empalé sur une barre métallique qui dépassais de la paroi. Le morceau de métal le traversait de part en part. Je pris Nicolas par le bras et lui fit comprendre qu'on devait sortir d'ici que l'on ne pouvait plus rien pour lui et que nous devions aller demander de l'aide. En faisant demi tour je m aperçu que l'océan entrait dans la grotte surement car la marée montait et que l'eau commençais à m'arriver à la cheville. Je criai « vite !!! Sortons !!! » Nous courûmes mais l'eau montait de plus en plus et a une vitesse un croyable, bientôt je perdis pied et je fus emporté par le courant je heurtais plusieurs parois. A présent j'étais totalement immergé par l'eau, je ne tarderai pas a perdre connaissant. Tout d'un coup une lumière m'ébloui et j'entendis une voix parler je me redressais et quand mes yeux furent habituée à la lumière je découvris que c'était Thomas et Nicolas qui me parler « Tu es bien pâle dit. Sa va ?
» Me lança Nicolas d'un air inquiet. C'est alors que je m'aperçu que je venais de faire un horrible cauchemar...« - En longeant la plage au nord, à quelques minutes d'ici il y a une grotte, elle est magnifique et a l'air d'être très vieille. Demain nous pourrions aller la visiter.
- Oui demain matin nous irons l'explorer. »
Nous continuâmes notre discution autour de notre repas puis autour d'un bon feu de camp. Il ne tarda pas d'être vingt trois heures, le temps passait vite. Nous partîmes nous balader le long de la plage ou nous admirions les étoiles au travers d'un ciel particulièrement limpide, le vent maritime nous caressait le visage et y laissait une agréable sensation de fraicheur. Quand nous rentrâmes il était plus de minuit, je pris congé de mes collègues. Je me retournais et les interpellaient:
« Demain réveillez-vous de bonne heure pour aller visiter la grotte. Bonne nuit !
- Bonne nuit! »
Je rentrais dans ma tente et je me couchai. Quelques minutes plus tard Morphée m'emporta.
Le lendemain je fus réveillé avec fracas par Nicolas:
« - Lève-toi ! Thomas a disparue!
- Comment ça ?
- Quand je suis allé à sa tente pour le réveiller il n'était pas dedans ! J'ai fais le tour du camp mais je ne l'ais trouvé nulle par et il ne répond pas a son téléphone.
- S'éparons nous, dis je, je vais voir vers la grotte toi cherche sur la plage. On se retrouve ici dans trente minutes. »
Je partis donc en direction de celle-ci. Elle était très sombre malgré la lueur du soleil levant. J'examinai ces grotte mais je ne trouvais rien je fis demi tour quand mon pied heurta quelque chose de dure, je me baissai pour le ramasser, c'était le portable de Thomas. Je rentrais au camp en vitesse pour prévenir Nicolas que thomas devait être allé dans la grotte. J'arrivai au campement Nicolas était là nous préparâmes nos sac de randonner et nous partîmes pour la grotte. Quelques minutes plus tard nous nous trouvions au pied de celle-ci. Nous nous aventurâmes donc dans cette grotte toujours sombre malgré le soleil déjà haut dans le ciel. Nous cherchâmes dans cette grotte durant des heures quand nous allions faire demi-tour pour rentrer au camp quand Nicolas dit qu'il avait entendu du bruit provenant de la tranchée de droite. Nous décidions donc d'aller voir se qui se trouvait dans celle-ci. Nous marchâmes pendant quelques minutes quand Nicolas qui ouvrait la marche s'arrêta net et vis son visage pâlir « Nicolas ! » criais-je. Il ne répondit pas il était la tétanisé je m'approchais pour voir se qui l'avait mi dans un tel état. Je m'avançais donc et la je vis Thomas empalé sur une barre métallique qui dépassais de la paroi. Le morceau de métal le traversait de part en part. Je pris Nicolas par le bras et lui fit comprendre qu'on devait sortir d'ici que l'on ne pouvait plus rien pour lui et que nous devions aller demander de l'aide. En faisant demi tour je m aperçu que l'océan entrait dans la grotte surement car la marée montait et que l'eau commençais à m'arriver à la cheville. Je criai « vite !!! Sortons !!! » Nous courûmes mais l'eau montait de plus en plus et a une vitesse un croyable, bientôt je perdis pied et je fus emporté par le courant je heurtais plusieurs parois. A présent j'étais totalement immergé par l'eau, je ne tarderai pas a perdre connaissant. Tout d'un coup une lumière m'ébloui et j'entendis une voix parler je me redressais et quand mes yeux furent habituée à la lumière je découvris que c'était Thomas et Nicolas qui me parler « Tu es bien pâle dit. Sa va ?
Ps: je ne suis pas sur que le titre corresponde bien , si vous en avez a me suggéré n’hésitez pas
Greenangel- Date d'inscription : 08/06/2011
Age : 29
Re: La grotte et le mystère Thomas
Bon voilà, j'ai tout lu. Au commentaire.
Un peu ... banale la chute... Je n'ai pas vraiment accroché à ta nouvelle à vrai dire. Les dialogues sont un peu bateau, je trouve.
Tu as écris au passé, c'est bien, mais il faut utiliser beaucoup plus le passé composé que le passé simple. Après, je ne saurais pas comment t'expliquer lequel il faut choisir et quand. Demande à quelqu'un de plus expérimenter.
On voit que tu n'es pas encore vraiment à l'aise avec notre belle langue, je te conseil ce que fais ( oui moi aussi le Français, j'ai un peu de mal ) : fais des phrases courtes pour éviter des répétitions comme celle-là :
Oui, bon après, il y'a peut-être beaucoup de faite. Mais moi, les fautes, je les vois pas.
Moi, je te conseil de retravailler ta nouvelle. Ça te permettra de t'améliorer, c'est sur.
Et surtout, courage ! Comme on me l'a déjà dis :
-" C'est en forgeant qu'on devient forgerons. C'est en écrivant qu'on devient écrivain "
Au plaisir de te relire !
Un peu ... banale la chute... Je n'ai pas vraiment accroché à ta nouvelle à vrai dire. Les dialogues sont un peu bateau, je trouve.
Tu as écris au passé, c'est bien, mais il faut utiliser beaucoup plus le passé composé que le passé simple. Après, je ne saurais pas comment t'expliquer lequel il faut choisir et quand. Demande à quelqu'un de plus expérimenter.
On voit que tu n'es pas encore vraiment à l'aise avec notre belle langue, je te conseil ce que fais ( oui moi aussi le Français, j'ai un peu de mal ) : fais des phrases courtes pour éviter des répétitions comme celle-là :
Et puis, ça évite des fautes de conjugaisons et d'accords.quand nous allions faire demi-tour pour rentrer au camp quand Nicolas dit qu'il avait entendu
Oui, bon après, il y'a peut-être beaucoup de faite. Mais moi, les fautes, je les vois pas.
Moi, je te conseil de retravailler ta nouvelle. Ça te permettra de t'améliorer, c'est sur.
Et surtout, courage ! Comme on me l'a déjà dis :
-" C'est en forgeant qu'on devient forgerons. C'est en écrivant qu'on devient écrivain "
Au plaisir de te relire !
Wellyf- Date d'inscription : 31/05/2011
Age : 31
Re: La grotte et le mystère Thomas
Coucou !! Je suis un peu du même avis que Wellyf. La chute est banale...
Et puis, les passages d' "action" passent beaucoup trop rapidement,
tandis que ce qui est normal est décrit en détail. Et pareil pour les
temps de conjugaisons, je ne suis pas sûre que tu ais employé les bons.
Et puis, il y a beaucoup de fautes d'orthographe. Je vais te proposer
ici une petite correction orthographique, ce que j'ai moi-même remarqué.
Je ne suis pas infaillible (loin de là), alors il y aura encore à
corriger...
Et puis, les passages d' "action" passent beaucoup trop rapidement,
tandis que ce qui est normal est décrit en détail. Et pareil pour les
temps de conjugaisons, je ne suis pas sûre que tu ais employé les bons.
Et puis, il y a beaucoup de fautes d'orthographe. Je vais te proposer
ici une petite correction orthographique, ce que j'ai moi-même remarqué.
Je ne suis pas infaillible (loin de là), alors il y aura encore à
corriger...
Greenangel a écrit:Nous voilà le onze septembre, après de longues heures de voyage nous arrivons (premier problème ici... Tu parles au passé, pourtant ton verbe est au présent. Maintenant, je suis moi-même d'avis que tu écrives au passé composé et à l'imparfait. Beaucoup plus léger pour un texte) enfin à Quiberon au sud-ouest de Vanne. Avec Thomas et Nicolas, nous avions décidé de venir camper au bord de l'océan. Cet endroit de la côte où nous allions camper (répétition lexicale du mot "camper") était particulier et très convoité pour ses falaises. C'était la saison creuse et personne n'était là. Nous étions seules (ce sont des prénoms masculins, pourtant ton "seules" est au féminin... Erreur d’inattention?) face à l'océan, nous nous arrêtâmes. Nous descendîmes de la voiture et admirions (selon moi, les deux temps de ta phrase ne concordent pas ensemble...) ce paysage magnifique, le soleil se couchait derrière les imposantes falaises qui nous surplombaient tandis que les dauphins jouaient avec les mouettes au loin (ah? curieuse image... je n'ai jamais vu de dauphin s'amuser avec des mouettes). Nous sortîmes nos tentes du coffre de la voiture etnous(ce deuxième "nous" n'est pas obligatoire, vu que tu précises déjà dans la première moitié de la phrase de qui tu parles) allâmes les installer sur le sablesblanc encore tiède. Thomas finit de monter sa tente en premier, il partit (problème ici. Tu exposes deux faits différents. Il faut alors faire deux phrases différentes, où les relier avec un connecteur : "puis", "ensuite", "alors"...) explorer les alentours pendant que Nicolas et moi finissions de monter les nôtres. Une fois cette tâche accomplie, nous déchargeâmes la voiture. Quelques minutes plus tard, Thomas refit son apparition et nous raconta se qu'il avait découvert :« - (pour ouvrir un dialogue, tu utilise soit l'un, soit l'autre) En longeant la plage au nord, à quelques minutes d'ici, il y a une grotte. Elle est magnifique et a l'air d'être très vieille. Demain nous pourrions aller la visiter.Je vais m'arrêter là, pas le courage de continuer, il se fait tard. Mais bon courage pour continuer, il y a moyen d'en faire quelque chose de vraiment bien !!
- Oui, demain matin, nous irons l'explorer. »
Nous continuâmes notre discussion autour de notre repas puis autour d'un bon feu de camp (ta phrase est un peu répétitive, et en devient lourde à lire... Pourquoi ne pas essayer quelque chose comme : "Nous continuâmes à discuter autour de notre dîner, puis d'un bon feu de camp."). Il ne tarda pas à être vingt-trois heures. Le temps passait vite. Nous partîmes nous balader le long de la plage où nous admirions les étoiles au travers d'un ciel particulièrement limpide. Le vent maritime nous caressait le visage et y laissait une agréable sensation de fraîcheur. Quand nous rentrâmes, il était plus de minuit. Je pris congé de mes collègues. Je me retournais et les interpellaient :
« Demain, réveillez-vous de bonne heure pour aller visiter la grotte. Bonne nuit !
- Bonne nuit! »
Je rentrais dans ma tente etje(même remarque que pour les "vous") me couchai. Quelques minutes plus tard, Morphée m'emporta.
Bonne chance !
Re: La grotte et le mystère Thomas
Oui je sais qui a encore beaucoup a travailler , je vais essai de retravailler le texte et me faire aider pour l'orthographe..
En tout cas merci pour ta correction et vos avis
En tout cas merci pour ta correction et vos avis
Greenangel- Date d'inscription : 08/06/2011
Age : 29
Re: La grotte et le mystère Thomas
Je vais attendre la nouvelle version alors avant de commenter.
Parce que je vois que les principaux défauts ont déjà été remontés.
Parce que je vois que les principaux défauts ont déjà été remontés.
Re: La grotte et le mystère Thomas
Greenangel a écrit:Oui je sais qui a encore beaucoup a travailler , je vais essai de retravailler le texte et me faire aider pour l'orthographe..
En tout cas merci pour ta correction et vos avis
A force de travail, on progresse toujours
Re: La grotte et le mystère Thomas
Je suis désolé mais je n'ai pas du tout accroché. Voici quelques points sur le pourquoi :
"-En longeant la plage au nord... Demain nous pourrions aller la visiter.
-Oui demain matin nous irons l'explorer" -> dialogue complètement farfelu, il faut se demander si dans la réalité on dirait cela. Je sais très bien que tu inventes un monde, mais tu ne peux pas faire dire à un personnage ce que l'autre vient exactement de dire. C'est un peu comme les voix off ridicules qui disent mot pour mot ce que va dire la personne dans le reportage. Exemple : "Marie se trouve dans le calvados et nous raconte cette histoire", "Je suis dans le Calvados et...". C'est absurde, non ?
"Mon pied heurta quelque chose de dur, je me baissai pour le ramasser, c'était le portable de Thomas" : Hormis le fait que tu aurais pu couper la phrase à ramasser et reprendre une nouvelle pour annoncer que c'était le portable de Thomas (prénom soit dit en passant, excellemment choisi); il y a surtout une incohérence monstre : heurter un portable, vraiment ? un objet si dur que ça ? tout au mieux tu marcheras dessus, tu glisseras dessus, mais se heurter c'est un peu violent quand même pour un simple portable.
Il y a un manque cruel d'originalité dans ton texte qui ne donne absolument pas envie d'être lu. Par exemple, au départ, l'arrivée dans un camping désert, l'installation... La grotte n'a rien de particulier, on s'y perd même car nous n'avons aucune idée de sa composition. Tu dis à un moment que ton personne l'examine. Et on apprend après qu'ils la découvrent pour la première fois alors que le verbe d'avant contredisait ceci. La marée qui monte brusquement dans le genre fantastique c'est du vu, et revu : même moi j'ai écrit une nouvelle sur ce thème !
Au passage, joyeux anniversaire !
"-En longeant la plage au nord... Demain nous pourrions aller la visiter.
-Oui demain matin nous irons l'explorer" -> dialogue complètement farfelu, il faut se demander si dans la réalité on dirait cela. Je sais très bien que tu inventes un monde, mais tu ne peux pas faire dire à un personnage ce que l'autre vient exactement de dire. C'est un peu comme les voix off ridicules qui disent mot pour mot ce que va dire la personne dans le reportage. Exemple : "Marie se trouve dans le calvados et nous raconte cette histoire", "Je suis dans le Calvados et...". C'est absurde, non ?
"Mon pied heurta quelque chose de dur, je me baissai pour le ramasser, c'était le portable de Thomas" : Hormis le fait que tu aurais pu couper la phrase à ramasser et reprendre une nouvelle pour annoncer que c'était le portable de Thomas (prénom soit dit en passant, excellemment choisi); il y a surtout une incohérence monstre : heurter un portable, vraiment ? un objet si dur que ça ? tout au mieux tu marcheras dessus, tu glisseras dessus, mais se heurter c'est un peu violent quand même pour un simple portable.
Il y a un manque cruel d'originalité dans ton texte qui ne donne absolument pas envie d'être lu. Par exemple, au départ, l'arrivée dans un camping désert, l'installation... La grotte n'a rien de particulier, on s'y perd même car nous n'avons aucune idée de sa composition. Tu dis à un moment que ton personne l'examine. Et on apprend après qu'ils la découvrent pour la première fois alors que le verbe d'avant contredisait ceci. La marée qui monte brusquement dans le genre fantastique c'est du vu, et revu : même moi j'ai écrit une nouvelle sur ce thème !
Au passage, joyeux anniversaire !
Re: La grotte et le mystère Thomas
Bonjour ! Je n'ai pas particulièrement accroché non plus à ton texte, et je pense que comme l'a dit 49tom c'est à cause du manque d'originalité. Si tu veux améliorer les temps de ton texte je te conseil d'utilisé les valeurs du Passé simple et de l'Imparfait. Ce sont les deux temps les plus judicieux à utiliser dans un texte au passé.
Les voici si-dessous :
L'imparfait :
L'imparfait exprime la durée. Il sert à présenter des actions qui vont durer longtemps, en cours d'accomplissement.
Elle se promenait dans la forêt.
L'imparfait est employé pour décrire, il sert à planter le décor. C'est l'arrière plan du récit.
Elle avait de long cheveux noir et de grand yeux bleus. Elle vivait dans un château somptueux.
L'imparfait marque l'habitude.
Tous les soirs ils allaient voir les spectacles du Moulin Rouge.
Le passé simple :
Le ps sert à exprimer des faits, des actions qui sont délimitées dans le temps et qui sont achevées.
Je sella mon cheval et partis en direction de la ferme de Falcon.
Il sert à évoquer des actions qui se succédent. C'est le premier plan du récit.
Elle coupa, mixa, goûta, ...
Ces valeurs sont complémentaires le récit, donc tu peux utiliser les deux.
À et au faite si tu parles de la ville de Vannes en Bretagne il y a un "-s" à la fin Trés jolie ville d'ailleurs !
Pour la chute, c'est effectivement banal, si tu rallongeais ton texte de quelque pages (une ou deux) et que tu expliquais que tu explorais de long en large en y découvrant des choses, on s'attendrait peut être loin à ta chute. Mais c'est ton écrit et je n'ai aucun pouvoir là dessus. À toi de t'améliorer avec nos critiques.
Bon courage et Bonne fin de vacances !
Les voici si-dessous :
L'imparfait :
L'imparfait exprime la durée. Il sert à présenter des actions qui vont durer longtemps, en cours d'accomplissement.
Elle se promenait dans la forêt.
L'imparfait est employé pour décrire, il sert à planter le décor. C'est l'arrière plan du récit.
Elle avait de long cheveux noir et de grand yeux bleus. Elle vivait dans un château somptueux.
L'imparfait marque l'habitude.
Tous les soirs ils allaient voir les spectacles du Moulin Rouge.
Le passé simple :
Le ps sert à exprimer des faits, des actions qui sont délimitées dans le temps et qui sont achevées.
Je sella mon cheval et partis en direction de la ferme de Falcon.
Il sert à évoquer des actions qui se succédent. C'est le premier plan du récit.
Elle coupa, mixa, goûta, ...
Ces valeurs sont complémentaires le récit, donc tu peux utiliser les deux.
À et au faite si tu parles de la ville de Vannes en Bretagne il y a un "-s" à la fin Trés jolie ville d'ailleurs !
Pour la chute, c'est effectivement banal, si tu rallongeais ton texte de quelque pages (une ou deux) et que tu expliquais que tu explorais de long en large en y découvrant des choses, on s'attendrait peut être loin à ta chute. Mais c'est ton écrit et je n'ai aucun pouvoir là dessus. À toi de t'améliorer avec nos critiques.
Bon courage et Bonne fin de vacances !
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