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Je savais, et pourtant je ne rien fait...

5 participants

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Je savais, et pourtant je ne rien fait... Empty Je savais, et pourtant je ne rien fait...

Message par Wellyf Sam 25 Juin - 22:24

Tu sais, il pleut se soir. Les étoiles que tu aime tant sont cachées par de gros nuages.
Ah ! Oui, il y’a ton père qui s’apprête à me frapper. Son point massif, ressemblant plus à une masse qu’autre chose dans cette obscurité, est déjà élancé. Il s’approche doucement. Je n’ai pas l’attention de réagir, à toi de venir me secourir.

Je savais, mais je n’ai rien fait.
Mais, de toute façon, pourquoi as-tu fait ça ?


- Non, mais tu peux pas faire ça ?! T’es égoïste ?!
- Oui


On se connait depuis tellement longtemps, si longtemps que ça pourrait presque faire de toi ma propre sœur, je crois.
Le temps a passé tellement vite quand j’y pense. Je nous revois encore à l’aube de nos 5ans, dans ta chambre, à jouer aux petits soldats. Et la tête de ta bonne maman, cette expression de découragement qui se peignait sur sa figure, lorsqu’elle voyait dans quel état était ta magnifique chambre. J’entends encore les moqueries des autres enfants dans la petite cours de notre école, nous pointant du doigt, nous les soi-disant amoureux. Arrivèrent l’époque du cirque. Perchés sur nos monocycles, on s’entrainait encore et encore, espérant de tout nos cœurs de ne pas chuter lors de la représentation, et par la même occasion, épater nos parents, les rendant fier de nous. Puis le collège, la peur de n’être pas dans la même classe, ce qui, en 4ans, n’arriva pas une seul fois, et ta rencontre avec ce fameux Fabien que tu ne quittais plus ; j’en étais tellement jaloux ! Les premiers amours, qui ne furent pas les derniers, et par conséquence, nos premières confidences, couchés dans l’herbe humide regardant les millions d’étoiles, avec cette bonne odeur de Jamaïque qui était devenue habituelle à l’arrivé du lycée.
Tous ce temps passé ensemble, mon amie. On n’a jamais parlé d’amour entre nous, enfin je veux dire toi et moi. Maintenant, c’est trop tard. Mais j’ai toujours eu l’impression qu’on avait choisi, depuis bien longtemps, le deuxième chemin. Pas celui qui mène au couple, mais celui dont le paysage nous a ébahi d’une amitié des plus merveilleuse et fusionnelle. On passait vraiment de bon moment ensemble. Mais c’est dernier temps, c’est vrai que quand on n’était pas tout seul, c’était mieux…



- Mais, tu pense vraiment qu’à toi ! Aller, de toute façon je sais que tu déconne !
- …


Non, je ne veux pas dire que je n’aimais pas passer du temps seul avec toi. Mais le triste secret qui nous liait était souvent le seul sujet de conversation que l’on trouvait lorsque le silence nous entourait.
Te rappelles-tu de ce soir ? Cette nuit froide de septembre que l’on avait passée dehors, dans les ténèbres, blottis l’un contre l’autre, les pieds se balançant justes au-dessus de la Meuse. Seul. Tu t’étais confiée à moi comme jamais tu ne l’avais fait auparavant. Ton fragile corps était devenu froid et s’était mis à trembler convulsivement. Et moi, j’étais resté douche bée, ne sachant ni que dire ni que faire pour te consoler. J’étais complètement impuissant face à ton malheur. Et jamais, malgré toutes mes recherches, je n’avais su comment t’aider, à par peut-être dire des idioties qui te faisait rire. Souvent, je pensais que j’étais devenu, d’une certaine façon, l’allégorie de ton mal, et qui serait mieux que je parte, que je disparaisse de ta vie, pour qu’au moins, au lycée, tu puisses penser à autre chose. Notre belle amitié avait changé de face désormais.
Pendant toute cette nuit là, ta voie tremblante de tristesse avait percé ce silence qui s’était posé sur toute la ville. Comment il dit déjà, ton Camus : « l’absurde naît de cette confrontation entre l’appel humain et le silence déraisonnable du monde ». Ce qui était absurde, c’est le fait que je croyais pouvoir t’aider.


- Hé ?! Hé ?! T’es encore là ?!
- …


Hé BAOUM ! En voilà une que je n’aurais pas volée. Je sens ce point titanesque me rentrer dans la mâchoire, un goût de sang dans ma bouche. Les picotements se transforment, petit à petit, en une véritable douleur atroce se propageant de plus en plus sur mon visage déformé. Me voilà à l’horizontale, parallèle au sol détrempé ; je vole. Il me vient alors le visage de mon père et ce qu’il me dit un jour lors d’une quelconque discussion ; on ne pouvait pas aider toutes les personnes que l’on voudrait, car certaines choses nous dépassent.


Vous avez envoyé un wizz
-Quoi ?!
-Ah ! Désolé, je ne voulais surtout pas te déranger dans ton délire morbide. Surtout pense pas à moi ! A tes amis et ta famille ! Fait ce que t’as à faire. Hein ? Les autres sont de la merde pour toi. C’est ça ?


J’ai toujours été étonné que tu ne fasses confiance qu’à moi. Pourtant, tu avais un père et une mère formidables, une grande sœur qui t’aimait passionnément, on avait beaucoup d’amis en qui tu pouvais avoir entièrement confiance. Mais non, tu ne faisais confiance à personne, ni famille, ni amis, ni psychologues. Seulement moi, et je devais porter ce fardeau seul. Et ce pauvre Fabien qui venait me voir, me questionnant sur toi, plein d’espérance.
Je me rappelle qu’une fois, il me demanda ce que tu aimais manger. C’est vrai que jamais tu n’était venue te faire un Kebab ou un MacDo avec nous. Enfin, si les autres avaient vu le peu que tu mangeais, ils se seraient peut-être inquiétés. Et ce que tu aurais pris les aurait intrigués. Ton père disait « Mais mange donc ma fille, regarde comme tu es maigre ! ». Comment ce fait-il que tes parents ne se soient jamais plus inquiétés que ça. Enfin, moi non plus, au début, je n’avais rien vu. Je n’aurais sûrement rien remarqué si tu ne m’avais rien dit.
Fabien m’avait aussi demandé comment cela se faisait-il que tu étais si forte au cross. Il était toujours dépité quand tu arrivais 5 bonnes minutes avant lui à la ligne d’arrivée, lui qui s’est toujours cru le super sportif invincible. Il t’admirait beaucoup, tu sais. Moi ça me faisait plus de mal qu’autre chose. Tout ce sport que tu faisais en quête de ce que tu ne pouvais trouver. Car le véritable problème se trouvait qu’en toi.



- Arrête ton petit air d’ironie pourri, s’te plaie. Ce n’est pas le moment. Je sens que je vais craquer.
- Désolé, mais je m’inquiète tellement…


J’ai toujours détesté ces moments où tu me repoussais, ces moments où tu avais tellement besoin de moi. Mais je comprenais ton besoin d’isolement, une défaite est toujours amer. Et puis, dans ces moments, comment aurais-je pu t’aider. Je suis complément démuni, sans arme pour pouvoir réellement t’aider dans cette guerre contre toi même. Alors, impuissant, j’attendais derrière la porte, pour cueillir ton frêle corps exténué après cet étripage plus que douloureux, pour le déposer dans ton lit. Et comme à mon habitude, je passais derrière toi pour effacer toutes traces. Je peux encore sentir cette odeur acre ( j’en ai l’estomac qui se soulève ). Et toujours ce terrible silence ; le silence du secret, le silence de la honte, le silence de la mort. Souvent je me suis demandé comment tu faisais les rares jours où je n’étais pas là ? Comment ce fait-il que tes parents n’ont jamais rien découvert jusqu’à aujourd’hui entre le peu que tu mangeais et la nourriture qui disparaissait ?


- Je me sens trop mal. J’ai besoin d’air. Je sors courir. Bonne nuit.
Les messages que vous envoyez lui seront remis à sa prochaine connexion.
-Attends !!


Il y’a dans la vie des hauts et des bas. Des moments où l’on se demande pourquoi on vit et quel en est l’intérêt de supporter une telle douleur. Plus d’une fois je t’avais dit qu’arriver en bas tu ne pourrais que rebondir comme une balle en caoutchouc, et chaque fois tu me répondais d’un air triste : « Pour mieux rechuter… ». Mais, tu vois, moi en ce moment j’entame ma descente. C’est la vie.
La pluie pleure sur mes joues, parce que moi je n’y arrive pas. Mon corps n’est plus qu’une épave sans âme, arrachée de son logement par un lien que l’on nomme amour. Suis-je mort ? Non pas encore, mais ma tête se noie dans des flots de souvenir. Me voilà à terre, agonisant, je n’ai même pas envi de me relever. Je gis dans le caniveau, mon corps est transi de froid, un réverbère s’allume au dessus moi. Sa lumière m’éblouit.


- Ca fait longtemps. Je commençais sérieusement à m’inquiéter. Pourquoi n’as-tu pas répondu à mes appels, à mes messages. J’ai eu peur, j’ai cru que tu t’étais mise la corde au cou comme tu me l’avais dis…
- Quoi !! Assassin ! Tu savais et tu n’as rien fait !! Toi que je connais depuis l’enfance, toi qui avais ma confiance ! Tu as tué ma fille !!


Oh ! Mon Dieu ! Ma tendre amie, ma précieuse sœur, ma belle.
Je savais, et pourtant je n’ai rien fait !
Je t’ai tué !


Dernière édition par Wellyf le Dim 26 Juin - 19:34, édité 1 fois
Wellyf
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Message par extialis Sam 25 Juin - 23:59

Je n’ai pas l’attention de réagir, à toi de venir me secourir.
l'intention

bon y en a quelques autres, mais... tant pis, je relève pas, tu t'en occuperas je gage. elle est pleine d'émotions cette nouvelle, elle est très belle. c'est bizarre que pour une fois cette nuit je ne tombe pas de sommeil puisque je pense à ma petite soeur qui ne mangeait jamais rien et qui refusait les "conseils", les inquiétudes qu'on avaient à son encontre ma mère et moi.
celui qui souffre n'écoute personne jusqu'au déclic, je l'ai compris récemment et depuis je ne culpabilise plus.
dans ta nouvelle, j'éprouve une grande compassion pour le narrateur et seulement pour lui.
elle est très bien menée, bravo.
extialis
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Message par Wellyf Dim 26 Juin - 19:19

Franchement merci beaucoup ! Je l'ai bossé cette nouvelle,
et pas que quelques heurs. Elle me tenait un peu à cœur à vrai dire :
Attention, cela ne veut pas dire que je suis le narrateur !
Bon, je suis un peu dépité de savoir qu'il y'a encore des fautes, j'ai bien
passé 1heur pour essayer de tous les trouver, mais à quelque endroit je n'étais
pas sur. Enfin, je verrais ça plus tard, vers septembre après les vacances,
comme ça, ça me permettra de l'améliorer car elle sera sorti de ma tête. Je la
lirais d'une autre façon.
Mais bon, j'ai eu peur que la dernier conversation ne soit pas bien compris. Je
vois que ça a été, j'ai eu peur aussi lors de la scène avec ce Fabien qui pose
des questions. Je trouvais que le lien pour passer d'un symptôme à l'autre été
un peu ... Boff. Et à d'autre endroit aussi, mais je vois que ça a été.

Bon, d'autre avis SVP !!
Wellyf
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Message par extialis Dim 26 Juin - 19:24

exemple de faute qui me saute aux yeux, là tout de suite :
- Je me sens trop mal. J’ai besoin d’aire. Je sors courir. Bonne nuit.
Les messages que vous envoyez lui seront remis à sa prochaine connexion.
-Attends !!
d'air
elle (ou il) a besoin de respirer et non d'espace si j'ai bien compris (air = respirer, aire=espace, nid pour rapaces) tu vois ce que je veux dire?
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Message par Wellyf Dim 26 Juin - 19:34

A pourtant j'ai fait des recherches, et j'étais sur qu'il fallait mettre aire, comme le grand aire dehors !!
Cependant, ton hésitation montre que tu n'as pas compris que c'était une fille. Oui il parle à son amie d'enfance.
Il faudra que je vois ça de plus près.
D'autre avis SVP !
Wellyf
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Message par Dean_Moriarty Dim 26 Juin - 20:01

Pas vraiment d'avis...je ne trouve pas vraiment que cela soit bien mené.Tes tournures de phrase sont fréquemment très lourdes, et les fautes répétées polluent trop la lecture.
L'idée n'est pas mauvaise, c'est à travailler.
Dean_Moriarty
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Message par Wellyf Dim 26 Juin - 20:07

OK, mes tournures de phrase ? Elle sont peut-être trop long, c'est ça ?
Et ces fautes... Je hais le français !!
D'autre avis ?
Wellyf
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Message par Margaux1999 Lun 27 Juin - 16:17

J'ai adoré sauf les tournure de phrase
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Message par Wellyf Lun 27 Juin - 18:42

AAAHHHHHHH.
Elles sont trop long, c'est ça ? On m'avait dit que mes
phrases étaient trop courtes la dernière fois, sur une autre nouvelle,
sur un autre forum, trop simple, sujet verbe et petit complément. Alors
cette fois, j'en ai mis trop ....
Zut, je la réécrirais. Mais plus tard
Wellyf
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Message par Le sombre minuit Sam 9 Juil - 10:03

Tu sais, il pleut ce soir. Les étoiles que tu aimes tant sont cachées par de gros nuages.
Ah
! Oui, il y a ton père qui s’apprête à me frapper. Son poing massif,
ressemblant plus à une masse qu’autre chose dans cette obscurité, est
déjà élancé. Il s’approche doucement. Je n’ai pas l’intention de réagir,
à toi de venir me secourir.

C'était pour te montrer pourquoi les fautes venaient vite pourrir la lecture... elles sont un peu énervantes il faut avouer.
Ta nouvelle est intéressante. Mais je pense qu'il y a comme un manque pour les lien entre toutes tes phrases, si tu veux donner l'impression de coupure entre chaque pensée, saute une ligne... je ne sais pas, mais là, c'est tellement coupé d'un coup entre les phrases qu'on a l'impression d'un grand vide, comme si une phrase manquait. Retravaille encore, même si cette nouvelle est émouvante, elle ne doit pas rester dans cet état là, mais être corrigée et analysée.
Le sombre minuit
Le sombre minuit
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Message par Wellyf Lun 11 Juil - 20:59

Hmmm, manque des liens entre les phrases...
On me l'a pas encore dit, je verrais ce que je peux faire, mais ça va être un peu dure cette histoire.
Enfin, merci bien. Moi non plus j'ai pas envi de la lâcher cette nouvelle, mais pour l'instant, je la laisse reposer dans son jus, j'aurais les idées plus claire en prenant un peu de recule.
Wellyf
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Message par Le sombre minuit Mar 12 Juil - 5:24

Oui, c'est toujours pareil pour moi également ! C'est important de laisser reposer ce que tu écris. On travaille mieux dessus après de toute façon.
Le sombre minuit
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Message par Margaux1999 Mar 12 Juil - 13:20

Adorée
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Message par Wellyf Mar 12 Juil - 19:43

Complètement d'accord Sombre nuit, et merci Margaux.
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